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Ma féminisation (histoire vraie)

Chapitre 3

De sissy à femme (partie 1)

Divers
Ceci est la suite de l’histoire de ma sissification. Après m’être fait tromper par ma copine, je commençais tout juste à embrasser mon côté sissy.
 Le début de transformation
L’épisode de ma première masturbation avec un gode avait eu l’effet d’un déclic. Je décidai de faire tout ce que je pouvais pour ressembler le plus possible à une femme. J’ai la chance d’avoir un gabarit et un physique qui peuvent m’aider à atteindre cet objectif (à part peut-être une taille de pied un peu trop élevée), alors autant se faire plaisir ! Je jetai dans la semaine qui suivit tous les sous-vêtements de mec que j’avais, tout en recevant les strings, tangas, et nuisettes que j’avais commandé sur internet. Je me disais que c’était déjà un grand pas dans ma nouvelle vie, ce qui me remplissait d’enthousiasme pour la suite des choses. J’adorais le fait d’en porter tous les jours, et que cela devienne une normalité pour moi, et cela m’encourageait à aller plus loin dans la démarche. Je commençais également à pratiquer des exercices physiques pour sculpter le bas de mon corps, en évitant de développer le haut.
J’avais aussi acheté dans la foulée quelques éléments de maquillage : mascara, verni, et rouge à lèvres rouge foncé et mat, pince à épiler. Pas plus pour le moment, j’ai toujours voulu un maquillage léger et je ne savais pas encore m’y prendre de toute manière. Le week-end pointait le bout de son nez et c’était justement l’occasion de me former. Dès le vendredi soir, je m’enfermai dans mon petit appartement étudiant, scrutai un maximum d’articles/forums/vidéos tutoriels de make-up et m’exerçai à appliquer les quelques produits que j’avais reçu.
Je prenais un temps fou pour être sûre de mes gestes et, ma foi, pour des premiers essais, je trouvais le résultat plus que satisfaisant. La couleur du rouge à lèvres et du verni m’allait très bien, et donnait ce côté attirant sans pour autant être provocateur. Le mascara était le moins réussi, avec le recul que j’ai aujourd’hui, je sais que je n’avais pas choisi le meilleur, contrainte budgétaire oblige. De nature imberbe, je n’eus aucun mal à me débarrasser des quelques poils de menton. Mes sourcils étaient réussis, pas trop fins et pas trop épais. Un travail sur la forme était encore à réaliser. Je me dis qu’il ne manquait plus qu’un fond de teint pour être parfaite.
A la vue de ma propre image, je fus satisfaite et ravie. La petite chaleur au bas de mon ventre qui m’accompagnait depuis le début de ma soirée se transformait en vagues d’excitation, de plus en plus insistantes. J’arrivais déjà à ce moment-là à dormir avec ma cage de chasteté et ne la quittais que très rarement. La séance de maquillage avait essayé de réveiller mon clito et le tanga rouge (qui matchait bien avec mon rouge à lèvres et mon verni) était marqué par ma « mouille ». Mes petites fesses se tortillaient et ma chatte brûlait de désir. Mon regard se tourna vers le petit tiroir près de mon lit. Une nouvelle vague de chaleur m’envahit, sachant très bien que le gode qui s’y trouvait allait me procurer le plaisir que mon corps réclamait. Je le plaçai devant un miroir, accroché au sol pour pouvoir le chevaucher tout en ayant une idée de ce à quoi je ressemblais pendant l’acte.
Après quelques minutes à sucer et lécher le gode avec toute la passion que je pouvais donner, je baissai mon sous-vêtement le plus sensuellement possible et m’agenouillai juste assez pour que le gland caresse mon petit trou. Dès lors, mon clito laissa s’échapper un petit filament de sperme. Il faut dire que je n’avais pas utilisé le gode depuis la première fois. J’avais uniquement utilisé mes doigts, ce qui me suffisait à atteindre l’orgasme. Mais mon corps savait que le gode était différent, et qu’il en tirerait beaucoup plus de plaisir.
Le gland passa avec une petite difficulté, mais après quelques allers retours, je ne ressentais plus que du plaisir, des vagues de plaisir à chaque mouvement, du plaisir et encore du plaisir. Sans m’en rendre compte, je chevauchais vite entièrement le gode, je sautais dessus joyeusement et laissais mon corps exprimer tout le bien que ça lui faisait :
— Annnnh, oh oui !... Mmmh ! Oh mon Dieu…
J’étais persuadé que quiconque passait devant la porte de chez moi pouvait m’entendre et se dire qu’une femme était en train de prendre son pied. Et je me foutais qu’il le sache, c’était bon, et j’assumerai totalement si on venait m’en parler.
Je regardais dans le miroir et j’adorais ce que j’y voyais : une femme avec les cheveux plutôt courts et un maquillage presque au point, se branlant avec un gode pour assouvir ses plus bas besoins sexuels. Les mouvements que je faisais étaient plutôt féminins et élégants, je me cambrais facilement, mes coups de reins étaient amples et dans un rythme de houle allongée.
Je me sentais proche de l’extase. N’en pouvant plus, je me penchai en arrière pour que le gode stimule plus franchement mon « point G ». Cela me rendit pleine d’euphorie. J’accélérai le tempo assez vite et mes mouvements ne se concentraient plus que sur les quelques centimètres qui me donnaient le plus de plaisir. Je regardai une dernière fois mon reflet et ne put m’empêcher de visualiser à nouveau la grosse bite de Mickaël, l’amant de Joanne, mon ex, stimulant son point G pour la faire jouir comme je ne l’ai jamais fait. En me mordant les lèvres, comme pour relâcher la pression de tout le plaisir emmagasiné, j’explosai dans un orgasme aussi doux que fulgurant. Une multitude de petits jets de sperme chauds et épais se déposait sur ma cage de chasteté, sur mes cuisses, sur le sol. Il m’a bien fallu trois minutes pour me remettre de l’émotion et nettoyer tout ça. Le week-end passait et je continuais à m’entraîner au make-up tout en regardant un maximum de sissy hypno. 

L’amie
Le lundi, retour à l’université. Je n’osais pas encore mettre des vêtements de femme, mais je portais un string (comme toujours dorénavant) et l’épilation des sourcils que j’avais faite durant le week-end me faisait sentir femme. J’avais enlevé le reste de maquillage et seules de très faibles tâches de verni marquaient mes ongles. Je pensais que personne n’allait le relever. J’avais tort.
L’amphithéâtre était rempli et je m’étais assise au fond où seule une personne pouvait se placer à côté. Cette personne était une fille plutôt mignonne, ses lèvres pulpeuses attiraient particulièrement mon attention, les lunettes encadrant ses grands yeux noisette et son petit nez complétaient son look de jeune étudiante avide de savoir. Arrivée en retard, elle n’avait pas pu se mettre plus proche de ses amis. Je remarquais vite les regards sur mes ongles qui se multipliaient et lorsque je l’ai surprise, elle me sourit d’un air complice, posa un regard sur mes sourcils et attendit ma réaction. Etrangement, je n’avais pas honte, je lui rendis le même sourire et caressais légèrement mes doigts pour attirer encore un peu plus son attention. Le cours se prolongeait et elle me posait des questions pour être sûre de comprendre l’enseignant. C’était bien sûr une façon de briser la glace. Je fis alors la connaissance de Brenda.
Le soir-même, je reçus une demande d’ami de sa part sur un fameux réseau social, accompagnée d’un message : 
— Salut N, j’ai été ravie de te rencontrer. Au fait, j’ai vu ce que tu avais sur tes ongles, mais ne t’inquiète pas, je ne le dirai à personne. Je ne veux pas m’incruster dans ta vie, mais sache qui si tu as envie d’en parler avec quelqu’un, je serai contente d’être cette personne. Bisous.
Mon cœur battait fort. Mais elle semblait si rassurante lorsque nous discutions que je lui répondis simplement, par peur de brusquer quoi que ce soit qui pourrait arriver : 
— Salut Brenda, j’ai aussi été content de te rencontrer, tu es super sympa. Peut-être qu’on aura d’autres occasions de discuter et de se connaître.
Elle me répondit avec un smiley et m’envoya un lien vers un site internet. Je fus tout émoustillée lorsque je me suis rendu compte qu’il renvoyait à un article à acheter en ligne : un verni rouge, un peu plus vif que celui que j’avais déjà. Je ne savais pas quoi dire, elle enchaîna donc : 
— Je pense que celui-ci t’irait très bien.
— Eh bien je vais suivre ton conseil et je t’en dirai des nouvelles, lui répondis-je tout en commandant le verni sur internet.
Je la remerciais ensuite pour son ouverture d’esprit, et lui quémandais de bien vouloir garder cela pour elle.
— Ne t’inquiète pas, ton secret sera bien gardé avec moi, me rassura-t-elle une nouvelle fois. J’ai l’impression que c’est nouveau pour toi. Je pense que tout le monde a besoin d’un support, d’un repère pour s’épanouir dans ce genre de moment-là. Cela me ferait extrêmement plaisir d’être cette personne pour toi.
— Tu as raison, c’est tout récent, et j’ai beaucoup de questions dans ma tête. J’accepte avec grand plaisir !
Et c’est ainsi que Brenda devint mon amie. Elle me posa des questions pour apprendre à me connaître. Ses indiscrétions étaient amenées doucement et sans jugement, elle se montrait très compréhensive, et elle savait me mettre en confiance. C’est pourquoi je décidai de (presque) tout lui raconter, sur mon ex, son amant, la révélation de mon désir d’être femme. Je me méfiais encore un peu, ne sachant pas quel compte elle pouvait y trouver là-dedans. Je ne compris qu’avec le temps qu’il s’agissait que d’une bienveillance profonde, et d’une pointe de curiosité.
Nous continuions à dialoguer par SMS jusqu’à tard, puis le lendemain toute la journée. Nous discutions de tout et de rien, et des fois nous revenions au sujet de ma sissification. C’était très plaisant d’avoir quelqu’un à qui parler et qui en plus me donnait des conseils précieux. Je lui demandai son avis concernant le fond de teint qui pourrait m’aller. Elle me répondit qu’elle aurait besoin d’une photo de moi pour bien me conseiller. Je choisis, pour lui montrer ma confiance, de lui en montrer une où je serai maquillée du mieux que je pouvais.
— Tu es très belle, ton rouge à lèvres te va à merveille ! La séance de maquillage m’avait émoustillée et sa réponse m’avait carrément excitée. Mais j’avoue que j’ai du mal à me rendre compte de la couleur de ta peau avec la luminosité que donne la photo. Est-ce que ça te dirait de venir chez moi demain après les cours, je pourrais mieux te conseiller et on pourrait se faire belles toutes les deux ?
J’étais ravie de sa proposition et j’acceptai de bon cœur. Je me sentais comme une jeune adolescente qui allait faire une soirée make-up avec sa copine. Je ne pus m’empêcher de me demander s’il allait se passer quelque chose de plus. Peut-être que c’est ce qu’elle voulait ? Mais comment séduire une femme en étant ouverte à elle en tant que sissy. Et puis je ne voulais pas quitter ma cage de chasteté, je me sentais tellement bien avec et l’avais retirée qu’à de rares occasions pour me raser le plus vite possible. Qu’est-ce que je ferais si l’occasion d’une baise avec elle se présentait ? 
Je repris mes esprits en me disant que j’avais énormément de chance de trouver cette fille comme amie pour développer mon côté sissy. De toute façon, je ne pensais déjà plus comme un mec. Les fantasmes que je me faisais avec elle se résumaient à des scènes lesbiennes, très torrides, mais ne me mettant à aucun moment en position d’ « homme ». Mon excitation se manifestait que très peu au niveau de mon clito, mon petit cul, lui, était en feu et demandait de l’attention.
Le lendemain, en fin de cours, nous nous rejoignions donc à la sortie de la faculté et nous nous dirigeâmes chez elle. Sur le trajet, nos discussions étaient très naturelles, je m’étonnais de la facilité du lien qu’on avait déjà tissé. Elle vivait elle aussi dans un petit appartement étudiant, sa décoration faisait beaucoup plus chaleureuse que chez moi. Une atmosphère apaisante s’en dégageait, avec des parfums très féminins et une luminosité modérée légèrement teintée de bleu.
A suivre…
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