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Ma féminisation (histoire vraie)

Chapitre 2

De cocu à sissy

Divers
La cage Dans la semaine qui suivit je sentais Joanne un peu distante et je me préparais à ce qu’elle rompt avec moi. Je savais que ça allait me rendre triste mais c’était la suite naturelle des choses et je l’accepterai. C’était aussi la semaine où j’emménageais dans mon tout premier appartement et j’avais hâte d’être seul pour me laisser aller plus profondément au plaisir des sissy hypnos et des jouets que je venais de recevoir. À peine installé je sortis la cage de chasteté de sa boîte. Je découvrais le petit "jouet" blanc qui me donnerait tant de plaisir. Je ne pouvais plus attendre de ressentir la frustration de ne plus pouvoir bander, la "démasculinisation" et le décuplement du plaisir anal que cela implique. Mais j’étais trop excité je bandais fort et malgré une trentaine de minute d’effort pour me calmer, ma bite ne voulais pas rentrer dans sa cage. Je décidais alors de ma branler et de la mettre juste après l’orgasme. C’était, me disais-je, la dernière fois que je me branlais comme un mec, bien que je ne pus m’empêcher de me glisser un doigt en même temps.   Une fois l’orgasme atteint, ma bite ramollissait et je pu enfin la glisser dans la cage. C’était si étroit et quelque part un peu réconfortant, comme un gros câlin. Je pris un cadenas pour sceller l’ouverture et au moment du "click" une vague de chaleur très agréable me traversait. Ma bite essayait légèrement de se débattre mais était trop affaiblie par l’orgasme que je venais d’avoir. A ce moment-là j’étais officiellement une sissy, je n’avais plus de bite mais un clito, je ne me branlerai plus mais je me doigterai uniquement, je m’achèterai des sous vêtement féminin et je chercherai des bites pour assouvir mes désirs sexuels. 
 J’hésitais à déballer également mon gode mais je gardais ça pour un peu plus tard profitant d’abord de l’excitation que me procure la cage. Je devais de toute façon retrouver Joanne qui vu le ton de ses messages allait m’annoncer la fin de notre relation. Je la rejoignis chez ses parents et elle me dit effectivement qu’elle n’était plus bien avec moi et qu’elle voulait mettre un terme à notre histoire. Elle me révéla aussi qu’elle m’avait trompé deux fois récemment en justifiant qu’on ne baisait plus, que pouvais-je répondre. Je me rappelle de sa phrase "je me sens un peu comme une salope de dire ça mais le cul ça compte, et j’ai faim de plus". Je faisais mine d’être un peu contrarié (ce qui était vrai) mais je me montrais assez vite compréhensif. En vérité ma cage commençait à me serrer, j’avais très envie de me doigter et je me sentais encore plus salope qu’elle. Nous nous quittâmes en bon terme et je rentrais chez moi épuisé. Le premier soir je n’ai pas réussi à dormir avec la cage. Je l’ai enlevé au milieu de la nuit mais je ne me suis pas branlé malgré la forte envie. Je la remis en place dès la sortie du lit le lendemain. 

 Le gode
 Une fois bien en place des nouvelles vagues de chaleur m’envahirent, le "click" du cadenas a de nouveau fait son effet. Je décidais d’embrasser ce plaisir et que la journée serai une journée consacrée à mon côté sissy. Je passais sous la douche et me raser entièrement le corps. Une fois sec j’eu la merveilleuse idée d’enfiler le string de Joanne qu’elle m’avait laissé il y a un moment et qui a fait le déménagement dans une de mes valises. Il était légèrement trop grand pour moi mais tenais en place. Seule ma cage de  chasteté sortait du string. Je regardais mon corps dans le miroir et j’étais ravi de ce que je voyais. Si on ne voyait pas mon visage, j’aurai pu passer pour une fille aisément. Mes jambes était douces longues et fines, mon petit cul rebondi auraient pu faire craquer des mecs. 
 C’est dans une attitude "sissy positive" que je me mis sur mon ordi, pris mon casque audio et commençai à regarder des hypnos allongé sur le ventre dans mon lit. Très vite je me pétrissais les "seins", les fesses et je me mis à sucer mes doigts devant toutes les bites qui défilaient sur mon écran. Je me suis rendu compte que je ne sentais même plus ma cage lorsque d’instinct mes doigts glissaient vers ma chatte sans même passer par mon clito. Je faisais des cercles autour de l’entrée pour faire monter l’envie jusqu’à ce que je n’en puisse plus. Je glissais mon index doucement le plus profondément possible, avant d’imprimer des va-et-vient réguliers. Les yeux rivés sur l’hypno j’ai très vite voulu plus. 
 J’attrapai la boîte de mon nouveau dildo et l’ouvris tel un cadeau de Noël. Je me souviendrais toujours de ce moment-là, j’étais vraiment heureux de cet achat, je l’utilise encore beaucoup aujourd’hui. Le gode est blanc, réaliste, 16cm, large comme 3 doigts, avec des grosse couilles qui pendent un peu et une base ventouse. Je l’accrochai vite à la tête de lit. A genou, je l’admirai en me tripotant les seins, avant de le prendre dans ma main pour la première fois. J’étais surexcité, ma langue vient se poser instinctivement sur une des couilles et mon visage se frotta à la hampe. C’est comme si j’avais attendu ça pendant des mois. Je m’arrangeai pour poser mon ordinateur sur le meuble juste derrière afin de regarder l’hypno pendant que je jouais avec mon sextoy. Je me frappais la langue avec, la bouche grande ouverte et me retenait presque de l’engloutir. Je lançai un premier baiser sur le gland, sentais la chaleur de mes propres lèvres et lâcha un petit gémissement. Le casque sur les oreilles, je ne sais pas à quoi il ressemblait mais j’aime à penser qu’il était très féminin. Je décidai de me lâcher et multipliai les baisers impliquant ma langue de façon progressive, la faisant tourner et tourner autour du gland. D’un coup j’essayai de mettre dans ma bouche la bite en plastique autant que possible. Je ne sais pas comment font les filles je n’arrivais qu’à rentrer un tiers entre mes lèvres (aujourd’hui encore je ne peux mettre que la moitié) mais je m’appliquai à pomper, serrer mes lèvres au maximum et à saliver, comme pour essayer de lui donner du plaisir. Je regardais toujours l’hypno et je me mis à faire des va-et-vient avec ma bouche, en gémissant de plus en plus souvent. Je sentais les veines glisser sur mes lèvres puis sur ma langue et j’adorais ça. Je sortais quelques fois le gode de ma bouche pour laper les couilles et la longueur de la bite et pour la frotter à mon visage. 
 Ma petite chatte commençait à réclamer de l’attention, il faut dire que les scènes de pénétration s’enchainaient sur l’hypno. Je tortillais du cul et sentais comme un courant d’air frais glisser sur ma raie et mon petit trou. Je décidais qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je plaçai mon ordi de l’autre côté de mon lit. Et à ce moment-là je me rendis compte que je mouillais. Mon clito était légèrement gonflé dans sa cage et du sperme dégoulinait, depuis un petit moment au vu de la mini flaque sur le drap. Cela m’excitait au plus haut point, je me sentais comme une femme fontaine. Avec le doigt je pris une goutte qui sortait de mon clito et le suçai de bon cœur. C’était salé, chaud et doux. J’étais encore plus excitée. Je pris un peu plus de sperme sur les draps et je le déposai habilement sur ma petite chatte. A quatre pattes, le cul lubrifié de sperme et habillée du string de mon ex, les yeux rivés sur un sissy hypno, je savais que les minutes qui suivaient allaient être incroyables.  Je remettais la vidéo au moment où les pénétrations commencent et je plaçai le gland juste à l’entrée de ma chatte. Je reculai mes fesses tout doucement, sentant la tête du gode m’écarter délicatement la fleur. Le gland est passé sans aucun problème, peut être grâce au lubrifiant naturel que j’avais appliqué. Je faisais des petits mouvements pour m’habituer à la pénétration et aussi pour faire monter l’envie. Je ressentais déjà beaucoup de plaisir, c’était bien plus agréable qu’avec mes doigts. L’envie montait et j’en voulais plus. Je m’empalai le plus lentement possible, millimètre par millimètre jusqu’à la moitié de la longueur, sentant toutes le corps du gode s’enfoncer en moi. Mes jambes devenaient faibles à cause de l’envie de m’empaler d’un coup jusqu’aux couilles, mais j’aimais trop la frustration et le désir qui montaient en moi. Je m’étais arrêter à la moitié du chemin et était resté comme ça une trentaine de seconde pendant lesquelles mon clito vibrait d’excitation dans sa cage. Je me remis à me pénétrer aussi lentement qu’avant et alors que je jetais un coup d’œil vers mes fesses pour essayer de voir combien de cm de plaisir il restait.
 Je me mis à re-visualiser la scène de Joanne devant sa fenêtre se faisant prendre en levrette par Mikael. Je revoyais tout le plaisir sur son visage et le corps musclé de son amant derrière elle. Je voulais être elle ! Je décidai à ce moment-là que je me ferai appeler Joanne également, en honneur de celle qui m’a déversé et qui m’a rendu sissy en me trompant avec un vrai mec. 
 Ces images m’excitait beaucoup trop et alors que j’avais glissé trois quart du gode dans ma chatte, je poussai mes fesses d’un coup pour prendre le quart restant, venant frapper la tête de lit. C’était beaucoup trop bon, ce mouvement a fait sortir de mon corps non pas un gémissement mais un vrai cri de plaisir qui venait du fond de mon bassin. Je l’avais entendu au-delà du son de mon casque. Je m’immobilisais quelques secondes en cambrant mon corps au maximum. Je sentais ma chatte pleine. Ma fleur s’était ouverte et avait accepté d’en prendre du plaisir. Les parois touchaient chaque millimètre de cette bite sans vraiment l’accrocher. 
 Je commençai à avancer mon corps, faisait glisser le gode hors de mes lèvres. C’était bon ! Mais le désir de me sentir pleine était plus fort, je me ré-empalai aussitôt au maximum, lâchant un nouveau gémissement. Je recommençai le processus une dizaine de fois avant d’accélérer le mouvement. Mes yeux regardais l’hypno mais je ne pensais qu’à Mikael, sa grosse bite et Joanne, baisant sur le canapé. Je fermai mon ordi et enlevai mon casque pour me concentrer plus que sur mon corps que je sentais très femme. Toujours cambré je faisais presque des petits sauts vers l’arrière en fermant les yeux et en me passant les mains dans les cheveux. 
 Je sentis une goutte sur ma cuisse gauche et me rendu compte que je mouillais vraiment beaucoup. La petite flaque sous mon clito avait grossie et des grosses gouttes pendaient de la cage. Je pris l’une d’elle sur mon doigt et à nouveau la posa sur ma langue. J’étais maintenant en transe, mes va-et-vient prenais de l’ampleur, je sautais sur le lit. Sentir ma fleur s’ouvrir délicatement à chaque percée du gode me donnais énormément de plaisir, et en même temps je ressentais une petite frustration. J’étais bloqué à un pallier, et n’arrivais pas à atteindre l’orgasme. Je me masturbais ainsi pendant des dizaines de minutes cherchant le point de non-retour qui me ferait atteindre le 7ieme ciel. Mais je finis exténué, à un point où le plaisir redescendait. 
 J’arrêtais donc doucement et progressivement de me baiser ne pouvant m’empêcher de continuer les va-et-vient encore quelques secondes. Lorsque le gode sorti complètement de ma chatte un petit bruit de succion s’échappa et je me laissai tomber sur le lit. J’étais épuisé et frustré de n’a pas avoir joui. Je me dis que c’est ce que devais ressentir Joanne à chaque fois qu’on baisait. Je comprends qu’elle ait voulu plus. Je regardai le gode encore en place sur la tête de lit et ne regrettai pas de l’avoir commandé. J’ai passé le reste de cette journée dans le string de mon ex, à alterner entre achats en ligne de sous-vêtements féminins et sissy hypno, mais je sentais que mes fesses avaient besoin de repos et ne trouvais pas la force de me masturber à nouveau. Plus à venir... 
Merci à tout.e.s de m’avoir lu et désolée que ce soit si long. Je n’ai même pas encore entamé la partie que je voulais aborder en début d’écriture. Cela sera pour le prochain texte. N’hésitez pas à me faire des retours, à me poser des questions. Je reprécise que c’est une histoire vraie (la mienne), bien qu’il y ait de fortes chances que certaines parties soient embellies par ma vision des choses et la nostalgie. La bise.  Joanne
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