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Ma femme

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ma femme

Je l’ai surprise à moitié nue devant son ordinateur, elle était vêtue seulement d’une légère nuisette transparente, qui lui arrivait aux hanches, mais n’avait pas de dessous. Je la contemplais, elle souriait. Je l’observais en silence, pensant qu’elle regardait une de ces séries. Pourtant quelque chose n’allait pas, son regard était provocant, ses mains se sont mises à effleurer sa poitrine généreuse. Son regard était de plus en plus excitant et pensant qu’elle m’avait vu, je fis un pas dans sa direction, puis me stoppai net.
J’entendis le son caractéristique d’une notification (était-elle sur un tchat ?), Ses mains cessèrent de jouer avec ses seins, elle s’était mise à pianoter sur son ordinateur, un large sourire aux lèvres (cette fois pas de doute, elle est sur un tchat). Ne sachant pas si le fait qu’un autre homme regarde ma femme nue ou presque m’énervait, ou au contraire m’excitait, je décidai de me retirer et de faire comme si je n’avais rien vu.
Lorsqu’elle me retrouva plus tard, rien dans son attitude ni dans sa voix ne laissait percevoir l’affront qu’elle venait de me faire subir (était-ce réellement un affront ?).Ne sachant quoi penser de tout ça, je fis comme si rien n’était arrivé, et m’efforçais de ne pas y penser.
Le soir au moment de me coucher, les images de ma conjointe offrant son corps à la vue d’autres hommes me tourmentaient, pourtant je n’arrivais pas à me décider à savoir si je devais lui en parler ou pas. La question ne se posa pas ce soir-là, car elle avait un service de nuit. Je laissais donc mon esprit vagabonder en essayant de penser à autre chose, mais l’effet inverse se produisit, mon corps réagit de façon surprenante et me fit comprendre que ce que j’avais vu m’exaltait.
Je fermai les yeux, me remémorant la scène une nouvelle fois et je sentis gonfler mon pénis et laissai mes mains faire le reste, cette nuit-là, j’eus le meilleur orgasme de ma vie. Je ne comprenais pas comment cela pouvait ne pas m’énerver, mais je commençais à apprécier cette idée...
Une semaine après cette histoire, j’essayais de guetter les allées et venues de ma femme afin de la surprendre à nouveau. Comme cela ne se produisit pas, je lui mentis en prétextant que j’allais faire une longue balade et de ne pas m’attendre pour le dîner. Elle me demanda de faire attention et m’embrassa. Depuis de longues années, son baiser ne m’avait plus procuré autant d’émotions.
Et comme je l’avais imaginé, il ne lui fallut pas longtemps pour ouvrir son PC et s’installer confortablement sur le canapé du salon, cette fois elle n’était pas en nuisette, mais portait une jupe rouge assez courte, qui laissait dévoiler le haut de ses cuisses sexy et un débardeur pourvu d’un décolleté très révélateur. Après un court moment à surfer sur son ordinateur, elle se leva et alla fermer les rideaux de la baie vitrée. Mais heureusement pour moi, un interstice entre deux rideaux m’offrait une vue magnifique sur ma femme. Elle resta un instant debout, devant le canapé, puis elle fit descendre lentement sa petite culotte. Cette fois, je pouvais voir le contenu de l’écran, ma femme était dos à moi, sur l’écran, je pouvais apercevoir une conversation visio, scindée en deux parties.
Sur l’une, je voyais mon épouse toujours en débardeur, une bretelle descendue lentement sur son épaule... Sur l’autre partie de l’écran, je voyais un homme torse nu à la musculature saillante, il avait le regard d’un animal affamé, ses lèvres formaient un rictus pervers. Et sous les deux écrans, un rectangle blanc où ils pouvaient discuter.
-Bonjour commença-t-elle par écrire. L’amant virtuel de ma femme lui répondit aussitôt sans se défaire de son regard malsain. -Je ne pense pas que tu sois venue ici pour parler, alors déshabille-toi ! Le regard de ma belle ne dissimula pas son excitation, mais une lueur de soumission, que je ne lui connaissais pas fit son apparition dans ses iris. Elle s’exécuta, enleva son débardeur par le haut et le laissa tomber au sol, elle était maintenant en soutien-gorge devant un inconnu, les yeux de l’homme s’agrandirent et son sourire se fit plus large.
— Très bien, maintenant le soutif, enlève-le lentement et montre-moi tes petits seins de salope.
Après avoir écrit ces mots, il se mit à se caresser par-dessus son boxer. Jessica s’exécuta une fois de plus, elle enleva son soutien-gorge lentement comme il le lui avait dit, une fois chaque sein libéré, j’eus envie de me lever et de lui dire d’arrêter, mais je n’y arrivais pas, ma queue se mit à durcir sans que je ne puisse rien y faire. Je restais donc là, à contempler ce spectacle interdit...A la vue de ses deux mamelles aux aréoles parfaitement roses, l’homme sortit à son tour son engin et ce fut au tour de ma femme d’élargir son sourire, elle caressa instinctivement ses magnifiques seins à la vue de cette queue, qui je l’avoue, n’avait rien à m’envier, elle avait l’air plus épaisse et plus longue que la mienne, je fus pris d’un sentiment de jalousie, mais rassurais mon égo, en me disant que ce devait être la caméra qui faisait cela, après tout, ma femme ne s’en était jamais plein... Elle se prépara à écrire, je me concentrais pour essayer de voir.
— humm elle est bien large ...
Tout en écrivant ses mots, elle avait les yeux rivés sur son sexe en érection. Je ne pus m’empêcher de me sentir humilié lorsqu’elle commença à se toucher (Est-ce que j’aime ce sentiment d’humiliation ?) D’une main, l’homme tenait son engin et de l’autre, il recommença à écrire.
— Lève-toi et montre-moi ce que tu as en dessous de ta jupe.
Se doutait-il qu’elle ne portait rien en dessous ? Allait-elle s’exécuter une fois de plus ? Lui offrir son intimité pour qu’il puisse assouvir son fantasme. Et moi, est-ce que je pourrais le supporter ? Je fermai les yeux un instant, ne sachant si je devais continuer à m’infliger cette scène digne d’un porno. Après de longues secondes, je me décidais enfin à rouvrir les yeux et me sentis légèrement angoissé par cette situation. Non seulement elle s’était levée et faisait glisser sa jupe offrant aux yeux du pervers sa petite chatte aux lèvres pulpeuses, mais elle se mit également à jouer avec sans même qu’il n’ait à lui demander. Son regard n’était plus celui d’une soumise, à présent, il était provocant, le pénis de l’homme devenait encore plus gros (Et je me sentais un peu ridicule maintenant) Elle se rassit sur notre canapé, et palpa sa poitrine. Aussitôt, son complice arrêta sa masturbation et écrit :
— Va le chercher maintenant chienne !
Mais de quoi parlait-il et de quel droit lui parlait-il comme ça ? Est-ce que c’était ce genre de paroles qui faisait mouiller ma femme ? Au vu de son regard, les réponses à mes questions ne se furent pas attendre. Elle n’était pas du tout choquée, bien au contraire, elle aimait ça et je dus me l’avouer, moi aussi j’aimais honteusement qu’elle se fasse insulter... (Qu’est-ce qui m’arrive ?), Ma femme, auparavant devant moi, sortit soudainement de mon champ de vision. Pendant quelques minutes, je ne vis qu’un homme assoiffé de sexe avec une queue surdimensionnée, qui attendait que ma Jessica revienne avec « quelque chose » qu’il lui avait ordonné d’aller chercher.
Lorsqu’elle revint, elle jeta un regard dans ma direction et aussitôt je m’écartais, priant silencieusement pour qu’elle ne m’ait pas vue. J’attendis, me demandant toujours ce qu’elle avait bien pu aller chercher, nous n’utilisons pas de jouets quand nous couchons ensemble... (A moins qu’elle en cache pour ses jeux, auxquels je ne participe pas ?), Au bout de quelques minutes, qui me parurent interminables, je me risquais enfin à regarder à nouveau par l’interstice. Cette femme, que je pouvais presque imaginer comme étant une inconnue, tenait dans ses mains une bite en silicone enduite de lubrifiant, presque aussi grosse que celle de son ami derrière la caméra et elle était en train de la caresser. L’homme dit :
— Maintenant, suce-la et fais comme si c’était ma grosse queue qui s’enfonce jusque dans ta gorge !
Elle rapprocha son visage déformé par le vice et ses yeux débordaient d’envie, ses lèvres étaient humides, et elle n’arrêtait pas de se les mordre, comme pour l’aguicher. Elle ouvrit la bouche et s’enfonça l’objet jusqu’où elle le put, pour le plus grand bonheur du pervers qui ne manquait pas une seconde du spectacle. Mais ce que moi, je pouvais voir, lui ne le voyait pas puisque son visage de salope emplissait tout l’écran. Ses jambes tremblaient, sa chatte ruisselait, la main qu’elle n’utilisait pas lui servait à titiller son clitoris (avec un toucher délicat et impatient).Ses jambes se serrèrent sur sa main couverte de mouille. Le son d’une nouvelle notification retentit :
— Mets-le dans ta chatte, imagine que c’est moi qui te pénètre...
Elle écarta ses cuisses déjà humides et s’enfila l’objet accompagné d’un cri de plaisir intense qui n’avait rien d’une simulation. - Enfonce-le encore plus... Durant plusieurs minutes, leurs gestes étaient coordonnés et je pris soudain conscience que ma queue avait gonflé Puis ma femme se cramponna au bord du canapé et cria dans un ultime moment de jouissance. Au même instant, l’homme laissa échapper une éruption de sperme. - On se retrouve peut-être une prochaine fois... Cette fois, c’est elle qui écrivit, puis après ces derniers mots, elle ferma l’ordinateur et se tourna dans ma direction... (Était-ce un clin d’œil ?), elle savait, je l’avais observée tout ce temps et ça lui plaisait... Je n’eus pas de réactions sur l’instant, elle partit en direction de la salle de bain et moi je restais là, fermant les yeux en pensant à ce qu’il venait de se passer et finissais de me masturber dans la jouissance.
C’est ma femme, ma partenaire, mon âme sœur. Je n’arrive pas à me défaire de la vision de son corps nu devant cet autre mec ou même de son regard coquin qui invite à la rejoindre. J’ai assisté impuissant à cette scène en ayant juste le droit d’observer. Mais alors, ai-je pour interdiction de participer à ses jeux érotiques ?
(J’aime ça ...)
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