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Fatima, femme fatale et mère de mon pote

Chapitre 2

Erotique
Je fus alors très exalté par ce délicieux programme. J’avais terriblement envie que les douces mains de la mère de mon pote viennent explorer mon corps. En prenant ma douche, je bandais déjà comme un taureau. A tel point que je me laissai aller à me masturber. Je me disais aussi que ce pouvait être un bon moyen pour ne pas éjaculer trop vite lorsque Fatima viendrait s’occuper de moi. Cette idée me terrifiait. J’étais à la fois impatient et stressé par ce qui pouvait se produire.


Une fois ma douche achevée, je regagnai la chambre de Mounir et constatai avec éblouissement qu’elle avait été décorée. Ma belle masseuse avait tamisé la lumière et installé des bougies de chaque côté du lit. Elle y avait étendu une grande serviette sur laquelle elle m’invita à m’allonger. Elle portait à présent un somptueux peignoir en satin blanc bordé par de la dentelle d’une élégance absolue.


J’en restais totalement bouche bée. Ebahi par tant de beauté et de charme, je n’osai plus bouger. Fatima s’approcha alors de moi, me prit par la main et m’indiqua de m’étendre sur la serviette. Son odeur exaltait mes sens. Elle sentait divinement bon, dégageant un parfum de rose mêlée à de la fleur d’oranger. Ma ravissante hôtesse me prit par la main et m’indiqua de m’allonger sur le lit.


Puis, elle s’accroupi au pied du lit, s’enduit les mains d’huile de massage et commença par me frictionner les épaules. Cette sensation à la fois douce et chaude me procura une onde de plaisir hors du commun. Elle me malaxa longuement les épaules, puis le dos et descendit lentement jusqu’au niveau de mes côtes.


Fatima vint ensuite s’asseoir sur le lit, se plaçant juste à côté de moi et vint s’occuper de la partie inférieure de mon anatomie. Elle me massa les cuisses, les mollets et les pieds pendant de longues minutes. Je baignai dans un tel état de bien-être que je failli m’endormir. Pourtant mon sexe était quant à lui bien éveillé, d’une grande vivacité caractérisée par une solide érection. Elle m’écarta un peu les jambes et fit des mouvements amples avec ses mains pour passer sur l’ensemble de mes cuisses, allant jusqu’à les faire glisser sous mon caleçon, à proximité de mes couilles.


Lorsque Fatima me suggéra de m’allonger sur le dos afin de venir s’occuper de mon torse, je ressentis une certaine gêne. J’avais peur qu’elle découvre cette énorme bosse à peine dissimulée sous mon caleçon. Mais j’étais aussi très excité par cette idée. Elle reprit alors son massage en partant des pieds et remontant lentement le long de mes jambes jusqu’au moment où je sentis ses doigts effleurer mon sexe. Comme elle éloigna rapidement sa main, je pensais qu’elle ne l’avait pas fait exprès.


Puis, ses mains se mirent à parcourir mon torse. Les yeux fermés, je me laissai complétement aller à ce merveilleux massage. Jamais où ne m’avait touché de la sorte. A cet instant, j’avais l’impression d’être au paradis. Je sentis ensuite un certain poids s’installer sur mon corps. Fatima venait de se positionner à califourchon sur moi. Son sexe était désormais collé au mien. Seul le tissu de nos sous-vêtements servait encore de frontière entre ma bite et sa chatte.



Tout en me massant très délicatement le visage, Fatima me chuchotait :
— Détends-toi bien mon chéri. Ferme les yeux et laisse-toi aller.

Cette fois, il n’y avait plus aucun doute, elle percevait forcément mon érection. D’autant plus qu’elle se mit à se trémousser sur ma queue, et se pencha peu à peu afin de s’étendre sur mon corps. Je ressentis un immense bonheur lorsqu’elle posa ses lèvres sur ma joue, puis dans mon cou, pour y déposer de tendres baisers. Sa bouche descendit ensuite lentement sur mon torse. Du bout de la langue, Fatima me lécha les tétons un à un. Elle s’amusa à me chatouiller, me faire frémir, ce qui renforça considérablement mon excitation.


Cela ne ressemblait plus vraiment à un massage. J’osa alors m’aventurer à poser mes mains sur ses cuisses et les caressa timidement. Elle me laissa faire. Comme dans mes rêves les plus fous, je découvris le contact avec sa peau d’une infinie douceur. Je n’en revenais pas. Mon fantasme était bel et bien en train de se réaliser. Fatima se redressa, me fit un magnifique sourire et dénoua la ceinture de son peignoir, me laissant ainsi admirer sa splendide lingerie. J’étais aux anges. Je pus désormais lui caresser les hanches, puis le ventre et fit doucement remonter mes mains au niveau de sa poitrine.


Je n’en croyais pas mes yeux. Comme j’étais en train de peloter ses beaux nichons, elle se pencha à nouveau sur moi et vint poser ses lèvres contre les miennes. J’entrouvris la bouche afin de la laisser y introduire sa langue. Le plus beau moment de ma vie arriva quand j’embrassai Fatima pour la première fois. Nos langues s’entremêlèrent avec passion tandis qu’elle continuait à frotter son sexe contre le mien. J’en profitai alors pour passer mes mains sous son peignoir, lui palpa les fesses découvrant avec joie qu’elle portait un joli petit string assorti à son soutien-gorge me donnant libre accès à son cul.


Puis, ma belle partenaire se redressa et m’indiqua de garder les yeux fermés. Lentement, elle continua d’explorer mon corps du bout de ses doigts délicats. Elle se positionna à côté de moi et dirigea doucement sa main au niveau de mon sexe. Me sentant légèrement tendu, elle me dit à nouveau :
— Détends-toi mon chéri. Je vais te faire beaucoup de bien.

Tout en prononçant ses paroles, elle était en train de titiller ma bite à travers le caleçon. Puis, elle fit glisser sa main en dessous du sous-vêtement et prit ma queue tendue entre ses doigts. Elle effectua ainsi quelques mouvements de va et vient, s’amusant à me branler tout en embrassant mon corps. Ses lèvres atteignirent bientôt le bas de mon ventre. Fatima tira légèrement sur mon caleçon afin que sa bouche puisse accéder à mon pubis. Elle sortit alors mon pénis de son écrin de tissu et se mit à le lécher dans toute la longueur tout en me massant délicatement les couilles.


Je pris l’initiative de passer ma main dans ses cheveux et de les rabattre d’un seul côté afin de lui faciliter la tâche. Fatima apprécia mon geste et me demanda gentiment :
— C’est la première fois que tu te fais sucer ?

En effet, il s’agissait de ma première fellation. Je répondis « oui » timidement. Tout en gardant mon sexe en main, elle me déclara :
— Humm… je suis honoré d’être ta première fois… laisse-toi aller mon grand...

En grand gentleman, je lui demandai alors :
— Vous en prenez également ?

Fatima sembla à la fois amusée et touchée par le fait que je puisse également me soucier de son propre plaisir, elle me répondit :
— Oui mon chéri. Ne t’en fais pas pour moi. J’adore sucer des grosses bites, surtout celle d’un beau et jeune homme vigoureux comme toi. Fais-moi confiance. Laisse-moi te faire du bien.

C’est la première fois que je l’entendais prononçait un mot grossier. Je découvris alors qu’elle était experte dans l’art de la pipe. Elle fit tourner sa langue autour de mon gland. Une sensation humide et chaude me parcourut le sexe. Je me mis à respirer de plus en plus fort tant l’action de sa langue sur ma queue me procurait du plaisir. Puis, elle prit mon sexe en bouche et le pompa tout en continuant à me branler. Elle s’amusa à alterner les plaisirs, me gobant la bite, puis en faisant tournoyer sa langue sur l’ensemble de ma tige. Sa succion s’accéléra au fil de l’augmentation de mes gémissements.


Je soupirais de plaisir, mais fut aussi un peu affolé de sentir la jouissance monter en moi. Fatima le ressentit et me demanda :
— Ça va mon chéri ? Ça te plait ? — Oh oui… mais je sens que je vais bientôt jouir… je suis désolé…

En bonne instructrice, Fatima me rassura :
— Ne t’en fais pas pour ça. C’est normal que tu décharges un peu vite vu que c’est ta première fois. Pas de stress. Tu peux éjaculer quand tu en as envie.

Cette petite pause et ses douces paroles m’aidèrent à faire redescendre la pression. Fatima me suça ensuite d’une manière encore plus voluptueuse. Elle semblait en effet y prendre beaucoup de satisfaction. Elle s’appliqua ensuite à aspirer ma queue à un rythme très intense ce qui provoqua en moi un premier spasme annonciateur de l’éjaculation salvatrice.


Une fois encore, Fatima me laissa un instant de répit. Elle se leva et m’invita à me redresser. Puis, elle s’agenouilla devant ma bite, attacha ses cheveux et reprit son ouvrage. Tout en me léchant le bout du gland, elle m’observait désormais avec un regard de braise. C’était comme si elle scrutait le moment où ma jouissance jaillirait. J’avais envie que ce moment dure éternellement et faisait mon maximum pour retarder l’instant fatidique.


Mais lorsqu’elle reprit mon sexe en bouche et me malaxa les couilles tout en me suçant, je ne pus résister bien longtemps. D’autant qu’elle se mit à son tour à gémir et semblait se régaler à déguster ma queue. Elle l’enfonça peu à peu au plus profond de sa bouche. Elle retira alors sa main et se saisit de le mienne. Je la serrais très fort tandis que je sentais la jouissance survenir. Fatima m’acheva finalement à la main par une belle et intense masturbation. Elle sortit le bout de sa langue afin d’y récolter ma semence. Une puissante salve de sperme jaillit de mon sexe. Je poussai un grand soupir de satisfaction tandis la belle suceuse me lécher toujours la bite.


Mon sperme chaud débordait de sa bouche. Fatima s’en léchait les babines en me regardant d’un air pervers. Je n’aurais jamais imaginé qu’elle puisse être aussi cochonne.

Après m’avoir offert ce merveilleux « massage », Fatima s’éclipsa un instant. Je restai là allongé sur le lit, totalement détendu, mais sans savoir à ce moment-là si elle me rejoindrait. Je flottai dans un océan de bien-être comme je ne l’avais jamais vécu. Ma belle partenaire apparut finalement quelques minutes plus tard. Elle avait à nouveau changé de tenue et portait désormais une ravissante nuisette noire assortie d’un string. Elle avait visiblement une belle collection de lingerie ce qui n’était pas pour me déplaire.


Le voile léger et transparent de cette étoffe était un pur délice pour les yeux. Je me souviens parfaitement des bordures en dentelle et du petit nœud papillon venant se nicher sous son magnifique décolleté. Une fois de plus, je la trouvai réellement irrésistible.


La voir arriver ainsi, outrageusement sexy, s’allonger à mes côtés me remplit d’allégresse. J’étais aux anges. D’autant qu’elle vint se blottir contre moi, sa tête bien calée contre mon épaule et se mit à me caresser le torse. Puis, ce fut mon tour de la cajoler. Je fis voyager mes mains tout le long de son corps. Je commençai à devenir accro à sa peau si douce et savoureuse. Je ne pus m’empêcher d’y déposer de nombreux baisers. J’avais beau avoir éjaculer déjà deux fois dans la soirée, le contact avec sa peau soyeuse me fit à nouveau fermement bander.


Lorsque sa main vint se poser sur mon sexe endurci, Fatima en fut tout étonnée :
— Dis-donc jeune homme, quelle vigueur ! Je vois que tu es encore en forme. — C’est vous qui me faites cet effet Fatima. Vous êtes tellement belle.

Elle fut enchantée par mon compliment, me fit un bisou sur la joue et me déclara :
— Oh merci mon chéri. Mais tu sais tu n’as pas besoin de me vouvoyer. Détends-toi. Fais comme si j’étais ta petite amie.

A ces mots, je me laissai complétement aller à assouvir mon désir. Je fis courir avec fougue mes lèvres sur sa chair. J’explorai ainsi chaque partie de son anatomie. Je l’embrassai absolument partout, abondamment dans le cou, puis sur les joues et m’en alla chercher sa bouche. Puis, je redescendis au niveau de sa poitrine, fit descendre la fine bretelle de sa nuisette afin de venir m’occuper de ses seins. Ma bouche s’empara de son téton. Je le mordilla, le pinça tout en empoignant son autre nichon. Je sentis Fatima frissonner et émettre de jolis petits gémissements.


Je lui délivrai ces baisers avec une telle passion que sa respiration en devint irrégulière. Elle s’agrippa à mes fesses tandis que je l’enlaçai avec ardeur, ma tête bien enfouie entre ses mamelons. J’étais terriblement excité, chaud comme la braise. A cet instant, j’avais réellement envie de lui faire l’amour.


Pour la première fois depuis le début nos ébats, je me plaçai dans une position dominante. N’ayant pas une grande expérience en matière de sexe, je me laissai guider par mon instinct, fit glisser ma main sous le tissu de son string et lui caressa doucement la chatte.


Visiblement, cette étreinte faisait un sacré effet à ma belle partenaire. Fatima me déclara :
— Oh mon Pierre comme tu es fougueux. Tu m’excites à fond là ! J’ai envie de toi !

Cela me paralysa un instant. Je devais maintenant lui avouer ma virginité.


Fatima s’en aperçut et me rassura aussitôt :
— Ne t’en fais pas mon chéri. Je vais t’apprendre à faire l’amour. — Tu es tellement belle. Je suis vraiment chanceux. Je n’aurais pas pu rêver meilleure professeure. — Hi hi… Tu es vraiment adorable. Ça te rend encore plus séduisant. Laisse-moi te guider.

Ma belle instructrice prit alors les choses en main. Elle se redressa et prit mon sexe entre ses mains. Ses yeux brillaient de ravissement. Elle m’administra à nouveau une délicieuse petite branlette et m’exprima sa satisfaction :
— Humm… c’est bon… j’aime avoir ta queue entre mes doigts et la sentir durcir… tu aimes ce que je te fais ? — Oh oui… c’est incroyable… ça me fait un bien fou… — Humm… tant mieux mon chéri… on va aller un peu plus loin…

A ma grande surprise, Fatima se leva et ouvrit le tiroir de la table de chevet de Mounir d’où elle retira un préservatif. Je fus alors très étonné de constater que la mère de mon pote connaissait l’emplacement de sa réserve de capote et fut soudainement pris par un léger remord. Je me disais : « pourvu que Mounir ne s’aperçoive pas de cette capote manquante ».


Je n’eus pas beaucoup le temps de me faire du mouron. Quand je la vis retirer son string délicatement, j’eus ardemment envie d’elle. Cela devenait de plus en plus érotique. Fatima m’enfila le préservatif avec ses doigts experts puis me chevaucha. Ainsi installée à califourchon, ses cuisses posées de part et d’autre de mes jambes, elle passa le prépuce de mon sexe dans sa fente humide, le fit tourner à l’entrée de son vagin.


Je fis descendre une bretelle de sa nuisette pour mieux lui dorloter les seins, prenant un immense plaisir à les triturer, à lui serrer les tétons, sentant que cela venait renforcer son état d’excitation. A cet instant, mon cœur battait la chamade. J’allais bientôt perdre mon pucelage. Je pris une grande respiration et une seconde pour me souvenir de ce moment toute ma vie. Elle commença très lentement à s’asseoir sur ma queue, mais semblait aussi vouloir faire durer le plaisir jusqu’au moment fatidique où je me mis doucement à la pénétrer.


Ma belle partenaire dégagea ses seins de sa nuisette, et ils pendaient lourds et ronds, sous son buste. Fatima appuya les paumes de sa main sur ma poitrine et commença doucement à faire des allers retours de plus en plus rapide sur ma bite en relevant son fessier. Elle remuait merveilleusement son gros cul sur ma queue.


La tension sexuelle monta encore d’un cran lorsqu’elle se courba sur moi. Je pus alors sentir ses gros nichons se poser sur ma poitrine. Elle m’embrassa avec amour tandis que je lui caressai les fesses. Ce fut un baiser interminable pendant lequel je pus sentir les contractions musculaires de son vagin sur ma bite.


Lorsque reprenant son souffle, elle cessa de m’embrasser, Fatima me déclara en gémissant :
— Hummm… c’est bon… je te sens bien en moi… j’en avais tellement envie tu sais…

Pris par un élan de folle excitation, je décidai de la faire chavirer sur le dos. Elle suivit mes mouvements sans rien dire, très agréablement surprise par mon initiative. J’étais désormais placé au-dessus d’elle, dans la position du missionnaire. Ce fut mon tour de venir l’embrasser tout en l’enlaçant et en lui faisant délicatement l’amour. Un moment d’une infinie tendresse qui vint renforcer notre complicité.


C’est alors que je me mis à lui murmurer des mots d’amour dans le creux de l’oreille :
— Ma belle Fatima… comme c’est bon de te faire l’amour… tu es si douce… — Aaahh… oui mon chéri… c’est génial… vas-y continue de me faire du bien… tu peux aller un peu plus vite… je ne suis pas en sucre tu sais…

Obéissant, j’activai progressivement la cadence de mes coups de bite au sein de son vagin. De par ses gémissements de plus en plus prononcés, je compris que c’est bien ce qu’elle voulait. Désormais, je la baisai comme un sauvage, la pénétrant dans un rythme endiablé, faisant tressauter ses belles fesses charnues à chaque coup de bassin. Et elle aimait sacrément ça dis-donc, ne se privant pas à me l’exprimer de manière un peu plus trash :
— Haaaannn… ouiiiii… vas-yyyy… continue… vas jusqu’au bout… baises-moi bien mon petit chéri…

Jamais je n’aurais imaginé la mère mon pote puisse s’exprimer de la sorte. Je découvrais une tout autre femme, visiblement gourmande et avide de sexe. J’eus alors envie de lui révéler mes impressions :
— Ah dis-donc Fatima tu es une sacrée coquine… tu sembles adorer le sexe…

Nous fîmes alors une courte pause et elle me confia :
— Oh oui… j’adore faire l’amour ! Ça fait bien longtemps que mon mari ne m’honore plus. Je suis obligée d’aller voir ailleurs. Ce n’est pas si facile de trouver des hommes beaux et virils pouvant me satisfaire. — Et donc tu te rabats sur le pote de ton fils… — Ne te méprend pas… j’avais très envie de toi mon petit Pierre… depuis longtemps… mais c’est vrai aussi que j’adore dévergonder des puceaux dans ton genre… à dire vrai tu n’es pas le premier petit minet avec qui je couche… hummm... c’est si bon ! 

Ses propos me firent un peu déculpabiliser. Tout en l’écoutant me délivrer ces belles paroles, je me redressai légèrement et continuai à alterner le rythme des coups de pine au sein de sa chatte désormais trempée. Fatima écarta un peu plus les jambes et me démontra sa souplesse en les levant vers moi. Je voulus les poser sur mon épaule comme je l’avais souvent vu faire dans bon nombre de films pornos.


Comme je m’y prenais mal, elle vint m’apporter son aide en les mettant elle-même bien en place. Ainsi positionnés, nous pûmes rependre notre baise endiablée. Chaque entrée en elle lui arrachait un petit cri de plaisir. Je la sentis très réceptive, ouverte et disponible à se faire pénétrer plus profondément. Quel bonheur ce fut d’être en elle dans une telle harmonie durant notre premier acte.


A cet instant précis, je me sentais surpuissant. J’accélérai les secousses au sein de son vagin tout en lui tenant fermement les jambes. De par l’augmentation de ses gémissements, je sentais qu’elle était sur le point de défaillir. Pour ma part, j’étais au bord de l’extase. Afin de pouvoir manœuvrer plus facilement, je posai une jambe sur le sol et intensifia le rythme de mes va-et-vient. Je n’aurais jamais imaginé que lors de ma première fois, je puisse être aussi performant.


Fatima était alors totalement sous mon emprise. Je prenais un plaisir fou à prendre l’ascendant sur elle. Je fus également enchanté de la voir amener sa main au niveau de son pubis et se caresser le sexe tout en se faisant baiser. Elle se masturba intensément et se mit alors à gueuler :
— Ooooh ouiiiii Pierre… comme c’est bon… j’adore comme tu me baises…

Quel bonheur de l’entendre affirmer que je lui donnais du plaisir. D’autant que j’en prenais également énormément. Fatima eut tout de même besoin d’un temps de répit car cette position lui était difficile à tenir sur le long terme. Elle se plaça ensuite à quatre pattes sur le lit, en position idéale pour que je puisse la prendre en levrette. Une fois encore les nombreuses heures passées à mater des films pornos me rendirent un grand service car je sus comment m’y prendre.


Ma belle amante m’aida tout de même à insérer ma bite au sein de son entrejambe. J’eus quelques difficultés à trouver le bon accès, mais heureusement sa chatte était sacrément bien ouverte. Je sentis des flots de cyprine jaillirent de son sexe tandis que je repris mon ouvrage avec hardiesse. Je posai un genou sur le lit et la paume de ma main sur le bas de son dos afin de bien m’installer et commença lentement à lui délivrer mes coups de bite. La tenant fermement par les hanches, j’accélérai peu à peu le mouvement, faisant bientôt claquer mon bassin sur ses fesses.


Soudain, Fatima se redressa et se plaça à genoux sur le lit. Quant à moi j’étais désormais debout en train de la prendre par derrière. Elle posa sa main sur ma nuque tandis que je lui embrassai le cou. Nos soupirs devinrent de plus en plus soutenus. Le moment semblait venu de démarrer le sprint final qui allait nous conduire vers l’orgasme. Une fois encore, elle trouva le moyen de venir se chatouiller le clitoris pendant que je la baisais. D’une main, je lui empoignai un nichon, tandis que mon autre main rejoignit la sienne afin de venir intensifier sa masturbation.


Nous étions désormais tous deux sur le point d’atteindre la jouissance. Ivre de plaisir, Fatima l’exprima à sa manière :
— Aaaaahhh… ouiiii… putain mon chéri… tu vas me faire jouir… vas-y lâche-toi complétement… je veux que tu me défonces la chatte…

Je n’en croyais pas mes oreilles. Quelle sacrée libertine. Une fois encore, j’accélérai le mouvement tout en stimulant son clitoris. J’étais presque impatient de lui faire atteindre l’orgasme tant attendu. Fatima devenait de plus en plus essoufflée. La main sur sa poitrine, je sentais ses pulsations cardiaques s’accéléraient à grande vitesse. Elle s’écroula sur le lit et se retrouva à plat ventre, le visage bien calé sur l’oreiller. Cette position accentua la cambrure de son dos et fit ressortir ses fesses. Nos corps tout transpirant se collèrent l’un à l’autre. J’avais envie de la baiser avec force comme je l’avais vu faire dans les films porno les plus hard.


Nous ne formions plus qu’un, mais mine de rien je continuai à la marteler de mes vigoureux coups de bite. Fatima semblait apte à les recevoir, ayant visiblement une grande expérience et l’habitude de se faire fourrer comme une chienne. Ma belle amante était au bord de l’extase. Elle me bloqua entre ses cuisses. Je sentis ses ongles s’accrochaient à mon échine. Puis, elle prit mes fesses à deux mains, y planta ses griffes ce qui fut un peu douloureux, mais me donna surtout envie de la pilonner encore plus fort.


J’avais tout de même peur de lui faire mal mais fut totalement rassuré lorsqu’elle me déclara :
— Ouiiiiii… c’est bon comme ça… vas-yyyy… baises-moi fort… je sens que ça vient… putain Pierre… oh la la... je vais jouir… ouiiiiii… ouiiiii… OUIIIIIIIIII….

De mon côté, je sentais aussi le moment de l’éjaculation approcher à grand pas. J’étais un peu frustré de devoir expulser ma semence au sein d’une capote, mais également très heureux de pouvoir jouir pour la première fois de ma vie dans le sexe d’une femme. Comme je la serrai très fort au moment de décharger, je sentis que Fatima était elle aussi prises par des spasmes et des contractions musculaires.


Ivre de plaisir, elle exulta :
— HAAAAAA… OUIIII… PUTAIN !!! TU ME BAISES TROP BIEN ! HAANNNN… OUIII… JE JOUIIIIIS… AAAAAHHH… OUIIII… OUIIIIII… OUIIIIIIIIIIIIII…

Notre étreinte effrénée se termina comme il se doit dans un parfait bonheur, celui de la jouissance, de mon éjaculation ultime dans le vagin de ma belle amante. Nous poussâmes tous deux des grands cris de soulagement. Quel bel orgasme !


Lorsque je me retirai de son sexe, Fatima vint se blottir contre ma poitrine. Je la recouvris avec le drap, la serra dans mes bras et lui fit un merveilleux câlin. Je dormis très peu durant cette nuit, voulant profiter un maximum du bonheur de pouvoir serrer dans mes bras ma merveilleuse partenaire.
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