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Femme de chambre ou l'histoire secrète d'une famille bourgeoise

Chapitre 3

Erotique
CHAPITRE 6Les fiançailles arrivèrent. Le temps était splendide voire un peu chaud. Un immense chapiteau blanc était installé dans le parc. Trois cents personnes étaient attendues. Le matin fut occupé par les visites chez le coiffeur, l’esthéticienne, la maquilleuse. Caroline, me permit de profiter des mêmes personnes qu’elle. J’étais pouponnée.J’avais fait un chignon. Le maquillage léger rehaussait mes yeux en amande. Caroline, avait coupé ses cheveux en carré car dit-elle en riant :— On ne sait jamais si je rencontre un jeune homme qui me prendrait fougueusement. Ce sera plus facile à refaire !Le coiffeur avait ri de la plaisanterie car lui aussi aimerait qu’un flamboyant mâle fasse la même chose. Emma était splendide. Elle avait laissé ses cheveux pendre. Des ajouts de la même couleur lui donnait un air de princesse.La fête arriva avec son flot d’invités : des collègues de Jacques, des amis, des connaissances, des invités « obligatoires », des hommes politiques, quelques copains de Steve, des avocats, des juges et celle que j’attendais car c’était la seule que je connaissais dans ce lot, ce fut Florence.Magnifique ! Ses cheveux noirs lui tombaient sur les épaules nues. Elle portait une robe à balconnet qui comprimait sa poitrine. Après les vœux de bonheur aussi bien aux fiancés qu’aux parents, elle vint vers moi et me dit :— Tu es superbe ! A croquer !— Chiche, fis-je en riant.— Quand tu veux répondit-elle d’une voix trouble. Tu vas m’excuser un long moment car il y a plein de personnes que je dois obligatoirement saluer. A tout à l’heure.— Oui ! A tout à l’heure.Je la vis partir. Sa remarque m’avait émue et un picotement annonciateur de plaisirs vint se loger au bas de mon ventre.Lorsque tout le monde était là, on fêta les fiancés. Le champagne coulait presque à flot. La chaleur du jour et les vapeurs de l’alcool rendaient la plupart des gens gais et radieux.J’errais au milieu de cette faune de la soi-disante « haute société ». L’aperçu que j’avais eu depuis mon arrivée m’en donnait une autre vue. Et c’est, le sourire aux lèvres, que j’imaginais tous ces gens en train de s’envoyer en l’air. Quel tableau pour certains !Le premier flot d’invités, les moins importants, partirent après l’apéritif. Nous n’étions plus que cent cinquante. A part la table d’honneur, toutes les autres tables étaient rondes. J’avais à côté de moi un homme transpirant abondamment d’un âge certain qui n’arrêtait pas de lorgner mon décolleté. A gauche, un homme, la cinquantaine qui minaudait en face de sa (très) jeune nièce. Nièce, mon œil. Sa femme, partie en voyage, n’avait pas pu revenir à temps. Il y avait aussi, à notre table, l’épouse de mon vieux lubrique, un couple dont la femme était plus occupée à railler les toilettes des autres femmes qu’à parler à son mari qui s’ennuyait ferme et un couple dont le mari se vantait des missions effectuées pour le compte du gouvernement. Entre la « nièce » du quinqua et moi, on avait placé un homme, la trentaine, célibataire, ni moche ni beau et le verbe facile.Caroline m’avait donné comme instruction de dire aux gens qui me le demandaient que j’étais une intime de la famille. C’est vrai que dire femme de chambre, cela craignait.L’homme à ma gauche, Pol, parlait, parlait, parlait et parlait de lui, de lui, de lui et parfois de lui. Un combat de coq s’anima entre lui et le vantard. La conversation me saoulait vachement. Florence était à la table « magistrate ». Des collègues à elles, sûrement. Le repas, enfin terminé, je pris congé afin d’aller me changer. Quel soulagement !Je pris l’escalier vers ma chambre et arrivant à la porte de celle-ci, quelqu’un me prit par les épaules et sans ménagement plaqua sa bouche contre la mienne.La lumière s’est éteinte en même temps que je fus embrassée. Pas moyen de connaître l’identité de la personne mais vu la rudesse de ses gestes, je fus sûre que c’était un homme. Il me plaqua au sol, remonta ma robe. J’essayais de protester mais une main opprimait ma bouche.Morte de peur, je tendis le bras en essayant d’allumer la lumière mais en vain. C’est lorsque je commençai réellement à paniquer que l’homme alluma. C’était Rodrigue.— Tu étais devant nous, je t’ai vu monté et tu m’as donné envie. Excuse-moi de t’avoir fait peur.Sans attendre d’excuses, il s’introduit en moi brutalement. Est-ce la situation ? Ou juste de savoir que j’avais son gros sexe en moi mais cela m’excitait. Il commença à me limer sans retenue en me murmurant :— Ne fais pas trop de bruits car Emma est dans sa chambre en train de se changer. Il faut que je vienne vite et être devant sa porte lorsqu’elle sortira. Un petit coup de main alors ?Savoir que je baisais le fiancé maintenant officiel de cette garce et que celle-ci se trouvait à moins de dix mètres de moi m’excita d’avantage et telle une furie, j’imprimai à mon bassin un va-et-vient fulgurant.Rodrigue me regardait droit dans les yeux prendre mon pied. C’est vrai que je jouis vite la première fois et il dut un moment reprendre le mouvement.
— Tu sais ce qu’il me ferait arriver plus vite ?Je fis non de la tête.— Ce serait de juter dans ton cul !Pour toute réponse, je l’écartai de moi, fis glisser la robe sur le sol et à quatre pattes, je lui présentai mon cul. Il ne demanda pas son reste et sans ménagement, il s’introduit en moi. Il me déchirait. La douleur était vive mais sans connaître de nouveau orgasme, il jouit assez vite en moi.A peine avoir fini de frotter son gland contre mes fesses, il emballa son service trois pièces dans son pantalon et descendit rapidement les marches en faisant le moindre bruit possible. Il venait juste d’arriver que j’entendis :— C’est chou d’être rester ! Cela n’a pas été trop long ?— Non !— Dommage que l’on nous attend sinon je t’aurais bien fait ton affaire ! dit-elle en quittant sa chambre.Pantelante, j’arrivai dans ma chambre, nue. Je m’écroulai sur le lit. Au bout de cinq minutes, je réussis à me lever. Cela faisait nettement moins mal. Rapidement, j’allai sous la douche, pris le pommeau et sans mouiller mon visage et mes cheveux, je pris une douche rafraîchissante. Ragaillardie, je me refis un peu mon maquillage et mis l’ensemble rouge qui exposait mes seins de façon affriolante. Je me sentais sexy dans cet ensemble. D’ailleurs, la frustration de ne pas avoir joui une deuxième fois m’avait permis de garder un désir sexuel constant.— Ce soir, j’ai envie de sexe ! fis-je.Je descendis les marches et vis la chambre de Caroline ouverte. Des cris étouffés me firent stoppés. Je tendis l’oreille et entendis distinctement cette fois :— Tu vas rester là pendant que je vais chercher à boire, espèce de salope. Tu m’as désobéi ce soir. Je t’avais dit que tu le devais porter aujourd’hui. Mais avant de partir, je vais te boucher la bouche, les oreilles et les yeux ainsi tu ne m’entendras par arriver. Ta femme est au courant que tu te fais baiser comme une lopette ? Non ? Donc si elle arrive, elle aura un choc ! Parce que tu crois que je vais fermer la porte à clé ! Tu ne me connais pas encore ! Tes invités ? Ils attendront ! Maintenant ta gueule !Je reculai, courus vers la porte donnant dans l’escalier menant à ma chambre et attendis. La porte de leur chambre s’ouvrit. Je vis une femme, jeune, assez belle sortir de la chambre. Elle regarda à droite puis à gauche et discrètement, elle descendit les escaliers. J’avançai vers leur porte lorsque j’entendis au rez-de-chaussée :— Thérèse ? Ma chère ? Comment allez-vous ?— Bien Caroline. Je viens d’aller me rafraîchir le visage. Avec cette chaleur ! Je me sens mieux. Et vous ?— Merveilleusement. Vous n’avez pas vu mon mari ?— Je crois qu’il est dans votre chambre en train de se reposer m’a-t-il dit. Il avait un peu mal au crâne. — C’est bien lui. Je lui ai dit de ne pas abuser du champagne. A chaque fois c’est pareil. Je vais aller le voir.L’autre ne se démonta pas en répliquant :— Laissez-le en paix. D’ici une demi-heure, il n’aura plus rien et il reviendra parmi nous ! Et puis si vous disparaissez aussi, on se posera des questions.— Oui ! Vous avez raison. Alors, venez ! Je vais vous présenter une amie.Elles partirent. Prenant mon courage à deux mains, j’ouvris la porte de la chambre. Le boudoir était désert. J’avançai à pas de loup en ayant pris soin de fermer la porte avec précaution et passai ma tête dans la chambre.Jacques était à moitié nu. Il était à genou sur le lit face à la fenêtre bien ouverte sur le jardin. La chemise et la cravate étaient toujours mises. Par contre le pantalon et les sous-vêtements envolés. Encore que ne voyant que le pantalon au sol, je doutai qu’il ait porté autre chose. Il avait un bandeau sur les yeux, une corde en travers de la bouche et une boule Quiès dans chaque oreille.Le plus surprenant fut un rond noir en latex dépassant de son cul ! Cela avait l’air de vibrer car il tortillait sans cesse du derrière. Son sexe, pas trop grand mais fort trapu, était en érection. Je sortis mon gsm de mon sac et sans plus attendre, je flashai à qui mieux mieux sans me faire voir par la fenêtre. Puis actionnai la vidéo et fis le tour du lit. Il gémissait de plus en plus et lorsque je fus presque en face de lui, il émit un long râle et jouit en éjaculant longuement.Le sexe palpitant mollit tout doucement. J’avais le film de l’année ! Alors comme cela, le grand chirurgien n’était qu’une lopette servant d’esclave à une femme. Qu’il avait l’air pitoyable car le plaisir passé, je vis des larmes couler le long de ses joues. Peut-être qu’il ne pouvait pas jouir ?Je ne me le demandai pas plus longtemps, sortis de la chambre et descendis dans le jardin. La fraîcheur de la nuit atténuait la chaleur que le soleil nous avait apporté la journée.La soirée allait commencer par l’ouverture faite par les fiancés. Je m’approchai de la piste de danse.-Ah Gwendoline, vous fûtes bien longue ! me lança Caroline seule.— Oui, j’ai eu un petit accroc.— Rien de grave ?— Non, j’avais trop chaud, alors j’ai pris une douche rapide.— Si je pouvais en faire de même. Je suis en nage mais j’attends un moment propice, quand mon mari sera descendu, pour faire de même.— Vous avez raison. Belle fête !— Oui ! Il est beau quand même. Enfin, je veux dire Emma et Rodrigue.— J’avais compris, fis-je.— Et vous n’avez pas trouvé de chevalier servant pour ce soir ? C’est vrai qu’Emma vous a mis à la plus mauvaise table. Pourtant je lui avais dit de vous installer autre part.— Ce n’est pas trop grave. J’ai réussi à m’éclipser très vite. Et en pensée je me dis qu’elle allait le payer chèrement cette pouffiasse.— Bien ! Votre ensemble vous va à ravir. J’adore votre veste et vos seins qui sont ainsi mis en valeur.— Si vous le désirez, un jour, essayez-le. Nous devons avoir à peu près la même taille au niveau de la poitrine.Je ne sais pas pourquoi j’avais dit cela et Caroline, heureuse que j’aille dans le même sens qu’elle, me répondit.— Ce sera avec grand plaisir mais vous serez avec moi pour me dire tout de suite votre opinion.— Cela va sans dire. Vous aussi vous êtes très… sexy dans votre robe. Dis-je en finissant timidement ma phrase.— Cela fait longtemps que personne ne m’a dit un si beau compliment. Merci. Mais attendez, dit-elle en chuchotant, de voir l’autre ensemble, je me sens en toute beauté dans celui-là. Cela vous dirait de m’aider à l’essayer ?Si cela n’était pas une invitation à s’envoyer en l’air, je ne comprenais plus rien. Si je disais oui, je passais peut-être pour une salope, si je disais non, elle se vexerait peut-être. Ce fut Rodrigue qui me sauva car, la première danse finie, il vint chercher Caroline pour la seconde danse. Il lui dit quelque chose à l’oreille et Caroline sourit.Florence m’ayant vue vint près de moi.— Tu es superbe ma chérie ! Tu as une de ces paires !— Tu les a déjà vus, fis-je en souriant.— Oui et même touchés. Subjuguée par sa bouche, je lui murmurai le plus suavement possible :— Cela te dirait si ce soir, tu les embrassais ? J’en meure d’envie !— Depuis le temps que j’attends cela. A chaque fois que je te vois ou t’entends j’ai envie de ton corps. Tu mes fais mouiller comme une folle.— Mais pas tout de suite car il faut que j’aille aider Caroline à s’habiller.— Pas de problème, je suis ouverte tu sais.— A quoi ?— Que tu couches avec Caroline !— Mais je n’ai jamais couché avec elle, fis-je sèchement.— Cela viendra. Tu ne seras pas la première et encore moins la dernière.— Ah ?— Moi par exemple, je lui ai résistée un mois mais un soir de travail, sur son bureau, au milieu des dossiers, elle m’a fait jouir comme jamais personne ne l’avait fait. A ton avis pourquoi les femmes de chambre ne restaient pas ! Soit parce qu’elle lui disait non soit parce qu’elle n’était pas capable de lui procurer du plaisir. Je parie qu’elle t’a offerte ces ensembles.— Euh oui !— Elle l’a fait avec moi. Je parie qu’elle a gardé ton string ou ta culotte. Je crois qu’elle doit en avoir une belle collection ! Elle est un peu fétichiste, je pense. Rien qu’à en parler, tu m’as rendue toute chaude. Je vais aller me chercher un petit rafraîchissement. J’ai un feu à éteindre mais t’inquiète ! Il ne sera pas éteint complètement lorsque je te verrai.Elle partit vers un groupe de femmes et d’hommes. Puis parlant à l’oreille d’une femme, elle l’a prit par la main et s’enfonça dans le jardin.Caroline vint vers moi et me dit sans que je la voie :— Elle est superbe ?-Oui !— Tu seras peut-être la première à réussir ?— A quoi, fis-je sans lâcher du regard Florence.— Qu’elle tombe amoureuse !— Quoi ?— Florence adore le sexe avec les femmes exclusivement mais jamais elle ne s’attache. Je la connais un peu. Au fait, je venais te dire que cela ira pour me changer. Je veux que tu t’amuses. Je me débrouillerai bien toute seule cette fois-ci.— Ah, dis-je le regard dans le brouillard.Caroline partit. Je ne réalisai que lorsque je vis Rodrigue passer devant moi et ayant laissé Caroline prendre de l’avance, il entra dans la maison par la même porte. Je vis l’éclairage du bureau de Caroline s’éclairer et s’éteindre presque aussitôt. Les fenêtres fermées et le bruit de la musique ne permettront pas aux amants de jouir intensément fis-je.Je ne savais plus qui j’étais. Aimai-je Florence comme Caroline le pensait ou était-ce juste une attirance ? Je décidai de ne pas y penser et allai m’éclater sur la piste de danse.
Je dansai à en perdre l’haleine. Je fus draguée par quelques hommes ainsi que par une femme qui, complètement saoule, provoquait tout ce qu’il passait à portée de son regard.J’allai prendre une bonne pinte bien fraîche. Je m’assis et vis que tout le monde regardait dans la même direction. Je tournai aussi la tête et vis une femme sublime. Les cheveux défaits de toute entrave, la bouche pulpeuse, elle marchait, non, elle flottait. Cette déesse venait vers moi. Son regard croisa le mien et je fus subjuguée par tant de grâce.Elle était vêtue d’une robe ou plutôt d’un entrelacs de lamelles noires couvrant les parties les plus intimes de son anatomie. Une fine bande passait juste sur les tétons complètement dressés, une autre camouflait juste son petit abricot, qui vu la minceur de la bande devait être parfaitement rasé, qui devait palpiter, les fesses étaient zébrées par ces lames et on devinait la forme ronde et ferme de ces deux lobes de chair. Cette robe s’arrêtait juste en dessous de ses fesses. Les jambes, longues, se terminaient par deux souliers aux talons impressionnants.L’effet de surprise passé, tout le monde retourna à ses conversations, ses embrassades ou ses danses. Cette femme s’arrêta juste devant moi.— Comment me trouves-tu ? me demanda Caroline ?Je ne sus répondre.— Je crois que j’ai fait de l’effet, me dit-elle en s’asseyant à mes côtés.— Oui, réussis-je à lui dire.Caroline avait l’air un peu bizarre. Les yeux étaient grands ouverts et son comportement me rappelait étrangement celui de personnes qui ont sniffé ou avalé l’une ou l’autre saloperie.— J’aime cette robe que j’ai découverte hier dans une boutique où le sexe est partout. Un love shop ! Tu en connais ?— Non !— Il faudra que je t’emmène y faire un tour. J’en connais un joli près de la Bourse, dans le quartier gay. (véridique !) Je te plais ?— Beaucoup. Et pas qu’à moi !— Tu n’as pas vu Emma ?— Si, elle danse là-bas.— Avec sa copine !Oui, fis-je en taisant l’épisode que j’avais filmé car la fille se trouvait être l’amante d’Emma.— Ou devrai-je dire sa gouine de copine.— Ah, fis-je faussement surprise.— Emma est une vraie salope. Elle aime autant les femmes que les hommes. Il n’y a que Jacques qui ne le sait pas et il vaut mieux ainsi. Je sais que son mariage avec Rodrigue n’est qu’une façade. Ces deux vont bien ensemble. Lui a besoin du nom de mon mari pour sa future clinique et elle a besoin d’un homme riche afin qu’elle puisse faire tout ce qu’elle veut. Jacques est tellement obnubilé d’accueillir dans la famille un aristo qu’il ne voit pas qu’ils le mènent par le bout du nez. Tu étais au courant ?— Non !— Et bien voilà, c’est fait mais ne leur dit pas. Je préfère qu’ils ne sachent pas que je sais. Je vais te donner un conseil : Tu dois toujours avoir une carte dans ta manche au cas où !— Et vous en avez une pour moi ? Demandais-je— Pour être franche, non ! Tu es la première personne que je n’arrive pas à cerner. En fait, je crois que tu es entière ! Tu prends ce qu’il t’arrive comme un bonheur et pas comme une fatalité. Tu vis vraiment le jour présent.Elle n’avait pas tout faux ! Depuis mon licenciement et surtout le départ de mon mec, j’avais décidé de me laisser porter par la vie. A quoi bon se morfondre et regarder le passé. La vie est devant nous — En fait, je crois que je t’envie, dit-elle oubliant les barrières professionnelles entre nous, tu es belle même très belle. Je crois que j’en ai même mouillé la première fois que je t’ai vue. Tu me rappelles la fille que j’étais à ton âge. Mais ne fais pas comme moi ! Ne t’enferme pas dans une vie routinière. Bien que je sois heureuse de ma vie, j’ai toujours un manque qui me tenaille. J’aurais voulu voir d’autres choses parfois mais c’est ainsi. Quels sont tes projets maintenant que tu as un petit pécule devant toi ?Elle faisait référence au chèque j’avais reçu la semaine dernière.— Je ne sais pas mais je crois que je vais retourner dans mon appartement et ne plus vous déranger.— Je te l’interdis ! fit-elle presque en colère. D’ailleurs, tu vas amener tous tes meubles ici. Depuis que tu es là, j’ai l’impression de revivre une seconde jeunesse à travers toi. Et puis, je sais que j’ai une oreille compatissante. Tu ne me juges pas car je crois que tu dois avoir compris que je n’étais pas toujours l’épouse parfaite. D’ailleurs, la prochaine fois que tu me filmes, fais-le discrètement. N’est-ce pas ma petite chatte ?Elle m’avait vue sur le balcon alors ! J’en étais toute chamboulée.— Tu vois, j’aurais pu m’en servir mais je t’aime trop pour le faire. Et toi, tu allais t’en servir.Je crois qu’au plus profond de moi, je ne l’aurais jamais fait. Avec les autres membres de la famille, sans aucun problème mais avec elle, chaque fois que je regardais le petit film, c’est avec un regard d’envie d’être à la place de Rodrigue que j’avais. Pas un sentiment de vouloir lui faire du mal.— Non, répondis-je franchement.— Tu as tort, moi, je l’aurais fait si j’avais été à ta place. Mais ce que tu viens de me dire me touche.— Vous êtes la seule personne qui fut là lorsque j’en avais besoin. Vous m’avez permis d’avoir cet emploi.— Tu n’as pas encore compris que je t’ai donné ce boulot ce n’est pas pour les quelques courses ou ménages que tu fais, cela n’importe quelle conne peut le faire mais parce que tu m’as plue tout de suite. Chaque fois que tu es dans la même pièce que toi, je dois me faire violence pour ne pas te retourner et bouffer ta chatte qui doit être délicieuse. Si tu pouvais mettre un doigt sur ma chatte, tu verrais comme elle coule. Mais j’attendrai le temps qu’il faudra car c’est toi qui devras faire le premier pas. Toutes les idiotes qui sont passées avant toi n’ont pas compris que je voulais plus qu’une aide chez moi mais une confidente, une amie quoi ! Il y en a bien l’une ou l’autre qui ont bu mon plaisir directement au calice mais elle n’était pas à la hauteur question psychologie. Tandis que toi, en plus d’avoir un corps sublime, tu es intelligente, franche, subtile et surtout tu ne me juges pas.J’étais sur le cul ! Jamais personne ne m’avait dit autant de bien de moi ! Est-ce à cause de l’ambiance qu’elle me disait tout cela ou le pensait-elle réellement ? Je choisis la deuxième solution.— Bon assez parler, tu viens danser. Ah oui ! Une autre chose que je voudrais que tu fasses pour moi : arrête de me vouvoyer ! J’en ai marre de t’entendre dire vous. Et si tu es d’accord, je vais m’occuper de toi comme j’aurais voulu que quelqu’un le fasse pour moi.— D’accord, fis-je subjuguée par son charme.Elle se leva, saisit mon verre qu’elle vida d’un trait, me prit la main et m’entraîna sur la piste.Caroline se déchaîna. Lascive, sensuelle, magique, elle en remettait aux gamines. Ses mains me frôlèrent, me caressèrent tout en paraissant fait par hasard. A un moment, elle fixa une fille aux formes plus que généreuses. Elle avait une proie. Elle s’approcha d’elle et lui murmura quelque chose.La fille répondit oui et bien vite, elles partirent dans le jardin. Je sais que la curiosité est un vilain défaut mais j’avais envie de les voir s’envoyer en l’air car c’était cela qu’il allait se passer.Elles prirent un petit chemin entre deux buissons, puis un autre qui les mena au fond du jardin. Une petite pelouse entre de hautes haies de buis était garnie par une table et deux chaises en fer blancs. Une tonnelle en fer forgé abritait le lieu. Je trouvai dans la haie un petit trou me permettant de tout voir.Caroline s’assis sur une chaise, écarta un peu les jambes et dit :— Viens me lécher. Viens me montrer que tu appris tes leçons !La fille obéit, s’agenouilla et timidement d’abord darda sa langue sur les lèvres luisantes de mouille. Caroline lui prit la tête et lui plaqua sur son sexe béant.— Plus fort. Passe à l’étape supérieure ! Suce-moi mon clito !La fille, en apnée, prit le bouton entre ses lèvres et aspira comme un bébé sur le téton de sa mère. Caroline gémit.— Oh oui ! Vas-y ! Mets-moi tes doigts dans mon con ! Branle-moi !
La suceuse obtempéra et je vis quelques doigts s’engouffrer facilement dans la chatte.— Tu as de la chance que je me sois lavée, fit Caroline, il y a encore une heure, j’étais remplie de foutre.Pour la première fois, j’entendis la fille.— Tu le sais bien que je l’aurais bu avec plaisir. Ce n’est pas ce que je fais le mieux ?— Oui ! T’adores me boire lorsque je suis encore pleine !— Et comment ! J’adore être sous ton bureau et te sucer pendant que tu reçois un client.Tout en parlant, elle n’arrêtait pas de doigter le sexe.— Arrête de parler et soulage-moi !La fille, sûrement une secrétaire très particulière de Caroline, repris ses succions.— Oui ! C’est ça ! Continue ! Je sens que je vais jouir. Elle m’a encore fait mouiller comme une fontaine cette Gwendoline. Elle doit être bonne ! Plus fort ! Plus fort ! Oui ! Oui ! Fais-moi juter ma mouille sur ton visage d’ange.Caroline se tut et on entendit juste le clapotis que les doigts faisaient en bougeant dans le sexe inondé. Puis, la bouche grande ouverte, Caroline jouit comme une furie. La fille continua et ce fut lorsque Caroline la supplia d’arrêter qu’elle s’ôta de la chatte luisante.— Tu es une bonne lécheuse. J’adore. C’est pourquoi je te garde dans mon cabinet sinon il y a longtemps que tu serais dehors.— Tu sais que je suis ta salope de service. Je fais avec plaisir tout ce que tu me demandes.— Alors, branle-moi et raconte-moi ta dernière conquête.— C’était pendant l’apéritif— Chez moi, maintenant ? Branle aussi mon cul !— J’ai commencé à discuter avec la juge machin et je l’ai draguée. Comme je l’avais deviné, elle n’a pas apprécié que je lui fasse plein d’allusion sur le sexe. Elle est vraiment coincée. Heureusement que nous étions un peu seules sans son mari. Elle fut surprise lorsque je lui ai dit qu’elle me faisait mouiller. Comme il y avait du monde, elle n’a pas pu se mettre en colère. Et j’ai continué à lui dire par le détail ce que je ferais avec sa chatte ! Je voyais ses yeux s’agrandir. Son mari est arrivé et il lui a demandé si elle allait bien car elle était toute rouge. Elle a répondu qu’elle avait chaud. Et j’ai vu par après que ce n’était pas qu’à la tête. Je lui ai proposé de l’accompagner se rafraîchir. Elle a refusé d’abord mais sous l’insistance de son mari, elle a du céder. Je l’ai accompagnée vers les toilettes et lorsque nous fûmes devant ton bureau, j’ai ouvert la porte et je l’ai balancée dedans. Surprise, elle s’étala de tout son long sur ta moquette.— Qui t’a permis d’utiliser mon bureau, salope ? Hum… encore… va plus vite !— Personne ! Mais j’utilise bien l’autre.— Si je jouis bien, tu seras pardonnée. La suite…— J’ai donc refermé la porte rapidement à clé, je me suis jetée sur elle, relevé sa jupe et ai attaqué directement la chatte. Elle gesticulait mais mes années de judo m’ont servi. Je lui ai dit d’arrêter de gueuler sinon je lui éclatais la face. Je lui ai enlevé sa culotte et tout en la regardant je l’ai branlée. Elle mouilla rapidement la vicieuse. Sous ses airs de sainte nitouche, elle fut rapide à venir. Elle n’a pas arrêté de me demander de cesser. Tu me connais plus on me le dit, plus je fais l’inverse. Elle a joui et croyant que j’en avais fini, elle s’est redressée. Je l’ai de nouveau plaquée au sol, je l’ai enjambée, j’ai relevé très haut ma jupe et je lui ai plaqué ma chatte sur sa bouche. Interdite, elle ne bougeait pas. Je lui ai donné l’ordre de me faire jouir. — T’es une vraie salope et mets-moi ta main.La main de la secrétaire entra sans aucun problème. Je ne pus m’empêcher de me caresser le bouton tellement la vue m’excitait.— Mauvaise lécheuse au début, je lui dit de s’appliquer et alors là, ce fut l’extase. Je crois que ce n’était pas la première fois ! Je jouis très vite. Puis je me suis relevée. Ronge de honte mais aussi d’avoir pris son pied, elle avait du mal à se redresser. Elle m’a dit qu’elle irait porter plainte ! Que j’allais perdre ma place car elle te raconterait tout ! J’ai ri en lui disant qu’elle n’avait aucune preuve, juste un peu de mouille sur le menton et qu’elle allait avouer avoir prit son pied ? Elle pleura ! Pour la réconforter, je l’ai prise dans mes bras et je lui ai chuchoté que la prochaine fois, elle ne devra pas porter de culotte. J’adore ce moment où elles se rendent compte qu’il y aura une seconde fois. Bouche bée, elle cessa de pleurer. Je lui ai dit que je viendrai lundi à dix heures dans son bureau, que je savais qu’elle n’avait pas de jugements à procéder. Elle me dit que jamais elle ne refera cela. Et moi, j’ai répondu que si je ne pouvais pas la voir lundi, j’enverrais un petit film instructif au bâtonnier ! C’est alors que je lui ai montré la petite caméra de sécurité qui se trouve au dessus de ta porte et que j’avais accès aux enregistrements. Je me suis rajustée et je lui ai dit à lundi en sortant de ton bureau.— Oui ! C’est bon ! Tu crois qu’elle… oh oui, je vais jouir.— Oui ! je crois qu’elle sera comme les autres, au début, elle font mine de ne pas aimer mais après ce sont elles qui en redemandent.— Pour… pourquoi… oh encore… suce-moi.La fille suça le clito de Caroline qui dès la première succion rejeta sa tête en arrière et jouit. Au bout d’un long moment, elle reprit ses esprits et continua sa phrase.— Pourquoi tu fais cela ?— Pour me venger d’une salope de juge qui m’a envoyée en maison de correction.— Ce n’est pas là que tu as appris tout ce que tu sais sur le sexe.— Et comment ! mais se faire violer pendant deux semaine d’affilée par les femmes matons et les hommes, juste pour te faire comprendre qui est le maître, cela te marque un peu. Depuis, je me venge.— D’accord ! Tu en as combien sous ta coupe ?— Entre dix et vingt, cela dépend. J’ai aussi quelques hommes, parfois même le mari. Et le plus drôle, c’est lorsque je couche avec les deux l’un après l’autre sans qu’ils le sachent. Mais le coup de la caméra factice, cela marche à chaque fois !— Factice ?— Co… comment, tu m’as dit qu’elle était fausse !— Celle au dessus de mon armoire, oui ! pas celle-là. Je vais encore me donner du plaisir lorsque je visionnerai le film. Cela te dérange ? Comme celle dans mon autre bureau, j’ai une factice bien visible et une vraie bien dissimulée.— T’es la pire des salopes !Et d’une voix rauque, elle continua :— Mais tu sais bien que je ne sais pas me passer de toi !— Normal avec le salaire que je te donne !— Je pourrais aller ailleurs.— Vas-y ! Il n’y entre toi et moi qu’un contrat de travail ordinaire. Rien d’autre. Bon, ce n’est pas tout cela ! J’ai des invités.— Si tu veux, je peux m’occuper aussi de cette Gwendoline qui hante tes pensées et en faire une des pires salopes.— Celle-là ! Pas touche ! Sinon je te tue ! Et crois-moi, à force, je connais pas mal de types qui, grâce à mes services sont sortis libres et qui seraient prêts à me rendre service.— Ok ! J’ai compris.— Brave petite chienne fit Caroline en lui tapotant le cul.Elles partirent sans me voir. Sans avoir joui, je regagnai la piste de danse où je trouvai Florence accompagné d’un beau mâle.— Salut chérie ! Tu vas bien ?— Oui !— Caroline aussi ?— Oui mais pas grâce à moi !— J’ai compris en la voyant arriver avec sa secrétaire. Une vicieuse celle-là !— Oui, je les ai vues.— Chaude alors ?— Un peu !— Jean, viens ! je te présente Gwendoline une amie. Gwen voici Jean, un collègue qui a flashé sur toi.— Flo ! Tu ne devais rien dire.— Ecrase ! Il a très envie de te connaître très profondément.— Quoi ?— Il envie de te baiser !— Tu me prends pour « une marie couche-toi là » ?— Non mais je sens que tu aimerais bien être soulagée, me fit-elle en susurrant à l’oreille. Et puis, une collègue, très intime qui aime aussi les hommes, m’a raconté qu’il avait un engin incroyable et surtout qu’il savait s’en servir.Elle m’excitait. C’est vrai que j’avais envie de me baiser. J’étais déjà d’accord lorsque je l’avais vu mais voulant résister un peu, je fis ma sainte nitouche.— D’accord mais je ne le connais même pas !— On ne te demande pas de le connaître. Il te demande de te baiser juste parce que tu le fais baver.— Hm ! C’est à voir !— A voir quoi ?— Je veux bien à deux conditions.— Acceptées, fit-il !— Ce n’est pas à toi que vont les conditions, fis-je en le repoussant un peu afin qu’il n’entende pas mais à toi ma chère Florence.— Ah oui ?— Primo, je veux que tu y participes.— Avec un homme ? Jamais !— Tu t’occuperas juste de moi.— Ok ! Mais seulement toi ! Et la suivante ?— Que tu me rendes un service.— Lequel ?— Je te le dirai plus tard.— Et si cela ne me convient pas plus tard.— Je te rembourserai.— Comment ?— Je serai ta chose pendant une nuit !— Un week-end ! Marchanda-t-elle.— D’accord, fis-je. Donc si cela ne te convient pas, je serai ta chose du vendredi midi au dimanche soir.— Tope-là !Elle me présenta sa main mais pour réponse, je pris son visage et l’embrassai sur la bouche. D’habitude cela m’aurait arrêté d’être vue avec tous ces gens mais ici je m’en foutais royalement. Elle me rendit le baiser. J’étais envahie par pleins de sentiments que jamais je n’avais goûtés. C’était un moment magique. Le baiser s’arrêta, on se regarda dans les yeux. Je ne sais si je l’aimais à ce moment-là mais il y avait quelque chose entre nous, c’est indéniable.Jean arriva pour lui aussi avoir son dû. Il m’énervait déjà et son attitude gâchait la première impression que j’avais eue sur lui. Je fis volte face et lui dit :— Ecoute-moi mon p’tit père. S’il te faut une gonzesse pour arranger ton coup, je te plains. J’ai changé d’avis, si tu veux baiser, ce sera sans moi !— Mais tu m’as dit que si les conditions étaient remplies…— A toi, je n’ai rien dit. Et qui te dit que Florence a accepté ?— Ben le baiser, j’ai cru que…— Laisse croire les béguines, elles ont plus de temps que toi !— Et ce sera sans moi aussi, fit Florence.Je la regardai un peu triste.— Je parle juste pour lui ! Coucher avec un mec ! Je l’ai fait une fois dans ma vie, plus jamais ! Et surtout pas avec toi ! Va voir Natacha là-bas, elle t’a déjà essayé non ?— Oui mais…-Mais quoi ? Ah oui, le mari ! Ben essaie aussi avec lui ! ! Tu aimeras peut-être.— T’es folle ! Je ne suis pas une tarlouze !— Il faut goûter avant de dire que l’on n’aime pas. J’en suis la preuve. Et puis on ne dit plus tarlouze ! Gay, oui ! J’en ai plusieurs qui seraient ravi de t’initier.— Parle pour toi mais ta copine elle aime la bite non ?— Ecoute-moi bien. Je veux bien plein de choses mais être grossier comme tu l’es envers mon amie, jamais. Alors, maintenant, tu prends ta queue, tes couilles et tu vas faire joujou avec autre part qu’ici ! Compris ou tu veux que je me fâche ?— Espèce de…— De quoi ? Gouine ? J’assume ! Lesbienne ? Encore plus ! Salope ? Oh oui !— Allez vous faire foutre !— C’est ça. Va tirer sur ta ficelle et laisse-nous tranquilles.Il partit la queue entre les jambes.— On va où ?— Chez toi, fit-elle !— Je ne peux pas recevoir de gens ! dixit Caroline.— Elle ne dira rien car elle m’a dit cet après-midi qu’il y avait une chambre au deuxième que je pourrais partager avec l’occupante si le cœur m’en disait.— Elle t’a dit ça ?— Oui !— Viens alors ! j’ai faim.Et moi alors !Je la pris par la main et sans courir, nous allâmes vers ma chambre. En passant près de Caroline, elle me fit signe d’aller près d’elle. Je lâchai Florence, me penchai et à mon oreille sans que les autres l’entendent elle me dit :— Je suis jalouse. J’aimerais être avec vous mais que veux-tu ? C’est ainsi. Je ne sais pas si cela ira entre vous deux mais je vous souhaite de réussir. Vous le valez bien toutes les deux. Et demain matin, il aura une place pour elle à table. Tiens, prends cela ! On a vite soif !Elle me tendit une bouteille de champagne. Je l’embrassai sur la joue. J’allai partir lorsqu’elle ajouta — J’ai une amie qui a presque tout entendu lorsque Florence parlait avec son connard de collègue. Tu diras à Florence que demain, il aura du mal à s’asseoir. Je vais lui préparer une petite surprise. En passant la porte qui donne accès au hall, je vis Caroline se lever et se diriger vers Jean. Il fut ravi.— Le pauvre, dis-je.— Cela lui fera les pieds ou plutôt le cul !— Vivement lundi que je lui demande son opinion.On grimpa quatre à quatre les marches de l’escalier. En passant devant la chambre d’Emma, on entendit celle-ci crier.— Je crois qu’elle jouit !La voix d’un homme émit aussitôt un grognement de contentement. Mais ce n’était pas celle de Rodrigue car celui-ci était à table près de Caroline.— Espèce de nympho !— N’empêche, sa langue est divine.— Quoi, fis-je en faisant semblant d’être furieuse.— Oh… j’ai un passé qui ne t’appartient pas.— Je rigolais. Et puis on n’est pas mariée !— Pas encore ? fit-elle en m’arrêtant et en me plaquant contre le mur.— Quoi ?— A mon tour de t’avoir eue ! Viens ! J’ai une envie de te boire.Je ne sais pas mais la réponse qu’elle fit me sembla sonner faux. C’est vrai que l’on n’était pas mariée et puis où notre relation allait nous mener ? Ni elle ni moi ne le savions. Il fallait profiter du moment présent et à cet instant j’avais envie d’elle comme jamais.Nous fûmes vite nues. J’étais sur le lit, à genou. Florence se mit dans la même position que moi. Elle me faisait face.— Maintenant laisse-moi faire ! me dit-elle.Elle introduisit directement deux doigts dans mon sexe dégoulinant de désir.— Ben dites donc ! Mademoiselle est trempée ! Pas besoin de préparatifs !Je ne sus rien répondre car ses doigts imprimant un léger mouvement de rotation me faisait chavirer.— Ne ferme pas les yeux ! Je veux te voir jouir les yeux grands ouverts.Je dus faire un effort mais y parvins. Elle stoppa ses mouvements dans mon sexe. L’autre main vint flatter mes seins devenus durs et sensibles.— C’est vrai que tu as des seins superbes. L’autre soir, je me suis branlée comme une folle rien qu’en y pensant.Chacun à leur tour, elle pinça mes tétons. Sans me faire mal, elle les prenait entre deux doigts, tirait vers elle et relâchait subitement. A chaque fois que le sein revenait à la position normale, une vague de plaisir me submergeait.Le manège dura longtemps. Je fus plusieurs fois au bord de l’orgasme. Elle jouait avec moi et j’adorais.— Tu aimerais jouir ? Non ?— Oui… arrivais-je à dire entre deux gémissements.— Demande-le-moi !— Fais-moi jouir ! S’il te plait !— Il suffisait de le demander.Continuant le pincement de mes seins, elle plaça le pouce de l’autre main toujours figée en moi sur mon bouton devenu gros et ultra sensible. Elle fit le tournoyer tout autour. Cet attouchement bref mais ô combien électrisant me fit atteindre le nirvana. A chaque pincement, l’orgasme reprenait encore et encore.Au bout d’un moment, je n’arrivai plus à me maintenir sur les genoux et je m’effondrai de tout mon long secouée par les spasmes du plaisir. Elle vint se blottir contre moi et sensuellement, elle fit passer sa main sur mon corps.La plénitude après l’orgasme me faisait flotter comme une plume dans le vent. Je me sentis légère, aérienne. Florence me regardait en souriant. Son regard me fit lentement mais sûrement revenir sur terre.— Que c’est bon !— N’est-ce pas !— Mais toi tu n’as pas encore…— Chut ! Pas maintenantLe sommeil me gagna rapidement et c’est dans ses bras que je m’envolai vers les cieux apaisant de Morphée.Un oiseau chanta sur le balcon de ma chambre. Je me réveillai avec un sentiment de plénitude. Il fut de courte durée car la place à mes côtés était vide. Juste un petit mot sur l’oreiller !« Ma douce,« Tu es magnifique lorsque tu dors. Ta fabuleuse poitrine rythmant la cadence m’a fait« fantasmé à un point que tu n’imagines pas.
« Je suis désolée d’être partie mais il le fallait. Tu es, depuis ton entrée dans ma vie, ce qu’il « m’est arrivé de meilleur depuis longtemps. Malheureusement ma vie ne fut pas toujours « aussi gaie qu’aujourd’hui. Tu as apporté dans mon cœur des sentiments que je croyais « enfoui à jamais. Et ce remue-ménage me perturbe énormément.« Un jour, un personne m’a dit que je devais trouver mon âme sœur. Je ne sais si c’est toi ! « Seul l’avenir nous le dira.« Ne sois ni triste ni fâchée de mon départ. Il le fallait pour moi… pour nous.« Ta chérie« Florence.« PS : La vie vaut la peine d’être vécue. Alors vis-la à fond. Ne m’attends surtout pas pour « assouvir tes passions et je crois que tu es gourmande pour cela !Je ne fus ni fâchée ni triste mais apaisée par ce merveilleux mot d’amour. Moi aussi, je ne savais pas si je l’aimais. Oui, elle était magnifique, oui, elle m’attirait, oui, je l’aimais. Mais pas encore d’un amour avec un grand A. Peut-être un jour…CHAPITRE 7Je me levai, allai sur le balcon et m’étirai complètement nue. En bas dans le jardin, un ouvrier occupé à démonter le chapiteau me vit. Je ne me cachai pas du tout. Je me sentais radieuse et belle. Alors que je sois son rayon de soleil.Je me rafraîchis le visage, mis une légère nuisette et me rendis dans la cuisine préparer le déjeuner. Caroline, resplendissante dans un vaporeux déshabillé, avait déjà tout préparé.— Bonjour.— Bonjour, répondis-je.— Non ! Pas comme cela !— Quoi, fis-je un peu décontenancée.— Ceci !Elle s’approcha de moi et me dit :— Voilà le bonjour que je veux.Elle avança son visage vers le mien pour m’embrasser sur les deux joues mais au dernier moment, je plaquai ma bouche contre la sienne et forçai le passage avec ma langue. J’en avais eu subitement envie. Elle répondit à mon baiser. Il fut sensuel. Sa langue fraîche comme la rosée du matin caressait la mienne dans un ballet langoureux. Je sentis que ma corolle s’ouvrait et se garnissait par la rosée du plaisir.Au bout d’un moment, je quittai sa bouche.
— Ton bonjour est encore meilleur que le mien.— Merci ! J’en ai eu subitement envie.— Pas de problème mais si tu veux recommencer, et ce sera avec plaisir, fais-le lorsque nous sommes seules. Je ne voudrais pas que les hurluberlus de cette maison le voient.— Je le concevais aussi comme cela.— Bien dormi, dit-elle malicieusement en me versant un café.— Superbement, juste que…— Elle est partie.— Oui !— Je l’ai vue quitter la maison lorsque je rentrais dormir.— A quelle heure, fis-je !— Vers les cinq heures.— Mais il est à peine huit heures et tu es déjà debout fringante comme pas deux !— Je suis comme certains grands de ce monde. Je n’ai besoin que de deux ou trois heures de sommeil.— Et vous avez fait la fête jusqu’à cette heure-là ?— Non, vers deux heures tout était terminé sauf pour moi et quelques personnes. Nous nous sommes, comment dirais-je, accordés quelques délices charnels si tu vois ce que je veux dire.— Je me doute, dis-je en riant.— Tu es la première personne qui ne me juge pas. Je te dis que je me suis envoyée en l’air presque toute la nuit et tu en rigoles. Tu as une belle âme.— Merci, fis-je en rougissant.— Ah oui ! A propos de s’envoyer en l’air, ton copain Jean en a bien profité hier ! Mais je ne sais pas si il a réussi à s’asseoir ce matin encore que…— Encore que ?— Finis de déjeuner et on ira sur la terrasse. Je te raconterai tout dans les détails et je peux te dire qu’ils sont aussi croustillants que ce croissant !Caroline s’assit face au jardin. Et certainement pour regarder les quelques beaux ouvriers. Je m’assis en face d’elle, les jambes repliées en chien de fusil, une tasse de café à la main.— - Après votre départ, j’ai été trouvé ce fameux Jean. Il me plaît physiquement. Beau gosse mais quel con ! J’ai discuté avec lui de choses et d’autres comme doit le faire une parfaite maîtresse de maison. Il bavait en regardant avec insistance mes seins. Je le quittai et demandai à ma secrétaire d’échafauder un petit plan vite fait. Elle téléphona à deux copains qui lui devaient un petit service. Bref, elle est partie chauffer à blanc ce blanc bec. Ce fut rapide ! Et je les vis partir vers la petite cabane dans le fonds du jardin.— - Elle sert beaucoup, fis-je en souriant.— - Oui, je sais qu’Emma l’emploie assez régulièrement. Bref, la soirée se termina. Les derniers invités partis, je me suis dirigé vers la cabane. Catherine, ma secrétaire, était à quatre pattes, le pieu de l’autre dans son cul. C’est vrai qu’il s’est s’en servir car vu la grandeur, il doit compenser !J’éclatai de rire.— Ben oui ! Bon, il n’a pas un dé à coudre comme sexe mais disons que cela frise le minimum syndical. Et quoi que toutes ces bonnes femmes disent, j’affirme qu’il vaut mieux avoir une belle et grosse entre les jambes qu’une petite travailleuse.Le fou rire me gagna. Elle attendit que je reprenne ma respiration.— Catherine gémissait quand même. Son gsm retentit et tout en étant enculée elle répondit comme si de rien n’était. Elle interrompit la chevauchée au grand dam de notre cher ami.« J’ai invité deux copines, cela te dérange ?— Il était aux anges ! Il acquiesça. Catherine lui demanda de mettre un bandeau sur ses yeux et qu’elle l’enlèverait lorsque ses deux copines seraient là.« Ce sont deux super salopes. Jamais satisfaites ! De vraies chaudasses. Tiens, je vais attacher tes mains à ce crochet.— Tellement excité, il se laissa faire. Il était ainsi lié et aveugle. Catherine lui fit respirer un poppers.— Un quoi ?— Un poppers ! Cela sert à désinhiber la personne. Cela provoque une euphorie et surtout à aider à relaxer le sphincter anal et de faciliter la pénétration. Il ne s’en rendit pas trop compte. Elle sortit nue de la cabane et me vit.« Tiens, fais-moi des plans supers ! J’aimerais bien tout revoir en rentrant chez moi. Je vais chercher mes deux copines. »— J pris son gsm et attendis. Elle revint vite accompagnée de deux superbes mecs. Musclés, grands, un sourire carnassier, bref, deux apollons.« Je te présente Marc et Pol. Hommes ou femmes, même combat pour eux. N’est-ce pas mes petites salopes ?— Je ne sais pas ce qu’elle leur avait fait mais ils firent oui de la tête. D’ailleurs, je ne les jamais entendu parler. Bref, ils rentrèrent dans la cabane et Catherine alla se blottir contre l’autre con. Les deux mecs se dévêtirent et mazette ! Ils étaient montés comme deux étalons. Catherine se mit devant la victime et entreprit de le sucer. Le poppers avait rendu à son microbe une taille plus ou moins respectable. Mais toujours pas question de faire gorge profonde ! Il demanda si les copines étaient là.« Oui, elles sont complètement nues. Elles s’embrassent juste devant toi. Elles aiment la bite. Tu ne vas pas être déçu. Je vais aussi te bâillonner car tu vas tellement jouir que je ne veux pas que tu réveilles tout le quartier.— Il se laissa bâillonner et Catherine reprit sa pipe. Pendant ce temps, un des deux mecs faisait de même avec son copain. Je mouillais comme une fontaine et posa le gsm sur la position film. Ainsi, je me mis à poil et je me branlai. Rien qu’à y penser, j’en ai envie.Caroline glissa une main entre ses jambes et sans retenue imprima un léger va-et-vient.— Après quelques temps ils changèrent de position et ce fut deux beaux braquemarts fiers et arrogants qui se présentèrent devant Catherine.« Et maintenant, dit Catherine, mes deux petites salopes vont te faire connaître des sensations que tu n’as jamais connues.— Elle le détacha, le coucha sur une table et attacha les mains.« C’est pour mieux profiter de toi. T’aimes ?— Il fit oui de la tête.« Et maintenant, je vais te présenter mes deux bonnes copines.— Les deux apollons se mirent juste en face de lui. Catherine enleva le bandeau et là, je vis le regard de ce petit mec s’ouvrir en grand. Il s’affola mais le bâillon l’empêcha de parler.« On fait moins le fier ! Comme cela tu insultes mes copines en les traitant presque de putes. Mes deux bonnes copines sont des amis très proches de Florence. Elle t’a dit que des amis gays à elle aimeraient t’initier. Ben voilà, ils sont là devant toi. Tu aimerais qu’ils t’apprennent deux ou trois trucs ?— Il fit non de la tête et pour le punir, elle lui mit le poppers de nouveau sous le nez. Il bandait toujours.« Pourtant, je vois que tu bandes encore ma petite fiote. Je crois que tu adorerais cela. Tu veux essayer. Montrez-lui ce que vous lui feriez !— Un des deux apollons se baissa et l’autre, sans ménagement s’engouffra dans le cul. Je n’avais jamais réellement vu deux mecs s’enculer mais je te jure que cela m’a excité à mort. T’en as déjà vu ?— Non !— Tu devrais, dit-elle en se caressant le sexe. Jean avait le visage en sueur, essayant de se libérer de ses liens mais Catherine experte en nœuds de toute sorte, l’avait solidement attaché. Elle siffla un coup et sans rien dire, les deux mecs changèrent de rôle. Au bout d’un moment, Catherine prit la pine de la victime et comme une vache elle l’a trait.« Je suis sûre que tu voudrais que je te fasse jouir ?— Il fit oui !« A une seule condition ! Soit tu deviens le jouet de ces deux mecs pensant le reste de la soirée soit je te fais un cadeau et tu devras le porter tout le temps sur toi tout le reste de la nuit.— Elle lui enleva le bâillon.« Quel cadeau ? demanda-t-il ?« Je te le dirai après ! Choisis ? Ces deux belles queues pur toi tout seul ou mon petit cadeau.— Le choix fut vite fait ! Il prit le cadeau.— Et c’était quoi ?— Un beau et gros plug ! Catherine le détacha et lui ordonna de se le mettre dans le cul. Il refusa d’abord mais les deux impressionnants braquemarts juste en face de lui eurent raison de son manque d’élasticité. Le plug mit, Catherine lui mit un collier et l’attacha à une laisse.« En fait mon cadeau est en plusieurs parties. Il y a le plug que tu devras garder dans ton cul, ce collier et cette laisse de chienne et tu vas me suivre dans un club très privé. Je peux juste te rassurer que personne ne te touchera. Et si tu me désobéis ou si tu émets le moindre son sans que je ne te l’aie demandé, ces belles bêtes viendront remplacé le latex que tu as en toi ! Compris !— Il opina du chef.— Et où est-elle partie avec lui ?— Dans un club SM. J’ai reçu un sms juste avant que tu n’arrives déjeuner en me disant qu’il aimait cela car rien qu’à voir les autres soumis, il s’est mis à bander comme un âne.— Et les deux mâles sont aussi aller avec elle ?— Oui mais juste les déposer ! Ils sont revenus ici et j’ai pu assouvir quelques fantasmes que je te raconterai peut-être une autre fois ! Mon Dieu, quel pied ! Bon, je vais aller m’habiller dignement car les parents de ce cher Rodrigue nous invitent à dîner. Je vais me raser toute la journée mais je crois que mes deux orifices ont besoin d’un peu de repos !Elle se leva et m’embrassa sur la bouche. Je restai là seule à siroter mon café froid.Les deux semaines qui suivirent furent routinières. Emma disparut avec son fiancé de façade pour un voyage exotique, cadeau de fiançailles. Steve, toujours fidèle à lui-même, se branlait gentiment dans les strings que je laissais volontairement dans la buanderie. Il me touchait un petit peu car je le sentais très mal dans sa peau. Jacques partit les deux semaines à Paris pour son boulot. Le gros point noir était Florence dont je n’avais pas eu de nouvelles. Juste un sms me disant qu’elle avait beaucoup de boulot et n’avait pas le temps de me voir.

Caroline était, devant la famille, redevenue ma patronne mais lorsque nous étions seules, ce n’était envers moi qu’effleurements, caresses oubliées, regards appuyés, provocations outrancières. D’ailleurs, seules, nous avions pris l’habitude de nous embrasser sur la bouche pour se souhaiter le bonjour. Juste un baiser chaste accompagné parfois par une main sur mon sein ou sur mes fesses. J’adorais cette situation assez érotique.Un jeudi après-midi, je décidai au lieu d’aller faire mon shopping habituel de me prélasser sur le bord de la piscine qui avait été remise en fonction en cette période de chaleur. J’étais couchée sur mon ventre, la tête sur le côté gauche. J’étais juste vêtue d’un chapeau de paille qui me protégeait du soleil. La piscine bordée par de très hautes haies permettait d’être dans le plus simple appareil.Je m’étais assoupie et ce fut la voix de Caroline qui me réveilla. Je ne bougeai pas car j’étais habituée à me promener nue devant elle lorsque nous étions seules. Et inversement. Mais ce fut la voix d’un homme qui me fit tressaillir légèrement.— Putain ! Quel cul ! Regarde petit !— Avez raison patron, elle est canon. C’est votre fille ?— J’aimerais, répondit Caroline. Ce n’est juste que ma femme de ménage.— Et elle astique bien fit la voix du patron ?— Ne sois pas vulgaire ! Venez, je vais vous montrer ce que vous devrez faire la semaine prochaine.Ils firent le tour de la piscine et allèrent derrière le bar. Je restai immobile. Ils ne pouvaient pas avec le soleil et surtout le chapeau voir mes yeux ouverts. Ils revinrent cinq minutes plus tard.— Un verre ?— Pas de refus, patronne.— Vodka ?— Avec des glaçons, oui !— Moi aussi fit le petit.Caroline servit trois verres.— Alors ton apprenti, il est novice dans quel domaine ?— Comme jardinier il ne se débrouille pas très bien mais il commence. Par contre question bourre, il paraît qu’il est un as !— Ah, fit Caroline déjà émoustillée.— La secrétaire est parait-il ravie de sa pine !— Salope ! Elle raconte tout !— Monte pas sur tes grands chevaux. Tous les mecs de la boîte ont visité son cul. Il n’y a que le patron, son mari, qui n’est pas au courant et surtout qui n’a pas droit à l’entrée de service. Elle est bonne, non ? Pas très belle mais chaude. Chaque nouvel employé passe par l’obligation d’enfoncer son dard en elle.— Cela faisait à peine cinq minutes que j’étais arrivé qu’elle m’a mis la main au panier. Et plus je suis crade, mieux elle aime.Caroline, tout en les écoutant, prit un transat et vint le placer juste en face de mon regard. Elle défit les rares boutons de sa robe et prestement la fit glisser.— Bon maintenant les gars, venez voir si vous prenez autant votre pied qu’avec elle. J’ai la chatte et le cul en chaleur.— Et elle, fit le jeunot en me montrant ?— Pas de problème pour elle, avec le bruit que nous avons déjà fait, elle se serait réveillée. Tachez d’être un peu discret.— Putain ! Rien qu’à savoir qu’elle pourrait me voir te baiser, cela me fait avoir une de ces triques !— Qu’est-ce que tu attends pour la sortir respirer ?Les deux hommes furent nus en un rien de temps.— Toujours à poil sous la salopette, n’est-ce pas petit ?— Oui, patron.— Ton petit a une belle queue bien large.— Ouais mais la mienne est aussi grosse mais bien plus longue.— Alors, venez me les faire goûter !Les deux hommes s’approchèrent d’elle, le sexe déjà dur et lui présentèrent juste en face de sa bouche. Caroline les prit chacune dans une main et commença le lent va-et-vient. Ce fut celle du patron qu’elle mit en bouche. Je ne sais pas comment elle fait mais, malgré sa longueur, celle-ci disparut entièrement.Elle quitta la queue luisante du patron et attaque derechef celle du petit. — Oh putain que c’est bon, fit-il !— Je te l’avais dit qu’elle était une suceuse de première.Caroline se concentra sur la queue du dernier. Les deux mains rejoignirent les bourses bien pleines. Elle les tritura, les caressa, les cajola. L’apprenti était aux anges. Je voyais le chibre luisant de salive ressortir quelques fois et aussitôt être enfourné.
— Je crois que je vais juter rapidement si vous n’arrêtez pas tout de suite…— Alors, laisse-toi aller. Tu n’en seras plus qu’endurant lorsque tu me limeras.Elle prit la queue entre ses deux mains et accéléra le mouvement. Je voyais son visage se crisper sous l’effet du plaisir. Il éjacula abondamment. Caroline dirigea les jets dans la piscine.— - Bordel ! Ca fait du bien ! J’aurais préféré dans votre bouche mais ce fut le pied !— Si tu es sage, tu le feras la prochaine fois mais comme je ne te connais pas ! Maintenant tâche de garder ta queue bien raide car lorsque j’en aurai besoin, t’as intérêt à être prêt.— Avec les deux culs que j’ai en face de moi, je ne crois pas que j’arriverai à débander.— Tant mieux ! Maintenant à toi, mon mignon. J’ai faim !Le patron écarta l’apprenti et sans ménagement envahit la bouche grande ouverte de Caroline. Il lui prit la tête et la lima comme si il était dans son sexe. C’était impressionnant. Caroline se laissait faire sans broncher. Elle écarta le patron au bout d’un moment, et dit :— Au lieu de mater mon cul, viens plutôt me lécher.— A vos ordres madame !Caroline se coucha sur le transat, les jambes écartées. L’apprenti vint plaquer sa bouche sur le sexe luisant et béant de cyprine. Le patron, lui, s’agenouilla au-dessus de Caroline, remonta le dossier si bien que la bouche de celle-ci fut juste en face de sa queue. Il s’agrippa à la tête et recommença à la prendre violemment.Je ne sais pas si ce sont les coups de butoir ou les caresses linguales mais elle se mit à gémir. Le patron, tout rouge et frôlant sûrement l’apoplexie, se mit à grogner.— Je viens ! Putain, je viens !Il éjacula dans un râle étouffé. Caroline imperturbable engloutissait tout le sperme sans sembler avoir quelques difficultés. Il se retira de la bouche. Caroline écarta l’apprenti.— Toi, petit, tu auras droit à mon con. Mon cul est réservé aux habitués. T’as les capotes ?— Oui. Tiens petit ! Enfile-le.L’apprenti enfila le préservatif, se coucha sur le transat et Caroline s’empala carrément sur ce sexe fier et arrogant. C’est elle qui imprima la cadence. Son bassin se balançait sur cette queue complètement disparue. L’apprenti respirait profondément. Je ne sais pas quel traitement elle lui infligeait mais il avait beaucoup de mal à résister.— - Je vais jouir.— - Retiens-toi fit-elle. Lorsque je jouirai tu pourras te laisser aller !
Le jeunot eut toutes les peines du monde à résister. Caroline se pinçait les seins. Le patron rapprocha sa queue de la bouche de celle-ci et lui dit :— Tiens ! Avale ! Tu ne feras pas de bruit comme cela. La petite a l’air de bien dormir !— Bonne idée ! répondit-elle entre deux râles.C’est donc une queue dans la bouche et une autre dans le sexe qu’elle jouit. Son corps s’arqua et se tenant aux fesses du patron, elle prit un pied d’enfer. Le petit n’en pouvant plus put enfin se libérer et juter dans sa couverture de latex. Et plus il se libérait, plus elle semblait prendre son pied.Caroline revint à elle. Le patron, le sexe bien droit et dur, se branlait tout doucement afin de ne pas ramollir. L’apprenti, encore aux anges, eut un retour à la réalité assez brutal.— Hé gamin, c’et pas encore fini ! T’a eu droit à l’essayage tout seul maintenant, on sera deux dans la cabine d’essayage.— Quoi, fit l’apprenti surpris.— Ton patron veut te dire que pendant qu’il me prendra le cul, tu viendras m’envahir encore une fois mais essaie de tenir plus longuement sinon ce sera la dernière fois que tu auras l’honneur de ma chatte !— Bien, madame.Le patron se coucha à son tour et Caroline s’agenouilla en lui tournant le dos. Sans préparation, elle écarta ses fesses pendant que l’homme dirigeait son sexe vers l’œillet brun et s’empala lentement. Je vis le sexe s’enfouir lentement comme si c’était des sables mouvants.Mon sexe palpitait de plaisirs tellement que ce spectacle m’excitait. Je devais tacher le tissus du transat comme jamais. J’imaginais que cela faisait une source qui remplissait la piscine comme une rivière coule dans un lac. J’avais envie que quelqu’un assouvisse mon envie mais je tenais à voir cette double pénétration. J’en avais déjà vue dans un film porno mais en réalité, jamais.Le sexe entier était dans le fondement de Caroline.— Viens ! Je vais rendre une taille honorable à ta pine, fit-elle au jeunot.Elle prit le sexe en main et le branla. Assez vite, il durcit. Elle lui mit une capote.— C’est beau la jeunesse, trois fois rien et cela repart. Mets-la-moi bien profond, fit-elle avec une voix rauque.L’apprenti approcha le bout de sa queue contre le sexe poisseux de cyprine et sans s’en rendre compte, arriva à enfourner l’entièreté de son sexe. Caroline était remplie des deux côtés. Elle imprima à son bassin un léger mouvement. Chaque queue ressortait presque entièrement chacune à leur tour. C’était dément. Comment pouvait-on être remplie comme cela.
En même temps, je m’imaginai bourrée par ces deux braquemarts. Il fallait juste que je touche mon clito pour jouir mais je voulais voir la fin. Mes seins durs comme jamais me faisaient mal.Caroline ahanait de plus en plus. Si fort que le patron plaqua sa main contre sa bouche. Caroline prit les mains de l’apprenti et les plaqua contre ses seins. — Pince-les ! Fais-moi mal !Puis, elle serra entre deux doigts frénétiquement son clito gorgé de plaisirs et se branla.Cela eut l’effet escompté. La jouissance la submergea. Un tsunami intérieur la terrassa si fort que ses yeux se révulsèrent, que sa bouche grande ouverte ne put émettre le moindre son, que son bassin réclamant encore et encore son dû se balançait furieusement. Ce fut long, très long avant qu’elle ne reprenne un peu ses esprits.Les deux hommes n’avaient pas joui.— Pour vous remercier, venez vous branler sur moi à l’endroit que vous voulez !Les deux hommes se retirèrent. Le patron se branla au-dessus des seins de Caroline.— Tiens ! prends cela, fit-il en imitant un mauvais porno !Caroline pas dupe le suivit.— Oui ! C’est bon fit-elle lorsqu’il se répandit sur elle. A toi gamin !— Je peux sur vos fesses ?— J’ai dit où tu voulais !Caroline lui présenta sa croupe à quatre pattes et le jeunot se présenta. Mais ce qu’elle ne s’attendait pas, c’est que le jeunot toujours protégé envahit ardemment le cul de Caroline. Celle surprise voulut le faire enlever mais reprise par des vagues de plaisirs elle le laissa faire.L’apprenti me regardait. Ou plutôt regardait mon cul. Il en salivait et c’est en faisant jouir Caroline pour une troisième fois qu’il s’épancha dans son bout de latex.— Heureusement que tu m’as fait jouir ! C’est vrai que tu sais t’en servir. C’est bon, je te pardonne.— Merde, fit le patron. Tu m’a refait bander !— Démerde-toi, répondit Caroline mais moi, j’ai donné. Maintenant foutez-moi le camp.— Allez viens petiot, dit-il en se rhabillant J’ai idée que notre secrétaire ne serait pas contre par un sandwich. Je suis sûr qu’elle crève la dalle. Salut patronne.— Au revoir madame !
Ils refirent le tour de la piscine en me reluquant. Caroline se releva un peu péniblement, remit sa robe et vint vers moi.— Ne fais plus semblant de dormir ! Je suis certaine que cela t’a plu ? Tu dégoulines ! Tu veux que je te délivre de cette tension.J’opinai du chef. Elle glissa deux doigts le long de ma raie culière. Je frissonnai. Cela faisait tellement longtemps que j’avais envie qu’elle me fasse jouir. Mais super excitée, elle toucha à peine mon petit bouton que je jouis silencieusement.Caroline récupéra mon plaisir sur ses doigts et les goûta.— Tu es sucrée. J’adore. Merci pour ce petit cadeau. Mais ce n’est encore ce que je veux. C’est toit tout entière que je veux ! Pour te remercier de cet apéritif, ce soir, je t’invite au restaurant. Fais-toi belle ! Rendez-vous à vingt heures !Elle me laissa seule. Je regardai l’heure. Il me restait deux heures.— Un bon bain me fera le plus grand bien, soupirai-je en me levant péniblement.Arrivée dans ma chambre, je me rendis compte que j’étais toujours nue. Bien qu’ayant eu un orgasme, la sensation de désir ne s’était pas estompée. Et tant mieux ! J’adore être dans cet état de manque où le plaisir est présent mais pas encore assez afin de libérer vos pulsions. Ces moments me permettent de me lâcher un peu, d’être (et c’est le cas de le dire) plus ouverte.Je me vis dans le miroir sur pied près de ma garde de robes. Je me trouvais belle même si comme chaque femme je voulais changer quelque chose. Pour moi, c’était mes pieds que je trouvais plutôt moches. En fait, plus précisément le deuxième orteil près du gros. Ils étaient de la même longueur. Mais il fallait bien s’accepter.En regardant mon sexe, je ne pus m’empêcher de le caresser. Pourtant, en revoyant le sexe de Caroline finement épilé alors que le mien ressemble à une vraie brousse avec ce ticket de métro un peu trop épais.Je pris une douche tiède limite froide comme je les aime. La chaleur me ramollit. D’ailleurs, je ne sais pas pourquoi dans les livres ils prennent tous un bain chaud pour se relaxer et, presque toujours l’eau est froide lorsqu’ils en sortent. Prenez directement un bain froid ! La fraîcheur de l’eau glissant sur ma peau me fit frissonner. La chair de poule envahit tout mon corps. Je dirigeai le jet vers mes seins ou plus exactement sur la pointe.Un léger picotement les empare et à chaque fois je sens mes tétons grandir et devenir tout durs. J’aime cette impression.Le gant de toilette glissait sur ma peau. Le savon aux parfums sucrés emplissait mes narines. J’accentuai les mouvements sur mes seins devenus plus sensibles et sur mon sexe qui s’ouvrit encore plus. Il fallait que je m’arrête sinon j’allais jouir encore une fois. Et cela je ne voulais pas !
J’avais décidé que ce soir comme personne ne serait là, je me donnerais à Caroline. L’orgasme reçu tout à l’heure n’était qu’un apéritif. Je voulais devenir son plat de résistance.La douche terminée, j’allai sur la terrasse encore ruisselante et m’exposai aux regards peut-être voyeurs du voisinage. Le soleil de début de soirée me sécha.Je retournai dans la chambre et décidai de me raser. Je m’assis les jambes écartées devant le lavabo, assise sur un miroir et pris le rasoir. J’ai toujours abhorré l’épilateur. Je suis il faut dire un peu douillette. Bref, je changeai les lames et après avoir humidifié ma peau avec de l’eau et des huiles essentielles, je fis glisser la lame lentement mais d’une main sûre sur ma peau. Quelle étrange sensation. Mes lèvres s’écartaient à chaque passage. La peur de me couper à chaque fois que je glissai la
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