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Ma femme. Accro de danse…et de sexe…

Chapitre 2

2 mâles à mon tableau de chasse

Orgie / Partouze
Accro de danse…et de sexe… 2
 Durant vingt bonnes minutes je lèche puis suce à nouveau au gré de mes envies l’un ou l’autre  de mes partenaires.  Pierre a une bite tout ce qu’il a d’ordinaire, Paul est mieux monté. Je ne sais pas pourquoi à ce moment je pense à Martial que je situerai entre les deux. Quelle comparaison absurde… J’arrive à ne plus savoir quelles mains explorent mes fesses jusqu’à ma chatte tellement juteuse. Putain quel pied je prends ! Suite.Je dois offrir un sacré tableau avec mes chaussures à haut talons, mes bas noirs et mon porte-jarretelle. J’aurais aimé que Martial me voie comme ça.Ils me dessapent complètement. Pierre me fait mettre à cheval sur lui et présente son engin toujours bien raide à l’entrée de mon vagin. Il exerce des mouvements dans ma moule toute trempée pendant que je m’empale tout doucement avant de sentir la totalité de sa verge en moi. Il embrasse  mes jolis seins, mes mamelons durs et bien bandés au centre de petites aréoles assez discrètes. Il les aspire faisant monter mon plaisir avec sa bouche pendant que la mienne est investit  par le pieu de Paul. J’ai une queue enfoncée tout au fond de moi et mon râle de plaisir est étouffé par cette deuxième queue qui essaie de faire la même chose au fond de ma gorge.  Je n’ai pas de tabous particuliers et aime me sentir désirée. J’ai déjà tout pratiqué, sauf le double anal car ma petite taille ne le permet pas et ce n’est pas non plus ce qui me ferait grimper au rideau. J’ai pratiqué une fois une double vaginale mais ce n’est pas trop mon truc non plus, et il ne faut pas que je tombe sur deux étalons, sinon gare... Ce n’est pas que je recherche le spectaculaire ou l’exploit mais j’aime être baisée avec passion après de longs préliminaires où je me fais caresser, doigter, lécher…par deux ou même plus de partenaires. J’adore moi aussi sucer et branler... constater qu’une bite devient dure sous un pantalon ou dans ma main.Petite gymnastique pour échanger leur place et je suis maintenant à cheval sur Paul.  Ce n’est pas que j’ai à reprocher quelque chose à Pierre mais j’aime la bite, la grosse bite… Je me mets à onduler sur son corps sous ses encouragements. Je me  tords de plaisir en enfourchant son pal avec de petits cris. Je me lâche enfin, devenant pratiquement incontrôlable, m’empalant sur sa teub à mon rythme, alternant de lentement à hyper rapide. Je suis dans un état second mais les deux compères ont d’autres projets. Ils me font les sucer à nouveau pour que je goûte ma mouille sur leur queue. Ils sont  déchaînés et m’encouragent à  sucer leur gland et  lécher leurs boules. Je présente mon cul et me fais piner à nouveau, «  pieuter »  bien au fond de ma chatte. Paul s’enfonce à grands coups de bite en sentant bien la limite de mon con. Pierre m’entends me plaindre sous les coups de boutoir. Ça l’excite tellement qu’il s’approche et me défonce le cul. Je suis prise en sandwiche par mes partenaires. Dommage qu’ils n’aient pas assez de résistance… Pierre éjacule sur mon petit cul avant de se répandre en courtes giclées sur mon dos, son sperme glissant suivant les courbes de mon corps arqué. Je suis aussi à bout de souffle. Paul arrive lui aussi au paroxysme et me demande de présenter ma bouche pour goûter sa semence. Il jouit lui aussi et je dois lui montrer son obole avant de déglutir. Je récolte avec mes doigts quelques traces blanchâtres sur mon visage puis je les nettoie de ma langue lascivement en lui disant que j’aime le goût de son sperme.Je rentre dans ma chambre au petit matin, salie, souillée du sperme de mes amants, mais heureuse de cette soirée que je vais compter avec force détails à mon mari, il adore ça, mon mari candauliste, anxieux et excité par ce qu’il pourrait se passer sans qu’il ne le sache, prêt à imaginer tout...mais en se raisonnant pour ne dire que rien n’arrivera. Je ne sais pas pourquoi je me dis ça, peut-être comme une excuse, car je sais bien qu’une fois rentrée, je me tairai, comme d’habitude…  Mais avant de nous séparer,  ils m’ont dit qu’ils me préparent une surprise... Mon sommeil est agité,  quelle surprise me préparent-ils ?Le lendemain nouvelle séance de danse l’après midi. Je recroise  Pierre qui danse tranquillement avec moi. Il n’a de cesse de chercher mon regard lorsque je danse avec un autre homme, il regarde ma chute de reins, mes jambes. Je suis habillée beaucoup plus sexy, les connaisseurs pourront apercevoir le haut de mes bas noirs lorsque je virevolte, mon haut en dentelle transparente, comme une guêpière. Soudain il m’entraine dans la chambre de la veille après des attouchements dans l’ascenseur. Il me bande les yeux, m’attache sur une chaise, remonte ma jupe et s’en suivent des jeux à quatre mains, Paul doit être la lui aussi… (Doigtés, orgasmes, suçage de bites, etc.) Puis ils me mettent debout face contre le mur, mais attachée avec lanières en haut d’une porte et me baisent l’un après l’autre comme la veille. Je deviens une vraie fontaine lorsque le Paul retire son énorme bite de ma chatte... et enfin ils me baisent sur le lit comme il se doit, à deux... J’ai  toujours mes bas et mes haut-talons. -Petit échauffement pour ce soir, lance Pierre. Dernière session de danse de la journée. Je me sens un peu soulagée car mes comparses de l’après-midi ne sont pas là… mais un peu frustrée. Je me suis habillée comme ils ont demandé ; robe plus moulante cette fois ci très près du corps, ras du cou, sans manche, bas nylon et lingerie noire et mes plus hauts talons. Ça fait très sexy mais classe. Je n’aime pas danser avec ses escarpins de douze centimètres car cela me fait un peu mal mais ça me rend encore plus désirable. Ma robe est celle qui met le plus en valeur ma cambrure et ma chute de reins.Je me fais beaucoup inviter avec cette tenue, et sens le désir des hommes gonfler leur pantalon.J’adore être le centre des désirs des hommes, que mon sex-appeal les énerve, les excite, d’en voir  plus d’un qui bande à mon contact 
C’est la fin de l’après-midi, mes deux « compères » se pointent à l’entrée de la salle et me font signe de les suivre.On prend l’ascenseur et ils me bandent les yeux et me menottent les poignets derrière le dos.Ils m’emmènent dans une suite et non dans la chambre habituelle. La cagoule est suffisamment fine  pour que je discerne les formes et les lieux. Je me doute qu’il va se passer quelque chose de différent que les deux premières fois. J’ai un mélange de honte, d’appréhension et d’excitation. Un peu de remords vis-à vis-de mon mari mais que j’oublie vite en mettant une cagoule dessus. Hi-Hi-Hi…Je suis debout, habillée en plein milieu du salon de la suite.C’est à peine si je discerne pas moins de dix hommes, sûrement de toutes origines autour de moi.  Petit à petit les hommes se rapprochent et m’entourent. Je me fais peloter sur et sous mes vêtements par d’innombrables mains. Je ne peux rien faire d’autre que d’accepter sinon ma réputation est foutue. Mon maximum jusqu’à maintenant, c’était trois hommes, plus mon mari…Avec mes deux complices, j’ai la douzaine...d’ailleurs, l’un deux intervient, écarte tous les autres hommes et me pelote sous ma robe en la remontant. Comme ils me l’ont demandé la veille, il constate bien que je ne porte pas de culotte (j’ai dansé comme cela toute la journée). Il constate que malgré mon appréhension devant le nombre, je suis déjà trempée.Ma vue c’est un peu habituée au peu de vision sous la cagoule et je discerne un peu mieux les hommes qui en profitent pour se dévêtir. Il y en a pout tous les goûts, sûrement du gentleman à  l’homme ordinaire, du black, du blanc, du beur, dans les trente ou quarante ans. Sûrement des habitués de telles parties fines. Du bien bâti et musclé, du gros au ventre bedonnant au petit maigre. Je suis toute menue moi... ça va être chaud !
Il me fait m’agenouiller, toujours habillée, relève un peu la cagoule et me fait sucer et découvrir toutes les queues des complices les unes après les autres. Un instant de panique me remue le ventre mais mon atavisme de femme de sexe l’emporte  et je suce les queues qui se présentent autour de moi,  les branle,  cherche les beaux chibres qui me plaisent et insiste plus particulièrement dessus, toujours les yeux bandés.Deux éjaculateurs précoces se soulagent déjà sur mes vêtements ou dans ma bouche, amenant mon excitation au paroxysme. Il me soustrait de cette position pour me placer à genoux sur un fauteuil de la suite, les fesses offertes, la robe relevée et m’attache les mains au dossier. Les huit hommes qui restent me pénètrent à tour de rôle dans cette position me donnant quasiment un orgasme à chaque fois, me   faisant couler comme une fontaine sur le fauteuil. Jamais je n’ai eu autant d’orgasmes aussi répétés…et rapprochés.  Certaines bites sont énormes mais me font du bien. Je pense à mon mari, s’il me voyait... Je me laisse prendre au jeu des puissantes pénétrations et oublie tout cela. Mon esprit divague, me rappelant la dernière conversation de Martial voulant absolument que je regarde une petite vidéo. On y voyait un homme seul se branler, puis lâchant sa verge qui bougeait toute seule. Je dois avouer que la vue de cette énorme bite m’a remuée, pas spécialement par la longueur conséquente mais guère plus que celles de certains des hommes qui m’entourent. Ce qui m’a frappée, c’est son diamètre si imposant digne d’un cheval. Entre mon cerveau et ma chatte, je suis gâtée, coulant comme une fontaine. Mais je reviens à la réalité car on me force à sucer  en même temps une ou même plusieurs bites. J’avale force doses de foutre pendant que d’autres hommes se vident les couilles dans ma chatte ou sur mes fesses.  A suivre…
J’espère que mes histoires vous plaisent. J’apprécie les commentaires de certain(e)s et vos like pour m’encourager à encore plus me lâcher dans mes textes.
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