Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 64 J'aime
  • 2 Commentaires

Il faut vivre vite, la mort vient tôt.

Chapitre unique

Erotique
J’ai 75 ans et mon épouse 58. Devinez lequel de nous deux est le plus jeune d’esprit. Moi et sans contestation possible. Il faut reconnaitre aussi que l’on me "donne" dix ans de moins. La nature est gentille avec moi. En m’épousant, Anne choisissait je crois la stabilité. Oh je ne dis pas qu’elle n’était pas amoureuse. Il le fallait bien tout de même pour choisir un mari de 17 années plus vieux et qui avait à l’époque déjà pas loin de soixante balais. Je suis en retraite. Elle est infirmière. Elle rentre parfois tard, souvent fatiguée, voire épuisée. Son petit mari aimant se charge alors de tout.Nous n’avons pas d’enfant ensemble et moi aucun de mon premier mariage. Heureusement car je me serais demandé qui était le père. Mon Ex avait le feu au cul. Un feu que j’ai apprécié pendant de longues années, que j’ai entretenu, attisé. Mais un feu dont j’ai perdu le contrôle. Elle aimait tout. Elle avait envie de tout. J’en ai perdu le contrôle graduellement, surtout lorsque je lui ai fait goûter à des rencontres "d’amis perdus de vue depuis longtemps", mais qui était en réalité des invités de sites de rencontre qui se moulaient avec délice dans ce jeu pervers. La première fois je l’ai poussée un peu. —Chérie. Je suis un peu fatigué ce soir. Armand va dormir à la maison. Je ne sais pas si je te l’ai dit mais c’est un tombeur de ces dames avec une réputation de très bon coup. Franchement si tu en a envie, je tournerai le regard ailleurs. Je pourrais dormir dans la chambre d’ami et lui…. —Tu n’y penses pas. Mais son regard brillait d’envie.  Par la suite je n’ai pas eu besoin de pousser beaucoup. Je l’entendais hurler son plaisir. Il m’arrivait d’aller vérifier que tout allait bien. Si elle me voyait elle me demandait de venir les rejoindre. Le feu au cul. Le loup dans la bergerie. Petit à petit elle a pris des amants, j’étais cocu. C’était bien entendu différent des soirées avec ami, elle se cachait. Tous les amis, les vrais lui sont passé dessus. Elle se faisait sauter par qui le voulait bien. Alors pensez ! Des enfants ! Une capote peut se percer, ou être oubliée dans une poche !!! J’ai été sauvé par Anne.Le jour et la nuit. Décidément j’accumule les expressions.Anne sans être prude, ni cracher sur la bagatelle, ne recherchait pas l’exploit. Mais une fois "bien lancée" ne me refusait pas grand-chose. Sa spécialité, la fellation. Je n’ai pas connu des centaines, mais tout de même quelques dizaines de femmes, pour pouvoir comparer, mais les "pros" du net peuvent aller se rhabiller. Allez, petite confidence et une façon de me mettre en valeur en atténuant la "force de l’âge", je suis bien monté. Il n’y a pas de quoi se glorifier… Doit penser la majorité de ceux qui liront ma confidence. C’est vrai, je n’ai aucun mérite. La nature m’a tracé le chemin. Mais la nature est fourbe. Elle oublie de préciser que toutes les femmes n’apprécient pas mon bel engin. Trop gros ! Trop dur ! Fais attention ! Va doucement ! Non, pas par-là, tu me déchirerais.Allez, certains pensent… C’est un black et c’est pourquoi il a un gros machin !Mais ayez un peu de jugeote ! Critiquer c’est facile. On survole. On n’aime pas. On critique…Si j’étais noir vous croyez vraiment que je me poserais la question de la paternité si j’avais eu un enfant avec mon ex….  Anne est une gorge profonde. Un gouffre sans fond. Sans fond mais où on ne s’égare jamais. Ses lèvres, ses joues, sa langue, en font la police. Mais celui qui n’a jamais vu disparaître son sexe, totalement, happé et caressé comme une friandise et qui inquiet de ne plus le voir revenir joue au pompier en crachant son sperme, je le plains.Anne est secrète sur sa vie, "Avant," de me rencontrer. Peu d’amies, encore moins d’amis. C’est comme une orpheline. Mais je l’aime et je la chéris.J’ai une maison au bord de l’Atlantique en Charente-Maritime. Nous y allons pour chacune de ses vacances. Cette année, année juste après cette saleté de Covid, la vie reprend ses droits et une femme sans enfant, mariée avec un retraité, n’est pas prioritaire pour juillet et août.
Mais on y gagne au change. Il fait un temps magnifique. On ne se bouscule pas, même si dans le coin, les plages se mesurent en kilomètre et non pas en serviettes de bain.Il y a un jeu entre nous. Enfin surtout moi. Pour taquiner mon épouse qui n’a jamais enlevé son haut sur une plage, je suggère, année après année que nous devrions tenter le naturisme. —C’est naturel. Regarde autour de nous, ils sont de plus en plus nombreux. Moi si j’enlève mon maillot, mes fesses vont me dénoncer. —Ce n’est pas beau. En plus il y a beaucoup plus d’hommes que de femmes, des vieux en plus.—Je comprends, tu as déjà un vieux à la maison, alors tu préférerais voir des jeunes. Allez, avoue que je ne te plais plus… D’ailleurs ma boite de Tada... date d’une éternité. —Tu sais bien que ce n’est pas vrai. Et arrête de présenter ton médoc comme une preuve de pauvre sexualité. Beaucoup d’hommes aimeraient…—Tu es une experte…—Jean, arrête de te moquer. Je sais ce que tu cherches à faire. —Moi, mais quoi ? Je sais faire l’innocent alors que je suis d’une fourberie redoutable.—Tu n’as pas besoin de ce produit. Ça fonctionne très bien et c’est ce que je voulais dire en parlant de tous ces hommes bien plus jeunes qui n’arrivent plus ou pas à bander…—Oh quel gros mot…—Tu m’agaces.—Moi, j’aimerais que tu m’escagasses ! Regarde c’est comme sur la plage, une pauvre petite chose. Ça marche à tous les coups. Je lui montre mon sexe alangui.  —Pervers !—Coquine ! Elle retire sa robe. Au moins j’ai réussi à ce qu’elle ne mettre rien dessous. Il faut dire qu’à la maison il n’y a pas de grand risque de voyeurs…Je sors le gode vibrant. (Au fait il est d’un noir sombre. Il y a des fantasmes qu’il ne faut pas négliger). Le plug lui est en métal poli. Ne jamais mettre tous ses œufs dans le même panier. C’est moi qui la guide.C’est moi qui gobe le plug dans une provocation bien anodine. Je caresse son corps de ma main libre et de mes lèvres, pendant que je guide l’engin vers son petit trou. Je le pousse avec délice. Elle ferme les yeux. Ma main ne tient plus qu’un disque. Je sais qu’une pierre rouge l’habille.Je me saisis du gode sombre. C’est à elle que je lui demande de sucer. Répétition pleine de sous-entendu mais qui participe à notre jeu.Sous ma direction, mais elle connaît le chemin, elle s’agenouille en face du canapé. J’aime bien faire l’amour ailleurs que dans la chambre et si possible à toute heure pour briser cette vision de baises tranquilles dans une chambre maritale au moment de se mettre au lit.C’est dans ces instants que le souvenir de mon Ex me revient. A certains moments elle me manque ou plus exactement c’est sa liberté d’esprit et de corps. Avec elle il y a longtemps qu’on serait naturiste et c’est plutôt au Cap d’Agde que je passerais mes vacances. Il y avait des bons côtés. Que je suis drôle ! Avec elle, tous les côtés étaient bons surtout lorsqu’ils étaient tous occupés par des verges bien dures.Je me colle derrière ma jeunette. Ma main enveloppe un sein, puis l’autre, un téton, puis l’autre pendant que je descends lentement le gros gode. Elle se soulève un peu, me laissant le passage. Je le maintiens bien droit, la base sur le sol dans une verticalité, matinée de la courbe que le créateur de l’engin lui a donnée. La courbe mais aussi, une extrémité affinée, pas comme une vraie bitte, mais aussi avec une hampe construite comme si des anneaux de diamètres différents, de plus en plus grands en se rapprochant de la base, avaient été assemblés.Ne le dites à personne, mais il m’arrive de m’en servir. Dire que certaines expériences avec mon Ex me manquaient seraient reconnaître que dans la vie tout n’est pas tout blanc ou tout noir. Tiens encore une expression. Tout cela pour dire que la bougresse, si elle était chaude du cul ne pensait pas qu’à elle. Du moins dans la période centrale de notre relation. On avait trouvé un certain équilibre depuis qu’un "ami de passage" avait émis l’idée de s’occuper aussi du mari. Expérience étonnante, surtout pour moi qui n’avait jamais envisagé cela. Sucer une bite d’homme, se faire sucer par un homme, se retrouver entre ma femme et lui, mon sexe comme la prolongation de l’autre qui s’était aventuré ma foi bien facilement avec l’aide d’une crème, dans mon fondement. Ne pas mourir idiot. Tiens cela me rappelle une chanson de Serge Reggiani, "Je voudrais pas crever", cela ne me rajeunit pas, ou il parle de glisser son zob dans des coins bizarres. Moi aussi j’avais essayé d’être le pain dans un sandwich pervers…Je pourrais avoir honte, mais à mon âge je ne peux plus me payer ce luxe. Donc je reconnais que de me faire enfiler me manque… Un peu… Beaucoup ! Aussi le gode noir sur lequel ma jeunette se laisse descendre doucement a parfois le privilège de disparaître dans mon petit trou. J’en connais donc la sensation. Ces anneaux, dont le diamètre dilate un peu plus pour ensuite laisser "respirer" le muscle avant de lui proposer un nouveau, plus gros, plus invasif.Elle soupire. J’ai à peine le passage pour lancer la vibration. Son corps résonne. Le plug de métal est un haut-parleur pervers.Elle gronde. Alors je me lève pour venir m’asseoir en face d’elle. Mon sexe, débute une érection, mais il ne se force pas beaucoup car il sait que bientôt une bouche humide va le réveiller. Les lèvres s’entrouvrent. Le visage avance vers moi. Le regard est brillant. Les lèvres se referment sur mon gland. La langue en fait le tour. Déjà je durcis. Mais les lèvres glissent sur la hampe, déjà rigide qui s’allonge. En quelques secondes je suis un eunuque. Mais les vrais n’avaient pas ma chance…Mes bourses sont léchées sans même que ma tige ne réapparaisse.Je sens la vibration sur mon sexe.Je reste immobile. C’est elle qui avance puis recule. C’est bien normal, à mon âge on doit se ménager. La seule chose que je fais c’est de m’emparer de ses tétons et de les maltraiter. Ses grognements, que je sais de plaisir, contribuent à m’exciter.Privilège de l’âge, je peux durer très longtemps. Mais aujourd’hui j’ai une impatience de jeune homme. Demain c’est décidé nous allons sur la grande plage, celle ou…Alors je la bouscule. Elle reconnaît un désir plus possessif. Je reviens vers elle. Je la pousse pour qu’elle s’appuie sur le bord du canapé. Le plug a quasiment disparu. Il va falloir acheter un de ces jouets avec une partie qui ne risque pas de disparaître. Pourtant j’arrive à le saisir. Je le tourne, je le tire, je l’extirpe de ce conduit qui ne veut plus le lâcher. Mais j’ai autre chose à lui proposer. Mon gland darde sur l’œillet. Il n’a pas le temps de faire connaissance que déjà il disparaît, littéralement aspiré.Putain que c’est bon. Un jour il faudra que je lui propose "un ami de passage" car le gode n’est pas idéal. Me reviens à l’esprit certains trios ou on baisait mon Ex. Je parle des fois ou" l’ami de passage" était venu avec un ami. Parfois cela me manque. Promis, après je vais lui en parler, lui proposer qu’on reçoive quelqu’un. Un jeune de préférence. Il n’en manque pas sur les sites des hommes qui proposent leur service. —Tu es fou ! Jamais je ne pourrais ! Tu me suffis bien assez. Tu ne serais pas jaloux ? Un jeune ! Et s’il me venait l’idée de partir avec. Mon vieux mari… Pas si vieux et coquin. Je n’y crois pas. Jean vraiment, il faut que tu arrêtes de regarder les sites pornos.—Bon d’accord, j’ai compris, tu ne veux pas. Alors pour compenser, demain je t’emmène sur la grande plage. Tu sais celle qui est entre la lagune et l’océan et qui n’est accessible que d’une extrémité et qui se termine dans cette petite ile maintenant reliée au continent.—Oh, non, tu ne vas pas recommencer avec ton nudisme.—Tu feras comme tu veux, en tout cas moi je vais me mettre à poil.—Ne compte pas sur moi pour te plaindre si tu attrapes des coups de soleils là où je pense. Peut-être que dans ce cas, si mon mari a le zizi tout brûlé, je ferai appel à un de tes amis… Elle rit.—Chiche.—T’as qu’à le croire….  Au mois de Juin, en semaine, même par ce temps magnifique on peut compter les gens sur la plage. Sur les cent premiers mètres, une grande majorité de textile encore que pour certaine le "textile" se résume à bien peu de choses et qu’il faut regarder de près pour voir que ces belles fesses ont une ficelle qui s’est glissée dans la raie…Ensuite. Homme seul. Couple. Femme seule avec un chien. Le tissu n’est visible que sur un parasol ou dans un coupe-vent. Je me dis en souriant qu’aujourd’hui le coupe-vent n’est pas nécessaire et que peut-être il doit cacher des comportements coupables… —Ce n’est pas vrai ! Il le fait.—Oui, Madame. Je l’ai dit, je le fais. A mon âge il est temps de se lâcher.—Moi aussi, si ta biroute est cramée je cherche un remplaçant.—Mais je ne demande que cela… Du moment que je puisse au moins regarder. —Pervers.—Coincée.—Tu vas voir la coincée si elle fait la grève du sexe. On rit. On plaisante. Mais je reste nu. Mais je me baigne nu. Sans me forcer, car je trouve que c’est très agréable, je chante les louanges de la nudité, du vent, de l’eau, de l’impression de liberté. Je lui propose comme on le fait souvent de marcher le long de la plage. —Tu ne vas venir comme ça ?—Comme ça quoi ?—Ton machin à l’air.—L’air de rien.Un silence. Et puis je la défie : Je prends mon maillot avec moi. Si on rencontre quelqu’un avec son maillot, je le remets.—Bon, d’accord.—Mais si par contre, on voit quelqu’un comme moi, alors c’est toi qui enlèves un truc.—Même pas en rêve !—Mauvaise joueuse. Tu ne veux pas, car tu sais que tu vas perdre…—Sûrement pas. Bon d’accord.—Une personne nue, tu enlèves le haut.—Oui, ça va !—Une autre personne, tu enlèves le bas.—D’accord, d’accord.—Je te connais. Tu enlèves mais tu ne remets, que, si on croise un textile, sinon tu restes comme ça.—C’est dit, d’accord.—Et si on rencontre aucun textile de toute cette balade tu rentres à poil.—Non, mais ça ne va pas ? —Nue sous ta robe.—Elle est courte.—Ne fais pas ta pucelle. Ah aussi, si sur la plage on croise des marcheurs ou des cyclistes habillés ça ne compte pas. J’ai largement gagné mon pari. Les seuls qui sont habillés sont ceux qui arrivent ou repartent. Les autres, couples ou célibataires, allongés ou se baignant, sont nus. J’avais aussi anticipé le : Le soleil direct ce n’est pas bon pour les seins. Car j’avais glissé dans la sacoche qui contient papiers et clés, un tube de crème solaire. J’ai été bon joueur, je n’ai pas crié victoire. Mais de son côté elle a suivi à la lettre le pari. Le lendemain, alors que comme moi elle se met nue : —Une remarque et je me rhabille. Je n’ai rien dit. Elle s’est moquée de moi lorsque je lui ai demandé de me mettre un peu de crème sur les fesses. J’ai une peau de bébé, bébé de 75 balais, et oui !Mais pas elle. Jour après jour tout son corps a pris cette belle couleur caractéristique du sud-ouest. Moi, malgré mes efforts, on devait voir de loin ce bel athlète avec les fesses encore blanches…On peut rêver, bien que pour mon âge je ne sois pas si mal…On dit que dans, naturisme, il y a nature, mais nature apaisée. Eh bien pas pour moi. Au contraire. De la voir ainsi, maintenant à l’aise et dans ce bronzage continu, me fait bander. Et pas qu’un peu. Évidemment elle le voit. Je ne peux pas passer ma journée sur le ventre. Elle se moque, mais doit être fière de ce qu’elle m’inspire. Elle accepte que nous baisions dans l’eau. De toute façon elle adore cela et sous la douche comme dans la baignoire Madame est toujours prête. Mais la plage est plein ouest et si à marée basse, des piscines naturelles se créent, à marée haute la puissance des vagues empêche une baise normale. Aussi je décide d’investir dans un grand coupe-vent. J’en comprend mieux la raison lorsque la plage se réduit.  Il fait beau depuis pratiquement quinze jours. Chaque journée que Dieu fait est un enchantement. Je suis comme un adolescent qui est impatient de retrouver sa copine. Nous n’en parlons pas, mais nos venues sur la plage rythment nos journées. Ma jeunette se dévergonde. Nous baisons plusieurs fois par jour, sur la plage ensoleillée comme le chantait Brigitte Bardot, mais aussi à la maison, dans le petit jardin alors que derrière la haie les voisins bavardent ou font un barbecue. —A ce rythme-là je vais mourir avant l’heure. Tu devrais ménager ton vieux mari. Quoique que ce doit être une belle mort de trépasser en pleine action.—Ouais, en particulier pour celle qui reste !!!!!! Si tu me fais un coup pareil, je te tue. On rit. On s’aime. Elle est belle. Elle est devenue plus coquine. Je ne parle pas pendant le sexe, mais à d’autres moments. L’autre jour, alors qu’on prenait un verre en bord de mer, elle disparaît et en revenant me demande d’ouvrir la main. Tout en regardant autour d’elle, elle y dépose sa petite culotte. Devant mon regard étonné, croyant probablement que je désapprouve, elle se fait toute petite. —Excuse-moi. Je ne sais pas ce qui m’a pris. C’est ta faute aussi, avec tes idées… Je la rassure. Au contraire, c’est trop mignon. Mais pourquoi la cacher ? J’ouvre ma main. Le petit bout de tissu se déploie, Oh pas beaucoup, Anne est menue et ses petites culottes d’été de la surface d’un timbre…Il y a peu de monde autour de nous mais un homme regarde justement dans notre direction. Il voit et le doute ne peut être permis, c’est bien une culotte. Loin de s’offusquer il invite sa voisine à regarder. L’un comme l’autre sourit et Monsieur lève le pouce, complice de ce moment particulier. Mais Anne me voit et lorsqu’elle les aperçoit arrache sa culotte de ma main. Elle rougit. C’est mignon. A son âge ! J’ai l’impression de dévergonder une jeune femme.Le couple passe devant nous. —Bonne soirée. Dit la femme, tout sourire. Anne ne sait plus où se mettre….—C’est bien fait pour moi. Je voulais juste m’amuser et toi tu exposes…—Chérie, c’est un jeu. Regarde il n’y a pas d’enfants autour de nous. —Tout de même ! Je vais aller la remettre.—Sûrement pas. Donne-là moi… Confisquée…—Jean…—Il n’y a pas de Jean qui tienne. Si tu insistes, je vais la déposer, tiens… Sur la table des deux jeunes, et tu iras la reprendre.—Sûrement. Essaie. Je pourrais bien te prendre au mot. Des promesses toujours des promesses… On rit. C’est devenu depuis quelque temps une source de plaisanteries. Il faut dire que trois fois par jour, c’est un peu dur de démarrer la troisième fois. Elle se moque en tenant mon morceau tout mou dans la main : —Je fais tout le travail. J’aurais dû en choisir un plus jeune… 
---------------
 
La marée est à gros coefficient. La plage est mangée par la mer. On a marché plus loin que d’habitude. Il ne passe presque personne, juste des vélos, de ces vélos à très grosses roues, avec assistance électrique. Ils tracent sans vraiment regarder, manifestement l’esprit ailleurs. —C’est salé.  Anne commence une fellation. Cela se saurait si l’eau de mer ne contenait plus de sel et c’est donc bien normal que ma verge et le reste de mon corps soit "salé". Si j’ai arrêté de me tartiner le sexe avec de la crème solaire, je ne peux tout de même pas me rincer avec de l’eau douce.  —Est-ce que moi je me plains que tes seins ou ton minou soit salés. Tais-toi femme indigne, suce ton vieux mari… Elle me fait une grimace avant de revenir vers l’origine du délit. On s’est installé sur la pente de la dune, en légère pente, pente accentuée par une serviette sous ma tête. Que voulez-vous à mon âge il faut être "confortable" et je ne veux pas me tordre le cou pour la regarder faire. Je ne m’en lasse pas. Elle est agenouillée entre mes cuisses grandes ouvertes, et sa croupe dorée est une ode à la nature. Je me dis que, vu de la plage, le spectacle doit être magnifique, que sa rondelle et sa fente sont mises en valeur par un soleil indiscret.Elle me suce. Les vagues qui déferlent couvrent le bruit de la salive brassée par sa gorge. C’est bon. Je sais qu’elle aime cela car un fois je lui ai dit que je me sentais coupable "d’accepter" ses caresses, la plupart du temps jusqu’à juter dans sa gorge et donc de la priver, du moins avant le temps nécessaire que ma queue veuille bien reprendre vie. —J’aime te sentir comme ça. J’ai toujours aimé ça.  Et lorsque je l’avais questionnée un peu plus sur le " J’ai toujours aimé ça", elle avait avoué qu’adolescente elle était obèse et que donc pour attirer les garçons qui ne se bousculaient pas, elle avait fait de la "pipe" un article de tête de gondole afin de connaître elle aussi le plaisir de se faire prendre. Un service pour un autre.Quand je la vois si menue…Et cette chute de rein…Et cette raie qui trace vers l’océan.Je découvre un vélo juste en face. Un homme sur le vélo qui regarde. Ce crâne dégarni, ces lunettes de soleil… Je l’ai déjà vu… Il me fait un signe de la main… C’est l’inconnu de la petite culotte… Il ne manque pas d’air… Mais un autre vélo arrive, stoppe à côté de lui… Une femme… Seins nus… Je la reconnais. Il lui parle… Les vagues couvrent leur conversation... A son tour la femme me fait coucou…Pendant ce temps Anne me pompe. Les voyeurs sont trop loin pour voir les détails mais la position est sans équivoque. Je fais quoi, je les chasse de la main ? Si je proteste, Anne va s’arrêter et… Je ne veux pas… Tout de même ils auraient dû passer leur chemin… Mais non… C’est vrai aussi qu’on ne doit pas faire l’amour sur la plage… Même une plage naturiste…Et Anne qui ne se doute de rien. Que deux personnes la voient me pomper. Que son intimité doit attirer leur regard…C’est excitant… Et oui, je pourrais vous en remontrer, à vous les petits jeunes. Ils ont quoi, quarante ans tout au plus. Et toi mec ton slip de bain ne te comprime pas ? Et toi la femelle, tu mouilles ta culotte ?Attendez, je vais vous en donner pour votre argent.J’attire Anne vers moi en prenant son visage dans mes mains.  —Viens sur moi.  Je la prie avec un sourire encourageant. Elle se relève, tourne toujours le dos aux voyeurs et s’empale sur un mandrin qui a la dureté du bois de plage avec l’humilié de l’écume de mer.Elle s’empale et donne libre cours à son plaisir. Ils regardent. C’est excitant. J’avais oublié combien baiser devant d’autres pouvait apporter une couche supplémentaire de plaisir. Une chose que j’ai perdue lorsque je me suis séparé de mon Ex. Il faut que je fasse attention, je pense trop souvent à Elle, évidemment ne gardant que les bons souvenirs et pas la honte d’être devenu le mari le plus cocu du coin. Échangiste d’accord, mais qui dit échange ou libertinage demande au moins la présence ou l’accord du mari.Elle crie. Je ne sais si à cette distance ils peuvent l’entendre, mais à la façon dont elle remue sur moi c’est parlant.Je dois faire attention de ne pas trop les fixer. Je sens mon plaisir venir, preuve que ces regards sur nous m’excitent.Anne accélère, une furie, cavalière de l’apocalypse pour qui la petite mort est une fin en soi.Je fais signe au couple de partir. Je ne veux pas que ma femme les découvre. Ils me font un signe de complicité mais l’homme sort un papier qu’il me montre avant de le poser bien en évidence, juste calé par un coquillage.Ils partent. La petite mort nous emporte, mais la vie nous ramène. Je ramasse le papier. C’est une publicité pour les vélos. Deux prénoms sont notés au niveau de la réservation : Julie et Julien.Je le montre à Anne. —Quelqu’une a perdu ça. —Tu l’a trouvé si prêt ? C’est daté d’aujourd’hui.  Je profite de sa remarque pour lui avouer, au moins en partie, qu’on nous a regardé:  Cela doit être à ceux qui se sont arrêté un l’instant. —Mais quand ? Je n’ai rien vu. Et si prêt ? A moins que le vent. Non, regarde il n’y a pas un souffle d’air. Je ne réponds pas. Je prends un air gêné. —Tu les as vu toi ? Attends ne me dit pas que…Pendant qu’on…—Ils se sont arrêtés un moment.—Pendant qu’on…—Oui.—Et tu n’as rien dit ? Tu ne les as pas chassés ? Mais quel culot ! Au moins il fallait m’arrêter.—Tu étais si belle. On était bien parti, cela aurait gâché ce moment.—Et ils étaient si prêt ?—Ils se sont rapprochés un peu pour mieux voir.—Et tu n’as rien fait ! Et tu n’as rien dit !—C’était excitant.—Que des inconnus voient ta femme pendant que…I Ils étaient la pendant que je te suçais ?—Oui.—Qu’est-ce qu’ils ont dû penser ?—Elle je ne sais pas, mais lui il devait être jaloux de moi. Il devait imaginer son truc disparu comme…—Arrête. Ce sont des pervers. Et toi, pas mieux…Tout de même des inconnus !—Tu aurais préférés avec des gens qu’on connaît.—Jean…—En plus ce n’étaient pas de vrais inconnus.—C’est quoi ça ?—Tu sais c’est le couple d’hier, à la terrasse, lorsque tu as voulu faire ta coquine en enlevant ton slip.Elle me regarde. Non ?—Si.Un silence…J’ajoute : Comme ça ils ont pu bien voir ce que ton ticket de métro cache. Je ris.—Décidément chaque jour tu deviens de plus en plus égrillard. Jusqu’où iras-tu ? Elle aussi rit.On reprend nos habitudes. La mer descend. Balade. Baignade. —Je me demande ou vont ces cyclistes. Je n’ai pas vu le couple repasser. —Ce n’est pas moi qui vais m’en plaindre. Au retour je me dirige vers le petit camion qui transporte les vélos chaque matin et soir. Je discute avec le gars. Il me parle, batterie, rayon d’action, balades recommandées. Mais lorsque je sors le papier trouvé il change de discours. —Vous connaissez Julie et Julien ? Je réponds " Oui" car manifestement de voir leur prénom change son attitude. —Alors c’est différent. Ils ne vous ont pas donné de détails ?—Non, pourquoi. Il sourit. Un silence…Il ajoute : Ils doivent vouloir vous faire la surprise. Eux comme certains me louent les vélos pour pouvoir aller tout au bout de la plage. A pieds cela fait une trotte. Vous savez c’est vers la petite île rocheuse sur laquelle la dune s’est accrochée.Je connaissais l’histoire mais sans plus. En effet, ce qui était une île était maintenant rattaché au continent par celle longue dune. Elle était accessible à pied mais une longue partie se faisait dans le sable mou… Je comprenais l’intérêt des vélos avec ces très grosses roues et leur assistance électrique….Mais pourquoi aller si loin ? Je vais poser la question mais je me ravise. Manifestement il y a un mystère…. 
------------------------
 
—Franchement, pourquoi avoir loué ces vélos ? On n’est pas obligé d’aller si loin.Deux semaines et mon épouse ne redoute plus de se montrer nue devant d’autres, nudistes ou textiles. Quel changement. Je dois reconnaître qu’au début, si je faisais le malin, l’initié, je n’étais pas à l’aise comme maintenant. Le regard des autres ne me dérange plus et la plaisanterie que m’avait faite Anne m’avait rendu presque fier.Je sais, je n’y suis pour rien, c’est la nature qui a tout fait!!!!Mais, probablement que le rosé l’avait faite pompette, pour lui faire dire en riant : —Quand je pense que tu n’arrêtes pas de parler de petits jeunes. Mais regarde-les, jeunes et moins jeune, pas un n’a un truc aussi grand…. Ce truc s’était mon sexe. J’avais ajouté, sur le même ton : —Évidemment moi tu me vois de près alors qu’eux sont plus loin… Et puis ce n’est pas à une femme que je vais apprendre qu’il n’y a pas que la taille…. On avait ri. De plus en plus souvent d’ailleurs on parlait librement, certes en le caricaturant, mais tout de même abordant sans cri d’orfraie d’épouse choquée, à qui son vieux mari parle de plus jeunes Mâles.  L’île est devant nous. Elle se détache du ciel, nettement plus haute que la dune. Étrangement il y a quelques arbres au sommet. On se rapproche. Bientôt on voit des vélos, les uns contre les autres. Des silhouettes un peu plus loin. Il faut marcher quelques minutes sur des rochers pour arriver à la base de la mini falaise. Une dizaine de personnes sont allongées sur le sable. D’autres sont dans l’eau, piscine naturelle comme taillée dans le rocher. Les gens bavardent, nous saluent, nous regardent, nous sourient mais sans réelle insistance. C’est la première fois que nous sommes si près d’autres naturistes. Une épreuve que nous n’aurions pas réussie sans notre apprentissage solitaire pendant tous ces jours passés.On pose nos affaires. On regarde. J’ai l’impression que les conversations ne sont pas anodines, que certains gestes ne sont pas innocents. J’ai fréquenté les clubs libertins, en particulier les saunas, et j’y retrouve l’ambiance. En tout cas, le couple, Julie et Julien n’est pas là, à moins que… —On va regarder de là-haut ? On doit avoir une belle vue. Anne accepte, manifestement soulagée de quitter cette ambiance particulière et de certains regards, certes discrets mais chargés, d’une lueur qui n’est pas que curieuse.Quelques marches que la nature a taillées dans la falaise et on est en haut. La vue est splendide. On voit la cote mais aussi les bateaux, cargos et touristes. C’est un peu, comme un paradis, d’ailleurs mon Eve est à côté de moi. En tout cas le couple n’est pas là.On va redescendre mais on croise deux couples. Ils sont tout sourire mais là encore je croise des regards qui sont déjà ailleurs. Ils tiennent chacun une couverture à la main. Je me dis que… Et pourquoi pas vérifier mon hypothèse… Cette ambiance qui me rappelle des souvenirs… —Attends une seconde. Je retiens Anne qui allait commencé sa descente. L’île fait, quoi, 50 mètres de côté. Surface insignifiante et propice à…Je vois déjà les couples disparaissent derrière un buisson. Mais c’est comme s’ils avaient atteint leur but. —Chut ! Je fais de la main tout en entraînant mon épouse étonnée de ce soudain conseil. Ils sont là. Chacun a étalé sa couverture. Apporter une couverture au fin-fond d’une dune, n’est pas anodin. Une serviette, un coupe-vent à la rigueur mais une couverture ?Ils s’embrassent. Couple à côté de couple. Chacun chez soi, à moins que l’échange ne soit déjà fait ! Peu importe. Couple miroir. Ils se surveillent, c’est évident. Un homme pousse sa partenaire… Compagne ? Epouse ? Pour s’agenouiller et s’occuper d’un mandrin qui vérifie que l’horizontalité est un sport difficile lorsqu’il est tendu.L’autre doit prendre ce geste comme une invitation. Il invite sa femme à faire de même.Deux hommes debout. Deux femmes à leur pied. Chacune adoratrice d’un mandrin que leurs lèvres explorent.—Qu’est-ce qu’ils font ? Me demande la jeunette qui fait, j’en suis persuadé, l’innocente pour mieux me prendre en défaut.—Rien Chérie. Je crois qu’on appelle cela le côte-a-côtisme ! Une façon de comparer… Les deux femmes sucent leur mec. Maintenant c’est une évidence. Mais les deux hommes se regardent, se font un geste qui ne peut être mal compris. D’un mouvement commun ils échangent leur place. Une seconde, chaque femme s’interroge mais dès que l’une replonge sur une bite qui n’est plus la ’familière", l’autre lui emboîte le pas.Alors, il est évident que dès le départ cela était prévu et que chacun et que chacune avait envisagé ce changement. La preuve est l’apparition, comme par magie, de capotes. C’est toujours beau deux femmes à quatre pattes, l’une en face de l’autre, chacune enfilée par le mari de l’autre, chacune pouvant voir son propre mari baiser une inconnue.Partage, merci à toutes les religions de promouvoir le partage pour atteindre le paradis. Alors… ils doivent être bien placé !Anne ne me demande pas de partir. Elle regarde…Dieu de l’amour, crois-tu que… On est redescendu. On est allongé au soleil. Mon sexe est redevenu raisonnable…—C’était beau, n’est-ce pas ? Je demande sachant que la réponse ne peut être que oui, sinon elle aurait manifesté son désaccord.—Si tu le dis ! La mauvaise foi est évidente. —Chérie reconnaît que ces deux couples nous ont démontré que l’échange peut être bien vécu.—Peut-être, sur le moment, mais qui te dis qu’après ils ne vont pas regretter.—Mais c’est une décision commune. Personne n’a forcé l’autre et en montant les quelques marches, tous savaient ce qui allait se passer.—Mais dans la vraie vie cela est différent.—Je ne comprends pas.— Il arrive que l’homme reproche son comportement à sa femme.—Mais c’est ridicule, s’il est d’accord ou lui demande… Mais en parlant je comprends que le malaise est profond, pas inventé, mais vécu. Chérie, dis-moi, on t’a déjà fait du mal ?—Pas du mal mais on m’a reproché que…—Mais comment ?Un silence et puis : Avant de te connaître je vivais avec un homme. J’étais heureuse, mais il en voulait plus. Il voulait… Comme ceux que l’on vient de voir…Et plus… Beaucoup plus…—Oh, je suis désolé.—Tu n’y es pour rien. C’est ma faute. J’ai accepté. Je me suis pliée à ses envies.—Il t’a forcée ? —Même pas. Je l’ai suivi sur ce chemin ou moi aussi j’ai trouvé un plaisir particulier. Je me suis pliée à ses envies, pires je les ai précédées. Je suis devenu libertine d’abord pour le satisfaire mais ensuite pour mon propre plaisir. Mais il m’a chassée en m’accusant de tous les vices. Je n’avais fait que lui plaire… Je me sens minable. Minables et coupable d’être mis en face de ce que devais ressentir mon Ex. La vérité à plusieurs facettes…. —Excuse-moi. Tu as dû me trouver très lourd avec mes blagues. —Tu ne pouvais pas savoir. Et puis c’est oublié. Je t’ai rencontré. —Mais de voir ce que nous avons vu a dû te rappeler de mauvais souvenirs. —Pas vraiment.—C’est-à-dire ?—Non, tu vas me trouver trop…—Trop quoi ? Chérie rien de toi ne seras jamais trop. —J’ai bien apprécié, voilà tu sais tout. Voilà ta petite jeunette n’est peut-être pas aussi sage que tu ne pensais.—Oh, je suis marié avec une libertine et je ne le savais pas….—Ancienne libertine…—Mais c’est dans les vieux pots que l’on fait les meilleures soupes…—C’est d’une élégance…—Excuse-moi. Confidence pour confidence, hier j’ai aimé que le couple nous mate !—Je m’en doutais.—Ce n’est pas une surprise pour toi, je suis un vieux pervers.—Et moi une libertine repentie.—Tu sais je plaisante beaucoup. Il ne faut pas prendre ces blagues sur les petits jeunes au premier degré.—Mais je sais mon Chéri. Il faut les prendre comme pour celles sur le naturisme dont tu m’as bassiné longtemps. En parler beaucoup, le faire un beau jour… La petite futée. Je suis transparent pour elle. Alors c’est comme si je voulais me justifier : —En tout cas moi je ne te ferais jamais de reproches. Il faut le prendre comme une suggestion, pas plus. Elle me regarde.Je ne savais rien d’elle avant de nous rencontrer. Elle ne sait rien des raisons de mon divorce. Étrangement chacun a protégé l’autre. Chacun a créé sa carapace pour ne pas reproduire les mêmes erreurs. Jusqu’à cet été jamais les souvenirs, les bons de mes expériences avec mon Ex ne s’étaient autant imposés. Elle a raison, les blagues sur les jeunes sont un appel déguisé. J’ai 75 ans et je n’ai pas de temps à perdre. D’autant qu’Anne vient de me faire une confidence probablement difficile à avouer. Qu’elle avait pris goût au partage.Alors, les yeux dans les yeux je complète ma phrase par : —Juste une suggestion, pas plus. Mais je serais très heureux de la voir se réaliser. Ses yeux pétillent. Elle se penche pour me faire un baiser. C’est à ce moment que le soleil se cache. C’est en réalité nos voyeurs qui arrivent. —Vous avez trouvé. C’est bien. lIs disent. Leur arrivée est comme une évidence. Tout me parait plus simple. Ils s’installent.Nous bavardons. De choses et d’autres. Histoire de petite culotte. Histoire de couple qui fait l’amour sur la plage. Ils nous expliquent la découverte de ce lieu. Ce lieu ou ceux qui le veulent peuvent trouver des partenaires mais n’imposent rien à personne, l’île faisant office de coin câlin à ceux qui en ont envie.Anne ne peut ignorer l’intérêt que Julien lui porte. Moi je suis agréablement surpris que son épouse regarde de mon côté. Pour elle je suis un "Papy", au moins 35 années nous séparent. Finalement la blague de "plus jeune" marche aussi pour moi. —Vous êtes déjà monté ? Demande justement Julie. Je vais répondre mais c’est Anne qui me devance.—Oui, mais en voyeur ! Dans un flash je me sens ridicule de lui avoir expliqué que c’était du côte-à-côtisme. Elle le savait mais dissimulait encore son expérience comme moi j’ai dissimulé la mienne.Je complète. Deux couples qui se sont échangés. C’était très beau, hein Chérie. —Oui, très, justement je me disais… Elle se lève, se plante devant l’homme, lui tend la main tout en me regardant et :  —Ça vous plairait de me faire visiter ? Julien prend la main, se lève. Il va l’entraîner mais Anne me fixe, attendant manifestement mon accord. Mais c’est Julie qui parle pour moi : Moi aussi je visiterais bien…Vous m’accompagnez ? C’est un escalier naturel, marches irrégulières qui demande de faire attention. Mais je ne peux quitter du regard mon épouse qui est passé la première. L’homme la suit. Puis sa femme. Moi je ferme la marche. Croupes de femmes.Le seul désagrément du naturisme est qu’il n’y plus l’instant magique du déshabillage. Julien et son épouse ont eu le réflexe de prendre une serviette et leur sac. Je n’ai pensé à rien, même pas à prendre avec moi la boite de préservatif que j’avais achetée, qui m’aurait dénoncée aux yeux de mon épouse pour mon intention.  Est-ce l’adolescente obèse qui déjà s’agenouille devant l’homme pour gober son sexe ?Est-ce la femme à qui un mari inconstant demande de se donner à un autre ?Est-ce mon épouse, celle qui en me choisissant cherchait la stabilité ?Est-ce la coquine qui a enlevé sa culotte pour me provoquer ? —C’est votre première fois ? Me demande celle qui découvre que mon mandrin se déploie alors que celui de son mari a disparu dans la gorge vorace de la femelle.—Oui. La vérité est plus compliquée qu’un "Oui" simple, mais il n’est plus temps de bavarder. Alors que le couple s’allonge sur la couverture, dans un 69 qui se forme sans un bruit, moi je pousse Julie contre un arbre et m’occupe de sa fente. Elle a tout le loisir de les regarder. Je ne doute pas une seconde de sa jalousie envers mon épouse alors que seules les couilles restent visibles.Elle gronde. Je me relève.—Une capote ? Deux secondes et je m’en recouvre. C’est mon mandrin qu’elle regarde maintenant. Elle l’a déjà vu, du moins à distance et elle en découvre la vérité.Je la pousse vers les autres. Spontanément elle se met en levrette alors que le couple brise son 69 pour que l’homme enveloppe sa tige de latex.Anne s’empale sur lui alors que moi je pousse ma queue vers la fente rendue glissante de mes caresses. —Ahhhh.  Fait la femelle alors que je la remplis. Chéri il est gros, très gros. Avoue la salope à son mari alors que je commence à la baiser. Anne me regarde, souriante, complice. Chacun son petit jeune…. Il ne faut pas polluer. On récupère les capotes dans un sac. Nos petits jeunes sont prévoyants. Le monde à l’envers. Mais cette première fois n’est qu’une mise en bouche. Quelques minutes ou  les regards parlent pour nous, regards attendris et généreux, regards amoureux, mais de partage, yeux brillants alors que nos partenaire en veulent plus.  Elle s’accroche à lui comme à une bouée. Ses bras entourent son cou, ses jambes étreignent ses hanches. L’homme l’a soulevée comme une plume. La jeune femme obèse ne devait pas connaître cette façon de faire. La libertine, probablement que oui. C’est elle qui s’est laissé glisser sur la queue que le désir a retendue. Sous le regard de Julie, la complicité de son mari, je m’avance vers eux. Mon bâton a la vigueur de mes vingt ans.Si quelqu’un veut mon Tada...., qu’il me donne son adresse, je lui enverrai.Moi c’est mon cerveau qui se charge de distiller ce qu’il faut pour que ma femme ressente la pression ferme du vieux bâton. Je me frotte contre son dos, contre ses reins. Elle tourne son visage vers moi. Son regard est trouble. Son amant l’a déjà faite jouir et c’est bien parti pour qu’il recommence. J’avais oublié. Rien à voir avec le gode noir. C’est une vraie bite d’homme que je sens qui se frotte à la mienne alors que je trace mon chemin. Elle est ouverte mais je suis si gros et Julien n’est pas mal non plus.Elle gémit, me tend ses lèvres, se penche, se cambre.Son corps se relâche. Je sens et probablement que Julien aussi qu’elle glisse un peu plus sur nos deux bites complices.Tant pis si je me fais un tour de rein, mais je ne peux rester inactif. Penser à fléchir les jambes plutôt que se pencher. C’est la gymnastique que tout personne doit avoir à l’esprit.Flexion. Extension. AhhhFlexion. Extension. AhhhMais Julien vient au diapason. Il la soulève. Je l’aide. Il la relâche. Je fais de même.Ce ne sont plus les pistons qui bougent, ce sont les cylindres qui se déplacent.Julie veut participer. Chacune de ses mains palpe nos fesses et elle n’a pas peur d’envelopper mes couilles dans sa paume.Putain que c’est bon.AhhhhhhhhhhCrie la possédée….L’écho est énorme. Vos gueules les mouettes ! Laissez-moi déguster ces cris de plaisir, cette jouissance partagée entre nous, les humains.Allez jouer ailleurs….  Soixante-quinze ans. L’âge de la sagesse ?Surtout pas ! —Chérie j’ai un ami de passage qui vient dormir à la maison.—Oh, comment on va faire ? J’ai justement invité une amie à moi.
Diffuse en direct !
Regarder son live