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Il faut consoler Sophie

Chapitre 2

Les jouissances continuent

Inceste
En fait Sophie s’est rapidement consolée physiquement de son chagrin quant à la décision d’Alain de la quitter. Après ses expériences incestueuses dans lesquelles elle s’est donnée librement voir avec envie, on peut penser que son attachement à son copain était plus sexuel qu’affectif. Effectivement, elle est accro au sexe et se demande si elle n’est pas nymphomane. Il lui arrive quasiment quotidiennement de s’offrir des plaisirs solitaires. Ce matin samedi, pas de Fac. Les jeunes font la grasse matinée pendant que Jeanine est partie chez sa coiffeuse. Neuf  heures, c’est Julien qui est levé le premier et termine la préparation du petit déjeuner que leur a laissé leur mère. - « Sophie qu’est-ce que tu fais ? le déjeuner est prêt. »- « Je me branle Julien, vient me baiser. » Un peu interloqué, mais pas énormément vu la partie de la veille, Julien monte rapidement dans la chambre de sa sœur. Il trouve Sophie en transe, nue sur son lit, son oreiller coincé entre ses cuisses. En l’enlevant, elle laisse voir un imposant gode planté dans sa chatte. - « Viens mon Julien, j’ai envie de ta queue, tu m’as tellement faite jouir hier que j’en ai rêvé toute la nuit. J’ai trempé mes draps et en plus de ma chatte, j’ai le cul mouillé, je veux que tu m’encules. Sorts ta bite et viens me la mettre bien profond. » Pendant l’approche de son frère Sophie n’arrête pas de se caresser ses gros seins et comme pour montrer son envie, passe sans arrêt sa langue sur ses lèvres. - « Tu es vraiment bandante ma salope de sœur. Tourne-toi je vais te défoncer. » Sans ménagement, Julien pénètre ce cul offert tellement fort qu’il fait crier Sophie. - « Aye ! J’ai eu mal mais c’est bon, je suis un peu maso. Vas-y ! fort ! plus fort !  À fond, fais-moi jouir du cul. »- « Attention petite chienne, moi aussi je vais jouir. »- « Vas-y, décharge dans mon cul il doit rester de ton foutre d’hier, je l’ai retrouvé en me doigtant cette nuit. Remplis-moi. » La baise de Julien accompagnée du frottement du gode dans son con, amènent rapidement Sophie à l’extase qui fait raidir son corps et expulser la queue factice. - « He bien ma salope tu t’es offerte un bien bel apéritif de petit déjeuner. »- « Toi aussi mon cochon de frère, j’ai l’impression que tu as bien aimé. »- « C’est vrai, je ne m’attendais pas à ce début de matinée. Maintenant, descendons dans la cuisine. Reste à poil, tu es trop excitante. »
- « Je vais quand même passer une culotte, je ne veux pas perdre ton sperme. »-----------Chez la coiffeuse, Jeanine retrouve Emilie son employée préférée. Un petit bout de femme boulotte à l’abondante poitrine qu’elle met bien en valeur dans un décolleté plongeant. Jeanine l’aime bien car outre sa silhouette très sexy avec un arrière-train bien marqué sous sa minijupe, elle a l’art du massage du cuir chevelu et de la nuque lors du shampoing.
 - « Comment allez-vous madame Marty ?  Que faisons-nous aujourd’hui ? »- « Je vais bien Isabelle, j’ai toujours plaisir à vous revoir. J’ai eu l’occasion de vous dire que votre silhouette ne m’était pas indifférente. Nous faisons comme d’habitude : couleur et légère coupe. »- « Vous êtes gentille, vous aussi votre physique est agréable. Vous êtes élégante et toujours bien habillée. Passons au local shampoing. » En installant la blouse de protection à sa cliente, Emilie pose subrepticement ses main sur la poitrine de sa cliente qui ne réagit pas. Pendant le shampoing, la coiffeuse a souvent l’occasion d’approcher sa poitrine de la figure de Jeanne qui ne ferme pas les yeux et sent une légère excitation qui ne fait que grandir.Les mains enfouies sous la blouse, elle relève sa jupe pour atteindre son entrejambes et se caresser.Emilie s’en aperçoit et chuchote à sa cliente : « vous vous branlez madame Marty ? » A demi surprise, Jeanine regarde fixement l’employée et lu répond en chuchotant elle aussi : « C’est votre poitrine qui m’émoustille, j’aimerais en voir plus. » Après avoir jeté un œil autour d’elle (elles sont seules dans le local) Emilie sort un sein de son bonnet et présente le téton à la bouche de sa cliente. S’ensuit une succion et un mordillement qui font réagir Emilie. - « C’est bon ce que vous me faites madame Marty, vous me faites mouiller. »  La coiffeuse plonge alors une main sous sa jupette, enduit ses doigts de sa mouille et les porte à la bouche de sa cliente. - « Vous ne seriez pas un peu salope Emilie ? vous aimez les femmes ? »- « Non, pas particulièrement mais notre excitation mutuelle est agréable.  Je n’ai pas toujours des clientes comme vous. Bon, maintenant il nous faut passer à la couleur, allons au salon et soyons sages. » Le reste de la séance se passe gentiment même si Jeanine est particulièrement excitée et sent qu’elle aussi elle mouille sa culotte.Au moment de régler la prestation, les deux femmes se fixent dans les yeux et Emilie passe ostensiblement sa langue sur ses lèvres.
 - « Au revoir madame Marty et merci pour votre présence. »- « Oui Emilie au revoir. »  Sur le chemin du retour, Jeanine ne peut s’empêcher de penser : « Elle doit être bonne cette petite salope, je la soupçonne d’être un peu chienne. Je me la ferais bien. »  En rentrant à la maison, elle trouve Sophie nue, juste avec sa petite culotte, devant l’évier entrain de nettoyer les restes de petits déjeuners. Curieuse, elle ne se manifeste pas tout de suite et se délecte de la vue de sa fille dénudée. Soudain Sophie s’approche de la table et juchée sur la pointe de ses pieds, se masturbe avec l’angle du meuble à travers sa culotte. En se trémoussant, elle fait danser ses seins, ce qui émoustille sa mère au plus haut point. Jeanine pense que si elle n’a pu s’offrir sa coiffeuse, elle s’amuserait bien avec Sophie.    - « Qu’est-ce que c’est que cette tenue Sophie, les seins à l’air, tu ne peux pas t’habiller même dans la maison. Ton frères n’est pas là ? » - « Si, il doit être dans sa chambre. Nous avons baisé avant de déjeuner, j’avais envie qu’il m’encule. Il m’a tout lâché dans le cul. C’est lui qui m’a demandé de rester à poil. Tu peux passer ta main, ma culotte doit être pleine de sperme. » - « Vous auriez pu m’attendre. Approche, donne-moi ton trou, baisse ta culotte que j’inspecte ça. »   Au contact du liquide gluant, Jeannine n’a qu’une envie, se baisser et laper le nectar tout chaud. Sophie passe une main sous la jupe de sa mère.   - « Mais maman, tu es toute mouillée ! » - « Oui, je reviens de chez la coiffeuse et la petite employée dont j’ai l’habitude m’a excitée avec sa poitrine, m’a donné un téton à sucer. Elle s’est rendu compte que je me touchais sous la blouse. Je pense qu’elle est assez salope et qu’elle aurait bien eu envie de se gouiner. »  - « Eh bien maman, que de rebondissements depuis hier. Crois-tu que ta coiffeuse aimerait venir ici pour une partie à trois ?» - « Ou à quatre ! je verrai si je peux le lui proposer. »
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