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La femme au bar

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Sandra sirotait rêveusement son mojito, perchée sur un des tabourets du bar de l’hôtel où elle attendait son mari qui était en rendez-vous d’affaires. Il ne devrait pas tarder et en l’attendant, elle prenait un malin plaisir à balancer son escarpin rouge qui semblait fasciner l’un de ses voisins assis au bout du bar en teck. Ses ongles de pieds carminés assortis avec le rouge de ses hauts talons dessinaient une courbe harmonieuse à l’extrémité de ses pieds nus. L’homme, d’une quarantaine d’années, avait le regard figé sur ses pieds et Sandra, en connaisseuse avertie, avait deviné un fétichiste des pieds ou du moins des escarpins. Les oscillations de son pied avaient créé des effets prometteurs au niveau de l’entrejambe du bellâtre qui lui faisait face. Celui-ci s’aventura à lui adresser la parole au bout d’un certain temps, et lui offrit un deuxième mojito qu’elle accepta avec un sourire appuyé.
François, son mari, tardait à venir et la conversation commençait à prendre une tournure badine qui ne déplaisait pas à Sandra, d’autant plus que son interlocuteur, un peu grisé par l’alcool, n’avait pas tardé à lui avouer sa fascination pour les pieds féminins et les talons hauts. Feignant l’innocence, celle-ci guidait habillement la conversation qui de par la nature de ses propos, augmentait la tension exercée sur le pantalon de John. Grisée par le rhum, elle avait envisagé qu’elle pourrait éventuellement succomber aux charmes de cet Apollon si son mari devait la faire encore languir un certain temps. Elle pourrait finalement lui donner ce qu’il cherchait depuis le début, mais il fallait pour cela qu’il développe quelques efforts méritoires afin d’obtenir sa récompense. John avait de suite remarqué cette rousse incendiaire assise sur le tabouret et presque immédiatement son regard s’était reporté sur ses pieds chaussés de talons hauts à faire se damner un évêque.
Fasciné par les orteils carminés, il avait fantasmé sur l’utilisation qu’il pourrait en faire dans l’intimité. Son regard s’était ensuite reporté sur les longues jambes fuselées et les cuisses nerveuses qui disparaissaient dans un tailleur pied-de-poule. La veste entrouverte laissait apparaître un corsage noir en soie qui soulignait une poitrine lourde et généreuse ; le visage carré encadrait des lèvres fines surmontées par des pommettes saillantes et des yeux noisette ; cette femme respirait la sensualité dans toute sa personnalité. John s’était promis de la posséder dès qu’il l’avait vue et d’après son attitude, celle-ci ne semblait pas totalement insensible à son charme. Elle avait entretenu son intérêt pour l’objet de son obsession et jouait habilement de ses pieds pour l’amener progressivement au stade d’excitation qui lui embrumait l’esprit.
Sandra commençait à ressentir cette douce langueur qui lui tordait le ventre quand elle avait envie d’un homme ; les lèvres de son sexe humides gonflées de plaisir lui demandaient plus que le contact de ses cuisses croisées pour être assouvies. Elle avait envie maintenant de cet homme et elle allait le lui faire savoir sans ambages, elle allait l’inviter à prendre un verre dans sa chambre, et elle n’avait aucun doute qu’il accepterait. Elle était sur le point de faire son offre lorsque son mari apparut, confondu en excuses pour son retard. Elle l’embrassa et fit les présentations entre John et lui. François fut un peu surpris par la présence de John en compagnie de sa femme, mais celle-ci lui expliqua que John lui avait tenu compagnie alors qu’elle attendait que son mari daigne enfin la rejoindre. Confondu en excuses, François commanda une nouvelle tournée et ils conversèrent encore pendant quelque temps.
John avait perdu tout espoir de conclure son affaire avec Sandra et pourtant il restait intrigué par celle-ci. Sandra en effet tout en chuchotant à l’oreille de son mari, caressait innocemment avec son genou l’entrejambe de François qui se trouvait debout près du tabouret sur lequel elle était assise. Les cuisses croisées haut, elle frottait discrètement le bout du sexe de son époux à travers l’étoffe du pantalon. Celui-ci ne fut pas surpris de la réaction de sa femme lorsqu’il avait approché son buste des jambes de Sandra, il leur arrivait souvent de se prodiguer des caresses furtives en publique, et cela ne faisait qu’exacerber leur sens un peu plus. Le sexe de François prit rapidement des proportions incompatibles avec la coupe ajustée de son costume ; Sandra lui avait fait monter la sève rapidement au bout la verge et il sentait que celle-ci suintait abondamment.
Son excitation ne fit qu’augmenter quand Sandra lui avoua qu’elle était en train de séduire John avant son arrivée et que s’il n’était pas arrivé à temps, il l’aurait certainement retrouvée au lit avec lui. Le sang de François ne fit qu’un tour, une bouffée de chaleur lui empourpra les joues et son col de chemise devint tout à coup trop serré ; c’était un fantasme dont ils parlaient souvent, mais ils ne s’étaient jamais résolus à le concrétiser, aujourd’hui elle était prête à sauter le pas et lui demandait de la suivre dans son désir. François mourrait
d’envie de voir sa femme possédée par le sexe d’un autre, mais dans ses fantasmes, la réalité lui paraissait moins attractive une fois l’excitation assouvie. L’alcool aidant et les frottements du genou de Sandra, accompagnés de ses murmures salaces eurent finalement raison des réticences de son mari après quelques verres supplémentaires. John se demandait comment les choses allaient tourner avec l’apparition du mari, celui-ci semblait de plus en plus excité par les attouchements de son épouse, mais il semblait ne pas être tout à fait d’accord avec quelque chose qu’elle lui demandait et cela commençait à devenir embarrassant, aussi était il sur le point de prendre congé lorsque François lui proposa d’aller prendre un verre dans leur suite. Il fut surpris par la proposition, mais néanmoins accepta et suivit le couple dans l’ascenseur qui menait à leur chambre. La suite était cossue et de larges fauteuils occupaient le centre de la pièce principale.
Les hommes s’installèrent dans les fauteuils en vis-à-vis pendant que Sandra disparaissait dans la salle de bain. François servit les boissons alcoolisées et commença à deviser avec John lorsque Sandra fit son entrée dans la pièce, uniquement vêtue d’une mini-nuisette transparente grise et d’une paire de mules de la même couleur. Les larges aréoles de ses seins pointaient au travers de la soie, et sa toison rousse dépassait du bord en fourrure de sa nuisette, faisant un contraste saisissant avec sa peau parsemée de taches de rousseur. Elle était magnifique et tellement désirable dans sa totale impudeur que les deux hommes eurent un regain de désir en la voyant.
Elle était tout excitée de s’offrir à la vue des deux hommes, elle effectua un lent demi-tour sur place pour les laisser admirer ses courbes et le galbe de ses jambes perchées sur ses mules puis vint s’assoir sur l’accoudoir du fauteuil de son mari en croisant les cuisses de telle sorte que John puisse entr’apercevoir sa vulve. Elle souriait malicieusement et appréciait grandement l’effet qu’elle avait produit sur les deux mâles. Elle embrassa son mari sur la bouche pendant que ses longs doigts ouvraient la braguette et allaient extraire son sexe. Une fois sorti, elle entoura le gland de ses doigts et imprima une légère rotation tout en faisant coulisser son poignet de haut en bas, le geste rythmé par les bracelets d’argent. Elle savait que cette caresse rendait son mari fou de désir à chaque fois et elle avait besoin qu’il soit très embrumé par le désir pour la suite des événements.
John n’en avait pas cru ses yeux lorsque Sandra apparut dans son déshabillé ; elle était encore plus belle et désirable qu’il ne l’avait imaginé et son supplice n’en était que plus douloureux, il aurait tout au plus le plaisir de la voir caresser son mari et certainement lui faire l’amour après. C’était une consolation dont il se contenterait, il était un peu voyeur à ses moments perdus et la vue de cette rousse empalée sur le sexe de son mari lui déclencherait certainement un orgasme tout en étant passif. François commençait à perdre pied, sa femme prenant l’initiative des choses, lui avait coupé le souffle lorsqu’elle était apparue pratiquement nue devant un étranger pour le caresser ensuite devant lui sans vergogne. Sandra décida qu’il était temps de jouer son va-tout et tout en continuant sa caresse, se tourna vers John et avec une moue mutine lui posa la question de savoir s’il voulait bien se joindre à leurs ébats.
A peine eut-il accepté qu’elle murmura à son mari de bien profiter de ce qui allait suivre, elle se mit à genoux devant John et fit prestement glisser le pantalon et le boxer en bas des chevilles. Le sexe de John étant tellement tendu qu’il battait sur son bas-ventre comme animé d’une vie indépendante. Sandra empoigna l’objet du désir et tournant la tête vers son mari, elle put se rendre compte de l’effet qu’elle produisait sur celui-ci en masturbant son amant. Les yeux mi-clos par le désir, François entrevoyait Sandra agenouillée devant John, en train de lui prodiguer la caresse qui le rendait fou. Elle faisait coulisser son poignet, les doigts bien serrés autour de la hampe avec une lente rotation en gestes amples. Avisant qu’il était temps de corser les choses, elle se releva et resserrant les cuisses de son amant, s’assit à califourchon sur lui, le pal plaqué contre le ventre par sa vulve rousse.
Rien n’échappait à François de son fauteuil, ni les muscles saillants des jambes tendues par les va-et-vient du bassin de Sandra qui se caressait sur le membre de son amant, ni les spasmes qui animaient les fesses de sa femme à chaque aller et retour, ni les bourses de son amant qui ballotaient en cadence, la vision était d’enfer ; son ventre tenaillé par le désir lui faisait mal. Elle chevaucha son amant pendant un bon moment de cette manière, frottant sa vulve sur le gland gluant de désir à un rythme dont elle seule imposait la cadence. Ils étaient tous les deux à sa merci, François embrumé dans son fantasme et John lui servant de monture.
La nature l’avait généreusement doté d’une verge épaisse et longue, parfaite pour l’usage qu’elle en faisait, elle amplifiait les mouvements de son bassin afin de frotter les lèvres humides de son sexe sur toute la longueur du vit de son amant, jusqu’au point où elle sentait la douceur soyeuse du gland glisser à l’entrée de son vagin, puis repartait dans le sens inverse. Elle avait ressenti plusieurs fois cette sensation et avait eu peine à résister de donner le petit
coup de reins qui enfin lui remplirait le ventre de ce sexe tendu comme un arc, mais elle voulait prolonger le supplice de son amant et de son mari le plus longtemps possible. Elle savait François à l’affut du moment où elle serait la maîtresse d’un autre, quand son épouse serait possédée par un étranger qui finirait par lui répandre son sperme dans le ventre où lui même s’est répandu tant de fois. En chevauchant son amant, elle observe du coin de l’œil son mari, torturé par le désir, la main crispée sur sa hampe les doigts luisants de liquide séminal abondement produit par le gland cramoisi, le regard fixe sur ses fesses entre lesquelles apparaissait à intervalles réguliers le piston de chair qui allait bientôt se dresser pour se planter entre les globes laiteux de sa croupe, distendre les lèvres de son vagin et la remplir de semence ; il en avait rêvé et en même temps il était terriblement jaloux qu’elle se donne à un autre aussi totalement.
John avait du mal à se maîtriser, Sandra après une brève caresse du poignet avait décidé de jouer avec sa verge et à se frotter dessus comme une furie. Lui faisant face, elle avait gémi plus fort lorsqu’il lui avait écarté la nuisette pour lui sucer les tétons. Elle adorait ça et John,à l’écoute de ses désirs avait su lui donner les caresses qu’elles adoraient. Depuis que Sandra avait accéléré le rythme de son bassin, John avait agrippé chacun des ses seins et agaçait les pointes avec ses pouces, Sandra soufflait de plus en plus fort d’un ton rauque, annonçant un final bruyant, quant à lui, il avait du mal à contenir la montée progressive du plaisir qui faisait bouillonner la sève dans les bourses. François était aux abois, il ne pouvait plus arrêter sa femme et même s’il avait pu, il n’était plus vraiment sûr qu’il le veuille.
Sandra avait déclenché en lui ce désir de la voir possédée par un autre et ils étaient en train d’accomplir le fantasme qui les avait tenus si longtemps en haleine. La jalousie qui lui tordait les entrailles avait un goût délicieusement pervers, elle avait deviné depuis longtemps qu’il aimerait la voir dans cette situation. Le tremblement des fesses de Sandra avait changé de rythme, elle allongeait les mouvements de bassins tout en ralentissant la cadence, François avait noté le changement, présageant le point de non-retour, il écarquilla les yeux et penchant la tête, se baissa pour voir l’instant fatidique où Sandra déciderait de se faire posséder par son amant.
Le bruit du frottement du pénis sur la vulve emplissait la chambre, ils avaient tous les deux très envie et leurs liqueurs se mélangeaient au gré de leurs frottements ; un bref soupir de Sandra et de John à l’unisson révéla à François que l’irréparable venait de se produire, Sandra avait finalement enfourné le vît de John entre les lèvres de son vagin et la progression du gland dans son ventre distendait les muqueuses jusqu’a ce qu’elle bute sur la racine du sexe masculin. Elle fut remplie d’un sentiment de bien-être, la chaleur émanant de la verge de John lui procura une sensation de plénitude ; ils restèrent immobiles quelques instants, puis réalisant que son mari devait avoir la confirmation de sa pénétration, elle releva le buste en tendant les jambes pour lui révéler le pieu de chair qu’elle avait planté dans son ventre.
La vision de François se limita alors à ce sexe qui émergeait du ventre de sa femme, elle avait finalement franchi toutes les barrières et ne semblait pas s’en formaliser le moins du monde, sa soif d’érotisme avait dépassé ses préjugés. Sandra décida que son mari en avait assez vu et fléchissant les jambes. elle commença à coulisser le long de cette hampe de chair tendue par le désir. François ne savait plus où donner de la tête, la croupe de Sandra montant et descendant le long du sexe de John, les jambes de sa femme dont les muscles saillaient à chaque flexion, les mollets gonflant et s’étirant, les orteils dans les mules crispés au bord des chaussures pour lui assurer une meilleure prise lors du contact de la vulve avec la racine du sexe alors qu’elle se laissait tomber sur son amant avec un bruit mat, les mains de John malaxant ses seins en les écartant, il voulait tout voir et se rappeler de tous les détails.
Sandra dominait la situation, mais elle était elle aussi, très proche d’atteindre un plaisir d’un paroxysme jusqu’alors inconnu. Les nombreux aller et retour effectués le long de la colonne gluante de désir avaient émoussé sa résistance et elle savait le moment proche où elle se laisserait aller en criant. Le sexe de John toujours raide semblait de nouveau reprendre vie dans son fourreau humide, tout d’abord, elle eut l’impression qu’il grossissait encore, et ce malgré une érection prolongée, puis ce fut le gland qui semblait vouloir doubler de volume, son frottement était devenu insupportable tellement le plaisir provoqué par son coulissement devenait intense, Sandra fut fauchée par le plaisir alors qu’elle venait de s’empaler à fond une fois encore en butant son clitoris sur le ventre de son amant. Ce fut le moment que celui-ci choisit pour lâcher sa semence en jets chauds.
Le sperme giclait avec force dans son vagin et donnait l’impression de ne jamais vouloir s’arrêter, elle cria tout le temps qu’il s’épanchait en elle. François surpris par l’orgasme de son épouse n’eut pas le temps de se finir avec la main, et il resta avec son érection pendant qu’il observait les coulées blanchâtres s’échapper du sexe de Sandra le long de la verge de son amant,
preuve qu’elle avait été pleinement possédée par un autre que lui. Bizarrement, il ne ressentait que du désir à l’encontre de sa femme, il était encore plus amoureux et en même temps plus inquiet, car elle venait de lui prouver qu’elle pouvait se donner à qui elle voulait, quand elle voulait. Sortant de leur torpeur, John et Sandra s’embrassèrent et se tournèrent vers François un peu penaud d’avoir pris tant de plaisir sans lui. Sandra se retourna et voyant son mari en pleine érection, se mit en peine de le faire jouir également. S’adossant sur le corps de son amant, elle fit signe à son mari de s’approcher d’eux puis elle le fit s’agenouiller entre ses cuisses et lui demanda de lui lécher le clitoris. François eu un mouvement de recul, il ne s’attendait vraiment pas à ce que sa femme lui demande de lécher son entre cuisse encore maculée de la semence de son amant, puis vaincu par son désir de lui plaire, il se mit à titiller son bourgeon avec la langue.
Le goût salé et amer de John lui remplit la bouche après quelques instants. Sandra l’observait et son désir commençait à se raviver. Allongé sur le côté, François sentit soudain la mule de Sandra plaquer son sexe tendu sur la moquette. Utilisant le talon comme pivot, elle imprimait un mouvement de va-et-vient de sa semelle sur la verge de François. Elle appuyait la chaussure lorsque son mouvement l’amenait à proximité du gland puis relâchait la pression lorsqu’elle revenait vers la racine. De sa position, elle pouvait observer les veines de son sexe qui battaient au rythme de son désir. La mule grise contrastait avec la blancheur de la peau du pénis, elle appréciait la vue du gland cramoisi qui suintait à chaque fois qu’elle rapprochait la pointe de sa chaussure. Inspirée, elle changea le mouvement et imprima un mouvement de rotation en va-et-vient de la semelle tout en appuyant lorsque la chaussure arrivait en bout de course.
François geignait de plus en plus fort, appréciant la torture imposée par sa femme dominatrice et ce traitement eu tôt fait de l’amener au bord des larmes. Prenant son mari par les tempes, elle le releva et lui susurra de « venir lui mettre la deuxième couche ». Enhardi par ses mots crus, il se releva et agenouillé entre les cuisses il pointa son gland vers la fente de sa vulve qui suintait encore la semence d’amant en longs filets d’argent. Il prit son temps et frotta le gland contre le clitoris de Sandra. La profusion de semence dispensée par John servit à leurs jeux amoureux lorsque François frottait avec application sa verge sur la vulve de sa femme.
A ce petit jeu, ils se mirent très vite les nerfs à fleur de peau et lorsque François sentit la jouissance partir du fond de son ventre, il empala Sandra de toutes ses forces ; devant la bestialité de son mari, celle-ci fut de nouveau fauchée par la jouissance lorsqu’elle ressentit les premiers jets de semence gicler dans son ventre déjà rempli par John.
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