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Il faut consoler Sophie

Chapitre 1

Sophie et sa maman

Inceste
Jeanine est une mère de famille de 40 ans veuve, employée de banque qui vit avec ses deux enfants Sophie 20 ans et Julien 21 ans tous les deux étudiants en fac. Leurs relations sont très modernes, sans tabous.
Jeanine a une belle silhouette avec un profil particulièrement avantageux dû à son imposante poitrine qu’elle n’hésite pas à laisser entrevoir dans des décolletés presque provoquants. Son âge lui permet de s’habiller très sexy en minijupe avec des bas résilles campée sur des hauts talons. 
Aujourd’hui, en rentrant du travail, elle trouve Sophie en pleurs sur le canapé.
 
- « Qu’est-ce qui t’arrive ma Sophie ? tu as eu des ennuis à la fac ? tu m’as l’air bouleversée. »
- « Oui si on veut, c’est Alain, il m’a laissé tomber en me disant que tout était terminé entre nous. Il s’intéresse à Josy une fille d’une autre classe. Nous nous entendions bien sexuellement, il savait me faire jouir et m’a tout appris.  Aujourd’hui j’avais terriblement envie de lui. Je me sens encore toute chaude. »
- « Ne te mets pas dans des états pareils. Tu en trouveras un autre c’est vrai qu’il était très volage, un jour qu’il était venu te voir, il m’a peloté dans la cuisine. »
- « Tu t’es laissé faire ? »
- « Il m’a caressé les seins, ce n’étais pas désagréable ! je pense qu’il voulait aller plus loin mais cela ne s’est pas reproduit.
 En pensant à ce que vous deviez faire, je suis sûr que tu mouilles ta petite culotte. »

 
Jeannine a posé une main sur le début de la cuisse de sa fille et la caresse gentiment en remontant très haut sous sa jupe. 
 

- « Tu sens que je suis trempée maman ? »
- « Oui bien sûr. »
- « Continue tes caresses, ça me fait du bien que tu me consoles comme ça. Ça me rappelle quand tu venais me dire bonne nuit dans ma chambre, que tu me touchais et me caressais les seins. »
 
Un sein de Sophie est sorti de son corsage et Jeanine délicatement le prend en main puis approche sa bouche pour aspirer le téton bandé comme une petite bite.

- « C’est bon maman, tes doigts, ta langue, continue. Embrasse-moi. »
- « Ce n’est pas bien ce que tu me demandes Sophie mais comme je disais à ton frère, « quand c’est en famille, on peut se faire du bien selon notre envie. »
 
Jeannine se saisit de la chevelure de Sophie et plaque sa bouche sur celle de sa fille pour un baiser frénétique. Les langues s’entremêlent, la salive fuse au coin des lèvres puis la mère incestueuse descend sa bouche sur la poitrine, le nombril qu’elle aspire avant d’atteindre la chatte de sa fille.
 
 
- « Oh maman, continue, c’est tellement bon ce que tu me fais, je sens le plaisir monter, je vais jouir dans ta bouche. »
- « Jouis, jouis Sophie ! inonde-moi la figure j’ai trop envie de ta mouille et toi viens mettre tes doigts dans ma chatte, ramone-moi le con et caresse moi la rosette arrière. Tu dois pouvoir avoir un deuxième orgasme, fais-moi jouir, ce serait merveilleux si nous pouvions partir ensemble. Donne-moi ta chatte, mettons-nous en 69, pince-moi le clito tu vas voir, ça me fait gicler. »
 
Effectivement, les caresses appuyées de nos deux partenaires incestueuses ne tardent pas à faire leur effet et les orgasmes simultanés sont accompagnés de râles et de cris dignes de bêtes fauves. 
Après un court instant de repos, c’est Sophie qui rompt le silence.
 
- « Merci maman pour ce réconfort. Tu m’as fait découvrir que les rapports entre femmes pouvaient être très jouissifs. »
- « ça ne t’était jamais arrivé avec une copine ? »
- « De vraiment faire l’amour, non. Quand j’étais interne au lycée, nous nous caressions quelques fois mais sans suite. C’était aussi très excitant car je sentais que je mouillais ma culotte mais sans aller plus loin. Aujourd’hui avec toi, c’était merveilleux. »

- « Maman tout à l’heure tu m’as dit : « comme je disais à ton frère « en famille on peut se faire du bien ». Vous aviez une discussion sur le sujet ? »
- « Oui. Un jour en voulant faire une lessive, j’ai trouvé dans la panière à linge sale une de mes petites culottes et un soutient gorge maculés d’un liquide blanchâtre gluant que j’ai tout de suite reconnu comme étant du sperme. J’ai demandé des explications à Julien qui m’a avoué que mes sous-vêtements le faisaient fantasmer sur mon corps et qu’il se masturbait avec. Je lui ai flanqué une gifle mais il m’a couchée sur le lit en emprisonnant mes poignets et se jetant sur moi. Je me suis débattue comme j’ai pu mais ses baisers sur mes seins, sur mon cou et sur le lobe de l’oreille ont eu vite raison de ma réticence. En fait, secrètement j’attendais cette occasion. Je me suis prise au jeu et nous avons fait l’amour.  Ça te dégoute ?»
- « Non, pas vraiment mais je ne m’attendais pas à cela et si tu me dis que tu y as pris du plaisir, après ce que nous venons de faire, je pourrais te traiter de mère salope.
- « J’accepte cette insulte qui m’excite sans me blesser mais « une mère salope » qui t’a bien faite jouir. »
- « A propos de Julien, j’ai remarqué que quand j’étais en chemise de nuit, il matait mes seins qui pointaient, j’ai même eu l’impression qu’il portait une main à sa braguette mais je n’ai pas réagi. C’est mon frère ! »
- « Tu n’as pas envie de faire une expérience ? »
- « Oh ! C’est toi, maman, qui me demande ça ? »
- « Si tu le provoques, tu verras bien sa réaction. Le fait que ce soit ton frère augmentera peut-être un éventuel désir de ta part ou une réelle retenue. »
- « Nous sommes loin de la consolation de mon chagrin. Pour le moment, ce n’est pas mon idée mais pourquoi pas ? J’y réfléchirai. Maintenant que nous sommes libres dans nos actes et nos paroles, je peux te dire que je manque de bite. »
- « Ma chérie, je pense qu’on peut bien s’entendre toutes les deux et chaque fois que tu auras un coup de blues, fait le moi comprendre. Si l’envie te prend d’aguicher ton frère, promets-moi de me raconter. »
- « Je te le promets ma petite maman. En attendant le dîner, je vais travailler un peu dans ma chambre, nous avons des partiels la semaine prochaine. »
 
Penchée sur ses livres, Sophie n’a vraiment pas la tête studieuse. Les images du moment passé avec sa mère lui reviennent sans cesse. Elle se prend même à porter une main dans son entrejambes et se rend compte qu’elle recommence à mouiller.
 
Le dîner se passe normalement, Julien est rentré de son entrainement de sport et au cours des discussions, il s’adresse à Sophie :
 
- « Alors petite sœur, comment va ton copain Alain ? »
 
Ce n’était assurément pas la question à poser. Sophie fond en larmes et quitte la table pour monter dans sa chambre.
 
- « Qu’est ce qui se passe maman, qu’est ce qui lui prend ? » interroge Julien. 
- « Alain l’a quittée brutalement. Elle m’a confié qu’ils s’entendaient à merveille sexuellement et elle supporte mal cette rupture. Tu devrais aller la consoler. »
 
Cela dit Julien va rejoindre sa sœur. En ouvrant la porte, il trouve Sophie étendue sur son lit, la jupe remontée jusqu’au haut de se bas, le corsage ouvert sur sa poitrine secouée par des spasmes de sanglots. Julien s’approche et s’assoit sur le bord du lit.
 
- « Qu’est ce qui t’arrive sœurette ? Maman ma’ rapidement expliqué. C’est si grave que ça ? »

Sophie s’arrête de sangloter.
 
- « C’est tout ce que maman t’a dit ? »
- « Oui, elle m’a demandé de venir te consoler. »
- « C’est ta question à table qui a ravivé mon chagrin mais je m’y fais et maman a su bien me réconforter. »
 
Julien un peu émoustillé par la tenue de Sophie s’approche d’elle en lui caressant les cheveux et la joue. Il hésite à poser l’autre main sur une cuisse dénudée.
Pour Sophie, le même scénario semble se reproduire comme l’après-midi avec la maman.
 
- « Ne t’inquiète pas ma petite Sophie. Tu es si jolie que tu retrouveras rapidement un autre petit copain. Tu sais, je regarde souvent ton corps avec envie mais tu es ma sœur. »
 
Les caresses de Julien se font de plus en plus appuyées et la main posée sur la cuisse de sa sœur remonte délicatement vers son entre jambes.
 
- « Tu es gentil Julien. J’ai bien remarqué que tu matais souvent mes seins à travers ma chemise de nuit le soir après la douche. Est-ce que cela te ferait bander ? »
- « Oui comme maintenant, montre-moi plus tes seins de près cette fois. »
- « D’accord si tu me montres ton érection. »
- « Dis donc ma petite sœur, tu m’as l’air bien délurée et de plus avec ton frère. »
- « C’est toi qui m’as fait comprendre que je te faisais de l’effet et ça m’excite, je sens que je mouille. Tu veux bien me monter ta bite ? »
- « D’accord, mets-toi à poil. »
- « C’est risqué, si maman viens voir si je suis calmée. »
- « Ne t’inquiète pas, ça ne pourrait que l’exciter. »
- « Qu’est-ce que tu me racontes ? »
- « C’est une idée que j’ai dans la tête. »
- « Il faut que tu m’en dises plus Julien. »
- « Ce n’est pas le moment, j’ai trop envie de toi. Regarde ce que tu m’as demandé, elle te plait ? »

San répondre, Sophie prend le sexe à pleine mains.
 
- « Oui, ma sœurette branle-moi, suce-moi, fait moi jouir. »
- « Non, je veux que tu me baises, ma chatte est trempe et ouverte face à une si belle queue. Tu pourras te vider dedans, je prends la pilule, mais si tu préfères, tu peux me prendre par derrière. J’avais l’habitude avec Alain, j’adore jouir du cul. »
- « Jamais je n’aurais imaginé que ma sœur soit aussi salope. Ça me plait et m’excite. Je vais te défoncer. »
- « Oui comme ça, plus profond et plus fort. Vas-y, baise-moi, baise-moi ! prends-moi les seins, pince-moi les tétons, ça me fait mouiller. »
- « Attention je vais me lâcher dans ton cul. »
- « Moi aussi je sens monter l’orgasme, je jouis. C’est bon, c’est merveilleux. »

- « Voilà ma Sophie. T’ai-je aidé à surmonter ton chagrin ? »
 
Sophie ne répond pas, elle prend la tête de son frère à deux mains et l’embrasse frénétiquement sur la bouche.

***** Jeannine ne voyant pas revenir son fils s’inquiète. « A-t-il réussi à consoler sa sœur qui était parti précipitamment en pleurant ? » Elle décide d’aller voir dans la chambre. A l’ouverture de la porte, elle découvre ses enfants nus couchés cote à cote. - « Eh bien les enfants, qu’est-ce que c’est que cette tenue ? »- « Maman viens me caresser, Julien m’a baisée, je suis encore toute chaude et j’ai à nouveau envie de jouir. C’était trop bon ta façon de me consoler.  Ma chatte et mes seins attendent tes mains. » Julien interloqué s’assied sur le lit et regarde tour à tour sa mère et Sophie.
- « Qu’est-ce que je dois comprendre ? vous baisez ensemble ? Sophie tu baises avec ta mère ? »- « Oui Julien, toi aussi tu baises avec maman. Elle m’a raconté que tu avais essayé de la violer mais qu’en fait elle s’était laissé faire et que c’était bon. Maman, déshabille-toi et viens avec nous. Julien va nous défoncer avec son imposante bite. Il a déjà déchargé dans mon cul, j’espère qu’il lui reste du jus.- « Vous m’excitez toutes les deux, j’ai envie de vous voir vous gouiner. Sophie caresse ta mère, bouffe-lui la chatte pendant que je vais l’enculer. Je sais qu’elle aussi elle aime ça. »- « Maman, mets tes doigts dans mon cul, tu vas sentir foutre de Julien. »- « Oh oui Julien ramone bien ta mère ! Attention Sophie, je sens que je monte, je vais t’inonder la figure. »- « Vas-y maman pisse en même temps, partout sur mes seins, sur mon ventre. C’est chaud, c’est merveilleux. » Nos trois protagonistes sont tellement excités que la partie se termine rapidement dans une triple extase accompagnée de gémissements pour ne pas dire de cris de jouissance.Une nouvelle union est née que deviendra-t-elle ?
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