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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Fellations familiales

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Après une bonne douche et des ablutions rafraîchissantes, nous nous étions tous les quatre retrouvés dans le grand salon, où le tapis devant la cheminée et un vaste canapé étaient propices aux activités projetées. Mon père était revenu nu et je ne portais pour ma part qu’un caleçon de bain particulièrement flottant. Françoise avait gardé une nuisette quasiment transparente et une culotte de dentelle noire. Seule ma mère, toujours aussi prude au premier abord, s’était drapée dans un peignoir qui la cachait du cou aux mollets. Les bouteilles et les verres étaient prêts et après quelques bavardages, nous avons effectué le premier tirage au sort : c’est moi qui allait m’occuper de ma petite femme.Elle enleva sa nuisette et passa tout près de mes parents pour s’allonger sur le tapis. Là, elle attendit que je m’empare de son corps, totalement livrée à moi. Mes parents s’étaient confortablement installés pour ne rien perdre du spectacle que nous allions leur donner. Je commençais par de légères caresses sur le ventre, les seins, le visage, les cuisses. Des frissons parcoururent le corps de Françoise, qui avait replié un bras sous sa nuque et gardait les yeux fermés, toute entière aux sensations qu’elle ressentait. Avec ma bouche, je m’occupais tout d’abord de ses seins, faisant durcir ses pointes, jouant avec l’un puis avec l’autre. Lentement, je descendis le long de son ventre, décrivant des arabesques humides du bout de ma langue. Elle commença à écarter ses jambes, et je fis alors glisser lentement sa culotte sur ses chevilles, avant de la jeter au loin. Ainsi préparée, elle n’opposa aucune résistance lorsque je l’ouvris largement, exposant à la vue de tous son intimité déjà toute humide de plaisir. Je laissais un instant mes parents se régaler du spectacle ainsi offert, avant de plonger entre les jambes ouvertes. Pendant un moment, je passais de longs coups de langue sur son sexe et sa toison fournie, comme pour la laper, puis je me suis rapproché de son petit bouton, tout dur. Ainsi préparée, Françoise fut assez rapide à jouir, d’un orgasme qui monta lentement en elle. Elle se cambra sous ma caresse que j’intensifiais, et gémis longuement avant de se recroqueviller et de rester un moment immobile. Pendant qu’elle récupérait, mes parents me firent part de leurs impressions et me posèrent quelques questions sur notre pratique de cette caresse. Cela permit aussi à notre propre excitation de se calmer, pour que le deuxième ’round’ ne soit pas trop écourté. C’est Françoise qui tira au sort le papier suivant, qui nous annonça une fellation maternelle.Mon père se cala confortablement sur les coussins du canapé, juste à côté de nous, tandis que ma mère s’agenouillait devant lui. Le sexe paternel avait repris une taille normale, ce qui permit à Maman quelques préliminaires qu’elle s’empressa de lui prodiguer, le léchant sur toute sa longueur tel un sucre d’orge, avant de se concentrer sur les bourses. Je remarquais qu’elle se ne se servait pas de ses mains. Cela provoqua une petite variante encore plus épicée, qui me révéla une face inattendue de la sexualité de mes parents. Lorsque enfin sa bouche engloutit le membre dressé devant elle, ma mère croisa ses mains dans son dos, comme par réflexe. Avec un sourire canaille, Françoise alla chercher la cordelette qui retenait les rideaux du salon et, prestement, lui ligota les poignets. Elle lui ouvrit ensuite son peignoir et l’abaissa jusqu’à la taille. Pour la première fois, je voyais ma mère torse nu et je dévorais du regard ces deux globes ronds et lourds, à peine affaissés, aux larges aréoles sombres, aux pointes minces et assez longues. Le spectacle de cette femme entravée dont la bouche montait et descendait le long du sexe qu’elle s’appliquait à porter à l’orgasme, les seins ballotant légèrement au rythme de son oscillation, me tournaient d’autant plus les sens que cette femme était ma mère. Apparemment, mon père aussi appréciait cette situation : il se redressa soudain avec un grognement, attrapa la tête de son épouse et la maintint sur son sexe, alors que celui-ci se déversait en puissantes contractions. Ma mère avala les premières giclées, puis laissa le sperme déborder de sa bouche et couler sur elle. Françoise lui délia les mains tandis que mon père, comme assommé, s’affalait sur le canapé. Maman nous expliqua alors que la soumission à des liens qui l’entravaient était l’un de ses jeux sexuels favoris, depuis qu’adolescente deux de ses cousins l’avaient ainsi attachée pour mieux partir à la découverte de son corps qu’ils déshabillaient. Ils n’avaient pas abusé d’elle, mais c’était là son plus ancien souvenir sexuel, qu’elle s’amusait parfois à reconstituer en partie avec mon père.Nous avons alors décidé de manger quelques reconstituants, qui nous aideraient aussi à faire retomber la tension érotique qui s’était installée. La soirée était déjà bien entamée et promettait d’être longue. Nous aurions besoin de forces.
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