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Féminin pluriel

Chapitre 13

Lesbienne
Les restrictions au voyage enfin levées, ma Chérie (voir “un déménagement imprévu”) peut enfin aller passer une semaine chez ses parents. D’un commun accord, elle y va seule. Moi, j’irai dans l’Oise retrouver Jackie et Cécile que je n’ai pas vues (ni connues, comme on dit dans la Bible) depuis... pfff... trop longtemps !
 


Dès mon arrivée à la gare, elles m’informent qu’elles ont prévu d’aller dîner le lendemain soir chez Lila, notre amie/amante restauratrice, qui a profité de la fermeture pour effectuer des modifications...Leur petit sourire pique ma curiosité, mais j’ai beau faire, motus, elles ne révèlent rien.
— Surprise, tu devrais apprécier... on a immédiatement pensé à toi !
Je me doute bien que nous ne ferons pas que manger ! Lila, c’est un personnage ! Je la surnomme l’Ogresse, ma Trollesse ! Je serai heureuse de la revoir elle aussi.

Grande, de belles rondeurs partout où accrocher le regard, des seins... non ! de vrais nichons tellement il y en a (et on en redemande, croyez-moi), une croupe à rendre jalouse une jument boulonnaise et avec ça une peau mate au grain phénoménalement fin qui lui confère une douceur... 
Par-dessus ça, de grands yeux d’un noir profond, un sourire irrésistible, une voix plutôt grave avec un petit accent de là-bas qui me remue les tripes.



En bonne Ogresse, elle aime, elle adore le sexe. Depuis qu’un de ses serveurs avec qui elle avait eu une aventure s’est imaginé lui avoir mis le grappin dessus, le personnel est féminin.

Nourriture et accueil sont à son image, généreux, simples, bien faits, de bons produits naturels en abondance. Il y a peu de tables, ça ne désemplit pas, car elle est réputée bien au-delà du village. 


Le soir dit, nous prenons l’apéro au bar, Lila serait vexée si nous n’attendions pas pour dîner avec elle après le service. Les peintures et divers aménagements ont changé. C’est de bon goût et sent encore le neuf.Il y a aussi une nouvelle serveuse en salle. Encore plus typée orientale que sa patronne. Pulpeuse, gracieuse, très souriante.
Vers 22h30, la lumière se tamise et la nouvelle serveuse qui s’est discrètement éclipsée pour se changer, d’un bond tourbillonnant jaillit au milieu des tables exécuter une danse du ventre.
C’est donc ça la fameuse surprise ! 
J’ai toujours été fascinée par la danse du ventre !

Chaque table reçoit l’émoustillante visite de la danseuse et rapidement sa ceinture se garnit de billets. Ce n’est pas de la pacotille, elle est très douée, nul doute qu’après un tel spectacle, il va y avoir du remue-ménage dans les chaumières !


Comme nous sommes au bar, elle danse devant nous en dernier. Mais quand je veux glisser mon billet comme les autres, elle esquive d’un joli mouvement de hanches et de tête avant de retourner s’habiller en serveuse sous les applaudissements. Tout juste ai-je eu le temps de sentir la souplesse de sa peau soyeuse.

Le service terminé, Lila nous rejoint. D’un petit coup de menton, je lui indique la serveuse. Elle m’explique qu’elle est Syrienne, s’appelle Mina. Avec son mari, elle est partie en Angleterre, mais ce salaud l’a fait travailler dans un restau pour routiers de l’Est, si bien qu’elle a profité d’un chauffeur traversant la Manche pour s’échapper. La meilleure garantie pour que son Jules ne vienne pas la chercher. 
Le routier, qui connaissait Lila, a continué sa route, elle est restée travailler et hormis son ignorance du français, Lila n’a que des louanges à son égard. 


— Depuis qu’elle est ici, elle aurait pu se trouver un mec, mais elle les a tous gentiment envoyés aux pelotes.
— Et toi ? Tu l’as draguée ? 
— Eh bien, écoute, crois-moi ou non, pas du tout. Pourtant je pense qu’elle est chaude ... très chaude... A propos, tu lui as fait impression, elle m’a parlé de toi, l’air de rien, à plusieurs reprises...
 

Et elle se retourne discuter avec Cécile de problèmes locaux. J’observe Mina du coin de l’œil, elle est loin d’être repoussante, sa danse a mis ses volumineux atouts en valeur et donné des idées quant à sa façon de s’en servir, de quoi enflammer mon imagination et au-delà...

J’adore manger en cuisine. Les odeurs, l’ambiance, donnent une saveur particulière au repas – une complicité supplémentaire. 
Comme d’habitude, nous nous régalons.
Mes trois copines s’amusent bien, moi, j’ai perdu l’habitude des mojitos et caïpirinhas bien tassées et ça tourne ! Mais je suis si heureuse d’avoir retrouvé mes complices et passe un très agréable moment !

La conversation avec Mina se limite à de grands sourires, mais nous arrivons à nous comprendre et j’ai en effet le sentiment de ne pas lui déplaire. 
Repue, j’étends mes jambes en attendant le café. Le chat de la maison me frôle les chevilles. Passe et repasse. J’ignorais que Lila avait adopté un greffier. 

Béate, je regarde autour de moi, Mina sourit, les filles causent.
Mais ! On escalade mon mollet, furtivement. Des doigts de pied malicieux qui joueraient du piano... Ils grimpent doucement, jusqu’au genou ! 
 
Mina, yeux plissés, est perdue dans ses pensées... Je glisse une main le long de ma cuisse et entre en contact avec un pied rebondi, tout chaud. Doucement, je caresse le peton, le fais remonter le long de ma cuisse. 
Elle me regarde droit dans les yeux, l’effrontée. Le pied revient se poser en terrain conquis. J’adore ce moment. Pas de doute, elle me veut. Et je veux bien !

Cette situation est terriblement érotique, je goûte chaque miette de cette sensualité muette. Les filles nous ont laissées seules. Mina joint ses pouces et index, en forme de chatte, sans me lâcher des yeux fait mine de lécher.
 J’applaudis et fais aller ma main d’elle à moi pour lui indiquer que j’ai envie aussi de goûter sa foune. J’arrondis le pouce et l’index de ma main gauche, sans équivoque, j’y fais coulisser mon majeur droit.
 

Elle prend son verre, trinque avec moi, le finit doucement. Se lève, me prend par le coude et me guide vers sa chambre. 
Lila a trois petits appartements confortables qu’habituellement elle loue en bed & breakfast ou en pension. Mina ouvre la porte de celui qu’elle occupe, furtivement enlace mes hanches pour m’inviter à entrer.
C’est petit, mais cosy, le lit occupe une partie de la pièce qui ouvre sur une kitchenette bien équipée.


Je fais une tentative pour embrasser mon hôte qui me calme d’une petite tape, de son peu d’anglais propose du thé, et sans attendre, va le préparer, puis me fait comprendre qu’elle a besoin de prendre une douche après sa journée de travail.
 Je me propose pour aller lui frotter le dos, mais elle me repousse dans un charmant gazouillis.

 ...


La femme qui sort de la salle de bain est ultra-provocante. Elle porte fièrement une robe noire fendue haut, dos nu, plus que collante. Sur la tête, un palmier qui descend presque jusqu’à la naissance de sa raie. Le visage est à peine maquillé.
Posément, elle insère un CD et diffuse de la musique orientale. Dédaigneusement, elle jette ses claquettes et pieds nus, suit les mesures en ondulant doucement des hanches. 
Lentement, savamment, elle agite son ventre et fait ondoyer un nombril large et profond.
 
Elle danse rien que pour moi !J’ai toujours été émue par de jolis pieds, les siens sont beaux, un peu larges, les ongles bien laqués. Leur mouvement m’envoûte. Celui du palmier aussi. Je ne parle même pas du nombril ou du ventre autour...
Habilement, elle dirige mon regard là où elle veut être vue. Le show au restau était un spectacle de patronage à côté de celui qu’elle m’offre. D’un petit mouvement des hanches, elle remonte le bas de la robe et expose des cuisses grasses pleines de promesses.

Si je tente de la toucher, elle recule avec une petite moue. Pour récompenser ma patience, elle agite sous mon nez un cul somptueux dont elle me dévoile sans pudeur la rosette.
 

Elle danse.
 Ses bras se croisent sur sa poitrine et lorsqu’ils serpentent au-dessus de sa tête, deux seins lourds, aux larges aréoles sombres, tétons provocants, se libèrent et emplissent ma vue.

Et toujours la danse... ce ventre maintenant libre, ce corps provocant...

La musique syncopée susurre : tu vas lui lé_cher le mi_nou, tu vas lui ca_resser les seins, tu vas frot_ter ton ventre sur l’sien...
 

La jambe en avant, elle fait glisser et d’un coup de pied négligent, envoie balader la robe. Ses yeux parlent.
Sa danse l’a énervée, elle fait durer le plaisir, mais va bientôt se rendre. Ou me prendre...
J’ai sous le nez une touffe noire, fournie, drue, bien triangulaire. J’ai décidément trop chaud, je déboutonne ma robe et me dépoile aussi. Ni slip ni soutien-gorge. 



Je l’ai surprise, elle a marqué un temps d’arrêt. Je me caresse lentement, elle se montre de plus belle, accroche mes yeux, la coquine me tire la langue.
Nous continuons de nous chauffer, elle s’exhibe en virevoltant jusqu’à ce que la musique arrête. 
 

Entièrement nue, sans la moindre gêne, assise en tailleur, elle sert le thé que nous dégustons, sans parler, face à face. Puis en bonne ménagère, va soigneusement ranger le plateau et les petits verres.

— C’était très beau ma chérie. Merci !
— You like me dance for you ?


En guise de réponse, je passe un doigt dans ma minette et lui montre l’humidité qui vient doucement. 
Toujours avec ses gestes gracieux, elle s’agenouille devant moi, caresse et écarte mes cuisses et délicatement de la paume puis du majeur caresse longtemps ma motte. 
En feu, je prends sa tête et la guide vers ma grotte.

J’attends sa langue, mais c’est son nez qui vient me fouiller. Elle me hume, me branle avec, joue avec mon clitou, m’agace délicieusement et enfin me lèche le bonbon avec lascivité.
Je caresse ses épaules, quelle douceur ! Sa langue habile va chercher loin ma mouille, aspire mes lèvres.
Elle me parle, sans doute me dire qu’elle aime mon goût, car elle y retourne.
 

Sans prévenir, elle se jette sur moi, ne cherche même pas à m’embrasser, la tête enfouie dans les draps, elle frotte sa cuisse souple sur ma chatte, enflamme mon clito. J’essaye de lui rendre la pareille, mais elle m’immobilise de la jambe. 
Alors, j’attrape ses grosses fesses à pleine main et me laisse culbuter par cette femme qui m’écrase de ses gros seins, donne de grands coups de reins qui martyrisent ma chatte qui en redemande.Je suis sa poupée désarticulée. Nous soufflons d’excitation. Plus je frappe fort son cul, plus elle me pilonne.
C’est bestial et délicat tout autant. Son sexe s’est ouvert et je sens sur ma hanche son humidité. Ma jambe enserre la sienne.
Cela tient du combat. Pornographique. Amoureux. 
Je jouis la première, elle cherche son plaisir sur ma cuisse en soufflant.

Entre les cocktails, le repas et la partie de jambes en l’air, je ne sais plus trop où j’habite. Je flotte un moment et d’un coup j’ai un doute. Me serais-je fait michetonner ? (cela dit, avec ma Chérie nous avons déjà eu recours aux amours tarifés pendant un séjour au Maroc - et nous ne l’avons pas regretté -).
Une petite tape sur mon épaule fait s’envoler mes doutes ! Le visage qui me sourit est celui d’une amante, d’une maîtresse, pas celui d’une hétaïre qui attend son dû ! Le baiser qu’elle me donne est sans prix. Nos bouches ont le goût du thé, nos langues se mêlent, nous découvrons réciproquement nos salives. Sa langue charnue est plus longue que la mienne et prend le dessus.
Tout doucement, blottie contre elle, je me laisse câliner et, vannée, je fais ce que 99% des femmes reprochent à leur mari après la baise du samedi soir : je m’endors profondément...
...
Je suis réveillée par une caresse pour moi irrésistible. N’ayant sans doute plus sommeil, elle a exploré mon corps et découvert que j’avais le petit œillet bien souple... et que la moindre caresse provoquait l’ humidification immédiate de mon minet ! C’est son doigt bien lubrifié qui joue avec délicatesse, tourne et contourne, va s’humecter et revient. Yeux mi-clos, je continue à faire l’endormie et admire la vilaine qui, de sa main libre, a saisi un de ses gros seins, se triture le téton et arrive même à le mordiller ! Sûr, je ne risque pas de l’imiter !
Mais mon derrière me trahit. Il en veut plus que ce doigt qui tourne autour... du pot... Il se tend et quémande la pénétration. Demande reçue et acceptée, car après une ultime visite à ma chatte, son majeur mouillé s’insinue en moi.Autant durant sa danse et notre étreinte d’hier soir, elle était restée quasi-muette, là elle me cajole en paroles, minaude et peu importe que je n’y entrave rien. Du reste, elle a une voix charmante.
Mais, si je suis sensible, ô combien ! à sa caresse, j’ai envie de passer à l’action. D’un mouvement que dans les manuels militaires on qualifie de tournant et renversant, je me couche sur elle tête-bêche, voir si sa langue est aussi habile que son baiser. Voir aussi ce qui se cache derrière son buisson.

On admire avec raison les bas-reliefs assyriens, mais ceux de ma Syrienne soutiennent la comparaison ! Les cuisses grandes ouvertes c’est d’abord un plaisir des yeux, ensuite de tous les sens, odorat, toucher et goût... Il n’y a pas que les seins qui soient surdimensionnés chez elle. Son clito aussi est un peu plus (hummm), les fortes cuisses n’ont pas de cellulite disgracieuse, ses pieds sont joufflus comme ceux d’un (gros) bébé. Comme Lila, tout est plus, mais en harmonie... J’adore.

De son côté, elle connaît déjà, mais me bouffe le bonbon comme si c’était la première fois. Ayant noté mon petit vice, un doigt puis deux ont repris place dans mon fondement, ce qui me ravit... ou est-ce son téton qui vient chatouiller mon bouton ?Jambes en l’air, ses volumineuses fesses s’écartent aisément pour me donner accès à un œil de bronze qui visiblement a bien servi. Je suis souple de ce côté, elle est très, très détendue. Trois doigts y tiennent et son application renouvelée à me lécher prouve qu’elle partage mon penchant.
Mon pouce freine à peine le jaillissement lorsqu’elle jouit. Sur le coup, je pense à ce porno : couche-toi dans le sable et fais jaillir le pétrole ! Et ça me met en joie !
J’ai vexé ma camarade d’ébats. Elle pense que je n’ai pas apprécié son abondante jouissance. Avec de grands gestes, je désamorce la situation et elle rit avec moi. Allongées côte à côte, nous faisons connaissance, pas facile, mais avec de la bonne volonté, j’apprends qu’elle est d’Alep, qu’elle a 36 ans (une jeunesse !) et des tas de petites choses. Elle a compris que j’ai une amie et aussi pour Lila, Jackie et Cécile. Ca n’a pas l’air de la déranger. A approfondir...
Nous gesticulons beaucoup, alors, de temps en temps, une main frôle un visage, un ventre ou un sein... ou bien l’on étreint l’autre... je ne me sens pas frustrée, mais tout à l’heure, je n’ai pas joui... et cette belle plante le long de moi... alors les contacts deviennent des caresses, je la masturbe et ouvre mes jambes pour qu’elle me branle en retour.
Mais elle refait mon geste d’hier soir, un doigt qui enfile. Clairement, elle me propose de m’enfiler, je souris et passe ma langue sur mes lèvres de gourmandise. Elle me fait signe d’attendre, va a la kitchenette et revient avec tout un assortiment. Il y a carotte, courgette, aubergine et un long concombre qu’elle met entre ses jambes et, debout, mime un coït !
Je lui laisse le choix des armes. Va pour une courgette. J’aime bien la forme de l’aubergine, mais elle est trop grosse pour moi, je ne suis pas adepte de la dilatation. En revanche, elle n’en a pas peur et se l’enfile aisément. Mon clito n’étant toujours pas rassasié, je le caresse avec la courgette, la mouillant juste entre mes lèvres.
Me pensant inexpérimentée ou hésitante, elle la saisit et me l’enfonce en vrillant. Deux-trois allers-retours suffisent à la couvrir de ma crème. Encore un talent caché qu’elle me révèle !Mina, elle, n’a nul besoin de ses mains pour faire entrer et sortir son légume. Ses contractions suffisent. Juste de temps en temps une main pour la remettre en place. Elle peut ainsi me baiser à sa guise.
Vu nos positions respectives, elle a vu direct sur mon anus qui s’ouvre et se ferme au rythme de sa main. D’humeur farceuse, elle tente d’y mettre la courgette, mais cela force et me fait gémir. Qu’à cela ne tienne, elle choisit une carotte qui rentre sans problème. J’ai déjà été farcie de partout, mais les légumes c’est une première ! Les bras en croix, je me laisse défoncer et par un heureux hasard, ma main touche le concombre. Mina a laissé tomber son aubergine et je me dis qu’il est assez long pour deux. A regret, j’ôte carotte et courgette, lui demande de s’allonger en face de moi. La garce a tout de suite pigé la manœuvre. Jambes emmêlées, nous nous baisons frénétiquement. J’ai son pied à portée de ma bouche et lui suce les orteils en supplément gratuit.
Je crains que notre godemiché improvisé ne casse, mais il est assez souple et résiste à notre furie. Brave concombre ! Je ne pourrai plus en voir un sans me remémorer le chapelet de plaisir que celui-ci m’a procuré.
Nous sommes KO. Mina rampe jusqu’à moi et m’enserrant dans ses bras, une main sur le minou, un téton dans la bouche, nous nous endormons comme des enfants.
...
Au matin, trois petits coups discrets à la porte me réveillent, Lila passe la tête et m’adresse un large sourire et pose un plateau sur le lit.— Je me doutais que tu resterais à dormir. Je vous ai apporté du café.— Vous vous êtes bien amusées ensuite ?— Je suis allée sagement me coucher. J’ai un métier, moi ! D’ailleurs elle aussi, dit-elle en matant Mina qui est déjà levée, mais toujours en tenue d’Eve. — Je l’ai mise en retard ? — Pas de problème, son service ne commence qu’à 11 heures. Je sais qu’elle sera là avant. Dis donc, tu n’as pas dû t’embêter. Elle est bien faite ! Coquines !— Hmm Hmm !Et, découvrant le pot-au-feu :— S’il n’y a pas assez de légumes pour le couscous, je saurai pourquoi ! Là dessus elle referme la porte dans un grand éclat de rire.
Le regard complice que nous échangeons Mina et moi est plein de tendresse... le café est exquis ce matin !
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