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Ma femme, cette salope que j'aime.

Chapitre 5

On déménage.

Trash
On était devant une immense chambre immaculée et éclairée. On se serait cru dans un hôpital d’un autre temps. Aux murs, des posters sous-verre de Paul, Camille, Aurélie et Lola dans des poses plus que subjectives. Tout noir et blanc. Au centre, sur le mur principal, on reconnaît Mél dans une tenue de latex, en Maîtresse de... Famille. Au centre de la pièce, une croix, à gauche une table gynécologique, à droite un vélo d’appartement et un cheval d’arçon. Sobrement décorée et équipée avec classe, cette salle est attirante. Un "Waouh’ exprimé de concert, un éclat de rire fait partir tout le monde dans un fou rire. Mais cette découverte est repoussée à plus tard, quand toutes les filles seront là.
On ressort et elle nous indique notre chambre. Chambre somme toute classique, mais chichement décorée. Mél et Paul nous souhaitent bonne nuit en fermant la porte. Lola est restée et se couche au centre du lit. Estelle me regarde et va la rejoindre, je suis obligé (pas tant que ça) de me joindre à elles, mais il y a problème. Lola s’est mise en levrette sur Estelle et l’embrasse. Son gros cul se dandine et Estelle lui écarte les fesses, trop tentant. Je pointe mon missile sur la cible et je pousse lentement c’est un "HA" de satisfaction. Le baiser entre ma femme et Lola se transforme bien vite en "mangeage" de bouche bruyant. Ma femme apprécie cette petite, où cela va nous mener. Je m’en fous. Ce gros cul m’attire et je compte bien en profiter. J’accélère, je lui défonce son fondement. Elle jouit sous mes coups de reins. C’est court, mais intense, je me déverse en jets puissants et intenses. J’ai du mal à reprendre mon souffle tout en la tenant par les hanches. Je continue à faire des petits mouvements dans son cul.
— Marc, tu vas me tuer.— Jolie mort, lui dit Estelle qui la serre dans ses bras.
Je m’écroule sur le côté et m’endors très vite pendant qu’elles s’embrassent.
Je me réveille à... Je n’en sais rien. Je m’extirpe d’un mélange de draps froissés et de coussins. Elles sont dans la douche, ou plutôt en sortent et me disent qu’elles vont petit-déjeuner. Je m’extirpe du lit et vais me laver... En profondeur. Je souris quand je vois les deux tuyaux. Un avec un pommeau, l’autre est équipé d’une canule.
— Pas bête, pensais-je.
Je me dirige vers la cuisine et passe devant la salle visitée hier soir. La porte est grande ouverte et j’aperçois Mél installée sur le vélo d’appartement. Elle est belle, les yeux fermés et se pinçant les lèvres. Je m’approche d’elle, elle ouvre les yeux. Elle me regarde et me sourit. Elle pédale plus vite. Je regarde sa chatte, elle est envahie par un gode de bonne taille qui monte et descend de la selle. Je comprends son assiduité à ses séances de sport. Je m’avance et lui palpe sa grosse poitrine, lui pince les tétons. Je bande. D’une main, elle me saisit la queue et commence une lente masturbation.
— C’est ta séance de sport quotidienne ?— Oui... Han, arrive-t-elle à dire tellement sa jouissance est proche. Trop bon, trop fort, continue-t-elle en s’écroulant sur le guidon.
Elle arrête de pédaler et se lève. Le gode est rentré dans la selle. Elle tourne la manivelle, il ressort. Le siège est trempé. Elle nettoie le phallus en le suçant.
— Maintenant. Peti-déj...
Ce n’est pas dans la cuisine qu’elle m’entraîne, mais vers une petite paillote où nous attendent les trois sœurs et Estelle. Mél commande, mais ne paie pas. Elle a un compte.

— Où est Romu ?— Il dort et il n’est pas près d’émerger, me répond Camille.— Il nous a démontés une bonne partie de la nuit, précise Aurélie.

On rigole de bon cœur. Le Petit-déjeuner est pantagruélique. On se gave tous, je sais d’où vient leur forme. On retourne à la villa, plus aucune trace de l’orgie d’hier soir. Tout est nickel. Estelle félicite Mél sur l’efficacité de l’équipe de nettoyage. Les trois filles plongent dans la piscine, malheureusement interdite à ma princesse. Donc c’est allongés sur les transats que l’on passe la fin de matinée, accompagnés de Mél. Romu arrive, la gueule encore embrumée. Camille et Aurélie l’ont vu et sautent hors de piscine, abandonnant Lola.
— On va à la paillote, s’écrie Camille.— Mais avant douche, poursuit Aurélie.
On se gausse tous les trois, Lola ne semble pas s’offusquer du départ de ses sœurs. Je plonge pour la rejoindre et la prendre, de dos, dans mes bras.
— Ta femme va être jalouse...— Non, je crois même qu’elle t’a adopté.
Elle se retourne et me regarde, étonnée. J’ai pris ses fesses et les lui malaxe et l’embrasse avec fougue. Je rebande. Incroyable. Je lui dis de quoi on parlait avec Estelle et sa mère un peu plus tôt.
— Ta mère n’est pas contre pour que tu viennes vivre avec nous. Un petit ménage à trois, quoi.— Hors de question que j’aille chez vous !
Elle sort de l’eau et s’ensuit une longue palabre. Je suis surpris de son refus et déçu, surtout pour Estelle. Je nage en regardant vers les trois femmes. Ça papote sec, mais ça rigole, ce qui me rassure. Lola et Mélanie sautent à l’eau, Estelle s’assoit sur les margelles. Mél prend la parole :
— Marc, après une longue discussion avec ma fille et ta charmante épouse, on te propose de venir vivre ici. Chez nous, dans la petite dépendance à côté. Viens voir, venez voir.
On se dirige vers un cabanon. Elle ouvre une porte légère et tire sur un lourd rideau. À nos yeux s’offrent un immense lit rond, des miroirs, une petite kitchenette, une douche à l’italienne, un frigo, un petit congélateur et une multitude d’armoires.
— L’ancien baisodrome de Monsieur. Il en a plus l’utilité depuis que nous sommes en couple. Qu’en dites-vous ?— Pouf, magnifique, dis-je.
Estelle s’y voit déjà. Elle a sauté sur le lit.
— Et notre maison ?— Vous allez la louer. Je vais téléphoner à mon avocat et à mon agence. Ne vous faites aucun souci.
Lola s’est placée dans mon dos et nous dit :
— C’est trop bien chez vous, mais on ne peut pas se promener à poil à l’extérieur et puis me séparer de mes sœurs. Hors de question.
C’est ainsi que nous avons emménagé dans cette dépendance. Paul de retour de voyage d’affaires, en est ravi, lui qui pensait louer ou vendre ce cabanon. Nous payons un petit loyer, l’eau, l’électricité, mais Mél refuse que l’on participe aux frais de bouche.
Pour Romu aussi ça a changé. Camille et Aurélie ont jeté leur dévolu sur ce jeune éphèbe. Il a quitté son petit logement universitaire et s’est installé avec les deux filles pour le plus grand bonheur de leur mère qui a vu évolué ses trois filles, plus matures, plus confiantes, elles se sont épanouies, et cela grâce à nous, nous dit-elle. On veut bien la croire. Elles sortent plus qu’avant, mais toujours avec leur chaperon. Estelle et moi filons toujours le parfait amour, avec Lola, bien sûr. Elle a laissé sa place à Romuald et a emménagé avec nous.
Tout va bien dans le meilleur des mondes. On a initié Lola à la célèbre baie des cochons. Elle y a découvert à l’aide d’Estelle, le gang-bang et elle y met tout son... Cul.Aujourd’hui, c’est la découverte de notre femme de ménage. Paul nous l’a trouvée par connaissance interposée. C’est avec excitation que l’on rejoint Paul chez notre désormais chez nous. Lola nous suit, elle sourit, car son père l’a questionnée sur nos préférences, nos goûts en la matière.
Paul nous attend, assis sur le bord du lit.
— Mes amis, je vous ai trouvé une perle. Elle s’appelle Sélame, elle est Djiboutienne et a 30 ans. Elle parle et écrit parfaitement le français. Elle fait le ménage à la perfection, j’ai lu la lettre de recommandation de ses anciens patrons. Sexuellement parlant, elle est bi, très soumise, docile et la nudité ne la dérange pas. Il y a un seul hic, elle n’est pas épilée. Mél a pris rendez-vous avec Carole pour cette après-midi, 14 h 00. Elle sera à votre service, mais officiera également pour nous. Bon, je vous ai tout dit. SELAME !
Elle est là. Noire de chez noire. De taille moyenne et un visage d’ange avec un petit nez en trompette. Ses seins sont volumineux, haut placés avec des aréoles , des tétons fièrement dressés et percés. Elle s’est mise dans une position, comment dire, d’attente. Ses cuisses musclées sont écartées, les bras dans le dos. Estelle et moi passons dans le dos de Sélame. Ce cul, mais ce cul. Énorme. Je lui les touche ses fesses, elles sont d’une douceur jamais connue. Ma femme l’embrasse, sa langue est d’un rose presque fluo.
— Bon je dois y aller, nous dit Paul, un séminaire. Je serai absent 15 jours. Prends soin de ma petite famille.
Il embrasse sa fille et Estelle, ignorant Sélam. 14 h 00 arrive vite. Elles partent toutes les trois à l’institut. Je plonge dans la piscine. L’eau est chaude, un peu trop, mais ça fait du bien. Paul s’en va, il est en costume. Cela me fait drôle de le voir ainsi habillé. Je suis vite rejoint par Mél. Romu et les filles ayant préféré la plage. Elle me demande si mon employée de maison me plaît.
— elle est sublime.— Je sais, Paul et moi l’avons choisie sous les conseils de Lola. Elles sont parties à l’institut ? — Yes.— Champagne ?— Je crois que je vais me laisser tenter. Elle sort de l’eau à la force des bras. Son cul est magnifique, bronzé, ferme et ô combien accueillant. Je l’admire rentrer dans la maison, son déhanché forcé et des plus sexy. Elle se retourne en m’envoyant un baiser. Je sors de l’eau et je vais sous le patio et m’installe sur le sofa. Elle revient avec une bouteille bien fraîche et deux verres. Elle me demande d’officier. Je m’exécute avec joie. On sirote notre verre avec délectation. Une main s’égare sur mon entrejambe.— tu sais ce que j’aimerai ?— Dis-moi.— C’est que tu fasses... Non, laisse tomber, trop bête.— Je crois que c’est à moi d’en juger et puis nous sommes devenus assez intimes pour ne pas avoir à nous cacher quoi que ce soit.— Oui, tu as raison, dit-elle en me serrant la bite, je me lance alors ?— Rahhh, vas-y. Crache-la ta pastille.— J’aimerais que tu portes un prince Albert, mon mec ne veut pas en entendre parler. Peut-être qu’en te voyant...— Tu veux que je serve de cobaye ?— Moui...— Il faut que j’en parle à Estelle, je ne te promets rien.— T’es un chou, dit-elle avant de m’embrasser et de partir avec sa flûte à la piscine.
Les filles reviennent en rigolant et rentrent dans notre cabanon. Je n’ai d’yeux que pour ces trois énormes popotins, la palme revenant à Sélam et haut la main, ou la fesse. Je quitte le sofa et vais rejoindre Estelle, Lola et Sélam. Un "NON" résonne quand j’entre.— Ferme les yeux, me dit Estelle.
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