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Fatima, femme fatale et mère de mon pote

Chapitre 7

Avec plusieurs femmes
N’allez pas croire que mon pote Mounir et moi avons passé toute l’après-midi à baiser avec sa mère et sa sœur. Tel de bons garçons studieux, nous nous sommes ensuite remis à nos révisions pour le Bac. Toutefois, encore très émoustillé par nos jeux sexuels, j’avoue que j’eus tout de même bien des difficultés à me concentrer sur mes bouquins. Après tout, il est vrai que la situation était loin d’être banale. Je venais de passer une nuit torride avec Fatima, la mère de mon meilleur ami grâce à qui j’avais enfin perdu ma virginité. Et voilà que dès le lendemain, je venais de faire la connaissance de sa sœur Kadija, une pure beauté fatale, pour ensuite apprendre avec stupeur qu’elles étaient toutes deux ses esclaves sexuelles et que s’en suive une formidable partie de jambe en l’air avec mon pote et ses deux sublimes créatures. Mounir s’aperçut rapidement de mon trouble. Tandis que Fatima et Kadija étaient sortis faire quelques courses, nous eûmes lui et moi une longue conversation. Cela me permis d’y voir plus clair dans la situation. Je fus rassuré de constater qu’il avait bel et bien conscience que la relation qu’il entretenait avec sa mère et sa sœur n’avait rien de normal. Je lui promis bien entendu de garder le secret. Il me confia également que grâce à cette vie de débauche il se sentait pleinement épanoui et que cela lui permettait de disposer d’une grande assurance avec les femmes, ne craignant jamais de se prendre un râteau. Il me déclara aussi en riant : — Tu sais mon pote, lorsque l’on sait que l’on a toujours à la maison une petite chatte à disposition pour assouvir ses désirs, on se sent bien plus léger. Crois-en mon expérience, laisse-toi aller et profite de ce qu’elles nous offrent sans trop te poser de questions. Je dois avouer qu’il parvint ainsi rapidement à me convaincre. Après tout, je n’avais aucune raison de culpabiliser car elles n’étaient pour moi ni ma mère, ni ma sœur. Je pouvais donc jouir du plaisir de leur faire l’amour sans avoir le moindre remord. Le soir-même, nous eûmes une autre discussion, cette fois en présence de Fatima et de Kadija. Mounir leur expliqua sans détours l’embarras que j’éprouvais face à l’installation de cette nouvelle relation à quatre. Kadija me proposa de faire comme si j’étais son petit ami et afin que nous fassions plus ample connaissance elle m’invita à l’accompagner le lendemain faire une sortie en ville. Fatima quant à elle me proposa de rester dormir chez eux. Quant à mon pote Mounir, il suggéra de s’éclipser le temps d’une nuit afin de me laisser le champ libre avec sa mère et sa sœur. Il s’en alla passer la nuit chez une de ses nombreuses conquêtes. J’eus donc le loisir de passer une merveilleuse soirée avec mes deux amantes. Mère et fille étaient réellement au petit soin avec moi. J’eus à nouveau droit à un délicieux repas. Puis, nous nous installâmes bien confortablement dans le canapé du salon pour regarder un film. Kadija vint se lover dans mes bras câlins et se comportait désormais comme si elle était ma chérie. Fatima s’en alla prendre une douche et nous laissa un instant rien que tous les deux. Kadija fit glisser sa main sous mon t-shirt et me délivra un tas de petites caresses qui me faisaient frissonner de plaisir. Quant à moi je lui caressai tendrement le dos jusqu’à la naissance de ses fesses. Il faut dire qu’elle portait ce soir-là un petit short très court moulant parfaitement son joli cul ainsi qu’un très léger crop top. Je pus distinguer qu’elle avait mise une belle petite culotte en dentelle noire. Fatima ne tarda pas à nous rejoindre. Elle avait quant à elle revêtu une somptueuse nuisette venant sublimer sa silhouette. Cette parure était un pur délice pour les yeux, toute faite de soie dans un rouge éclatant et bordée de fines dentelles. Kadija ne manqua pas de complimenter sa mère : — Ouahhh Maman ! Dis-donc je ne la connaissais pas cette nuisette. Tu es vraiment magnifique ! Une beauté fatale. — Merci beaucoup ma chérie. Et tu as vu ce joli décolleté qu’elle me fait ? Sexy n’est-ce pas ? — Ah bin oui, dis donc. Elle met sacrément en valeur ta belle poitrine. Et tu as mis quelque chose en dessous ? Fatima souleva alors le bas de sa nuisette afin de nous révéler un joli petit string rouge. Kadija lui demanda de se retourner pour que nous puissions admirer ces jolies fesses bien charnues. J’en avais l’eau à la bouche, visiblement tout comme Kadija car elle lui déclara : — Putain maman ! Tu es terriblement glamour dans cette tenue. Tu vas encore bien faire bander notre invité. Tout en prononçant ces belles paroles, Kadija posa la main sur mon sexe et put en effet constater qu’il était à nouveau pourvu d’une solide érection. Fatima vint à son tour se blottir contre moi. Elle m’encouragea à poser les pieds sur la table basse. Son parfum m’envoûtait tandis qu’elle m’embrassait tendrement dans le cou. Je lui rendis ses baisers tout en continuant à câliner Kadija. Je me mis à lui peloter les fesses et bientôt, je pus sentir que deux mains étaient posées sur ma queue. Je basculai la tête en arrière tandis que Fatima déboutonna mon pantalon et ouvrit délicatement ma braguette, et me laissai aller à leurs douces caresses.C’est comme si elles s’amusaient à me faire languir car elles continuaient de masser ma bite à travers mon boxer qui était pourtant prêt à exploser. Kadija me suggéra de retirer mon t-shirt et me caressa farouchement le torse. Elle vint ensuite poser sa langue sur mon téton, qu’elle mordilla légèrement. Je m’agrippai à ses fesses tandis que Fatima fit jaillir mon sexe hors de son écrin. Elle me branla un instant jusqu’à ce que sa fille lui indique de baisser la tête pour me prendre en bouche. Kadija me malaxait doucement les couilles tandis que sa mère embrassait amoureusement mon gland. Puis, Fatima se mit à me sucer avec grâce. Chaque mouvement de sa langue me provoquait un frisson de plaisir. Kadija prit soin de lui tenir ses cheveux afin de lui faciliter la tâche. Sa bouche se fit de plus en plus entreprenante. Elle poussait des grands soupirs de satisfaction tout en m’astiquant à la perfection à tel point que Kadija eut également envie d’y gouter. Fatima accéléra les mouvements de ses lèvres sur ma bite, puis se recula soudainement afin de laisser de la place à sa fille. Kadija sortit sa langue et lécha de long en large la hampe de mon sexe. Bientôt leurs lèvres vinrent s’effleurer autour de mon gland. Elle se mirent à jouer de concert avec leurs langues sur ma verge endurcie, avalant, tétant ou aspirant ce sexe à la perfection, puis mêlant leurs deux langues dans un balai frénétique. Quelle sensation merveilleuse cela me procurait ! J’en étais réellement enchanté, comme sur un petit nuage, au bord de l’extase. Je baignais dans un tel océan de plaisir que j’eus soudainement peur de lâcher trop vite la sauce. Je leur fis comprendre à ma manière en indiquant à Fatima de se retirer de mon sexe. Lorsqu’elle leva la tête, je vis dans son regard comme une flamme empreinte d’une folle envie de luxure. Kadija leva à son tour la tête, attrapa la bouche de sa mère et tout en continuant à m’astiquer la colonne, elle lui roula un formidable patin. Suite à cette extraordinaire étreinte, Kadija déclara : — Putain Maman, tu es vraiment une sacrée nymphomane. Je sens à quel point tu as encore envie de te faire baiser. — Oui, ma chérie. J’ai follement envie de baiser. Rends-moi service s’il te plait. Va me chercher une capote. Notre petit Pierre va pouvoir m’offrir ce plaisir. Kadija se montra obéissante. Elle s’éclipsa un instant et revint quelques secondes plus tard un préservatif à la main. C’est elle qui déchira l’emballage et vint enrouler le bout de latex sur mon sexe raid comme un piquet.J’eus alors envie de me montrer autoritaire. Après tout Mounir m’avait bien déclaré que j’étais désormais leur maître à toutes les deux. Il fallait donc à présent que je me conduise comme tel. Je me saisis de la mâchoire de Fatima et lui demanda : — Tu as envie de te faire baiser ? — Oui mon chéri. J’appuyai alors un peu plus fermement et lui ordonna : — Je veux t’entendre me le réclamer comme il se doit. — Oui maître. Je veux que tu me défonces la chatte. Je me redressai alors soudainement et lui indiquai de se lever. Je vins ensuite me placer derrière elle et lui agrippai les seins. Je fis descendre une bretelle de sa nuisette afin pouvoir mieux manœuvrer tout en l’embrassant dans le cou et vint frotter ma bite contre ses fesses. Je fis glisser ma main sous son string et introduisit un doigt dans sa fente. Kadija s’assit dans le canapé de manière à pouvoir mieux admirer le spectacle. Je retirai mon doigt de sa petite chatte et l’amena à sa bouche. Elle le téta langoureusement. Je fis ensuite en sorte qu’elle se penche et lui indiquai de s’appuyer sur le dossier du canapé.Cela me faisait bander comme un âne. Fatima se montrait docile. Elle se laissait guider sans rechigner. Elle se pencha pour s’appuyer contre le canapé et comme elle tendait bien le cul, je lui retirai son string sans ménagement. Puis, je lui assénai deux grosses claques sur chacune de ses fesses, ce qui l’a fit crier de plaisir. Elle s’avachit dans le canapé tandis que je lui écartai les jambes. Je pris alors le temps de frotter mon sexe dans son entrejambe avant de m’introduire brusquement dans sa chatte. Elle poussa un grand gémissement. Kadija continuait de nous regarder, les yeux grands ouverts, comme captivée de voir le traitement que je réservais à sa mère. J’inclinai son bassin afin de pouvoir bien la prendre en levrette et, m’agrippant fermement à ses hanches, je commençai par un lent mouvement jusqu’à ce que Fatima me réclama d’y aller un peu plus fort. Je lui répondis alors : — Bien-sûr que je vais te défoncer et te faire jouir comme une chienne, sous les yeux de ta salope de fille. Laisse-moi le temps. Je m’économise. Dans quelques minutes, tu vas hurler de plaisir. Kadija éclata de rire. Elle appréciait visiblement ce nouveau langage cru. Progressivement, je me mis alors à taper le fond de la chatte de sa mère un peu plus violement. Fatima se mit à gémir un peu plus fort à chacun de mes coups de rein. A l’autre bout du canapé, je vis Kadija, le sourire aux lèvres, écarter les jambes, et faire glisser une main dans sa culotte afin de caresser sa petite chatte tout en nous matant baiser. Je me penchai afin de dorloter les seins de Fatima tout en lui faisant l’amour le plus tendrement du monde. J’alternai ensuite les mouvements plus ou moins rapide de ma queue dans son sexe humide, la prenant par surprise de manière à lui faire perdre la tête. Elle se mit à haleter de plaisir et à me réclamer : — Vas-y mon maître, défonce-moi putain ! Je veux que tu me fasses jouir. Je n’y allais alors pas de main morte et la défonçait totalement. Kadija se leva, retira sa culotte et vint la placer sous mon nez. Je lui pris des mains, ressentis un grand plaisir à humer le parfum de sa chatte. Puis, je trouvai que ce pouvait être très excitant d’apporter le tissu en dentelle à la bouche de sa mère. Kadija s’assit à nouveau dans le canapé, mais cette fois plus proche de nous. Elle s’installa sous sa mère et se mit à lui lécher les seins. Puis, elle fit rouler deux doigts sur son clitoris et se mit à le stimuler avec une grande dextérité. A sa façon de se crisper, je sentis que Fatima était sur le point de jouir. Son état d’excitation atteignait son paroxysme. A ma grande surprise, elle me demanda de faire une courte pause, mais c’était pour mieux reprendre ensuite, car elle nous déclara : — Mes enfants, c’est vraiment trop bon ce que vous me faites. J’ai envie que ça dure. Nous allons changer de position. Pierre assis-toi sur le canapé, et moi je vais venir m’asseoir sur ta queue. Je sortis alors ma bite et m’installai sur le canapé comme elle me l’avait suggéré. Fatima me tourna le dos et regarda Kadija comme pour lui demander de l’aide. Cette dernière se saisit de ma bite et aida sa mère à l’introduire dans son vagin. Puis, elle se mit à monter et descendre sur mon sexe, faisant bientôt claquer son cul sur mes cuisses. Elle ralentit ensuite le mouvement ce qui permis à Kadija de venir s’occuper de son clitoris. Fatima s’écroula sur moi et j’en profitai pour lui empoigner les seins tout en continuant de faire remuer mon sexe bien au fond de son vagin. Kadija s’agenouilla et vint placer sa tête entre nos cuisses. Elle parvint à venir poser le bout de sa langue sur le clitoris de sa mère et se mit à le stimuler avec la plus grande frénésie. Nous étions tous deux en train de donner un tel plaisir à Fatima qu’elle se mit à gueuler : — Aaaaahhhh ouiiii… c’est trop bon !!! J’adore putain ! Vous me baisez trop bien tous  les deux !!! Kadija se mit alors à déclamer des insanités : — Putain ouais ma salope de mère, tu aimes ça te faire niquer par notre nouveau maître ? — Aaaaahhhh ouiiiii... ma chérie… il me baise trop bien putain ! Vas-y mon maître ! Je suis ton esclave, ta chose, ta petite pute privée ! Fais-moi jouir par pitié ! Les étendre proférer toutes ces belles paroles ne fit qu’accroître mon excitation. Je me redressai et lui fit comprendre qu’elle devait s’allonger sur le canapé. Nos mouvements furent très rapides, et elle se trouva bientôt allongée sur le ventre. Kadija lui asséna une violente fessée si bien que Fatima redressa le bassin et positionna son cul en bus. Je pus alors à nouveau m’introduire dans sa chatte, un genou posé sur le canapé et une jambe bien fixé sur le sol. Je repris alors la cadence et m’efforçai à lui asséner des vigoureux coups de bite. Fatima tirait la langue et gueulait de plus en plus fort. Je n’y tenais plus et ne pus à cet instant me retenir d’éjaculer. N’ayant pas envie de le faire dans la capote, je me retirai de son sexe pour ôter l’engin contraceptif. Cela permit à Fatima de se retourner et de me réclamer : — Vas-y mon maître, tu peux cracher tout ton sperme sur mon corps de catin ! Ma queue éjacula trois giclées de foutre dans un grand râle de plénitude. Le premier jet vint s’écraser sur ses seins, le second atterrit sur son ventre zébrant sa nuisette d’un long trait blanc et le troisième au niveau de ses cuisses se mélangeant directement à sa cyprine dégoulinant de sa chatte.
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