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Féminisé...

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
« Recherche partenaire masculin exhibitionniste acceptant féminisation et sodomie, heureux d’être humilié devant des tiers, pour moments intenses avec petit groupe de femmes amateures de domination sexuelle. Le but est d’atteindre collectivement des plaisirs inédits sans violence physique ni contrainte. Professionnels s’abstenir. »
Je n’en crois pas mes yeux à la lecture de cette petite annonce qui rejoint un de mes fantasmes les plus obsédants. Hétérosexuel pratiquant, je n’ai jamais trouvé l’occasion de l’accomplir. L’occasion est trop belle ! Je me dépêche d’y faire acte de candidature. A la demande de mon interlocutrice, j’envoie mes photos de nu les plus explicitement provocantes et attends une réponse plusieurs heures, ému en diable. Je suppose que les différentes partenaires sont consultées. Il faut croire que mes modestes attributs et mon évidente envie de leur livrer chaque recoin de mon anatomie sans réserve les satisfont car j’obtiens en réponse le message suivant : « Demain dimanche, 18h, totalement épilé, 46° 39’ 6.001" N - 0° 30’ 32" E». Je n’ai pas le temps de réfléchir et je me laisse guider par cet étrange sentiment qui mélange désir sexuel intense et peur de l’inconnu.
Les coordonnées correspondent à une zone forestière que je connais bien et qui me paraît moins dangereuse qu’une adresse privée. Et puis, le plaisir de l’exhibitionnisme, surtout en plein air, va avec la crainte d’être surpris par hasard dans une tenue ou une attitude inconvenante. Alors, j’ai confirmé ma venue... !
Quelques minutes plus tard, je suis sous la douche après m’être contorsionné pour éliminer toute trace de pilosité de mes reins, de ma poitrine et de mon sexe à la crème dépilatoire. Pour mon entre fesses et mes épaules, j’utilise avec précaution un rasoir à lame. Chaque progrès dans ma mue renforce mon excitation naissante. Je me contemple ainsi retourné à une grâce pré pubère. Oubliées mes rondeurs, disparus mes complexes. Je me trouve beau dans mon aspect originel. Toute la soirée ce projet m’obsède au point de ne pouvoir me concentrer sur rien. J’absorbe un repas sommaire et me glisse dans mon lit où je mets des heures à trouver le repos. Je tourne, vire et m’agite. Je suis dans un tel état d’excitation que je suis obligé de soulager mon corps et mon esprit d’une telle tension. Je caresse mes seins durcis, mon entrecuisse et mon sexe imberbes. Cela fait remonter quelques savoureux souvenirs adolescents. J’ai beau me branler, rien ne vient.
Je sens une chaleur intense gagner mon cul et ne puis me calmer qu’au prix de multiples caresses. Du bout des doigts je flatte ma raie culière, dessine des arabesques à l’orée de mon anus et m’agite en à-coups de plus en plus pénétrants. Le flux sanguin s’y fait plus intense et le plaisir soutenu. Je l’écartèle puis y enfonce sauvagement mon index et mon majeur. J’exulte dans un bruyant cri de gorge. Le calme revenu, je m’endors à moitié, en position fœtale sans me sortir les doigts du fion, comme pour mieux me préparer à l’inéluctable. Il s’est dilaté à merveille sous le coup du désir, mieux qu’il ne l’avait jamais fait jusqu’ici.
Au matin, dès le réveil, je recommence à me peloter encore sous l’effet obsessionnel des rêves érotiques qui ont émaillé ma nuit. Cette fois ci je n’atteins pas le plaisir de la veille. Mon corps entier et mon esprit sont totalement mobilisés vers la promesse d’une soirée d’extase. Je déambule dans la maison comme une âme en peine, totalement nu. Le temps doux et ensoleillé m’attire sur la terrasse où je m’exhibe aux quatre vents, le sexe à demi dressé. Je n’aperçois personne et pourtant j’imagine quelque voisin (e), embusqué(e) derrière l’huis, se délectant de la contemplation de mon intimité. Je m’étale sur un bain de soleil, offert, écartelé. Les heures passent et la torture ne fait qu’augmenter. Parfois j’écarte mes fesses pour ressentir intimement l’effet du soleil. Quel plaisir ! Je suis prêt à tous les outrages. Après un déjeuner frugal et une dernière toilette, je ne supporte plus d’attendre.
J’enfile à même la peau un short minimaliste et un marcel près du corps, accompagnés de confortable chaussures basses de randonnée garnies de mini-chaussettes. Je serais sans doute moins « sexe » si j’étais complétement dénudé. Quelques affaires plus protectrices sont stockées dans un petit sac à dos que j’emmène au cas où.
Je quitte mon domicile à pied en tout début d’après-midi. Le chemin est agréable et ma provoquante presque nudité ajoute encore au plaisir de la balade. De nombreux petits bois alternent avec les champs cultivés et de minuscules hameaux. J’espère que, derrière leurs fenêtres, quelques habitants mesureront mon indécence. J’arrive à proximité du site choisi vers 16h sans pouvoir vraiment le localiser précisément avec le GPS de mon Motorola. Quelques recherches empiriques me permettent de trouver un étroit chemin qui débouche, en quelques instants, sur une clairière tapissée de mousse et garnie de plusieurs troncs d’arbres imposants disposés en arc de cercle. Nous sommes pile aux coordonnées indiquées. L’endroit est désert, accueillant, à l’évidence aménagé par des mains humaines respectueuses de la nature. Je m’y sens très vite chez moi et arrache ma vêture.
Vais-je leur plaire avec mes larges cuisses, mon ventre rond, mes seins de fillette, mon petit sexe sans prépuce, mes longues bourses, mes cheveux gris, mon visage régulier orné de lunettes métalliques ? Heureusement, mes vacances tardives l’an passé à la mer et la pratique du naturisme m’ont laissé un teint de peau uniforme. Nu à l’envi, je m’assois sur un rondin comme pour participer à un cénacle et rêvasse. Après une bonne demi-heure, je me couche en travers de ce fût, tête en bas, fesses en l’air, pour tester le confort de la position qui me sera sans doute bientôt assignée. Je m’y trouve totalement à mon aise et m’ennuie de connaître enfin le bonheur de l’outrage. Je tue le temps en nettoyant le site de quelques brindilles, feuilles mortes et autres salissures. Instinctivement, j’adopte la position plié en deux - jambes tendues très écartées qui me paraît la plus suggestive si des témoins surviennent.
Vers 17h30 des voix féminines envahissent mon environnement sonore et je ne tarde pas à voir déboucher trois femmes entre deux âges en tennis et minirobes de coton. Elles sont, elles aussi, équipées de petits sacs à dos et transportent des matelas de camping roulés en mousse compacte. Je les aide à poser leurs affaires tandis qu’elles détaillent mon anatomie. La première est une femme massive plutôt grande. Sa poitrine est généreuse et tend son vêtement. Ses larges cuisses prolongent harmonieusement des fesses proéminentes. Son visage est enfantin. Tout y est petit et mignon (nez, oreille, bouche, cheveux très courts et bouclés) à l’exception de larges yeux titrant vers le gris. Sa petite tête semble s’être posée par hasard sur un corps pas fait pour elle. Ses pieds et ses mains minuscules semblent, eux aussi, avoir été greffés au hasard. Elle prend la parole d’une voix chaude en riant « Véronique... J’aime beaucoup votre costume !
Il vous va à ravir... » et profite de ma stupéfaction pour m’asséner une tape amicale sur les fesses. Presque cachée derrière elle se trouve son opposé nommée Lauriane : petite, mince, yeux noisette, cheveux très fins châtain coupés en carré, poitrine à peine ébauchée, hanches étroites et fesses plates, longs pieds et mains osseuses. Sa voix est aigue mais son expression est posée et laisse penser à une intellectuelle. La troisième, Anoko, est une immense noire, la tête ornée de dreadlocks courts, athlétique au physique de basketteuse et à la voix de stentor. Chaque mouvement sculpte une musculature d’une beauté peu commune. Les trois filles m’embrassent tour à tour en caressant mon dos et mes fesses. La soirée peut commencer... !
Tout d’abord, nous nous asseyons sur les rondins. Les filles me contemplent sous trois angles différents et leurs regards laissent peu de doute sur leurs intentions. Je suis pour elles un gibier désirable dont il faut se mettre en chasse. À peine avons-nous pris le temps de faire connaissance que déjà elles se sont rapprochées de moi et que leurs mains s’agitent, virevoltantes, en tous les endroits de mon anatomie. Peu à peu, leur attention se concentre sur l’intégralité de mes zones érogènes : je ne sais plus qui caresse l’intérieur de mes cuisses, qui soupèse mes couilles, qui branle mon sexe, qui pénètre mes fesses, qui caresse mes tétons, qui pénètre ma bouche...
Tout ce que je sais c’est l’intense excitation que je ressens et l’envie irrépressible de m’écarteler pour les aider dans leur tâche. L’émotion me gagne. Je me sens instable au point de m’accrocher à elles avec l’énergie du désespoir. Ce faisant, je découvre qu’elles n’ont rien d’autre sur la peau que leurs robes de coton. Je trousse et caresse des fesses minces et noueuses, fermes et musclées, rondes et douces...

Mes mains les reconnaissent quand le reste de mon corps ne peut vraiment les distinguer. Quoi que ! Ce large doigt qui rentre dans mon cul serait bien celui d’une basketteuse, cette main qui pelote mes seins me paraît bien petite et dodue, cette autre qui recouvre mon bas-ventre m’indique la maigreur de sa propriétaire. Il ne leur faut que quelques minutes pour que je devienne leur jouet et qu’elles commencent à solliciter de ma part ce que j’étais venu chercher ici. Je dois tout d’abord les déshabiller l’une après l’autre. Je suis heureux de ce que je peux voir et toucher. Lauriane est divinement plate et me rappelle cette mode des années 70 où l’idéal féminin s’appelait Jane Birkin ou Twiggy. Mon embonpoint tranche avec sa stature. Son apparente fragilité me donne envie de la protéger, de la câliner. Je la pelote et la caresse avec toute la tendresse que mon âme contient. Les rondeurs de Véronique sont à se pâmer.
Ses énormes seins appellent 1000 bouches gourmandes, et la mienne ne leur fait pas défaut. Elle ronronne sous la tétée et ses reins se creusent comme en demande de caresses. Je ne tarde pas à écarter ses grandes lèvres et agite ma main sur son petit clitoris jusqu’à obtenir de petits cris de plaisir. Par contre Anoko, après m’avoir serré la tête sur sa petite poitrine tombante me retourne, me jette au sol à quatre pattes, envahit ma bouche de ses doigts et me fait saliver d’abondance, puis envahit mon cul et le dilate avec un, deux puis trois doigts. Ce geste est d’une brutalité importante, et pourtant il me ravit !
À partir de ce moment je ne maîtrise plus rien. C’est elles qui décident que ma langue en coin va pénétrer le sexe de Véronique, debout devant moi jambes écartées. Puis, alors que mon amante se met à quatre pattes sur un matelas, elles vont guider ma bouche vers sa rosette, entre ses fesses écartelées. Je vais la détremper de salive, la dilater, la pénétrer à mon aise, sans m’en rendre compte que toute la masse de son corps s’est mise à vibrer. Ses énormes seins ballottent dans le néant en rythme. J’en rajoute sans cesse, la propulsant en avant en espérant ainsi la faire jouir. C’est à ce moment que de longues mains noueuses se saisissent de mes hanches et que Lauriane, armée d’un gode ceinture bien lubrifié, pénètre violemment mes viscères et s’agite avec force. Les mains d’Anoko se sont glissées sous moi : l’une enserre fermement mes couilles, l’autre branle mon phallus avec force. C’est en semblable attelage que Valérie et moi allons bruyamment exulter.
Après un bref instant de récupération, voici Lauriane elle aussi en position de levrette. Ma langue est douloureuse, mon sexe en débandade, je dois donc me résoudre à utiliser mes doigts. Je suce mon pouce et l’introduis dans son cul, glisse index et majeur dans sa chatte détrempée, et de l’autre main commence à chahuter rapidement son clitoris. Elle est tellement excitée que tout son corps va être secoué de spasmes puissants. Un hurlement suraigu sort de sa gorge, puis elle se calme peu à peu. Profitant de ma position, Anoko en profite pour glisser sa longue langue dans mon cul en feu bien dilaté. Je me laisse tomber sur le flanc, puis m’installe sur le dos les jambes largement écartées repliées sur mon torse. La basketteuse s’appuie de tout son poids sur mes cuisses et poursuit son ouvrage. Elle extrait de son sac un énorme de godemichet qu’elle propose à Lauriane d’introduire profondément moi.
Chose faite, j’ai l’impression d’être empalé, mes viscères traversées par un gigantesque serpent. L’appareil vibre et coulisse dans mon cul à la fois. Je ne m’appartiens plus ! Je me tords, amplifiant du coup les sensations produites. Je subis des orgasmes multiples de faible amplitude comme seules les filles me paraissaient capables d’obtenir. J’entends les filles éclater de rire. « Promesse tenue ! » dit l’une. « Quelle lamentable lopette ! » dit l’autre. « On n’a pas fini de jouer avec cette petite pute ! » dit la troisième. Et leur rire sarcastique continue pendant de longues minutes tandis que l’une me claque les fesses, que l’autre me pince les seins et que la troisième tord le sexe. Au moment où cet outil sort de moi je me réjouis et m’étonne de me sentir autant femelle !
Le soleil est encore haut dans le ciel et le temps ne nous est pas compté. Mes trois compagnes devisent assises sur les rondins, nues, magnifiques. Je gis lamentable couché sur le flanc dans la mousse quand soudain leur babil cesse. Je sens des bras puissants d’Anoko qui saisissent sous les aisselles et me soulèvent. Puis elle me laisse glisser tout doucement contre sa poitrine jusqu’à ce que mes bras prennent appui sur ses épaules et mes cuisses sur ses hanches. Véronique m’écarte largement mes fesses de ses petits doigts boudinés. La géante est ceinte du gode utilisé par Lauriane qui s’enfonce progressivement en moi. Aidé par les filles je me soulève et redescends sur l’ustensile collé à ma porteuse musclée. Malgré l’inconfort de la position, le plaisir me gagne à nouveau et me vaut des chapelets de noms d’oiseaux dont « salope » me paraît le moins insultant. Lorsque je lâche mon foutre sur la peau de la belle africaine mes compagnes s’énervent un peu.
Après m’avoir déposé à plat ventre au travers d’un des troncs, derrière en l’air, elles s’arment de poignées d’orties et commencent à m’en fouetter les fesses, le dos et les cuisses. Paradoxalement, la douleur ajoute encore à mon plaisir et je me tortille, lascif, obscène. Mes compagnes exultent et s’arment alors de cordelettes. Elles m’attachent écartelé entre deux arbres solides, en équilibre instable, les cordes meurtrissant la chair de mes poignets et de mes chevilles. Elles coupent des jeunes pousses en badines souples et les utilisent pour me fouetter dos, ventre et quelques endroits plus sensibles. Elles ne sont pas particulièrement brutales. Lorsqu’elles concentrent leurs coups sur mon entrecuisse, je me mets à bander alors que seuls des cris de douleur sortent de ma bouche. Cela les amuse beaucoup et elles s’en donnent à cœur joie multipliant à l’infini les petits mouvements secs du poignet. Je supplie : « grâce ! ». Elles rient et accélèrent leurs mouvements.
Mon sexe dur et raide dément ma supplique, ainsi que mon gémissement perçant quasi continu. Le féminin le dispute au masculin avec ardeur dans tout mon être !Une fois détaché de mes inconfortables liens, le jeu continue. Je dois encore lécher les culs et les vulves qui n’ont encore connu ma langue. Pour ce faire je me vois doter d’un collier de cuir clouté et suis promené en laisse d’un objectif à l’autre. Chacune se laisse humer, goûter et j’apprécie leurs différences du poivré au suave, du floral au sucré...
Je finis par calmer mon sexe érigé comme mon alter ego canin le ferait. Je m’excite sur les genoux des deux plus grandes. J’aime le confort des cuisses de Veronique mais aussi la rudesse des muscles d’Anoko. Lauriane quant à elle m’offre sa croupe frétillante que je m’empresse de chevaucher et nous nous envoyons tous deux en l’air en levrette. Son sexe est trempé mais serré juste comme il faut. Notre excitation augmente d’autant plus vite. Je compense la dimension modeste de mes appâts en donnant de violents coups de reins qui me maintiennent collé à mon amante. Au moment ultime, je sens un index épais entrer en moi et se mettre à masser ma prostate à la recherche de mon point G. Ce petit geste a un impact presque immédiat sur tous deux et nous vibrons quasiment à l’unisson. Maintenant, je me sens chienne. Jusqu’où vais-je me laisser emporter ? Quels plaisirs inconnus vais-je encore découvrir ? Ce dernier exercice a achevé de pomper tout ce qui me restait d’énergie.
Je me laisse glisser au sol sur le flanc entraînant avec moi celle qui vient de me donner ce plaisir. Nous nous ébrouons puis nous endormons à demi, moi sur le dos membres écartés, elle, poids plume, étalée sur moi comme si elle voulait totalement me recouvrir. Nos deux compagnes s’installent sur nos flancs, soudées à nous, et leurs mains voyagent mollement sur nos deux corps. Je sens les tétons durs et proéminents de Lauriane sur ma poitrine comme s’ils voulaient compenser son absence de seins. Mon esprit s’évade en rêveries érotiques. Je somnole bercé par les respirations régulières de mes compagnes.
C’est la fraicheur du soir qui me réveille. La proximité des filles fait que je la ressens uniquement au bout de mes doigts et de mes orteils humectés de rosée et, paradoxalement, entre mes fesses. J’ai l’impression qu’après les outrages mes sphincters sont restés ouverts et que la fraicheur végétale remonte à l’intérieur de moi. Je peine à me lever, à quatre pattes d’abord puis en tournant sur moi-même en une rotation obscène. Voilà qui m’excite insensiblement à nouveau ! Je ne suis plus qu’un réceptacle ouvert aux quatre vents...
Mes compagnes se lèvent et s’ébrouent. Elles me signifient une apparente fin des jeux en enfilant robes et chaussures. Quand je fais mine d’attraper mon sac, elles m’arrêtent. Anoko sort du sien une nuisette résille écarlate qu’elle m’enfile. Je me tortille pour la laisser glisser le long de mon corps, encore humide de sueur. Je me sens grotesque. Une telle vêture est bien pire que la nudité, bien plus suggestive, bien plus « femelle ». Elle pouffe aussitôt imitée par ses amies qui finissent par hoqueter en un fou rire interminable. Je ne me sens aucunement humilié car j’ai maintenant abandonné tout orgueil. Elles me proposent de me ramener chez moi en voiture à la condition que je conserve cette tenue. Incapable de la moindre réflexion, j’accepte et nous voici partis. C’est Lauriane qui conduit l’imposant SUV. Elle choisit sur l’autoradio une musique envoutante et démarre.
Je suis assis (e) au centre de la banquette arrière entre les deux autres, contemplé par la troisième grâce à un rétroviseur intérieur astucieusement réglé. Notre basketteuse prend l’initiative et, tout en étrillant mon corps offert, viole ma bouche d’une langue interminable. J’essaie de résister, de lui rendre son baiser, et capitule bientôt : je suis « sa chose » et n’ai d’autre rôle que de subir les plaisirs infligés. Lorsque Véronique prend le relai, la caresse se fait plus maternelle : elle me donne le sein (superbe, énorme !) en caressant mon phallus. Le gros bébé imberbe que je suis la téte avec enthousiasme. Lorsque la main d’Anoko s’intéresse en sus à mon entrecuisse, je ressens à nouveau ces étonnants petits orgasmes répétitifs sans vraie éjaculation. Je vois dans le rétro le regard noir de la conductrice qui frise. Elle aime me voir ainsi.
Je commence à imaginer ce que c’est que de « mourir de plaisir » et reste là, à demi absent, envahi de mains et de bouches insidieuses... Arrivés à mon domicile, j’embrasse les passagères, descend du véhicule, monte à l’avant pour saluer la conductrice et recevoir de nouvelles caresses plus intrusives et brutales que les précédentes. Je patiente dans ma tenue grotesque, debout le long de la voiture, en attendant mes affaires et que l’on ôte mon accoutrement. Je rentre totalement nu dans mon immeuble angoissé de m’exposer aussi aux voisins mais aussi qu’ils m’aient entrevu (e) dans ma tenue coquine. J’ai l’impression de « tortiller du cul » quand je me déplace comme si mes viscères elles-mêmes étaient habitées d’un nouveau gouffre façonnant mon identité. Je m’effondre sur mon canapé repu et épuisé. Demain me fait peur...
Quelque chose d’important a changé en moi. Comment pourrais-je désormais me passer de tels instants ? Voudront-elles à nouveau de moi alors que l’attrait de la nouveauté aura disparu ? Comment trouver de nouvelles partenaires aussi stimulantes et respectueuses de ma nouvelle nature ?
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