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Féminisation presque forcée...

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Je me mis à balancer, d’abord maladroitement, mon petit corps de gauche à droite. Les mouvements se firent alors plus naturels et gracieux. Mes mains vinrent se poser sur mes cuisses, puis remontèrent jusqu’à la jupe qu’elles levèrent suffisamment pour faire apparaître la petite culotte rose. Elles continuèrent en relâchant le tissu de jean pour caresser ma taille que j’ondulais sensuellement. Mes doigts vinrent ensuite se poser sur mes tétons dressés d’excitation et dont les reliefs transparaissaient sous le fin chemisier. Mes mains soulevèrent ensuite mes cheveux, en même temps que je lançais des regards langoureux aux trois amazones béates de surprise et de désir face à ma démonstration de sensualité.
Je me mis à marcher comme une chatte vers elle et pas plus tôt arrivé à portée de leurs mains, Véronique s’empressa de passer sa grosse battoir rappeuse sous ma culotte pour attraper mes petites fesses, alors que Samantha qui me faisait face, saisit mon cou de cygne dans ses doigts et le serra pour me faire comprendre qu’elle avait suffisamment de force pour le rompre avec facilité. Je la regardais d’un regard soumis et désireux pendant que Véronique pétrissait mon arrière-train et laissait parfois pénétrer ses doigts épais dans mon sillon fessier, jusqu’à mon anus que je sentais frétiller, envoyant des ondes d’extases dans tout mon petit corps à la merci des deux puissantes géantes.
— Regarde-la comme elle vibre quand on joue avec sa petite chatte !— Je ne me trompe jamais. Je savais qu’elle allait aimer ça !
Clara qui se sentait à l’écart se servit de sa carrure de rugbyman pour me soustraire aux mains baladeuses qui jouaient avec moi. Elle m’attrapa sous les aisselles et me souleva à un bon mètre du sol, comme une danseuse étoile, légère et gracile. La culotte rose que Véronique avait baissée chuta jusqu’à mes genoux et les trois amazones se mirent à rire de plus belle face à la situation plus qu’humiliante dans laquelle je me trouvais : habillé et déguisé comme une traînée qui a sa culotte baissée, pendant qu’une boule de muscle la tient en l’air avec facilité. J’appréciais de plus en plus toutes ces brimades et d’être considéré comme la petite chienne qu’elles voulaient que je sois. Je souriais même.
— Regardez cette petite nympho ! A peine on la touche qu’elle baisse sa culotte !
Clara m’emporta pour m’asseoir sur une commode suffisamment haute pour que mon visage soit à hauteur du sien, et m’y déposa avec délicatesse, comme si j’étais une poupée de porcelaine. Son mouvement était si lent qu’il trahissait à quel point je ne pesais pas plus lourd qu’une plume pour elle. Elle saisit la culotte et prit grand plaisir à la remettre en place, laissant ses doigts boudinés avidement jouer avec mes cuisses fines et mes petites fesses.
— On va maquiller cette belle petite bouille même si tu n‘en as pas besoin. Ton visage est si fin qu’il paraît naturellement totalement féminin.
Clara caressait mon visage du bout de ses gros doigts, envieuses de la délicatesse de mes traits, elle dont le visage avait l’air taillé à la hache, avec une pilosité bien supérieure à la mienne. Elle ouvrit la boîte à maquillage et pendant quelques minutes, je la vis concentrée comme jamais à peindre mon visage. Quand elle eut fini, son visage s’illumina.
— Tu es parfaite !
Elle passa à nouveau ses mains sous mes aisselles, mais cette fois en me tenant dos à elle. Elle me souleva avec la facilité habituelle et m’emporta à nouveau pour me tenir en l’air face à un miroir. Elle avait totalement sublimé mon visage. Mes fines lèvres brillaient d’un gloss rose bonbon et dessinaient un cœur. Mes cils naturellement longs et fardés me donnaient un regard sensuel et langoureux auquel peu d’hommes pourraient résister. Le maquillage était léger et parfaitement réussi. Les deux autres amazones se placèrent derrière Clara qui ne montrait aucun signe de fatigue à me soutenir ainsi à bout de bras. Elles s’extasièrent pareillement du résultat.
— Tu as si bien réussi son maquillage !— Ce n’était pas très dur. Le support est déjà si parfait.— Tu lui as fait une parfaite bouche à pipe !
Les trois belles rirent à nouveau. Clara me posa par terre et se tourna vers Samantha.
— Que fait-on ce soir ?— Ce soir on fait pizza, puis on va à l’”Amazon Club”— Tu es sûre qu’on l’emmène là bas ? Avec son petit cul, sa silhouette de princesse et sa bouille de poupée, j’en connais qui vont la démonter à peine la porte passée ?
Samantha croisa ses bras et gonfla ses biceps qui étaient juste à hauteur de mes yeux, jusqu’à ce qu’ils soient quasiment deux fois plus gros que mes cuisses !
— Et tu crois que l’on est pas de taille à la défendre ?— Si bien sûr !
Clara mit ses grosses mains sur mes épaules et se baissa pour me regarder dans les yeux.
— Surtout ne t’éloigne pas de nous. Tu n’es pas de taille à résister face à la plupart des filles qui seront là-bas.
S’il en était encore besoin, cette dernière phrase avait emporté avec elle toute trace de ma virilité que les géantes avaient définitivement annihilée, me transformant en une petite princesse si fragile et si faible qu’elle ne peut se défendre toute seule. Je jouissais intérieurement de cet état de fait. Elle n’avait finalement que laissé ressortir ce que j’étais vraiment.
Les filles me regardèrent de toute leur hauteur une dernière fois et allèrent se préparer. J’allai m’asseoir sur le lit face au miroir. J’intégrai de plus en plus que la splendide petite jeune femme que je voyais était moi. Je m’exerçais à croiser et décroiser les jambes sans montrer ma culotte, ce qui n’est pas si simple avec une jupe aussi courte ! Je prenais plaisir à voir mes jambes de gazelle se mouvoir, ma taille de guêpe ondulée à chacun de mes mouvements. Les filles avaient raison : j’étais bandante !
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