Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 179 J'aime
  • 3 Commentaires

Ma féminisation (histoire vraie)

Chapitre 5

De sissy à femme (partie 4)

Divers
La préparationBrenda et moi étions devenues très proches. Nous nous vîmes plusieurs fois par semaine après les cours, chez elle ou chez moi. Cela faisait trois semaines que notre petit épisode lesbien s’était déroulé et rien de sexuel ne s’était produit depuis. Mais je le vivais bien puisque je ne pensais qu’aux bites. Brenda était devenue une véritable mentore, me poussant à être de plus en plus féminine et me confiant parfois des petites missions pour m’assumer, comme aller faire des courses au bout de la rue en portant des vêtements de femme.Un jour, en plein cours, elle m’invita à une soirée qui allait me faire passer un nouveau cap :— Mon cousin et ses amis organisent un petit apéro chez lui ce week-end, je me disais que c’était peut-être l’occasion pour toi de t’ouvrir encore un peu plus et de t’assumer. Qu’est-ce que tu en penses ? me demanda-t-elle.— Je ne suis pas sûre, je ne connais pas ton cousin ni ses amis, je ne sais pas comment ils pourraient réagir.— Ne t’inquiète pas ma belle, moi je les connais bien, j’ai fait plusieurs soirées avec eux, ils sont très ouverts d’esprit. Et de toute façon, je serai là, il ne pourra rien t’arriver !Elle posa sa main sur la mienne pour me rassurer et insista une nouvelle fois.— Très bien, lui répondis-je, j’accepte. Mais à condition d’être préparée au mieux. Je ne veux pas qu’il y ait un seul doute sur le fait que je sois une fille.— Génial ! Pas de soucis, tu peux me faire confiance !Et le week-end arriva presque aussitôt. Le samedi, dès le début de l’après-midi, je me retrouvai chez Brenda pour une séance de relooking intense. Nous commençâmes par me trouver une tenue et tombâmes vite d’accord pour que je porte une robe bleu marine sans manche. Elle était cintrée, avec un ruban en guise de ceinture, ce qui faisait parfaitement ressortir mes hanches et mon petit cul rebondi (que je travaillais depuis maintenant plusieurs mois). Le décolleté en V ne laissait apparaître que le haut de mes pectoraux, qui de loin, s’apparentaient plus à des petits seins. Le bas de la robe tombait à la moitié de mes cuisses, laissant mes longues jambes sculptées et parfaitement épilées à la vue de tous.Je porterai un string bleu en dessous et pas de soutien-gorge, qui aurait été superflu au vu de la robe et surtout mon manque de poitrine. N’étant pas très à l’aise avec mes pieds, nous décidâmes qu’il valait mieux rester sur une paire de baskets blanches, qui passait partout, et était parfaitement adaptée à ce genre d’apéro entre amis pour pas trop en faire. Une petite veste noire en faux cuir m’accompagnerait de chez elle à la maison de son cousin.

Pour mon maquillage, on avait maintenant l’habitude et on savait très bien ce qui m’allait. Un petit coup de fond de teint et de mascara, un rouge à lèvres et un verni mat, l’épilation des sourcils de la main experte de Brenda et en un tour de bras je redevenais Joanne, la belle étudiante.Venait ensuite la question de ma coupe de cheveux. J’avais laissé pousser mes cheveux depuis le jour où j’avais vu mon ex me tromper, ce qui faisait à peu près deux mois, et ils me tombaient juste en dessous des oreilles. Je n’avais pas fait de coupe particulière jusque-là, mais avais bien entretenu mes cheveux à l’aide de produits que Brenda m’avait conseillés, et ils bouclaient légèrement. Avec son aide et un peu de laque, nous réussîmes à ce que ma coupe fasse un petit peu féminin sans trop attirer l’attention. Cela m’encourageait à les laisser pousser davantage.
Pour compléter mon look, Brenda me prêta une fine chaîne, un bracelet et des petites bagues couleur or, qui faisaient ressortir le bleu de ma robe. A peine eûmes-nous eu le temps de nous regarder dans le miroir et faire deux photos que l’heure était déjà arrivée. Le cousin de Brenda, Léo, vint nous chercher en voiture pour nous amener chez lui à une dizaine de minutes du centre-ville. Je rentrai à l’arrière de sa voiture en disant à peine bonjour, ayant peur du regard qu’il me porterait. Brenda fit les présentations et me présenta comme Joanne, sa copine de la faculté, en me souriant. Je lui souris à mon tour, prête à jouer le rôle à fond.Arrivés chez Léo, nous nous installâmes dans le salon où les quatre autres invités étaient déjà : deux mecs (Valentin et Adam) et deux femmes (Sarah et Laurine), tous un peu plus âgés que moi. Léo vivait dans une petite maison en collocation avec deux autres personnes parties en week-end, il en profitait donc pour organiser ce petit apéro. Je fus placée entre Brenda et son cousin et prenais que timidement la parole lorsqu’on me posait des questions. Personne ne sembla remarquer que je n’étais pas une vraie femme ou alors ils savaient parfaitement faire comme si de rien n’était pour ne pas me mettre mal à l’aise.Le futur premier amantLa soirée avançait et après une petite heure et quelques verres, je me détendis et participai beaucoup plus aux conversations. Petit à petit, trois groupes se formèrent avec des discussions distinctes. Léo et Sarah formèrent le premier groupe. Laurine, Adam et Brenda (qui avant ça, restaient près de moi pour ne pas que je me sente seule), formèrent le deuxième groupe. Enfin, Valentin et moi parlâmes de la faculté et nous nous entendîmes très bien.Valentin était étudiant en dernière année de master, bien plus grand que moi (environ 1m83). Il faisait du rugby et cela se voyait. Sa poitrine remplissait son t-shirt qui était pourtant censé se porter large, ses bras étaient deux fois plus imposants que les miens. Sa barbe de trois jours et des cheveux décoiffés lui donnaient un air sauvage, viril. Il était beau. Et je ne pensais pas ça qu’à cause de l’alcool, je l’avais remarqué dès que je suis arrivée.La conversation s’étendait à des sujets divers et je le surpris à vouloir flirter avec moi. Il avait posé plusieurs fois sa main sur ma cuisse et m’avait effleuré l’avant-bras de manière très explicite. Il savait ce qu’il voulait et n’avait pas peur de le montrer. Moi j’étais complètement sous le charme, je le laissais faire et je souriais en signe d’approbation. J’étais ravie qu’un homme s’intéresse à moi, je commençai à être excitée.Au bout d’un moment, nous nous retrouvâmes sur le bar entre la cuisine et le salon pour nous resservir à boire, à l’écart des autres. Valentin en profita pour se rapprocher encore plus de moi et il me tint par la taille pendant que nous sirotions notre verre. Il me lança d’un coup :— Tu as un mec ou une femme dans ta vie ?
— Non, je suis libre, lui répondis-je en souriant. En tout cas pour ce soir. Et toi ?— Je suis libre aussi, pour ce soir. On devrait en profiter. Je ne sus pas si cela voulait dire qu’il n’était pas en couple ou s’il voulait s’autoriser un écart juste ce soir-là. Je ne voulus pas le savoir. Il me regardait droit dans les yeux, sachant pertinemment l’effet qu’il me faisait. J’étais déjà tout à lui. Il aurait pu être en couple, marié, ou que sais-je encore, je voulais en profiter comme il disait. Je décidai donc de prendre les devants et lui montrer clairement que j’étais sienne pour la soirée. Je pris sa main, fis semblant de m’assurer que personne ne nous regardait (je m’en foutais de toute façon), je l’emmenai dans une autre pièce, au hasard, et fermai la porte derrière nous.La première fellationC’était une sorte de salle de jeu. Un grand sofa faisait face à un écran et une console dans un coin, un billard et un espace pour jouer aux fléchettes remplissaient le reste de la pièce.A peine la porte fermée, je me collai à Valentin et embrassai son cou chaudement. Il me serra contre lui en posant sa large main sur le bas de mon dos.— Mmh, tu m’excites trop, dit-il. J’adore tes lèvres.Et il posa son autre main sur ma joue en passant son pouce sur mes lèvres. Instinctivement, j’ouvris la bouche et lui lançant un regard de chienne en chaleur, lui montrai ma langue de manière qu’il pose son pouce dessus, en vins lui sucer le bout.— Et moi j’adore ton pouce, répliquai-je en lui enlevant sa ceinture.Je vis dans son regard que ces dernières paroles l’avaient excité. Il déboutonna lui-même son jean et baissa sa braguette. Je me mis immédiatement accroupie, la bouche déjà salivante. Je baissai son pantalon pour laisser deviner l’énorme érection qui se cachait derrière son caleçon. Je me dis qu’elle était énorme, mais je désirai attendre encore un peu avant la grande révélation. J’agrippai les côtés de son sous-vêtement pour me stabiliser et commençai à laper sa bite à travers le tissu. Je l’embrassai, le léchai et le mordillai pour montrer à Valentin tout le désir qu’il m’inspirait. Lui gémit et me tint l’arrière de la tête en m’encourageant :— Oh oui ma belle, continue. Elle est toute à toi, vas-y savoure-la.Ses mots me rendirent folle d’envie. Je ne résistai plus et voulus goûter à sa chair. Je baissai son caleçon d’une traite, jusqu’à ses chevilles. En relevant les yeux, une énorme vague de chaleur me prit. La bite de Valentin était magnifique. Elle était large comme trois doigts et faisait au moins 18 centimètres. Je fus comme hypnotisée à sa vue.Voulant savourer chaque instant, je pris d’abord la base dans une de mes mains, qui faisait à peine de tour de son membre. Il était chaud et tout dur. Je léchai ensuite la hampe jusqu’au gland, puis apposai un baiser. Nous lâchâmes tous deux un gémissement timide à ce moment-là, ce qui m’excita encore plus. Je sentis une goutte de mouille s’échapper de mon « clitoris ». Je le pris ensuite en bouche, avec un petit peu de difficulté pour contenir toute sa largeur. Je m’appliquai à serrer mes lèvres et à saliver pour que ce soit le plus plaisant possible pour lui. J’effectuai des va-et-vient lents, sensuels et réguliers comme je m’étais entraînée à le faire avec mon gode. Ma langue vint parfois caresser son frein et sa hampe. Je n’arrivai à mettre que la moitié de sa bite dans ma bouche, mais cela suffisait pour entendre ses râles de plaisirs envahir la pièce. Elle était délicieuse, je profitai pleinement du moment, je l’avais attendu depuis si longtemps.Après quelques minutes de fellation, je pris ma respiration et me mis ensuite à lécher et sucer ses bourses. Elles étaient grosses et lourdes. Une telle virilité se dégageait de ses parties génitales, cela n’avait rien à voir avec les miennes. Je le branlai doucement avec une main pendant que je trempai littéralement ses couilles avec ma salive. Tout juste une minute de ce traitement et Valentin retira son pantalon et son caleçon de ses chevilles, il enleva son t-shirt et se dirigea vers le sofa. Il mit le coussin posé dessus au sol et s’installa. — Quelle délicate attention, dis-je en souriant et me mettant à genoux sur le coussin, face à lui.Il ne répondit pas, mais son regard m’ordonna de passer à l’action.Je caressai ses cuisses en regardant le reste de son corps maintenant nu (excepté ses baskets qu’il avait gardées). Son torse était bel et bien musclé comme je l’avais deviné, et légèrement poilu. Malgré une fine couche de graisse, on pouvait clairement distinguer ses abdominaux larges et puissants. J’embrassai sa poitrine et descendis vite pour reprendre là où je m’étais arrêtée. Je repris sa grosse bite en bouche d’un coup, du moins autant que je pus, et recommençai les va-et-vient en baissant et remontant ma tête. Je sentis son gland et des veines glissèrent sur ma langue à chaque mouvement, ce qui me rendit folle d’excitation et m’encouragea à poursuivre avec encore plus d’enthousiasme.Valentin me prit ensuite la tête fermement avec sa main droite et de lui-même vint me baiser la bouche et imprimant des coups de reins. Heureusement, il n’alla pas trop vite et me laissa le temps de déguster chaque millimètre de sa bite à chaque mouvement. Nos gémissements n’étaient plus du tout timides, et nous exprimions maintenant notre plaisir sans complexe. Je vins masser ses testicules pendant qu’il me baisait la bouche, ce qui acheva de faire monter son plaisir. Lorsqu’il me dit qu’il allait venir, je le suçai de plus belle faisant couler ma salive le long de sa hampe telle une chatte qui mouille pour qu’elle glissa encore plus facilement.Alors que Valentin commença un long rugissement, sa bite frémit et un premier gros jet de sperme s’étala sur ma joue, mes lèvres, ma langue et jusqu’à mon menton. Ma première intention fut de prendre une belle faciale qui me couvrit tout le visage. Mais ce premier jet me permit de goûter à la sève de ce mâle puissant. Le goût salé et la chaleur des gouttes posées sur ma langue m’envahirent le corps. Je ne voulus plus en perdre une goutte. Je remis mon amant en bouche et le branlai de toutes mes forces pour avoir le droit à un maximum de jus. Je le laissai remplir ma bouche entièrement avant d’avaler. Je sentis le sperme couler dans ma gorge et descendre dans mon ventre, j’étais aux anges. De mon côté, j’avais complètement mouillé mon string et des gouttes provenant de ma cage formèrent une petite flaque sur le coussin entre mes genoux. J’étais partagée entre la satisfaction et l’excitation qui était brulante et me prenait corps et esprit.Comme pour le remercier, lui montrer ma reconnaissance, je continuai de lécher ses bourses après que sa bite soit devenue à moitié molle. Je sentis le parfum de cet homme, masculin, puissant, plein de testostérone. Je ne pus être que femme à côté de lui et ce rôle me convenait et me plaisait parfaitement. Valentin posa une nouvelle fois sa main sur ma tête pour me coller à son entrejambe. A ma grande surprise, alors que je lapai délicieusement ses couilles, je sentis sa bite se gonfler et durcir à nouveau. Je sentis que ma toute première fellation en tant que sissy n’allait pas s’arrêter là.A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live