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Féminisation presque forcée...

Chapitre 9

SM / Fétichisme
— Ne lui en veux pas, c’est moi qui la lui ai baissée. Je rêvais tellement de jouer avec sa chatte ! Mais ne t’inquiète pas, mes doigts sont restés en surface. C’était bien suffisant pour cette petite nympho. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’elle jouisse.— Et je vois que Madame Clara en a bien profité aussi ?
La géante dodue s’essuya les lèvres du revers de sa grosse main.
— Si tu avais vu son petit clito tout dur, tu n’aurais pas résisté non plus à le goûter !
Samantha posa le paquet de vêtements sur le lit et mit ses mains sur ses hanches, bien décidée à reprendre la main.
— OK les filles, passez-lui ces vêtements. Je vais me changer.
Samantha quitta la pièce à nouveau. Véronique me posa debout sur le lit sur lequel ma culotte chuta. Clara la ramassa et s’empressa de la porter à son nez.
— J’adore cette odeur de pucelle !
Véronique me déshabilla entièrement et examina ce qu’avait posé Sam sur lit. Elle saisit d’abord une minuscule culotte en lingerie noire que seules des strip-teaseuses devaient porter. Elle me l’enfila lentement, profitant du mouvement pour sentir ma peau si douce dans ses mains vigoureuses. Elle me mit ensuite une petite brassière de la même dentelle. Quand Clara me vit dans cette tenue, ses pupilles se dilatèrent et sa bouche ne pouvait plus se fermer.
— Elle est magnifique ! ça ne la rend que plus fine. Ses traits si fins, et ses cheveux blonds qui contrastent avec le noir de sa lingerie. C’est une vraie princesse... avec un petit cul de salope toutefois !— Attends, ce n’est pas fini !
Véronique saisit délicatement dans ses gros doigts une nuisette en dentelle blanche et me la passa.
— Alors ? Tu en penses quoi ?
Clara ne pouvait plus parler tant je l’émoustillais.

Une paire de bas résille noire attendait encore sur le lit. Véronique attrapa le tissu délicat entre ses deux pouces et index et m’invita à passer mes jambes dans la fine étoffe. Je pris appui sur ses épaules musclées pour ne pas perdre l’équilibre. Mes mains paraissaient si fines en proportion et jamais je n’avais touché de muscles aussi durs et denses. Elle remonta les bas le long de mes jambes jusqu’à ce que leurs bordures soient juste en dessous de la naissance de mes petites fesses sur lesquelles elle laissa ensuite ses mains se balader. La géante se recula à côté de Clara. Je vis à leurs regards satisfaits et ébahis que la sensualité du résultat dépassait leurs espérances. Véronique m’attrapa sous les bras, me souleva et me posa à terre. Elle me manipulait avec une telle facilité que je me sentais vraiment comme une fillette, mais j’adorais cette sensation !
A chaque fois que mes pieds quittaient le sol sous l’impulsion de leur force colossale, je jouissais intérieurement de me sentir si léger et faible.
Les deux amazones toisaient le petit minet rachitique dont elle venait de vêtir le corps maigrichon comme une effeuilleuse de cabaret.
— Marche un peu petite pute ! Dandine ton petit cul.
Je me dirigeai vers le miroir, tortillant mes petites fesses que le slip transparent rendait plus désirables que jamais. Un frisson intense me parcourut de la tête au pied quand je me vis pour la première fois vêtu de la fine lingerie noire, de la nuisette et des bas. C’était tout ce qu’il fallait à ce petit corps malingre, dans lequel je m’étais senti si mal à l’aise jusqu’à présent, pour qu’il rayonne de féminité. Le plus surprenant est que je ne me trouvais même pas vulgaire, juste belle comme ange coquin.
— Cette dentelle rend ses petites fesses encore plus bandantes !— Je la verrais bien en couverture de playboy !
Le claquement des hauts talons de Samantha se fit entendre. Elle entra dans la chambre et ses yeux se posèrent instantanément sur mes fesses. Elles s’étaient habillées d’une combinaison en cuir noir qui moulait parfaitement ses formes épanouies. Son opulente poitrine empêchait la fermeture de remonter plus haut que son plexus, laissant visible un décolleté vertigineux de profondeur et de volume. Elle s’était équipée d’un gode ceinture en latex rose chair. L’énorme et lourde chose oscillait à chaque mouvement de l’amazone. Je me surpris à désirer plus que tout de sentir ce titanesque phallus en moi. Samantha se félicita de son choix de vêtements.
— Elle rayonne de beauté ! Toute cette dentelle et cette résille vont tellement bien sur son petit corps de pucelle. Elle est bandante à souhait. Approche toi, petite salope !
Je me mis à marcher comme une chatte en direction de la géante. Elle me semblait avoir encore grandi ! Mes yeux arrivaient juste à hauteur de ses larges tétons qui dardaient sous le tissu et l’énorme gland en plastique dansait seulement quelques centimètres en dessous de ma bouche. Elle prit l’arrière de mon crâne dans sa main immense et me força à relever la tête pour la regarder dans les yeux. Je la voyais en train de me sourire sadiquement, à travers la profonde vallée formée pas ses énormes seins comprimés.
— Tu es si sexy ma petite chienne ! Je vais prendre un énorme plaisir à déflorer ce magnifique petit cul. Pour l’instant, suce ma grosse bite !
Mes yeux se portèrent sur le pénis, et je le saisis à deux mains. Il était si long que j’en cachais à peine la moitié de la longueur, et si large que mes doigts ne pouvaient en faire le tour. C’était si différent de la sensation que j’avais quand je masturbais mon petit sexe qui pouvait se dissimuler dans une seule de mes mains. Cette chose était si énorme, si dure. Je me penchai légèrement et ouvris la bouche aussi largement que je pouvais pour y faire pénétrer le gland. J’adorais cette sensation de sentir ce membre viril remplir toute ma cavité buccale. Samantha en voulait plus.
— Enfonce le plus profond !
Je m’ exécutai et laissais le pénis titanesque pénétrer dans ma gorge, tentant de contrôler mon réflex de vomissement. J’avais avalé la moitié de la longueur et ne pouvais en faire plus sous peine d’étouffer. Samantha qui tenait encore mon crâne dans sa main puissante ne pouvait s’en contenter. Elle appuya de plus en plus fort et je ne pus résister très longtemps face à sa force brutale. Mon nez se retrouva rapidement sur son pubis et j’avais l’impression de sentir le pénis remplir tout mon buste. Je n’arrivais plus à respirer et alors que j’étais au bord de l’asphyxie, Samantha tira brutalement sur ma tête pour sortir son membre de mon corps. Le phallus de latex jaillit en l’air triomphalement. Humide de ma salive, les fausses veines de plastique lui donnaient une apparence si réelle. Je toussai et crachai, arrivant à peine à reprendre ma respiration. Samantha ne m’en laissa pas le temps et empala à nouveau mon visage sur son chibre.
Elle agitait si vigoureusement ma tête que mon nez percutait brutalement son pubis. A chaque fois que l’énorme chose quittait ma gorge, je tentais d’inspirer. Sous l’effet du frottement, ma bouche et mon larynx cuisaient comme si j’avais avalé des braises ardentes. Je perdis vite la notion du temps et je ne sais au bout de combien de temps la géante me laissa respirer normalement à nouveau. Je n’avais plus de tonus musculaire et seule la fermeté de la main de Samantha m’empêchait de m’étaler au sol. Elle se pencha légèrement et passa ses mains sous mes aisselles pour soulever mon corps aussi mou que celui d’une poupée de chiffon. Mes pieds quittèrent vite le sol et mes yeux se trouvèrent à hauteur des siens.
— Tu es une belle petite suceuse, on va pouvoir passer à la suite.
Elle se déplaça tout en me tenant à bout de bras jusqu’au lit où elle me jeta. D’un geste puissant, elle me retourna pour me mettre sur le ventre, sous lequel sa main passa pour relever mes fesses et que je repose sur mes genoux. Elle releva délicatement la nuisette pour dévoiler mes fesses et baissa suffisamment mon slip pour accéder à ma chatte. Je me retrouvais en parfaite position pour une levrette ! Je reprenais peu à peu mes esprits, suffisamment en tout cas pour sentir la grosse langue de Samantha lécher ma rondelle avec force. Des ondes de plaisir me poussèrent à gémir de manière totalement incontrôlable. C’était si bon de sentir mon anus stimulé de cette manière. Au fur et à mesure que ma rondelle se détendait, la langue puissante de la géante pénétrait de plus en plus profondément. Je couinais et sursautais de plaisir à chaque fois qu’elle progressait.
Je cabrais ma croupe pour offrir mon petit fion à l’appétit de l’ogresse qui me faisait ressentir un plaisir totalement inédit pour moi.
Pendant ce temps, Véronique et Clara se déshabillaient de l’autre côté du lit. Véronique avait une musculature impressionnante. Malgré quelques kilos en trop, je pouvais voir ses muscles massifs rouler sous sa peau. Ses biceps se gonflaient à chacun de ses mouvements et son dos formait un “V” d’une largeur impressionnante. Clara débordait de partout, mais il se dégageait une puissance phénoménale de ce corps rond et charnu. On devinait que ses muscles étaient tout aussi puissants que ceux de Véronique. Les deux amazones enfilèrent chacune un gode ceinture similaire à celui de Samantha, qui n’en finissait pas de me bouffer le cul. Elle cessa de me lécher et se releva pour positionner son gland contre mon anus dilaté et abondamment lubrifié par sa salive. Ses longs et larges doigts se positionnèrent sur mes aines, sauf ses pousses qui vinrent sur chacune de mes fesses. Elle les tenait ainsi fermement, prête à les manipuler à sa guise.
Elle me tira vers elle, et je sentis son sexe me pénétrer. C’était une sensation magique. Alors que seul le gland venait de passer, je me sentais déjà rempli ! L’énorme chose progressa en moi. Plus il avançait, plus je me sentais possédé. Mon micro-pénis perlait d’excitation. Je fermais mes yeux comme pour mieux apprécier la sensation de cette énorme chose. J’ouvrais la bouche en grand comme si je m’attendais à ce qu’il en ressorte. Clara et Véronique admiraient le spectacle tout en masturbant leur sexe. Je sentis les aines de Samantha sur mes fesses: elle m’avait pénétré entièrement !— Tu as bien encaissé petite salope. Ta chatte s’est ouverte sans problème. On va pouvoir commencer à jouer !
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