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Fatima, femme fatale et mère de mon pote

Chapitre 3

Erotique
Lorsque je me réveillai le lendemain matin, je fus un peu étonné de me trouver là. C’est comme si je réalisais à cet instant qu’il ne s’agissait pas d’un rêve. J’étais pourtant bel et bien dans la chambre de mon pote Mounir en compagnie de sa mère Fatima que j’avais baiser comme un fou la veille. Même dans mes rêves les plus fous, jamais je n’aurais imaginé me retrouver dans une telle posture.


Fatima était à mes côtés, allongée sur le ventre, belle comme une fleur, dormant les fesses à l’air, dans sa petite nuisette affolante de sensualité. La belle quadragénaire était formidablement désirable. Je m’étais réveillé avec une solide érection et prenait peu à peu conscience du caractère irrationnel de la situation. J’avais désormais perdu mon pucelage et bien qu’éprouvant un léger sentiment de remord envers mon meilleur ami, j’avais terriblement envie de faire à nouveau l’amour à sa mère.


Ma main fut attirée vers son magnifique cul. Je me mis à le caresser avec délectation. Au bout de quelques minutes, Fatima commença à se tortiller. Afin de la faire sortir paisiblement de son sommeil, je l’embrassai très doucement sur la joue, puis dans le cou.
Peu à peu, je recouvris son corps de tendres baisers. Je devais réfréner mes ardeurs car à cet instant si je n’avais écouté que mon désir le plus primaire, je me serais clairement laisser aller à abuser de son corps pendant son sommeil. Ces choses-là ne se font pas et je le savais très bien. Il faut toujours respecter les femmes et leur faire l’amour qu’avec leur consentement.


La voyant gigoter de plus en plus, je compris qu’elle commençait à se réveiller. J’augmentai alors l’intensité de mon étreinte, passant mes mains sur ses fesses pour la gratifier de belles caresses amples et sensuelles. Fatima se retourna et vint se blottir contre moi. Je la serrai très fort dans mes bras et continuer à lui prodiguer de délicieuses caresses.


Alors qu’elle était blottie contre mon torse, je sentis qu’elle était désormais réveillée. Peut-être faisait-elle jusqu’à présent semblant de dormir afin de me tester ? Je lui chatouillai tendrement la joue et la vit esquisser un petit sourire. Puis, je fis descendre mes doigts sur son menton et lui releva le visage. Les yeux à peine entrouverts, elle me regarda fixement et vint poser ses lèvres contre les miennes comme pour me dire bonjour.


Elle me fit d’abord un doux petit baiser sur la bouche, puis me délivra à son tour des bisous dans le cou. Puis, elle fit descendre ses baisers sur mon torse, remonta ensuite sur ma joue et m’embrassa à nouveau. Je sentis alors qu’elle commençait à vibrer et perçu le désir monter en elle. Je passai une main dans ses cheveux et lui embrassa le front, puis le bout du nez, couvrit son visage de nombreux baisers.


Tous mes gestes étaient mesurés et délicats. Fatima semblait en être enchantée. Tout en l’embrassant langoureusement, je continuai à lui caresser les fesses, dont mes mains étaient inévitablement attirées tel un aimant. Je descendis délicatement mes doigts sur ses cuisses et me rapprocha subtilement de sa petite chatte. Puis, je m’amusai à la faire languir en caressant tantôt son pubis nu, tantôt ses cuisses et ses fesses.
Elle me laissa m’aventurer encore un peu plus loin et écarta un peu plus les jambes afin de me laisser libre accès à son sexe. J’introduisis alors un doigt dans sa fente humide et entama dans sa petite chatte brûlante une délicate masturbation lui arrachant ainsi quelques gémissements.


Elle s’exprima alors pour la première fois de la journée :
— Humm… dis-donc mon Pierre… tu m’as l’air déjà bien en forme… — Oui ma belle… je suis désolé, mais te voir ainsi allongé à mes côtés je n’ai pas pu résister… — Pas de soucis mon chéri… tu sais que j’aime beaucoup ce que tu es en train de me faire…

J’avais ainsi réussi à rallumer la flamme. Fatima était désormais bien éveillée et prenait visiblement beaucoup de plaisir à se faire doigter. Elle eut alors à son tour envie de me satisfaire, fit glisser sa main vers mon caleçon pour me masser légèrement le sexe, le compressant fermement entre ses mains, ce qui m’excitait au plus haut point.


A ma grande surprise, elle retira brusquement le sous-vêtement et vint passer sa langue sur mon gland, puis ferma ses lèvres dessus. Comme elle l’avait fait la veille, elle commença à me prodiguer une délicieuse fellation. Elle semblait prendre un immense plaisir à se délecter à nouveau de mon sexe endurci, s’appliquant à y lécher chaque parcelle, faisant tournoyer sa langue de mes couilles jusqu’au gland.


Sa bouche était d’une infinie douceur. Je profitai pleinement de cette merveilleuse fellation et lui fit part de mon sentiment de bien-être :
-  Oh… comme c’est bon se faire sucer comme ça de bon matin. — Humm… oui mon chéri… j’adores ça tu sais… comme elle est bonne ta bite ! Je sens que je vais devenir accro à ta grosse queue… — Humm… quel bonheur… tu me suces divinement bien !

Fatima apprécia mon compliment et me pompa de plus belle n’hésitant à y aller à pleine bouche. Puis, elle s’amusa à me faire languir, en continuant d’exercer des petits mouvements circulaires avec sa langue tout autour de mon gland. Mon plaisir était arrivé à son paroxysme. Ma bite en était toute chaude. Et tandis qu’elle me suçait avec grâce, Fatima me caressait également les couilles.


Comme je sentais l’éjaculation venir, je décidai de me redresser, me plaçant à genoux sur le lit. De ce fait, elle se retrouva à quatre pattes. Je me saisis de mon engin et lui indiqua la marche à suivre. Faisant des aller-retours dans sa bouche. C’est à présent moi qui menais la danse. Lui tenant fermement la tête, je lui baisais littéralement la bouche avec frénésie. Elle semblait apprécier cela, faisant des grands bruits de gorge et de déglutition.


Puis, Fatima reprit le contrôle. Elle entama un va-et-vient insoutenable sur ma queue chaude et humide et, bouche ouverte, bavait une quantité phénoménale de salive afin d’humidifier au maximum le mât de mon plaisir. Elle entama ensuite un mouvement plus rapide, faisant monter et descendre ses lèvres sur ma bite. Sa langue tournant autour de la couronne de mon gland, titillant mon frein, elle m’envoya une décharge électrique me faisant frissonner le corps.


Peu à peu le plaisir de la jouissance commençait à affluer dans mes testicules. D’autant que Fatima poussa sa langue et sa bouche plus bas vers mon pubis, tout en accélérant le rythme de la fellation. Et, sentant probablement ma jouissance proche, elle se figea avec ma queue entièrement gobée par sa bouche délicieuse. Je découvrais le bonheur de la gorge profonde. Quelle merveilleuse sensation !


Me voilà donc de bon matin sur le point d’éjaculer à nouveau dans la bouche de ma belle partenaire. Pourtant, je décidai soudainement de faire durer le plaisir et chercha volontairement à retarder le moment de ma jouissance. Je lui indiquai alors de se redresser, l’embrassa tendrement comme pour la remercier de ce délicieux plaisir qu’elle venait de m’offrir, et lui indiqua de s’allonger sur le lit.


Ainsi confortablement installée, je me plaçai au-dessus de ma belle amante et fit courir des tendres baisers sur l’ensemble de son corps. Elle continua à me masturber d’une main pendant que je lui embrassai le cou, puis encore sa bouche. Tandis que je dirigeai mes baisers sur le haut de sa poitrine, elle fit descendre les bretelles de sa nuisette pour m’inciter à venir m’occuper de ses seins. Je fis rouler mes lèvres sur ses tétons, les titilla avec ma langue afin de les faire durcir au maximum.


Fatima se mit à respirer de plus en plus fort et exprima doucement :
— Hummmm… Pierre… tu me rends folle…

Tout en savourant ses beaux gros nichons, je fis glisser ma main vers son pubis. Puis, je me déplaçai hors du lit pour pouvoir mieux venir poser ma bouche sur sa petite chatte toute mouillée. Fatima était ravie de constater que j’allais bientôt venir lui lécher le sexe :
— Hummm… oui vas-y mon chéri…

Pour autant, bien décidé à la faire attendre, je m’amusai un peu à faire tournoyer ma langue sur les parois vaginales sans vraiment y aller. Cela eut pour effet de la rendre dingue. Elle m’ordonna :
— Allez vas-y, bouffe-moi le minou ! Tu attends quoi putain ?

Cela me plaisait grandement de l’entendre me supplier. Je décidai de la faire languir encore un peu. Puis, sans crier gare, je rentrai ma langue au sein de sa belle petite fente, lui arrachant ainsi un joli soupir de contentement. Je m’apprêtai alors à effectuer mon premier cunnilingus.


Du bout de la langue, je me mis à lui lécher activement la chatte. Fatima posa la main sur ma tête et, de par ses caresses dans mes cheveux, essayait de m’indiquer le chemin vers son clitoris. Elle écarta un peu plus les jambes et se laissa complétement aller à ce formidable cunnilingus. Il s’agissait du tout premier que je délivrai à une femme. Pourtant je savais visiblement comment m’y prendre. Une fois encore les nombreuses heures passées à mater des films pornos m’étaient d’une grande utilité.


Tout en se mordant les lèvres, Fatima poussait des grands soupirs de satisfaction. Je la léchai alors de façon plus soutenue, faisant des petits mouvements frénétiques du bout de la langue sur son clitoris, puis ralentissant le mouvement et léchant langoureusement les lèvres de sa vulve dans toute la longueur.


Fatima en était toute retournée. Elle gémissait à foison. Son corps fut pris de spasme et de tremblements. Elle rougit de plaisir et fut prise d’une intense bouffée de chaleur. Elle se laissa aller à exprimer son bonheur :
— Ooooohhh mon chéri… comme c’est bon… tu me bouffes bien la chatte…

D’un coup j’enfonçai ma langue enfoncée dans son intimité suintante. Elle serra ma tête entre ses cuisses au point de me boucher les oreilles. Je l’entendis tout de même prendre son pied :
— Oh putain c’est bon… mon chéri… ta langue sur ma chatte… j’adore… ah ouiiii… ça fait tellement longtemps qu’on ne m’avait pas léché comme ça…

Puis, je décidai de me servir de mes doigts en plus de ma langue afin de décupler son plaisir. Je lui léchai le sexe tout en la doigtant et parvins ainsi à lui faire perdre la tête. Elle se mit à bouillonner d’excitation. Je dirigeai ma bouche vers les seins de Fatima et me mit à les téter avec passion tout en continuant à stimuler son clitoris avec une grande énergie.


Chaud comme la braise, j’alternai ensuite mes coups de langue entre ses seins et sa chatte, l’emmenant ainsi vers un état d’excitation hors du commun. Elle exprima son bien-être avec de plus en plus d’enthousiasme, prenant un immense plaisir qui se caractérisait désormais par de grands gémissements :
— Haaaannnn… haaaa… ouiiii… vas-yyyyy… mon chériiii… c’est extraordinaire… tu sens comme je suis excitée ?

Je lui signifiai également mon désir :
— Hummm oui… c’est génial… elle est trop bonne ta petite chatte… j’ai encore très envie de te faire l’amour tu sais… — Aaaahhh ouiiii… moi aussi mon chéri… j’en ai très envie… prend une capote dans le tiroir et vient me baiser encore…

Les préliminaires étaient donc terminés. Nous allions à nouveau pouvoir faire l’amour. Je me servis allégrement dans la réserve de préservatif de Mounir en éprouvant un léger sentiment de honte. J’allais bientôt à nouveau baiser la mère de mon meilleur pote.


J’enfilai la capote et pris Fatima par les hanches pour la pénétrer lentement. Je lui fis l’amour le plus tendrement du monde, en position du missionnaire tout en l’embrassant. Elle me rendait ces baisers avec délicatesse et me caressait tendrement. Nous formions un couple très uni. Une belle complicité était en train de naître.


La chaleur de son corps embrasa mon sexe. J’eus alors peur de décharger trop vite et décida de me retirer un instant. Fatima s’allongea sur le flan afin de m’indiquer la position dans laquelle elle avait envie d’être prise. Je vins alors me coller à elle, mon torse contre son dos. Je remontai son genou afin de pouvoir m’introduire plus facilement. Bien installé en position de la cuillère, je la pénétrai délicatement tout en l’embrassant dans le cou.


La belle Fatima se mit à respirer de plus en plus fort. Elle poussait de jolis petits soupirs de contentement. Tout en lui faisant l’amour très tendrement, je lui tenais désormais le bras de manière à la dominer un peu. Petit à petit, mes mouvements lents prirent de l’élan. Je me redressai un peu et accéléra progressivement le rythme de mes coups de reins, m’amusant à faire des aller-retours de plus en en plus rapide au sein de son vagin.


Fatima se pinçait les lèvres et semblait vouloir réprimer ses cris. J’ajoutai une pincée d’intensité en lui révélant mon désir en osant utiliser un langage un peu plus cru :
— Humm… comme c’est bon de te baiser… Parle-moi ! Dis-moi ce que tu ressens. — Ouiii mon chéri… c’est vraiment agréable de te sentir en moi… tu es vraiment un bon coup… tu me donnes beaucoup de plaisir… — Ma belle Fatima… j’ai envie que tu te lâches complétement…

Il est vrai j’avais désormais envie de l’entendre me supplier de la mener à l’orgasme. Me délectant de ses cris et de ses soupirs, j’eus alors envie de changer de position. Je me retirai de son sexe, la saisit par les hanches, m’allongea sur le dos me plaçant ainsi en dessous d’elle.


Fatima était désormais étendue sur mon corps, le visage enfoui dans mon cou. D’une main, elle se saisit de ma bite et l’inséra dans sa chatte devenue toute mouillée. Dans cette position, je pouvais bien la pénétrer mais aussi continuer à stimuler activement son clitoris. Tout en gémissant, elle me demanda d’une voix terriblement sensuelle :
— Qu’attends-tu de moi mon beau Pierre ? — Je veux que tu me fasses découvrir ton côté pervers, que tu prononces des mots vulgaires. — En somme, tu veux que je me comporte comme une grosse salope ? — Oui c’est ça… ça m’excite à fond !

Et à mon plus grand bonheur, Fatima se laissa aller à gueuler :
— Ooooh putain oui je prends mon pied… vas-y mon salaud… je suis à ta merci…

A ces mots, je me sentis surpuissant. Il faut dire que j’étais également dans un état d’excitation hors du commun. Je décidai de me lâcher complétement et ne contrôla plus du tout mon langage :
— Aaaaah ouiiii putain Fatima… qu’est-ce que t’es bonne… t’es une sacrée chaudasse… c’est trop bon de te baiser ! — Ouiiii… c’est bon… vas-yyy mon Pierre… fais-toi plaisir… tu as raison… je suis une grosse cochonne… — Hummm… quelle salope ! — Ouiiii… putain mon salaud… j’adore comme tu me traites… je sens que je vais devenir ta pute !

Telle une femme affamée de sexe, elle se redressa et se plaça à califourchon, en position de cowgirl. Je me saisis de ces hanches, bien que ce soit désormais elle qui menait la danse, je continuai à la pilonner. Tandis qu’elle se laissait aller à me baiser avec ferveur, je pouvais admirer ses belles fesses claquer sur mon bassin.


Bientôt, Fatima exprima en avoir assez de cette position physiquement un peu trop éprouvante. Elle était très essoufflée mais avait encore envie. Elle s’allongea alors sur le dos. Je me plaçai au-dessus d’elle et la pénétra à nouveau dans la position du missionnaire. J’avais désormais envie d’en finir et pour provoquer l’éjaculation, je lui délivrai de vigoureux coups de bite. Afin de pouvoir manœuvrer avec plus de force, je me tenais fermement au dossier du canapé-lit, à tel point que nos deux bassins s’entrechoquaient bruyamment. La tigresse en furie planta ses ongles dans mon dos. J’hurlai de douleur et me vengeai en lui assénant de violents coups de butoir dans sa chatte dégoulinante de cyprine.


Fatima en redemanda pourtant encore :
— Ouiiii… vas-y mon grand… défonce-moi putain ! haaaa… fais-moi jouir maintenant...— T’aimes ça hein ? — Oh oui putain… j’adore ça… haaaaaa… ouiiiii… elle est trop bonne ta queue… je la sens bien dans ma chatte… vas-y putain… baises la bien ta grosse pute ! — Hummm… Sacré salope… Tu vas bientôt jouir ? — Aaaahhhh ouiiii… putain je vais jouir… c’est trop bon… Comment fais-tu pour me baiser aussi bien ? Tu vas venir me baiser tous les jours … oooohhhh ouiiiiii… vas-yyyyyy…

J’enchaînai à une vitesse colossale les va-et-vient de ma bite dans le vagin de Fatima. Afin de faire augmenter son plaisir, elle fit descendre sa main jusqu’à son clitoris et se masturba frénétiquement. Puis, elle se lécha les doigts et s’empressa de les orienter à nouveau vers son sexe pour se branler activement.


Elle ne tarda pas ainsi à atteindre la jouissance ultime. Elle se lâcha alors complétement et se mit à gueuler :
— HAAA… OUIII… PUTAIN… JE VAIS JOUIR !!! OUIII… MAINTENANT… HANNN… HAANN… HAANNN… OUIIIIIII… OUIIIIIIII… OUIIIIIIIIIIIII…

J’étais moi aussi sur le point de jouir. Cette fois, je décidai de na pas éjaculer dans le préservatif. J’avais envie de pouvoir profiter un maximum du plaisir procuré par mon orgasme. N’y tenant plus, je me retirai alors de son sexe, me plaça à califourchon au-dessus de Fatima, retira la capote que je jetai sur le sol, me branla brièvement et fit jaillir la sauce sur la poitrine de ma belle amante. Je me vidais délicieusement les couilles en poussant un grand râle de satisfaction. Elle fut un peu surprise, mais ne m’interdit pas de gicler sur son corps. Alors que ma semence dégoulinait entre ses deux gros nichons, je me sentis à la fois un peu honteux, mais également très heureux de ce somptueux dénouement.


Comme Fatima était recouverte de mon sperme, je me montrai gentleman et attrapa un mouchoir afin de la nettoyer. Elle me remercia et prit le mouchoir des mains pour s’en charger elle-même et alla le mettre à la poubelle. Puis, elle fila à la salle de bain sans dire un mot. J’étais alors quelque peu décontenancé par son attitude, mais aussi ravi de la merveilleuse nuit que je venais de passer.


Je décidai alors de faire un peu de rangement dans la chambre de Mounir, replia le canapé-lit, ouvrit la fenêtre afin d’aérer correctement la pièce. Puis, je m’habillai, enfilant à la hâte mon pantalon et mon t-shirt de la veille, n’ayant pas prévu de vêtement de rechange. Juste avant de sortir de la chambre, j’eus la brillante idée de jeter un œil vers le lieu de nos ébats.


Soudain, j’aperçu avec stupéfaction le string noir de Fatima qui trainait sur le sol. Je m’empressai de le ramasser. J’eus alors instinctivement envie de le caresser ce joli bout de tissu, puis de le sentir. Je le porta à mon nez afin d’en humer son odeur, celle de la bonne chatte de la femme qui venait de me dépuceler. Puis, je rangeai le string dans ma poche, avec le sentiment d’avoir dégoter un trophée de chasse.
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