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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Fellations familiales

Chapitre 6

Orgie / Partouze
Puisque Françoise et moi étions désormais engagés dans un échangisme actif avec mes parents, il était évident que nous ne tarderions pas à nouer la même relation avec les siens. Je savais depuis longtemps que tous trois avaient eu durant toute l’adolescence de ma femme une activité sexuelle régulière, depuis qu’ils l’avaient dépucelée. Je soupçonnais même (et Françoise me le confirma) qu’il leur arrivait parfois de se livrer encore à quelques ébats occasionnels. L’heure semblait désormais venue pour que je sois inclus dans cette relation.Nous devions dîner chez mes beaux-parents, quand Françoise m’annonça que nous ne rentrerions probablement pas dormir chez nous. Son sourire canaille et les vêtements très sexy qu’elle avait choisis me firent aisément comprendre pourquoi. Je ne fus guère surpris, donc, de trouver ma belle-mère drapée dans un des saris indiens dont elle raffole. Même si celui qu’elle arborait ce jour-là lui dénudait tout le dos et collait tellement à ses hanches qu’il était aisé de deviner qu’elle le portait à même la peau. J’avais toujours été impressionné par la sveltesse de ma belle-mère, dotée d’une petite poitrine (qu’elle ne se gênait pas pour dévoiler, l’été, au bord de la piscine familiale) mais au corps très musclé, qu’elle entretenait soigneusement. Le dîner, copieusement arrosé de vodka, fut plutôt badin. Ils m’y racontèrent leur sexualité partagée, tandis que Françoise et moi leur firent part de notre récente expérience avec mes parents. À l’heure des digestifs, ma belle-mère m’annonça qu’ils allaient m’offrir un spectacle à trois, pour me mettre en condition : la reconstitution de l’initiation de Françoise. Mais je devais payer mon ticket d’entrée à ce spectacle : y assister nu et attaché sur l’un des fauteuils anciens du salon. C’est ma belle-mère qui me déshabilla. Elle y mit suffisamment de lenteur et de frôlements pour que j’arbore une appréciable érection lorsqu’elle eut fini. Elle regarda mon sexe qui se dressait de plus en plus et, l’empoignant soudain, me dit : ? Vous devez rendre ma fille très heureuse avec cet engin. Il faudra m’en faire profiter. ? Me tirant par le sexe, elle me fit alors asseoir sur le fauteuil, où je fus attaché par les poignets et les chevilles. Pendant ce temps, mon beau-père installait le canapé convertible qui allait devenir notre terrain de jeux. J’eus un véritable choc en voyant Françoise, qui s’était absentée pendant tout ce temps. Ma femme était redevenue l’adolescente qu’elle était à 15 ans : jupe plissée, socquettes blanches, sage chemisier totalement opaque, courtes tresses de part et d’autre du visage, et même les lunettes rondes que je lui avais vues sur des photos d’alors.Le spectacle qu’ils m’offrirent, je ne suis pas près de l’oublier !... Françoise s’était étendue entre ses parents ; à tour de rôle, ils déposaient des baisers dans son cou, sur son visage, sur son corps encore habillé, sur ses lèvres. Elle y répondait, mais le plus souvent se laissait aller, les yeux fermés. Son père entreprit alors un baiser plus long et plus profond, mêlant leurs langues avec douceur, durant lequel ma belle-mère commença à déshabiller la poitrine de sa fille. Quelques instants plus tard, Françoise se retrouva torse nu, chacun de ses parents léchant et suçant un de ses seins, faisant se dresser ses tétons larges et si sensibles. Ma femme gémissait doucement, à la fois sous les baisers et sous les caresses. C’est ma belle-mère qui, la première, glissa sa main sous la jupe de Françoise. Lorsqu’elle la retroussa complètement, je pus constater à l’humidité de la culotte de coton blanc qu’elle avait enfilée que le plaisir que ressentait Françoise était réel et non simulé. Son corps se tendit comme un arc quand sa mère, à l’intérieur de la culotte, entreprit de lui caresser le sexe. Pendant ce temps-là, mon beau-père s’était levé et se déshabillait entièrement. J’avais beau savoir qu’il pratiquait le yoga depuis des années, j’admirais que son sexe ne soit que modérément excité, alors que le mien était au maximum de son érection. Nu, il observa un long moment la caresse des deux femmes, avant de se pencher et d’enlever doucement la culotte de sa fille. Ficelé sur mon fauteuil, j’étais aux premières loges pour voir le lent va-et-vient des doigts de ma belle-mère autour, sur et dans le sexe inondé de ma femme.Les deux femmes se séparèrent ensuite, et mon beau-père s’allongea entre elles. ’Je vais t’apprendre à caresser un sexe d’homme’, annonça ma belle-mère, plus ordonnatrice du spectacle que jamais. Elle avait pris la main de Françoise dans la sienne, et lui fit faire de larges mouvements circulaires sur le corps de son mari. Peu à peu, les deux mains se rapprochaient du sexe qui était désormais bien dressé ; je crus jouir sur place quand je vis Françoise, d’un geste faussement hésitant, empoigner le manche dressé devant elle et commencer à le masturber. ’Prends-le dans ta bouche et suces-le comme un sucre d’orge.’ commanda encore ma belle-mère. Françoise, dont je savais combien elle était experte dans cette caresse, s’appliqua à la rendre maladroite comme elle avait dû l’être la première fois. Ma belle-mère passa derrière elle et, s’agenouillant, se mit à lui lécher à son tour le sexe, tout en lui malaxant la poitrine. Au bout de quelques minutes de cette double caresse buccale, Françoise s’allongea à nouveau sur le dos, les jambes largement écartées devant son père. Celui-ci rampa lentement sur elle, sa bouche passant du sexe ouvert au ventre, puis aux seins et enfin à la bouche de ma femme. C’est ma belle-mère qui le dirigea quand enfin il amorça sa lente pénétration. De ma place, au comble de l’excitation et de la frustration de ne pas pouvoir faire un mouvement, je voyais le long sexe fin de mon beau-père s’enfoncer petit à petit dans celui, largement dilaté, de ma femme. Elle poussa un long gémissement étouffé lorsqu’il se ficha complètement en elle, enfoncé jusqu’au bout. Puis il commença son va-et-vient, ressortant parfois complètement pour replonger en elle, parfois lentement, parfois d’un seul coup. À ce petit jeu, Françoise ne tarda pas à exploser de plaisir, et elle eut trois longs orgasmes avant que son père ne se retire précipitamment une dernière fois et jouisse enfin dans la bouche de sa femme, attentive au ’dépucelage’ de leur fille.Tous les deux, père et fille, restèrent immobiles sur le canapé déplié, terrassés par leur plaisir. Ma belle-mère, elle, s’approcha alors de moi. Sans un mot, elle retroussa son sari jusqu’aux hanches, dévoilant son buisson abondant qui cachait mal un sexe manifestement au moins aussi inondé de plaisir que celui de Françoise. Se positionnant à califourchon au dessus de moi, elle s’empala lentement sur mon sexe tendu comme il l’avait rarement été. Vaincu par tant d’excitation, j’ai joui avant même qu’elle ait fini ; elle-même ne fut pas longue à connaître l’orgasme à son tour, une longue plainte rauque accompagnant les contractions de tout son corps, qui n’était même pas entièrement déshabillé.Et pourtant, ce n’était que le début de cette longue soirée.
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