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Féminin pluriel

Chapitre 4

Lesbienne
Nos premières fois (suite)
Et oui, Cécile est aussi une sentimentale… Un petit moment passe, nous rêvassons. Je vais faire réchauffer des amuse-gueule congelés, j’infuse un thé vanille et reviens avec un plateau bien chargé. Pendant que nous picorons et sirotons Jackie se lance :
« D’accord… je comprends mieux maintenant tes escapades lyonnaises! Je me doutais de quelque chose comme ça. C’est touchant, je trouve. J’admire ta fidélité.Moi, ça a commencé avec un garçon. Au début juste une branlette après les baisers sur la bouche, puis je l’ai sucé, j’en avais autant envie que lui. Ca nous a plu à tous les deux, alors rapidement nous avons fait l’amour et ce sont les études qui nous ont séparés. J’ai eu d’autres aventures qui ont élargi mes connaissances amoureuses. J’avais la chance de vivre dans une famille où nous bénéficions d’une relative liberté, charge à nous d’éviter les grosses bêtises, genre grossesse inopinée. Et quand j’ai rencontré celui qui fut mon mari pendant plus de vingt ans, ma petite étoile avait déjà bien servi et je n’étais plus une débutante. Il a été bien étonné quand il a voulu une cravate de notaire de voir que je m’exécutais! »
Effectivement, avec sa poitrine elle a du donner plus qu’à son tour !
« Ca a duré jusqu’au jour ou il m’a annoncé qu’il me quittait pour une collègue, plus jeune que moi, un classique banal.J’avoue que j’ai eu mal, je ne m’y attendais pas et pendant la période du divorce, j’ai même envisagé de me jeter sous un autobus.Et puis je me suis consacrée au boulot et quand notre patron m’a proposé une promotion canapé pour remplacer la chef-comptable qui partait en retraite, j’ai vite cédé. Je n’avais pas particulièrement envie de lui, mais je voulais me venger de mon ex (qui s’en fichait éperdument en fait) et avais envie de sentir une bite. Quelque part aussi j’étais contente de voir que je pouvais encore attirer un homme.Ca n’a pas été une réussite. Je savais qu’il était rapide en affaires, mais il l’était au lit aussi. C’est donc frustrée que j’ai pris mes nouvelles fonctions. Il a bien essayé de remettre le couvert, mais si je veux bien baiser sur le bureau ou même passer dessous, hors de question de n’être qu’un vide-couille.
J’étais, on s’en doute, un peu paumée, je passais par des hauts et des bas, déprimais et continuais à me réfugier dans le travail.Un soir, vers 20h30 en sortant du bureau, j’assistai à une altercation entre deux femmes en voiture, et devant moi une portière qui claque, une Cécile (je ne connaissais bien sur pas son nom alors) qui part furibarde en traitant l’autre de tous les noms et casse un talon en voulant donner un coup de pied dans le pneu.
“Décidément, ce doit être la saison! Moi aussi je suis en plein divorce.“ Lui dis-je en lui évitant de tomber, plutôt embêtée d’être témoin de sa malchance.Nous nous installons au café du coin, je la sens elle au bord des larmes et lui propose de m’attendre devant un café. Je file lui chercher la paire de chaussures plates que je laisse au bureau, nous faisons presque la même taille. A mon retour, elle a un peu repris contenance, me remercie en souriant les yeux mouillés et m’explique que “oui en effet, je suis en pleine séparation, elle me trompe sans arrêt, c’est insupportable, in-sup-por-table.“ Sur le coup je ne relève pas le « elle ».Je lui raconte mon cas, elle compatit en me répondant que mon mari est bien bête d’abandonner une jolie femme comme ça. A quoi je réponds que le sien aussi est un idiot. “Et ce ne sont pas les seuls d’ailleurs“, pensant au boss.
“Nous ne sommes heureusement pas mariées“ répond-elle.Nous nous quittons là-dessus et convenons de déjeuner ensemble le lendemain pour qu’elle puisse me rendre mes chaussures. A tout hasard elle prend mon numéro de téléphone.
Midi et demie le lendemain, elle m’attend à la brasserie avec un sac et un joli bouquet de fleurs. Mes chaussures sont dans le sac et le bouquet pour moi. C’est la première chose gentille qui m’arrive depuis longtemps. “Nous avons à peu près le même âge et subissons à peu près les mêmes épreuves“ me dit-elle “il faut bien s’entraider et ne pas se laisser aller. A près tout, nous sommes encore comestibles, non ?“Son rire me fait du bien, le repas se passe rapidement. Elle insiste pour m’inviter.“Au revoir, encore merci de m’avoir évité le ridicule.“ Et hop, un bisou sur la joue elle a tourné les talons et moi direction boulot.
Le samedi, je suis dans mon bain, j’ai oublié cette histoire, je me détends avec mon petit canard quand le téléphone sonne.“Bonjour, c’est Cécile, vous savez, les chaussures. J’avais envie d’avoir de vos nouvelles. Ca va bien? J’ai deux places pour le ciné, une amie me fait faux bond, ça vous tente demain?“Vu le vide de mon emploi du temps, ok. Il ne fait pas chaud et malgré la serviette je grelotte un peu. La fine mouche s’en rend compte :“Je vous sors du bain?“ - de mon canard, surtout!“Pas facile de se frotter le dos seule, n’est-ce pas!“ J’ai envie de retrouver mon CANARD!“Je vous laisse, je rappelle plus tard. Au fait votre prénom ?““Jackie“
Je suis contente lorsqu’elle me surprend en m’appelant vers 21h pour confirmer les horaires du lendemain et me souhaiter bonne soirée.
Au ciné, c’est l’Arme Fatale 4, je n’ai pas vu les 3 autres, elle me dit adorer l’action et il y en a, avec le son Dolby à tout va je suis parfois collée au fauteuil. Plusieurs fois elle me regarde en souriant. Nos bras se touchant sur l’accoudoir, j’accroche sa main à plusieurs reprises.
“On va manger un morceau après?“ Va pour une brasserie réputée pour sa viande.“Je suis une cannibale! Manger c’est bon pour le moral.“ De fait l’entrecôte ne résiste pas longtemps. De temps en temps son pied, sa main me touchent. Est-ce dû au bourgogne que nous avons bu ? Au dessert je suis presque euphorique.Je le lui dit. Elle me répond qu’elle aussi passe une bonne journée et ajoute qu’elle a bien aimé au ciné quand je lui prenais la main.
Je suis venue en bus, elle me propose de me ramener. Mais en route, “pourquoi pas prendre le café chez moi? Promis je ne te fais pas le coup de la panne.“ Rire.Va pour le café, ces temps-ci les bons moments sont rares et elle est sympa. Je commence à me douter de ses intentions. Je ne suis pas tombée de la dernière pluie, mais je marche sur des œufs. D’abord je n’ai jamais eu d’expérience saphique (parce que ça ne s’est jamais présenté, mais je n’ai rien contre, surtout maintenant), ensuite, si je me trompais?Arrivées à destination, nous nous tournons l’une vers l’autre pour retirer nos ceintures. Je lis l’ambiguïté dans ses yeux. Ou est-ce de l’incertitude ? Je me jette à l’eau.“Dites-moi, quand je vous ai trouvé dans la rue, vous m’avez bien dit qu’ »elle » vous trompait sans cesse?““C’est ça, j’ai vécu plusieurs années avec elle“ décroche t-elle l’air affairée en débouclant sa ceinture. Je pivote en même temps qu’elle pour faire la même chose et nous sommes face à face. Elle un peu tendue. Je lui souris gauchement.Elle est rassurée, reprend le contrôle de la situation, se rapproche et me donne notre premier baiser. Furtif d’abord, puis sur les lèvres et enfin à pleine bouche.C’est la première femme que j’embrasse, ben j’aime ça. Elle a un goût agréable, j’aime avaler sa salive, ses lèvres sont très douces, je hume son odeur. C’est un étrange mélange de sensations inconnues et familières à la fois.Les vitres sont teintées heureusement car, la rue a beau ne pas être très fréquentée, nous donnons un joli spectacle. Je l’ai enlacée, sa chaleur me fait du bien et elle a passé sa main gauche sur mes seins qu’elle caresse comme encore jamais on ne m’avait fait.J’ai envie de savoir la suite, je n’ai jamais pratiqué mais il y a toujours une séquence avec des lesbiennes dans les films pornos, ça me donne quelque idées. Pour le reste je lui fais confiance.
La digue du cul nous a prises et c’est en courant et en rigolant comme des gamines que nous croisons les passants. Elle a un petit deux pièces au troisième. Sur le palier nous n’avons déjà plus de manteau ni de pull, le temps qu’elle ouvre la porte j’ai ôté ma jupe et elle m’entraîne autant que je la pousse vers sa chambre où nous jetons nos affaires.Et nos baisers recommencent. Elle est bien fichue et entre deux baisers je le lui dis. Elle me trouve pas mal elle aussi, surtout mes seins (sans fausse modestie, ça serait bien la première à les trouver moches!) qu’elle compare aux siens, qui tiennent bien dans la main d’une honnête femme, je confirme volontiers. S’ensuit une dégustation réciproque et d’un commun accord nous leur attribuons 5 étoiles à chacun.Et puis, l’air hyper sérieuse, “mais qu’est ce que je vois là ???“ en regardant mon minou et elle plonge pour me faire la minette de ma vie. Sa bouche, sa langue, son nez, son menton, ses doigts, là oui, elle fait exactement comme moi quand je me branle , et là oh ! oui, bien aussi, je ne connaissais pas, elle passe partout, rien ne lui échappe. J’aime dire des mots cru en baisant, je me laisse aller, elle semble apprécier car à chaque fois que je la traite de reine des salopes, de super bouffeuse de chatte, de Messaline, elle ronronne un peu plus.Je lui rend tant bien que mal ses caresses, mais elle s’allonge entre mes jambes, je ne peux que la regarder faire et profiter.
D’ordinaire je mouille facilement et assez abondamment. Là j’ai l’impression d’être un ruisseau. Quand je lui dis que je vais jouir, elle se met deux doigts dans la chatte et les ressort pour se faire le cul. Ouhlalalalaaaaa! Je jouis sous son visage. Je suis envoûtée, quand elle vient m’embrasser, elle sent encore ma cramouille. “Tu es une magicienne, je commençais à avoir des toiles d’araignées!““J’ai vu! Mais si je suis Messaline, toi tu ne serais pas du genre Agrippe Pine ? Attends un peu voir.“ Elle se lève et farfouille dans un tiroir d’où elle sort un godemiché. Se met en levrette et le passe entre ses lèvres, d’en haut, puis d’en bas et me le tend. “Tu veux bien me le mouiller, chérie ?“C’est un jeu d’enfant de le sucer et de me le mettre. Il glisse en produisant un peu de bruit. Pareil lorsque je le passe sur son clitou, puis lui introduis entre les lèvres. J’en ai utilisé quelque fois sur moi, mais je fais attention à elle. Quand j’accélère :“Fait moi voir comment ça fait par là…“ murmure-t-elle gourmande en écartant ses fesses.Je le présente à peine qu’elle donne un coup de reins en arrière et l’engloutit, ma main contre ses fesses.“Aaaaahh défonce moi, n’aie pas peur, j’aime comme ça !“ et elle donne de grands coups de cul.“Poignarde moi la rondelle avec, s’il te plaît !“ J’obéis, j’ai l’impression que son cul va se déchirer, le bras me fait mal, je tiens le gode à deux mains, son cul mouille, de temps en temps ils sort complétement dans un bruit de pet qui nous excite et enfin elle rit à pleine gorge en jouissant.Nous sommes en sueur, elle garde le gode en elle, se retourne et m’embrasse.“ Quand j’ai vu que tu te faisais enculer, je me suis dite que tu comprendrai et saurait. Merci c’était génial! “J’ai voulu aller prendre une douche mais elle m’a retenue doucement en murmurant :“Garde tes odeurs, j’ai envie de te sentir par tous les sens.“Le lendemain, elle m’a accompagnée au boulot et est revenue le soir. Je ne l’ attendais pas, mais j’avais envie de recommencer. Elle a souri timidement, moi aussi et depuis elle a déménagé dans l’immeuble quand un appartement s’est libéré et nous sommes ensemble autant que nous le voulons. Le reste, Ariel, tu connais. »
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