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Femme d'Affaires

Chapitre 1

Hétéro
J’étais en panne. Une Audi A3 neuve, et je me retrouvai en rade au bord de la route, en retard pour mon rendez-vous de travail. Je pestai contre la marque de soi-disant qualité.Je n’avais plus qu’à appeler Claudia Samperi avec qui j’avais rendez-vous.Ma société d’architecture d’intérieur marchait assez bien, notamment grâce à cette dame.J’étais le gérant fondateur de cette petite boîte située à Lyon et dans laquelle nous étions cinq à travailler : un architecte, une spécialiste des fournisseurs de matériaux de finition, un dessinateur artistique pour mettre en valeur nos propositions, une assistante pour mettre de l’ordre à notre bazar et fignoler les dossiers d’offres, et moi, le patron et commercial de l’entreprise. Nous avions peu de clients, tous dans l’immobilier haut de gamme. Claudia Samperi était probablement notre plus importante cliente, peut-être pas en chiffres, mais elle m’avait fourni plusieurs contacts qui pour bon nombre étaient devenus des clients eux aussi.
Il ne me restait plus qu’à la prévenir et trouver un dépanneur. Je l’appelais donc pour m’excuser de mon retard. Je lui exposais rapidement la situation, et miracle, elle envoyait un collaborateur me chercher et m’annonçait s’occuper du dépannage. Je la remerciais vivement.
Je n’étais pas loin de notre lieu de rendez-vous en Savoie et je n’eus pas à attendre longtemps.Trente minutes plus tard, j’étais arrivé.Le projet qui nous occupait était déjà bien avancé. Il concernait un immense chalet en vieux bois agrandi et transformé en hôtel de luxe. Les chambres et circulations étaient presque terminées, et la salle de restaurant bien avancée. Il nous restait à finaliser les aménagements du salon et du bar. C’était l’objet de ce rendez-vous, probablement le dernier pour ce projet avant la réception finale des travaux.
A mon arrivée, Claudia me salua chaleureusement. C’était une femme d’une cinquantaine d’années aux manières un peu haute société et d’une élégance raffinée. Elle était pourtant vêtue d’un simple jean plutôt moulant, d’un t-shirt blanc tout aussi moulant sous une veste de cuir légère de couleur naturelle, marron clair pour être plus simple, et d’une paire de chaussures de sport en cuir blanc.
Elle me pria de ne pas me confondre en excuses, car de toute façon, je n’y pouvais rien. Elle me fit apporter un café et nous nous mîmes au travail. Il était déjà 10h30 et Claudia proposa que l’on saute la pause déjeuner pour rattraper le temps perdu.
Bien entendu, j’acceptai.Vers 18h00, la décision était prise de remettre la suite au lendemain. La réunion de chantier venait de se terminer après avoir commencé deux heures plus tôt. Pour le lendemain, vendredi, il restait à étudier et faire des choix dans la liste des éléments de décoration rapportés.
Claudia me fit savoir qu’elle était très satisfaite du résultat, comme d’habitude. Je lui dis que c’était gentil de sa part, mais elle me répondit que ce n’était pas pour être gentille, mais parce que c’était vrai. Elle me demanda de bien vouloir féliciter toute notre équipe pour le travail réalisé.
Effectivement, le résultat commençait à être franchement sympa, mais cela faisait très plaisir, car Claudia était une femme d’affaires à poigne, mais juste, et toujours très franche. Si elle n’avait pas aimé, elle l’aurait fait savoir subtilement, mais clairement.
J’avais réservé dans un hôtel à l’autre bout du village, à peu près à deux kilomètres, j’y serai dans une vingtaine de minutes.Claudia me dit à ce moment :
— Vous avez prévu quoi pour ce soir Anthony ?— Rien de spécial, dîner à l’hôtel avant d’aller me coucher.— La journée de demain n’est pas très chargée. Si vous voulez, je vous emmène dîner dans un restaurant à vingt minutes d’ici. Ça s’appelle « l’Auberge », mais on y mange très bien, c’est assez fin.— Avec plaisir Claudia. Je vous remercie, au moins je ne dînerai pas seul.— Et moi non plus. J’ai encore quelques petites choses à faire, mais je peux vous faire raccompagner à votre hôtel et passer vous chercher vers 19h30.— Merci, c’est gentil.— Arrêtez de toujours trouver tout gentil. Vous avez réservé où ?— A « L’Étoile du Sud ».— Très bien. A toute à l’heure, je serai ponctuelle.
Le même homme que le matin me conduisit à l’hôtel.A 19h20, j’attendais dans la réception après avoir pris une douche et m’être changé, un peu élégant, sans plus.A 19h30 précise, une Porsche blanche se gara juste devant l’entrée et je vis Claudia se pencher pour voir à l’intérieur de l’hôtel et me faire signe. Je la rejoignais aussitôt.Une fois que je fus assis, elle dit :
— J’aime bien la ponctualité, pour moi comme pour les autres.— Moi aussi, c’est une forme de respect et de politesse que j’apprécie. Vous avez une belle voiture.— C’est le pouvoir de l’argent, les belles choses.— Du goût aussi.— Vous faites preuve de très bon goût aussi Anthony. Dans nos métiers, c’est mieux, me direz-vous.— Exact.
Le trajet passa rapidement, agrémenté de quelques échanges de banalités. Je ne pus m’empêcher de jeter quelques coups d’œil aux jambes gainées de soie de mon chauffeur, et à ses mains joliment manucurées et sans bijoux.
En arrivant, la bâtisse devant laquelle nous étions garés était certes très ancienne, mais aussi de grande facture. Elle était grande et avait été rénovée récemment. L’enseigne était très classe. Une dizaine de voitures étaient garées sur le parking et elles étaient toutes très chères.
Lorsque je vis Claudia debout après être sortie de la Porsche, je m’aperçus que ma tenue vestimentaire était peut-être un peu trop..., pas assez élégante. Elle portait un imperméable noir et léger, mais de luxe, et des chaussures à hauts talons noires avec une fine bride à la cheville. Nous entrâmes dans le restaurant et je pus me rendre compte que le standing y était bien supérieur à ce que le nom pouvait laisser penser. Nous fûmes accueillis comme des habitués de marque. On prit l’imperméable de Claudia pour le vestiaire, je gardai ma veste. Tout le monde la saluait en l’appelant par son nom. La robe rouge foncée qu’elle portait était très élégante, très ajustée, elle descendait jusqu’à mi-cuisses et était pourvue de petits boutons de la même couleur de haut en bas, avec un décolleté relativement sage en « V ». Elle mettait parfaitement en valeur toute la féminité de ses formes.
Nous pénétrâmes dans un salon où se trouvait un bar sur la gauche et des canapés et tables basses sur la droite, mais aucun client. Au fond, dans la salle de restaurant, la moitié des tables était occupée.Claudia se dirigea vers l’un des canapés et y prit place. Elle m’invita à m’asseoir à côté d’elle. Elle commanda du champagne. Visiblement, le barman connaissait ses habitudes, car il ne demanda pas lequel, et je crois qu’étant donné le standing de l’établissement, il devait y avoir le choix.Il nous servit et retourna derrière le bar. Nous prîmes nos verres et trinquèrent.
— A nos réussites, dit Claudia.
J’allais dire « Santé », mais je me ravisai, hésitant, je répétai :
— A nos réussites.
Elle décroisa ses jambes, puis les recroisa dans l’autre sens. Elles étaient vraiment jolies.
— Alors Anthony, cela fait combien de temps que nous travaillons ensemble ?— Environ cinq ans, je pense.— Et on ne se connaît pas vraiment. Parlez-moi un peu de vous, vous avez des enfants ?— Non. J’ai été marié, mais nous n’avons pas eu d’enfant. Ma femme m’a quitté après trois ans de mariage. Elle a dit que je ne m’occupais pas assez d’elle, que je n’étais pas assez présent et qu’elle avait rencontré quelqu’un avec qui elle pourrait construire sa vie. Elle n’avait pas tort, je démarrais mon activité et ma société, et je crois que je ne pensai qu’au travail à cette époque.— Ça fait combien de temps ? Vous avez quel âge ?— J’ai trente-neuf ans et elle m’a quitté il y a neuf ans.— Et vous ne vous êtes jamais remis avec quelqu’un ?— Non. J’ai beaucoup souffert de cette rupture, même si c’était probablement ma faute.— Les gens manquent de patience, d’engagement et de volonté de nos jours. C’est ce qui défait beaucoup de couples.
Elle me sourit. Son visage aux traits fins était très agréable à regarder. Son maquillage était léger, du noir sur les cils et sur le contour de ses yeux bleus foncés, du rouge à lèvres coordonné à la robe. Ses cheveux courts noirs avec de fines mèches blanches étaient savamment et légèrement ébouriffés. Cela lui allait très bien, un peu sévère peut-être, mais très charmeur aussi.Elle poursuivit :
— Et sexuellement, comment le vivez-vous ?
J’étais désarçonné. Je ne savais pas trop quoi répondre.
— J’ai eu quelques aventures.
Je ne l’avais pas vu faire, mais je me rendis compte qu’un bouton de sa robe avait été ôté aussi bien en haut qu’en bas, et que j’apercevais la jarretière de l’un de ses bas ainsi que la naissance de ses seins. J’étais troublé et je renvoyais la discussion sur elle.
— Et vous, Claudia, je sais que vous êtes divorcée, mais vous avez certainement des enfants ?— Non. Et c’est pour cela que mon mari a demandé le divorce. Je ne peux pas en avoir et lui en voulait. J’avais cinquante et un ans et il est parti du jour au lendemain. C’était il y a dix ans. Depuis, il s’est remarié avec une jeune femme de vingt-cinq ans de moins que lui qui lui a donné deux fils. L’aîné a huit ans et le cadet six. Ils sont adorables et sa nouvelle femme aussi d’ailleurs.
Je faisais le calcul rapidement. Claudia avait soixante et un ans, je n’en revenais pas. Tout en parlant, elle s’était mise à balancer une jambe, ce qui faisait remonter légèrement sa robe. Je voyais un peu plus le haut de son bas. Elle était encore belle et sexy. Je lui dis :
— Je suis désolé.— Il n’y a pas de quoi. Il m’a laissé beaucoup d’argent, ce qui m’a permis de vivre confortablement et de me lancer dans mes propres projets professionnels. Avec lui, je ne travaillais pas. Il considérait qu’il gagnait plus que nécessaire pour nous deux et que j’avais juste à en profiter. Et puis, j’ai aussi découvert la sexualité. Lorsque j’étais mariée, je vivais avec mon premier et seul homme, et franchement, il ne m’avait rien fait découvrir d’intéressant sur le sujet. Depuis, j’ai eu plusieurs amants. Ça a changé ma vie, je me suis épanouie.
Hoouu ! Elle était libérée Claudia, comme on dit.
— Dites-moi Anthony. Vous me trouvez comment ?— C’est-à-dire ?— Physiquement.— Vous êtes une femme séduisante.— Vous savez mon âge. Est-ce que vous me trouvez encore attirante ?
J’étais de plus en plus troublé. A soixante et un ans, elle avait effectivement beaucoup de charme. Je ne savais pas quoi répondre. La vérité était certainement la meilleure solution.
— Oui, vous l’êtes Claudia.— Honnêtement, vous feriez l’amour à une vieille femme comme moi ? Parce que moi, je vous trouve très séduisant.— Je n’y ai jamais songé, Claudia. Vous me prenez au dépourvu.
Elle déboutonna un bouton de plus sur le bas de sa robe. J’aperçus sa peau au-dessus du bas.
— Puis-je au moins essayer de vous séduire ?— Là, vous me perturbez.— C’est bon signe. Allons dîner.
Nous passâmes à table, assis face à face.Le maître d’hôtel nous donna la carte en communiquant des informations que j’entendais sans les écouter. Claudia m’avait retourné le cerveau. J’avais chaud.De nouveau seuls, elle me regarda dans les yeux et me demanda :
— Alors, qu’est-ce qui vous tente ?— Je ne sais pas encore.— Moi, peut-être ?
Je crois bien qu’à ce moment-là, j’ai rougi.Elle posa sa main droite sur sa cuisse et en caressa lentement l’intérieur.Je la voyais faire à travers le plateau en verre de la table.Elle écarta légèrement les jambes et dégrafa un bouton de plus, de trop sûrement, au bas de sa robe. Les pans de celle-ci s’écartèrent tant, que je pouvais voir apparaître les grandes lèvres lisses et la fente de la belle Claudia.
— Vous ne me séduisez pas Claudia, vous m’excitez.— Alors on va peut-être manger léger ?— Oui. Je suis d’accord.
Claudia vit le maître d’hôtel revenir et déposa sa serviette de table sur ses jambes.Nous passâmes commande rapidement.Le maître d’hôtel ayant à peine tourné le dos, Claudia ôta un bouton supplémentaire en haut de sa robe et son décolleté devint franchement provocant. Elle glissa sa main droite à l’intérieur de celui-ci jusqu’à recouvrir son sein gauche, puis referma les doigts pour attraper son téton et le malaxer.
Après quelques secondes, elle changea de main et entreprit le même travail avec le sein droit.Lorsqu’elle ressortit sa main, ses mamelons pointaient au travers de sa robe d’un tissu pourtant un peu épais. En ce qui me concerne, c’était mon sexe qui avait durci et qui se trouvait coincé dans mon pantalon trop serré pour le coup.
Sa main redescendit jusqu’à la serviette qu’elle reposa sur la table. Elle put reprendre son exhibition, se caressant maintenant l’intérieur des cuisses de ses deux mains au niveau de la jarretière de ses bas noirs. Elle écartait progressivement ses jambes, et ses grandes lèvres laissèrent bientôt apparaître les petites. Elle avança un peu ses fesses sur sa chaise, écarta les jambes encore un peu plus et je vis apparaître une petite toison noire aux poils courts et bien taillés en forme de triangle pointant vers son clitoris.
Elle posa l’index et le majeur sur chacune de ses grandes lèvres et les écarta. Enfin, elle se lança dans un va-et-vient de ses deux doigts, allant d’une extrémité à l’autre de sa fente. Elle mouillait et ses lèvres brillaient.
Je me trémoussais légèrement sur ma chaise. Cette femme à moitié nue devant moi, faisant tout pour m’exciter au beau milieu d’un restaurant, certes pas bondé, me rendait fou.Ses deux doigts finirent par glisser jusqu’à son bouton qu’elle titillait à travers le capuchon. Elle ondulait légèrement le bassin en rythme avec ses caresses.
— Tu bandes ?— Plutôt !— Tant mieux, j’aime les sexes bien durs. Une bonne taille c’est une chose, mais la fermeté, ça, c’est important. Tu aimes le sexe ?— Oui, plutôt.— C’est bien. Parce que moi j’aime ça, n’importe quand et n’importe où.
Elle se redressa, stoppant sa masturbation, et reposa sa serviette sur ses jambes. Les plats arrivaient.
Le repas fut expédié.
A peine terminé, elle se leva sans prendre soin de refermer un tant soit peu sa robe, me tendit la main et me dit :
— Viens !
Je me levais, prenais sa main fine dans la mienne et la suivais.Nous fîmes une halte à la réception. Elle demanda une chambre. Le réceptionniste lui tendit une clef et nous souhaita une bonne fin de soirée.Nous gagnâmes l’ascenseur dont les portes étaient déjà ouvertes.A peine celles-ci refermées, elle fit sauter les derniers boutons de sa robe et vint se plaquer à moi, attrapant fermement mon sexe toujours tendu d’une main ferme. Elle m’embrassa à pleine bouche, appuyant sur le bouton du deuxième et dernier étage. Quelques secondes plus tard, l’ascenseur s’immobilisa et les portes s’ouvrirent. Nous nous embrassions toujours goulûment tandis qu’elle me pétrissait la queue. Elle me prit à nouveau la main et m’entraîna dans le couloir avant que les portes de l’ascenseur ne se referment. Sa robe toujours grande ouverte, elle me plaqua contre une porte, s’accroupit, et déboutonna mon pantalon. Mais mon sexe tendu ne pouvait pas sortir. Elle déboucla alors mon ceinturon. Pour libérer ma queue, elle baissa mon caleçon et mon jean jusqu’au-dessous de mes fesses. Elle les attrapa et regarda ma bite quelques secondes avant de me fixer de ses yeux bleus foncés qui brillaient.
Elle se mit à lécher mon membre turgescent et mes couilles, sans cesser de me fixer du regard. Ce faisant, elle prit l’un de ses seins et le malaxa, tout en tirant régulièrement sur le téton.Ses seins étaient assez volumineux, mais bien fermes, les aréoles foncées et lisses comme une peau de bébé.Elle lâcha ma fesse pour prendre mon sexe en main et en avala une bonne moitié.Sa bouche chaude et serrée me procura une sensation agréable. Elle poursuivait cette fellation au beau milieu du couloir qui desservait plusieurs chambres. Nous étions à moitié nus et en plein ébat alors que n’importe qui pouvait se pointer. Qu’à cela ne tienne, elle recommença à se masturber sans cesser de me sucer.
Au bout de quelques minutes, je sentis qu’elle commençait à jouir. Elle lâcha ma bite et accentua ses mouvements sur son clitoris. Posant une main au sol derrière elle, elle se cambra, toujours accroupie, et s’enfonça deux doigts dans la chatte dans un va-et-vient frénétique. De son ventre, le jus de sa jouissance s’épancha sur la moquette en plusieurs petits jets. Tremblante sur ses jambes, je l’aidais à se relever.
Elle glissa la clef de la chambre dans le barillet et nous entrâmes, main dans la main. Je refermais la porte et elle m’emmena jusqu’au lit. Elle me poussa et je tombais allongé sur le dos sur celui-ci.
Elle laissa sa robe tomber au sol. Elle ne portait plus que ses bas noirs et ses escarpins de la même couleur. Elle était magnifique.Elle s’approcha de moi et entreprit de me déshabiller. Je l’aidais un peu, mais elle s’y prenait bien.Lorsque je fus totalement nu et toujours allongé sur le dos, elle m’enjamba, de dos, et s’assit sur mon visage.
— Bouffe-moi la chatte et le cul, s’il te plaît !
Je m’exécutais pendant qu’elle reprenait ma queue en bouche ;Je lui léchai la vulve, lui titillais le clitoris et immisçais ma langue dans son anus. Sa chatte me dégoulinait sur le visage et j’étais aux anges. Ma queue nageait dans le bonheur, tandis que mes doigts avaient pénétré son vagin et son rectum, ma langue excitait son clitoris, elle gémissait de bonheur.Bientôt, elle accéléra ses mouvements sur ma tige bien dure, et je ne pus réprimer la montée de sève qui lui inonda la bouche. Elle ne s’arrêta pas, avalant toute ma semence avec délectation. Aucune femme avant elle n’avait goûté mon sperme.Je n’avais pas éjaculé depuis des semaines et ma jouissance fut extrêmement intense et violente.
— Qu’est-ce que c’est bon ! me dit Claudia.— Oui, c’est génial. Tu es tellement belle et excitante.— J’espère que je le suis, parce que je ne compte pas m’arrêter là.
Elle se leva et gagna la commode qui jouxtait le lit, prit appui sur les mains, recula ses jambes en les écartant et se cambra.Elle fit onduler sa croupe sous mes yeux durant un moment avant de commencer à se caresser les fesses, puis l’anus et enfin la chatte.
— Viens me déglinguer ! Allez !
Je me levai, à ma grande surprise, je n’avais pas débandé.Je glissais alors mon gland sensible entre ses lèvres, puis le reste de mon membre durci, jusqu’à la garde.
— Oh, oui ! Baise-moi ! Défonce-moi !— Oui, je vais te défoncer comme tu l’veux !— Oui, vas-y !
Je lui cognais fort la croupe, de plus en plus vite.
— Ouuui ! Encore !
J’accélérai encore, aussi vite que je pouvais.Pendant de longues minutes, je la labourai tandis qu’elle geignait de plus en plus fort.Elle fut prise de soubresauts qui durèrent un moment. Elle tremblait sur ses jambes alors que j’allais en elle plus doucement.
— Mets ton doigt dans mon cul sans t’arrêter.— D’accord.
Mon pouce dilata lentement, en faisant des petits cercles, son petit trou brillant. Elle se cambra un peu plus encore.
— Oh, c’est bon !
Je continuai le ramonage de sa chatte.Son cul magnifique sous les yeux, mon doigt enfoncé dans son rectum, l’idée de la sodomiser se formait de plus en plus dans ma tête.
— Tu veux prendre mon petit trou ?— Mais oui ! — Peut-être une autre fois, si tu es sage.
Je retirai doucement mon pouce pour le lubrifier. Puis je le réinsérais doucement et à fond dans l’orifice légèrement dilaté. Je labourai ainsi pendant un moment, elle geignait doucement.Lorsque je sentis la pression monter en moi, je la bloquai par les hanches, coincée contre la commode, la retournai pour l’asseoir sur celle-ci, bien au bord. Je lui écartai les jambes en grand en la tenant par les chevilles afin de pénétrer son sexe béant et gluant juste à ma portée. Je voulais jouir en elle en la regardant dans les yeux.Ce que je fis quelques minutes plus tard.Je venais de faire l’amour avec une femme pour la première fois depuis des mois. Elle avait été magique, et bien qu’âgée de vingt-deux ans de plus que moi, elle était la femme qui m’avait le plus excité.
J’ai quarante-huit ans maintenant. Je vis avec Claudia depuis ce jour, et nous sommes très heureux.Elle est toujours aussi attirante et sexy. Claudia a maintenant soixante-dix ans et nous fêterons bientôt nos cinq ans de mariage. Nous nous aimons et faisons l’amour comme elle aime le faire, n’importe où et n’importe quand.
Anthony
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