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Féminin pluriel

Chapitre 3

Lesbienne
Nos premières fois (suite)
Comme vous pouvez l’imaginer, le vendredi me parut sans fin. Samedi, le repas vite expédié je courus jusque chez ma prof de gym, elle habitait au-dessus d’une modiste et, en avance d’une demie-heure au moins, j’eus le temps d’apprendre par cœur les modèles, leur nom et leur prix!
Enfin, je monte quatre à quatre les marches de l’escalier de l’immeuble bourgeois, au deuxième, porte droite, je cogne la tête de lion et les jambes en guimauve, le cœur emballé, je saute au cou de Claudie lorsqu’ elle m’ouvre.
“Je me demandais si tu oserai venir. Je suis très heureuse de te voir.“Elle est en bas de survêtement, un maillot de basket aux couleurs du lycée en haut donne libre accès à ses seins qui flottent en le déformant.
Elle me propose à boire, je pense « oui, ton minou » et accepte une bière pour faire la grande. Elle me remplit le verre et me le tend :“C’est bon pour avoir du lait ! “ dans un éclat de rire et nous trinquons debout.Elle boit vite et m’embrasse avec fougue. Qu’est ce que c’est bon, qu’est ce qu’elle embrasse bien! L’amertume cède la place à son goût.J’ai hésité avant de partir, culotte ou pas. Finalement j’ai choisi une bariolée que j’adorais jusqu’à maintenant, mais je réalise qu’elle fait très petite fille.
Elle sourit lorsque je lui glisse les mains dans son bas de survet’. “Doucement, prenons le temps, nous avons tout l’après-midi, non? » et elle m’emmène dans sa chambre, plongée dans la pénombre grâce au store vénitien, me pousse sur le lit, s’arrache de notre baiser et met un doigt sur ma bouche.La tête me tourne , je suis béate. J’aime la douceur du dessus de lit, j’assiste à mon premier (et très bref) strip-tease.
Le maillot a volé, suivi par le pantalon ; elle tourne sur ses pied nus, pour me découvrir ses fesses bien rondes qu’elle claque en se vantant :“Trente-quatre ans et pas un poil de cellulite !“ et me rejoint sur le lit. Elle est très touffue, le maillot bien épilé et n’a pas mis de culotte, elle me dis-je. Long, long, long baiser, elle ne me touche pas. “Reprends là ou nous nous sommes arrêtées “ me demande-t-elle la voix rauque. Je suis intimidée, alors seulement elle prend ma main et la guide sur son ventre, sa toison, son sexe qu’elle me fait ouvrir pour sentir sa moiteur et sa chaleur.
“Je te montre pour commencer, ensuite, tu trouves toute seule. Tu te masturbes souvent ?““ Oui !“

Je la trouve belle, sa peau douce. Je suis en feu, elle se laisse faire, écarte les cuisses pour me faciliter l’accès, lève une jambe, devient serpent, enfin, m’initie à l’art de caresser un sexe féminin.Je dois me débrouiller assez bien, car elle pousse de petits cris, qu’elle étouffe, puis, ses hanches ondulant de plus en plus vite, elle se lâche, pousse mes doigts dans sa fente, les sort, les remet, m’indique là où il faut insister, se cambre, souffle et quand elle retombe, se retourne vers moi, saisit mon visage entre ses mains et les yeux embués m’embrasse comme jamais encore.“Ohhh ! Comme tu m’as fait du bien ma chérie! “
Je n’ai pas le temps de répondre, elle défait ma ceinture, le bouton de ma robe, ouvre le zip et remonte mon pull. Ma petite culotte apparaît dans toute sa naïveté et la fait sourire quand elle me désape.“Tu as la beauté du Diable! “ On ne m’a jamais dit quelque chose d’aussi gentil, moi qui trouve mes seins trop petits (ma sœur trouve que ce sont des œufs au plat) et mes jambes maigres.
Elle me prend par les hanches, me retourne et se glisse sous moi. A peine assise sur son visage sa langue entre en action. Elle va loin chercher ma cramouille, lèche, aspire mes lèvres, agace mon clito avec son nez, le débusque, sa langue précautionneusement se dirige vers mon étoile, le flatte et m’encule doucement.Elle a posé une de mes mains sur son sexe ce qui me cambre en arrière, m’offrant encore plus, nos mains se touchent, se croisent dessus, elle m’ouvre ses cuisses, se frotte la rondelle, y pousse mon doigt, l’en ôte, retourne sur son bouton en lubrifiant nos doigts au passage et ainsi de suite jusqu’à ce que nous prenions notre plaisir, le mien déclenchant le sien.“Quel pied, putain quel pied! “ Elle souffle comme une jolie baleine et nous rions ensemble, comme d’un bon tour.Je love mon visage entre ses seins et lui distribue de petits baisers, elle transpire abondement c’est bon c’est salé. J’aimerais moi aussi lui dire combien j’ai joui fort grâce à elle. Elle aime faire minette, c’est l’un de ses moyens préféré pour jouir.
Allongées, elle me pose des questions sur la maison, ma sœur, qu’elle a eue en cours, ce qu’elle devient, sur moi et les garçons (j’ai juste quelques branlettes lors de soirées à mon actif, mais j’ai refusé les pipes), sur moi et Agnès (non, jamais rien de vraiment sexuel entre nous), sur ma virginité, mes goûts divers, etc.“Alors c’est moi qui t’initie aux joies du sexe, ma douce ! Je t’aurais crue un peu plus délurée. Comme Agnès ou Françoise. “C’est la propriétaire du bouquin porno. Elle a déjà changé plusieurs fois de petit ami et a la réputation d’être facile. Elle est sympa, sans plus. “Tu vas vraiment rendre le bouquin à ses parents ?“ hasardé-je.Un sourire énigmatique sera sa réponse. Je meurs d’envie de lui demander si elle aussi passera à la casserole. Ben oui, quoi, je suis jalouse.“Rassure toi, je la trouve quelconque et mal fringuée. Tu es bien plus jolie, ma colombe. “ Et elle propose un thé que je refuse, ayant besoin d’évacuer ma bière.Elle a un grand deux pièces, je trouve facilement la salle de bain-toilette.
Quand je reviens, elle ne me laisse pas m’asseoir sur le lit, se lève et vient à côté de moi.Elle prend ma main, la pose grande ouverte sur sa chatte, pousse légèrement l’index et le majeur et les recourbe sans les faire rentrer complètement.“Branle moi comme ça, va vite, hmmm, encore plus vite, ne bouge rien!“ Et le clapotis de mouille augmente au fur et à mesure que je la paluche, ma main est rapidement submergée, elle râle et se laisse tomber à la renverse jambes ouvertes. Faudrait être idiote pour ne pas comprendre qu’elle veut que je la suce. Le traitement que je lui ai fait subir l’a mouillée comme jamais, j’en ai plein la main, ça lui coule le long des cuisses. Ma langue qui elle aussi fait des bruits obscènes lape partout où son jus s’est répandu, de ses belles cuisses à son clito. J’aspire et me délecte, j’aime et suis moi aussi très humide.
Elle exhale un “AHHHHHH“ long et sourd, et emboite son sexe sur ma jambe, cale sa cuisse sur le mien et bouge le bassin frénétiquement. Je l’imite maladroitement au début, puis nous trouvons notre accord et c’est un nouveau plaisir. Ses poils m’irritent un peu au début, mais je trouve la bonne position. Ses mains se plaquent sur mes fesses qu’elle écarte en me collant à elle, nous nous pistonnons un bon moment, mes seins claquent sur les siens, nos ventres font pareil et le plaisir monte, mon premier doublé, je ris d’aise entre deux hoquets.Elle m’avouera avoir eu elle aussi un chapelet d’orgasmes. Nous sommes épuisées et restons emmêlées, les yeux dans les yeux, si proche, elle a l’ air terriblement sérieux. Nous communiquons par petites grimaces, par grognements, je lui demande si c’est toujours comme ça. Elle hoche la tête pleine de promesses.“Tu as juste entrouvert les portes du Paradis“ me chuchote-t-elle en avalant sa salive.
Le restant de la journée passera à parler de tout et de rien, essayer ses fringues (car il lui arrive de porter autre chose qu’un survet’!) et nous embrasser en nous caressant doucement. J’aime l’odeur de sexe, de sueur (elle n’est pas épilée sous les bras, moi non plus) qui flotte dans la chambre. Je raffole de ses petites attentions, mots doux que j’ose à peine lui rendre.
Elle a une réunion de famille le dimanche, alors il nous faudra attendre mercredi pour nous revoir.Je suis désagréable au possible avec tout le monde, sauf pendant le cours de gym, mardi fin d’après-midi. En me changeant, je trouve une grande enveloppe dans mon sac de sport.Elle contient une culotte en dentelle noire et un petit mot : »Tu as passé l’âge du coton, tes trésors méritent d’être mis en valeur.» signé : Claudie, très amoureuse de toi.Nous nous sommes revues régulièrement, je lui ai demandé par amour de me déflorer, bien qu’avec la gym et le sport le principal était fait, puis, chacune avons trouvé une autre amoureuse pendant les grandes vacances. Elle a ensuite changé de ville pour se rapprocher de ses parents âgés, mais nous avons toujours gardé contact et nous sommes revues de rares fois, toujours avec le même plaisir.“Il y a de la nostalgie dans sa voix. Alors, comme ça Cécile est une sentimentale…»
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