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Ma femme aide notre ami

Chapitre 2

Erotique
Le matin suivant, je suis rêveur, ma femme Elodie est si amoureuse de moi que je suis persuadé que Serge se raconte des histoires. Pauvre vieux avec sa femme c’est pas drôle. La sonnerie du portable me dérange en pleine réunion, c’est Serge, que j’ai du mal à renvoyer à plus tard: ’’il faut absolument que je te parle...’’.
Avant midi, je suis plus tranquille, je le rappelle. ’’Tu ne le croiras pas! Elle l’a fait, elle est épilée ...— Mon pauvre, je sais, c’est moi-même qui l’ait fait.— Oui, mais ...— ... quoi?— Ben, là, elle me l’a montré, ce matin en arrivant.’’ Je suis abasourdi, imaginer plus ou moins, fantasmer, douter c’est une chose, l’entendre une autre bien différente. — Dans ton bureau?— Oui, elle est venue me dire bonjour, on s’est fait la bise. Je lui ait dit: Alors? Elle: c’est fait! Moi: je voudrais bien le croire, mais ... enfin! Elle m’a dit: c’est fait te dis-je, je suis entièrement épilée! Je lui dis je veux le voir pour le croire! Elle me répond: eh non! Je dis: comment ça? Elle: eh non ... c’est ton tour! Je lui dis: mon tour ... de quoi? Elle: de me montrer! Je dis: quoi? Elle: si tu es aussi bien monté que tu le prétend, mon salaud. J’étais emmerdé car on pouvait entrer n’importe quand. Elle insiste: Alors, pas capable? Je lui dis, pas ici. Elle: OK, tant pis! Et elle est partie.’’Je suis soulagé car en fin de compte il ne s’est rien passé, Elodie joue avec Serge comme elle le veut mais c’est sans conséquences.
Mais Serge continue: ’’Tu vois, 1/2 heure plus tard ça me travaillait, je l’appelle, elle rit et dit : je savais que tu rappellerais. Je lui dis, ben oui, je pouvais pas rester là dessus. Elle rit encore, fort, je lui dis: que veux-tu que je fasse? Elle: viens à mon bureau à midi, je serais tranquille ... Je lui dis: d’accord, elle: je t’embrasse.’’Je suis interloqué, je doute de mes oreilles, le sang frappe à mes joues, je ne sais quoi dire. D’un autre côté je veux savoir à tout prix la suite de son histoire, peut-être qu’il fabule, je verrai plus tard. Je me contrôle et réponds: ’’ C’est passionnant? Merci des confidences ... et ensuite?— Ensuite ... je suis monté à son bureau un peu avant midi, les gens quittaient pour aller déjeuner. J’ai frappé à sa porte, elle a dit ’’ entre donc ... je t’attendais ... es-tu prêt cette fois-ci?’’. Moi je me sentais gêné mais aussi obligé envers elle. Je lui dis: que veux-tu? Elle: eh bien montre-toi! Moi: comme ça, ici, debout? Elle rit: oui personne ne viendra! Je me défais la ceinture pendant qu’elle me fixe la braguette. Je descends mon pantalon, elle regarde très sérieuse, je fais glisser mon short sur mes cuisses. Evidemment, je suis excité mais avec le stress seulement à moitié si tu vois ce que je veux dire. Ma queue est un peu raide mais elle regarde vers le bas. Elle siffle et dit: magnifique, un vrai bâton de berger, comme annoncé dans la pub, on en mangerait. Rhabille-toi vite j’entends du bruit ... Nous rions tous les deux, je me rhabille, elle dit qu’elle ne comprend pas pourquoi Martine fait la fine bouche. Je lui dit c’est pas la bouche qu’elle fait fine, mais plutôt autre part. Elle dit: elle a tout faux! On rit encore. Je lui demande si elle va me montrer?— Mais euh, montrer ... montrer quoi? demandais-je stupidement. ’’Ben, sa chatte épilée’’ ... dit Serge l’air ingénu.’’Elle rit, je lui dis, dans les toilettes de l’étage, elle OK! Je sors de chez elle et vais dans les toilettes qui sont unisexe, il y a 2 lavabos et 3 cabines. Elle arrive deux minutes après. Je rentre dans la dernière cabine, elle me suit, referme la porte. Elle m’a regardé dans les yeux, s’est appuyée à a porte et a remonté sa jupe, c’était super chaud ... sans me quitter du regard elle a baissé son string et a avancé le bassin vers moi. elle était là à un mètre, chatte à l’air, ho, la la! Elle a ôté son string l’a posé dans ma main, puis est sortie sans un mot.’’Je suis évidemment éberlué et en même temps très excité par cette histoire que je ne crois qu’à peine. Je lui demande: ’’Comment saurais-je que c’est vrai?— On se voit à 15 heures ... pour de bon ...— Pour de bon?— Oui, chez moi, à mon pavillon en banlieue ... — mais ... et Martine?— Elle est absente chez sa mère pour deux semaines. Tu vois: Elodie et moi, le feeling, je te disais!— Je peux pas le croire!— Mais que veux-tu de plus?— Je ne le croirait que si je le vois!— Euh, pas de problème, je suis pas jaloux, ha ha, entre copains on partage tout. Tu n’a qu’à venir, tu resteras en haut, on fera ça en bas, tu verras tout ... mais attention, discret, pas d’histoires, hein?— Non, bien sûr!’’ dis-je abasourdi. ’’On fera ça en bas’’. Je rêve: va-t-il baiser ma femme dans son salon? Et moi qui ne réagit pas, qui veut regarder ... Oh, je suis tranquille elle ne viendra jamais.Une heure plus tard je suis chez lui, il m’offre un Martini. ’’ Elle va bientot arriver. Si tu veux emporte la bouteille avec toi, dans la chambre d’ami, tu verras tout le séjour par la porte ouverte. Déchausse-toi.’’ J’obtempère, sans un mot, le coeur battant. Je connais la chambre on y a dormi Elodie et moi, et fait l’amour un week-end chez Serge et Martine.On sonne, Serge ouvre c’est elle, Elodie, la femme de ma vie, mère de mes enfants. Ils s’embrassent, rient. ’’Tu n’as pas froid sans ton string, ricane Serge?— Oh, non ... au contraire ... je brûle.— Super, je vais en profiter!— Et moi donc!’’
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