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Féminisation presque forcée...

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Elle se mit alors à donner de puissants coups de reins qui faisaient coulisser la titanesque bite de plastique sur toute sa longueur. Je vibrais de plaisir, je gémissais, couinais, avec une voix si aiguë que je ne la reconnaissais même pas. Plus elle me pilonnait, plus je sentais en moi cette sensation à la fois inconnue et familière d’un orgasme naissant. Comment était-ce possible pour un homme de jouir sans que son pénis ne soit stimulé ? Encouragée par mes glapissements, Samantha augmenta la cadence et percuta de plus en plus violemment mon petit fion qui rougissait sous les coups. Une vague de chaleur envahit tout mon corps et mon petit pénis se mit à littéralement pisser du sperme. Consciente et heureuse de ma jouissance, Sam ralentit la cadence, puis extirpa le pénis en latex de mon petit fion qu’elle venait de malmener. L’air froid entra dans mon anus dilaté et je frissonnai du vide laissé par l’énorme chibre.
— Tu as bien pris ton pied petit salope ! A toi de bosser un peu, c’est toi qui vas me chevaucher maintenant.
Samantha allongea son corps immense à côté du mien et prit son pénis dans la main pour qu’il adopte une posture verticale. Je compris qu’elle souhaitait que je m’empale dessus. Aussi rapidement que me le permettait mon corps meurtri par le traitement, que m’avait fait subir la géante, et encore vibrant du puissant orgasme que j’avais eu, je me déplaçais pour me mettre à califourchon sur ma maîtresse. Ses hanches étaient larges et je dus quitter mon slip pour pouvoir écarter suffisamment les jambes. Je positionnai mon petit anus à la verticale de l’énorme bite et fléchis mes genoux pour qu’elle me pénètre à nouveau entièrement. Je vibrais à nouveau d’un plaisir avec lequel j’étais de plus en plus familier. Je mis à onduler ma taille de guêpe pour faire coulisser le chibre de la géante. Ses larges mains vinrent machinalement l’entourer comme pour souligner ma minceur. Je m’échinais sur cet énorme dard comme la plus chaude des courtisanes, impatient de sentir à nouveau l’intense jouissance.
Samantha invita Véronique à se joindre à nos ébats.
— Viens ma belle, je sais que tu en meurs d’envie !
A peine l’invitation lancée, Véronique avait sauté à genoux sur le lit. Elle se mit aussi à califourchon derrière moi et m’enserra dans ses bras puissants. Elle frottait son pénis contre ma croupe qui s’agitait toujours sur la bite de Samantha. Brutalement, elle me força à me pencher. Mon buste tomba sur l’énorme poitrine de Sam sur laquelle j’étais toujours empalé. Je sentis un deuxième gland contre mon anus et compris avec stupeur ce qu’elle essayait de faire ! Je tournai mon visage et l’implorai de ne pas me pénétrer.
— Véronique ! Non ! Tu vas me déchirer !— Tais-toi petite pute !
Sa lourde main s’abattit avec force sur mon petit séant et d’un coup de reins sec et puissant, elle me pénétra. Je n’osais plus bouger, de peur que mes organes n’explosent. Ce n’était de toute façon plus la peine, Véronique avait pris les choses en main et forçait mon corps par de puissants coups de boutoir à s’agiter sur les deux énormes sexes. Pas assez satisfaite, elle saisit ma taille dans ses mains puissantes et se mit à m’agiter sur les deux bites qui me labouraient les entrailles. A ma grande surprise, la douleur cuisante laissa rapidement la place au plaisir indescriptible d’être pénétré et manipulé de cette manière, comme si je n’étais qu’une poupée gonflable avec laquelle les deux sadiques Amazones jouaient. Pris en tenaille entre le buste musclé de Véronique, et l’énorme poitrine de Samantha, je m’abandonnais au désir lubrique des deux immenses beautés.
Le plaisir nouveau d’un orgasme anal m’envahit une nouvelle fois et j’émis un long couinement qui satisfit mes puissantes amantes. Véronique me saisit sous les aisselles et me souleva pour me désemparer des deux dards. Au fur et à mesure que mon corps mu par la force titanesque de la jeune géante s’élevait, je sentais les deux chibres divins s’extraire de mon corps flasque que Véronique tenait comme un trophée qu’elle venait de remporter. Samantha eut pitié de Clara qui bavait presque du désir de me posséder.
— Donne lui la poupée. Elle a le droit de jouer aussi.
La puissante beauté obèse me déroba aux mains de Véronique en me saisissant par la taille. Elle me tenait en l’air face à elle, se délectant de la vision de mon petit corps qu’elles avaient si bien su féminiser. Son sexe se dressait fièrement contre son ventre rebondi. Elle me rapprocha contre elle de manière à ce que mes petites fesses se trouvent au-dessus du pénis puis m’abaissa doucement sur lui, jusqu’à ce qu’il me pénètre entièrement. Elle était si forte ! Je n’étais rien de plus pour elle qu’une “fleshlight” dans laquelle elle voulait se soulager. Toujours en me tenant fermement par la taille, elle se mit à m’agiter de haut en bas. Je coulissais d’abord doucement sur sa tige, puis de plus en plus rapidement et brutalement. Cette brute dodue me faisait sentir si léger et si faible que j’aurais pu jouir uniquement de cette sensation. Son dard qui me pénétrait avec vigueur ne fit que venir plus rapidement mon orgasme, et j’éjaculais sur ses énormes seins.
Je jetais ma tête en arrière de plaisir, en écartant mes jambes qui reposaient sur les larges hanches de mon amante. Clara fut presque déçue de m’avoir fait venir si vite. Elle agitait mon petit corps par la seule force de ses bras sur son gode depuis bien dix minutes, mais n’était même pas fatiguée.
— Déjà ? Mais je venais à peine de commencer !
Je me sentais si bien dans cette position, avec ce sexe au plus profond de moi, sentant sa poigne puissante autour de ma taille.
Samantha s’approcha, passa une main sous mon dos et l’autre sous mes jambes et me prit délicatement dans ses bras pour me soulever tendrement contre sa poitrine. Le sexe de Clara quitta mon fondement et je me blottis contre le corps pulpeux de ma maîtresse.
— Je t’avais dit que tu y trouverais ton compte. Tu seras notre vide-couille dorénavant, notre sex-toy. Ton petit cul est à nous pour toujours.
Fin
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