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Féminisation presque forcée...

Chapitre 3

SM / Fétichisme
J’étais rouge comme une tomate. Comment la situation avait-elle pu dégénérer aussi vite ? J’étais arrivé comme un petit coq au milieu de ces trois grandes et pulpeuses poules, et je me retrouvais maintenant vêtu seulement d’une petite culotte de collégienne, porté et soulevé par trois puissantes géantes. Samantha décida de poursuivre son œuvre.
— On va continuer dans le même registre si c’est ce qui lui va.
Elle se saisit un petit soutien-gorge du même motif aux bonnets quasi inexistants, me le disposa de manière à ce que je n’ai que les bras à passer, puis l’attacha dans mon dos.
— C’est fou, je vais devoir ajuster les bretelles ! j’étais déjà plus carrée que lui à 11 ans !
Au plus elle m’humiliait, au plus je rougissais, mais au fur et à mesure qu’elle sapait ma virilité, je sentais d’étranges papillons de plaisir dans mon bas-ventre. Chaque fois qu’elle s’étonnait que malgré mes 19 ans, j’étais plus fine que la collégienne qu’elle était, je sentais des vagues de chaleur envahir une zone que je situais entre mon anus et mon sexe. C’est à ce moment-là que cette grosse brute de Clara pointa du doigt mon entrejambe que la petite culotte rose sublimait.
— Regardez ! Elle mouille !
Je portai immédiatement mon regard sur mon sexe et en effet, une auréole de liquide séminale s’était formée à hauteur de mon petit pénis. Samantha rayonnait.
— Je savais que c’était une belle petite salope et que ça l’exciterait d’être traitée ainsi !
Je n’en revenais pas moi même d’être si émoustillé par le traitement que me faisaient subir mes trois maîtresses. Samantha caressa de sa grande main mon épaule délicate que la bretelle rose vif habillait parfaitement.
Elle prit une petite jupe en jean qu’elle avait sélectionnée et me la présenta de manière à ce que je n’ai qu’à passer une jambe puis l’autre pour l’enfiler. Elle l’ajusta sur ma taille et comme elle était un peu trop large, elle dévoilait subtilement la naissance de ma culotte. L’effet était hyper-sensuel et la géante ne s’en étonnait même pas.
— Cette petite chienne est tellement fine qu’un rien lui donne l’air d’une belle petite pute.
La jupe était si courte qu’il ne fallait pas que je bouge beaucoup pour dévoiler la naissance de mes fesses. Il faut dire qu’à son entrée en sixième, Samantha était peut-être plus lourde et plus carrée, mais elle mesurait bien 20 centimètres de moins ! Cette jupe était carrément une minijupe pour moi, et elle mettait mes jambes de gazelles tellement bien en valeur !
La géante tendit le tissu d’un chemisier blanc dans ses mains et m’invita à le passer. Comme pour le reste, ma carrure de crevette s’y inséra parfaitement, mais il était si court que mon nombril et ma taille fine restaient visibles. Samantha le boutonna. Il était légèrement transparent et l’on pouvait voir à travers la lingerie rose pour adolescente. Cette dingue de Véronique me regardait avec les yeux du loup de Tex Avery. Jamais je n’avais vu quelqu’un exprimer autant de désir pour ce petit corps avec lequel je n’avais jamais été à l’aise. C’était si nouveau, si agréable, et si excitant !
— Tu as fait de ce minet une parfaite petite traînée ! Regardez-moi la silhouette que ça lui fait ! Si j’étais un homme, elle me ferait péter la braguette !
Leurs phrases coulaient maintenant dans mon esprit comme un délicieux élixir de transformation. Il effaçait toutes traces de masculinité pour laisser à la place une féminité aussi délicate que l’était mon petit corps imberbe. Samantha se demandait sur quoi elle allait enchaîner.
— Tu es parfaite comme ça. Tu n’as besoin d’aucun vêtement supplémentaire. Passons à la coiffure.
Elle sortit d’un coffre, une perruque avec de longs cheveux lisses blond platine soigneusement peignée. Elle la disposa avec délicatesse sur ma tête et se recula pour juger du résultat.
— C’est impressionnant comme tout te va ! Cette perruque fait ressortir tes beaux yeux noirs et la finesse de ton coup et de ton visage, une vraie poupée Barbie ! Avec moins de nichons cependant.
Samantha me tendit sa main pour m’inviter à descendre du lit, comme une petite princesse qui descend de son carrosse. Je me retrouvais une nouvelle fois au milieu de ces massives valkyries qui me toisaient. Ma maîtresse se pencha dans son dressing pour sortir une paire de bottines en cuir blanc. Elle s’accroupit et passa une main derrière mon mollet qu’elle pouvait quasiment entièrement enserrer tant son battoir était large ! Elle m’invita à passer mon pied puis l’autre dans les chaussures qu’elle me présentait. Une pointure un peu inférieure aurait convenu parfaitement, mais ça pourrait aller. La géante se releva et m’ordonna de marcher.
— Bouge ton petit cul, fais-nous voir ce que ça donne !
Je ne savais pas comment réagir à cet ordre. Je me mis à marcher telle une mannequin, jusqu’au miroir sur lequel je me vis. Mon souffle fut coupé. La créature que je voyais dans la glace était d’une telle finesse et d’une telle beauté ! Il faut dire que le contraste avec les larges et hautes silhouettes de mes habilleuses augmentait l’aspect filiforme de mon corps. Mes jambes fuselées sortaient de mes bottes jusqu’à la jupe si courte qu’elle cachait à peine la culotte. Elle se dévoilait par un adorable petit nœud rose sur sa bordure, juste en dessous de mon nombril qui se donnait l’allure d’un joyau posé sur mon ventre plat, dans l’écrin de ma taille de guêpe. Le chemisier commençait quelques centimètres au-dessus et dévoilait la fine lingerie rose de mon décolleté. Son col mettait en valeur mon cou de cygne et mes épaules délicates sur lesquelles les longs cheveux blonds coulaient comme des rivières d’or.
La seule présence de cette perruque suffisait à donner à mon visage l’illusion totale d’un beau visage féminin. La voix brutale de Samantha me ramena à la réalité.— Arrête de t’admirer petite chienne ! Je t’ai dit de trémousser ta petite chatte ! Bouge !
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