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Fée sautée par mon cousin (suite)

Chapitre 1

Trash
C’est la suite de « Fée sautée par mon cousin » : aujourd’hui, il faut que je vous raconte mes débuts dans le cinéma.
Pour mon premier film, c’est un pro qui m’a convoquée pour un bout d’essai.Un mec, un portant : un pro d’Ucteur (je sais pas où ça se trouve ; cent doutes du côté d’au lit Voude).
Il m’a demandé d’aller voir la déshabilleuse pour me mettre en tenue, et pis il m’a dit « Allez, à genoux ! » J’ai pensé que c’était une scène religieuse, pasqu’il m’a demandé d’ouvrir la bouche et de tirer la langue, cent doutes pour recevoir là comme Union ; mais c’est pas une hostie qu’il m’a mis sur ma langue : c’était sa quéquette.
Moi, j’ai pas osé dire qu’il se trompait, pasque j’ai pensé que c’était normal dans ce métier, surtout qu’il m’a dit « Pour le bout d’essai, c’est mon petit bout ; essaie-le. » C’est vrai qu’il avait pas une grosse biroute comme celle de mon cousin Obélisque, mais j’ai fait celle qui sait comment ça se passe dans ce métier et je l’ai en boucher. Main tenant, je sais pourquoi c’est un pro d’Ucteur : il a produit au moins un litre de jus ; j’eus pas cru que ce fût possible. Qu’est-ce qu’il a produit ! C’est un grand pro d’Ucteur !
Il a dû être content de l’essai de son bout, car et pis après ensuite il m’a dit que j’allais pouvoir tourner. J’étais contente ! Alors il m’a dit « Tourne-toi avant de tourner. » Peut-être qu’une brune aurait compris, mais moi je suis blonde, et j’ai pas compris comment on peut se tourner avant de tourner. Mais c’est peut-être comme ça qu’on parle dans le cinéma, et j’ai rien dit, et pis je me suis tournée.
Moi, j’ai rien dit, mais le pro d’Ucteur, il a dit quelque chose comme « Vous pouvez y aller, les gars ! » Même si je suis blonde, j’ai bien compris que c’était pas à moi qu’il parlait, pasque je suis pas dégâts. Mais j’ai pas eu le temps de dire quelque chose pasque un autre habitant d’Ucteur m’a mis sa quéquette dans la bouche, et j’ai pas pu crier quand j’ai senti un gros truc tout dur qui s’enfilait dans mon… Oh, j’ose pas le dire ! Si, tant pis ; je me confesserai au curé de ma paroisse, celui qui me demande toujours des choses bizarres dans le con fesse ional pendant que je vois sa main s’agiter sous sa ceinture : il doit égrener son chapelet à toute vitesse à cause des péchés que je fais quand je me gratte entre les jambes, tellement que ça me démange. Quel saint homme que ce curé !
Bon, où j’en suis ? C’est vrai qu’une blonde, ça oublie vite le fil de ses pensées, surtout quand les phrases sont longues pasqu’elles ont plus de quatre mots… Ah oui ; je parlais de l’endroit où j’ai senti un gros truc tout dur s’enfiler, je m’en souviens maintenant : c’est dans mon trou à caca. Je ne pouvais rien dire, à cause de la grosse quéquette que j’avais dans la bouche ; heureusement que je ne voulais rien dire, pasque j’ai pensé qu’ils savaient ce qu’ils faisaient, ces gens-là : ce sont des pros, quand même ! Alors, j’ai attendu qu’ils aient fini leur bout d’essai eux aussi. Et pis en suite, derrière moi j’ai entendu le pro d’Ucteur qui disait « Bon, la répétition est OK ; la salope connaît son texte : on va pouvoir tourner. Amenez-la sur le plateau. »
Ils m’ont poussée au milieu d’une grande sale qui était remplie par plein de gens ; il y en avait dans tous les coins : comme c’est compliqué de faire du cinéma… Quand j’ai entendu crier « Silence ! », j’ai obéi : c’était facile pasque je disais rien. Et c’est là que j’ai vu Obélisque. Il m’attendait avec sa grosse biroute toute raide qui sortait de sa barquette.
Et pis le pro il a crié « Moteur ! » ; un autre a crié « Saturne ! » (je pense que c’était un astronome : ça devait sans doute être un film scientifique à gros budget) et un assistant est venu avec un clap où il y avait écrit à la craie « Obélisque et Clochette / Scène 1 / Plan 1 / Prise 1 ». Il s’est arrêté devant Obélisque et a vivement rabattu la claquette ; mais là, il y a eu deux grands cris : le pro d’Ucteur a gueulé « Action ! » pendant qu’Obélisque poussait un rugissement abominable pasque l’assistant lui avait écrasé les roubignolles avec son clap.
Le pro a crié « Quel con ! Coupez ! » mais là, j’ai fermé les yeux pasque je voulais pas voir mon pauvre cousin se faire couper la quéquette.
Et pis le pro il m’a dit « Obélix… » et moi j’ai pensé « Quel con, ce pro : il sait même pas prononcer Obélisque ! » mais il a pas entendu ce que je pensais, heureusement pour moi, et il a continué « …en a au moins pour une semaine avant de s’en remettre. Et toi, la blonde fute-fute, tu auras oublié ton texte d’ici-là ; alors il faudra que tu viennes le répéter avec mes assistants tous les jours pour que tu le connaisses bien. Et n’oublie pas de te faire un lavement ! » Je me suis demandé s’il voulait me confier le rôle d’une ventriloque, mais j’ai pas osé.
Voilà, c’était mon premier film.

Et moi, c’est ma première histoire, alors soyez indulgents pasque c’est difficile d’écrire. Quant à vous, les validateurs, je respecte les consignes : mon histoire fait tout juste 1000 mots ; je vous épargne la tâche de les compter !
Si vous avez aimer, j’écrirais la suite si je dépasse 3742 points.Je vous fais un gros SMAC (Silence-Moteur-Action-Coupez).
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