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Féminisation presque forcée...

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Charlène... Pourquoi pas ? Ça allait bien avec mon physique de poupée Barbie. J’avais une forte envie d’uriner et quand Sam me vit me tortiller sur le siège, elle prit l’initiative de m’accompagner aux toilettes, toujours en me tenant par la main pour bien faire comprendre à tout le monde que j’étais à elle. Arrivée à la porte, elle rencontra Victoria, une de ses amies qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps, et dont la vue la remplit de bonheur.
— Victoria ! Quel plaisir ! Je suis si contente de te voir !— Et moi donc ! Je ne t’avais pas vu ici depuis ta rupture !
Victoria était une immense Hollandaise blonde du même gabarit que Sam. Elle était aussi perchée sur des talons et je me retrouvais quasiment pris en étau entre leur grosse poitrine. Une rupture ? Cela expliquait-il le comportement méfiant de ma maîtresse en entrant dans la salle ? La géante nordique se pencha sur moi.
— Je vois que tu es à nouveau en couple. C’est une vraie petite princesse ! Je trouve que vous allez vraiment bien ensemble ! ça doit te changer du gabarit de Fiona ?
Le front de Sam se plissa à l’évocation du prénom de son ancienne compagne.
— Oui, Charlène n’est que douceur et sensualité. Je ne supportais plus la violence de Fiona.— Tu penses que c’était dû aux stéroïdes ?— Sans aucun doute ! Pour prendre 20 kilos de muscle en 6 mois, elle a dû se charger comme une mule ! Même avec mes 110 kilos, je n’arrivai plus à la gérer. J’ai dû la quitter.— Elle l’a très mal vécu. Elle est venue plusieurs fois ici pour noyer son chagrin dans l’alcool et avec la dose d’anabolisant qu’elle prenait, ça ne faisait pas bon ménage ! La police est venue plusieurs fois pour la sortir. Ils devaient s’y mettre à quatre ! Elle a même trouvé le moyen d’en balancer un si haut qu’il est resté accroché à la barre de spots. Elle a développé une force terrifiante. Elle a même brisé une paire de menottes.
Je frissonnais en écoutant ces révélations. L’ex de Sam était une droguée de la musculation, au sens propre comme au figuré, jalouse comme une teigne apparemment.
Samantha me rassura.
— Ne t’inquiète pas, personne ne l’a vue ici ce soir. Va faire ce que tu as à faire. Je t’attends ici.
Elle se remit à papoter avec Victoria. Je poussai la porte des toilettes qui étaient totalement vides et entrai dans un des cabinets dont je verrouillai scrupuleusement la porte. Je portai machinalement mes doigts sur ma braguette, que je ne trouvai forcément pas sur ma minijupe. Je ris intérieurement et envoyai mes mains chercher la fermeture qui se trouvait sur ma croupe. Je la défis et baissais d’un seul et même mouvement la jupe et la petite culotte rose, que je pris grand plaisir à sentir glisser sur mes cuisses. J’aurais pu uriner debout, mais ça me parut totalement incongru. Je m’assis donc sur la cuvette, en faisant attention de ne pas glisser à l’intérieur. Mes fesses étaient si minces que ça m’était déjà arrivé ! Je commençais à uriner, regardant mon petit clito faire son travail, la petite culotte et la minijupe sur mes jambes glabres. Je remontais ensuite l’ensemble et sortis du cabinet, tout émoustillé d’avoir fait pipi assis.
C’est à ce moment-là que je sentis mon corps puissamment soulevé. Une énorme main sombre couvrait ma bouche, et un avant-bras musclé me plaquait contre un buste dur comme du béton. Je battais l’air avec mes petites jambes pour tenter de m’échapper, mais une voix parla fermement dans mon oreille.

— Arrête de te débattre petite pute ou je t’écrase comme une mouche.
En même temps que la mise en garde, je sentis la pression augmenter sur ma mâchoire et sur ma taille. Je sentais mes os au bord de la rupture et me figeai pour ne pas qu’ils éclatent en mille morceaux. Regardant dans le miroir, je vis une géante noire qui soulevait et plaquait mon petit corps contre elle d’un seul bras. Sa main était si large qu’elle couvrait le bas de mon visage jusqu’aux deux oreilles. Elle portait un débardeur noir qui dévoilait des bras hyper-musclés aux veines apparentes. Ma minijupe avait remonté sur mon nombril et mon pubis, heureusement toujours masqué par la culotte, était visible. Je ne m’étais jamais senti aussi petit et faible. Je n’avais aucun doute sur l’identité de ma tortionnaire: C’était Fiona ! Elle s’adressa à nouveau sèchement à moi.
— Quand je pense qu’elle m’a laissé tomber pour une minuscule petite blondasse qui ne doit même pas faire 50 kilos !
Elle avait légèrement relâché son étreinte et je pouvais respirer. Sa main libéra mon visage pour aller caresser mes jambes.
— C’est clair que si elle aimait ce genre de gabarit de crevette rachitique, elle pouvait difficilement trouver mieux que toi.
Sa large main enserrait ma jambe au niveau d’une cuisse. Elle en faisait quasiment le tour. Elle remonta pour venir pétrir mes petites fesses.
— C’est moelleux à souhait. J’ai très envie d’y goutter !
Elle me laissa alors brutalement retomber au sol où j’atterrissais à quatre pattes, lui offrant une perspective idéale sur ma croupe et mon petit séant. Elle se baissa et enserra ma taille de ses mains immenses et musclées. Elle me souleva comme si je ne pesais pas plus lourd qu’une plume et me posa à plat ventre sur le meuble du lavabo. Elle rassembla mes deux poignets dans mon dos l’un sur l’autre, pour les maintenir fermement d’une seule main. Elle était si puissante qu’elle aurait pu les briser sans s’en rendre compte. Mes jambes étaient trop courtes pour toucher le sol et ma jupe qui n’en finissait pas de remonter avait fini par totalement dévoiler mon petit cul dans son écrin rose. La géante d’ébène bavait presque à la vue de mes petites fesses. L’index de sa main libre vint s’insérer entre la culotte et ma croupe, et la baissa délicatement jusqu’à mes genoux. Fiona fut surprise de ce qu’elle découvrit ! Alors qu’elle pensait trouver un sexe féminin, elle vit de petites bourses.
— Mais tu es une tapette ? Samantha m’a laissé pour une pédale !
Ma tortionnaire semblait vexée comme un pou !
— Tes petites miches restent quand même les plus bandantes que j’ai jamais vues. Je vais me faire un plaisir d’en profiter !
Sa main libre vint ouvrir la braguette de son pantalon treillis de camouflage et fouilla à l’intérieur pour en ressortir un énorme pénis en latex noir. Le titanesque membre en plastique, libéré de son carcan, se dressait fièrement vers le ciel, oscillant au rythme de la respiration de Fiona. Il semblait plus gros que mes bras ! La position dans laquelle la géante m’avait mis ne laissait aucun doute sur la destination finale du monstre. Tenant toujours fermement dans une seule de ses mains mes maigres bras, son index libre s’inséra dans mon sillon fessier. Tout mon corps tressauta quand son énorme doigt entra en contact avec ma rondelle, ce qui galvanisa la géante de bronze.
— Tu aimes ça petite tapette ! Tu aimes que l’on joue avec ta petite chatte. Je dois dire que je n’avais jamais vu un aussi joli petit cul, à la fois aussi mince et aussi rond...
Elle se pencha pour plaquer sa bouche sur mes fesses. Elle dut pour cela remonter mes bras plus haut sur mon dos et j’ai bien cru qu’elles allaient les rompre. Cette brute ne se rendait pas compte de sa force et de ma fragilité. Sa langue puissante jouait maintenant avec ma rondelle, la pénétrant parfois agréablement de quelques millimètres. Je vibrais malgré moi sous ses stimulations expertes et du liquide séminal s’écoulait même de mon clito.
— Je crois que je t’ai assez ouverte et lubrifiée. Passons aux choses sérieuses.
La géante colla le gland en plastique contre mon anus et appliqua une pression progressive pour le faire céder. La chose était si énorme que ma rondelle avait du mal à s’ouvrir suffisamment. Je la sentis commencer à céder quand la porte des toilettes s’ouvrit brutalement.
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