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Féminisation presque forcée...

Chapitre 6

SM / Fétichisme
Nous arrivâmes dans la pizzéria où je m’empressai d’entrer pour me réchauffer. Quelques tables étaient déjà occupées, essentiellement par des groupes de jeunes qui s’apprêtaient à sortir en boîte. Je m’assis sur la banquette à côté de Samantha. Ses fesses étaient si larges que même si les miennes étaient minuscules, je me retrouvai bien calé contre l’accoudoir ! Nous commandâmes et pendant que nos pizzas cuisaient et que les géantes papotaient, les deux minets qui me faisaient face sur l’autre table tentaient d’attirer mon attention par des clins d’œil et des regards lubriques appuyés. Ils riaient tout en me reluquant et je n’avais pas de doute sur le contenu de leur conversation ni sur leur but. Quand l’un d’eux se mit à mimer une fellation avec son doigt, je rougis comme une tomate.
Samantha qui s’était aperçu de leur manège les regarda d’abord d’un regard amusé puis pencha son visage sur le mien, posa ses lèvres sur les miennes et m’embrassa, laissant sa grosse langue largement pénétrer dans ma petite bouche. Je me laissais faire, ne sachant comment réagir de toute façon. Elle décolla sa bouche de la mienne et je pus voir le visage médusé de mes soupirants. Ils exprimèrent leur déception d’une manière qui mit vite Samantha hors d’elle.
— C’est des gouines ! Putain ! Comment un si joli petit lot peut sortir avec ce gros tas de graisse !! Une fois qu’elle aura goûté à ma grosse bite, elle va vite laisser tomber ce monstre !
Je n’avais vu d’expressions plus sévères dans le regard de Samantha ! Elle se leva doucement et marcha en direction du petit malin qui venait de l’insulter. La bande de minet commençait à rire jaune face à la silhouette et à la carrure de l’amazone. Elle se baissa légèrement, saisit le plus bavard par le col de son t-shirt et le souleva brutalement jusqu’à ce que ses yeux soient à hauteur des siens, laissant les pieds du petit bonhomme battre à plus de trente centimètres du sol ! Un silence de plomb s’était abattu dans la salle. Toute l’audience était captivée par la scène de cette puissante, grande et belle jeune femme qui tenait à bout de bras un homme qui n’était pourtant pas si petit, même s’il paraissait ridiculement mince et faible dans cette situation. La victime de ma plantureuse maîtresse portait un pantalon baggy.
Elle s’en était rendu compte et se mit à secouer le minet jusqu’à ce que le vêtement tombe au pied du malchanceux dragueur, qui se retrouva en slip, soulevé comme une poupée par une géante. Il se mit à gesticuler, tentant de s’extirper de cette situation si humiliante, mais la poigne de Samantha était bien trop forte. Elle le laissa tomber au sol et il s’y étala comme une poupée de chiffon. Ses pieds empêtrés dans le pantalon, il tentait maladroitement de retrouver un peu de dignité en le réenfilant, mais ça ne le rendait que plus pitoyable, gesticulant comme un ver de terre aux pieds de la géante qui se pencha pour lui hurler dessus.
— Tu penses que j’aurais pu te manipuler comme ça si je n’étais qu’un tas de graisse ? Comment oses-tu me parler comme ça ! Tu es léger comme une plume et tu n’as pas plus de force qu’une fillette ! J’aurais pu t’écraser d’une seule main sans que tu ne puisses m’en empêcher. Quant à ta grosse bite, tout le monde voit bien que ton slip est loin d’être rempli ! Tu n’es qu’un pitoyable petit vermisseau qui gigote à mes pieds !
L’homme s’était figé sous la charge verbale de la valkyrie. Elle avait une voix si puissante que la vitrine en avait tremblé ! Il sanglotait maintenant comme une fillette.
Samantha revint s’asseoir à côté de moi. Les amis du jeune homme qui restait recroquevillé en position fœtale au sol se levèrent, ramassèrent leur ami qui était toujours en slip, et sortirent de la pizzéria. Samantha posa alors son énorme main sur ma petite cuisse, laissa ses doigts glisser entre mes jambes, puis remonter sous ma jupe pour m’attraper une fesse. Elle se pencha alors pour me susurrer à l’oreille:
— Tu ne crains rien, ton petit cul de pucelle est à moi.
Je jouissais intérieurement de ces quelques mots qui venaient comme refermer une cicatrice ouverte depuis toujours. J’avais encore en bouche le goût que m’avait laissé son baiser. Je n’avais jamais encore embrassé personne, et je ne pensais pas que ça se passerait habillé en minijupe et corsage de collégienne, à l’initiative d’une amazone qui ne m’avait pas laissé le choix, mais c’était si bon de se laisser posséder ainsi...
Pas plus tôt les pizzas posées sur la table que les géantes les engloutir en un éclair. Mon petit estomac ne pouvait accumuler autant de nourriture et je ne mangeai que la moitié de la mienne. Clara se fit un plaisir de m’aider à la terminer. Samantha régla l’addition et nous sortîmes de la pizzéria. Il faisait toujours aussi froid et je grelottai dans mon manteau blanc. Samantha qui semblait insensible au vent glacial, prit ma main dans la sienne et m’invita à marcher. Je compris que j’étais officiellement sa “petite” amie. J’avais pour la première fois de ma vie une “copine”, mais dont j’étais aussi la “petite” copine, et “petite” dans tous les sens du terme. J’étais troublé, mais si heureux, et même, heureuse...
Samantha et moi marchions en tête, et au tournant d’une rue où je n’étais jamais venu, un bruit sourd de musique électro se fit entendre. Nous étions arrivées. De nombreuses femmes, de tous les âges, de toutes les races et de tous les gabarits formaient de petits groupes, papotant, riant, fumant, s’embrassant. Samantha qui me tenait toujours par la main s’avança en direction de la porte, et tous les yeux se braquèrent cette fois sur moi ! J’entendais çà et là, des commentaires sur ma petite personne.
— C’est sa nouvelle copine ?— Elle a fait dans la petite crevette cette fois !— Tu crois qu’elle est nue sous son manteau ?— Elle est vraiment très belle ! Elle a l’air d’avoir un magnifique petit cul !— Je lui boufferai bien la chatte à la poupée Barbie !
Mes maîtresses avaient raison. J’étais un morceau de choix pour toutes ces prédatrices qui en voulaient à mes petites fesses !
Nous entrâmes et je provoquais le même effet qu’à l’extérieur, surtout quand j’enlevai mon manteau au vestiaire, dévoilant ma silhouette de danseuse étoile que les trois géantes avaient si bien su mettre en valeur. Samantha ne me lâchait pas d’un pouce. Elle semblait soucieuse, guettant quelque chose ou quelqu’un. Nous allâmes nous asseoir dans un box et Samantha se détendit, comme si la présence qu’elle redoutait n’était pas là. Une belle femme blonde platine, aux environs de la cinquantaine vint s’asseoir à notre table. C’était Monique, la tenancière des lieux. Elle fit la bise aux trois amazones, puis me fixa.
— Qui est cette petite beauté ?
Samantha ouvrit la bouche pour répondre quand elle se rendit compte qu’elle n’avait pas baptisé sa créature !
— C’est... Charlène. Ma nouvelle petite amie.
Monique me fit la bise et se tourna vers Sam.
— Félicitations ! J’ai rarement vu une femme avec une silhouette aussi fine et délicate ! Vous faites de la danse ?
Sam se chargea de répondre.
— Oui, elle fait de la danse classique depuis son plus jeune âge. Je n’ai pas pus résister la première fois que j’ai vu son cul minuscule sous son tutu.
Monique caressa mon visage du dos de sa main ridée.— Je comprends tout à fait. Tu sais qu’il y en a beaucoup d’autres à qui elle pourrait plaire ici, et ce n’est pas avec ses membres rachitiques de poupées de porcelaine qu’elle pourra se défendre ! Prends bien soin d’elle, dans tes bras, elle ne risque rien.
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