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Ma femme se découvre

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je suis marié depuis bientôt 30 ans et j’ai toujours eu des envies sexuelles de type échangisme ou candaulisme. À une certaine époque, quelques années de mariage après, j’avais sollicité mon épouse pour faire des rencontres avec d’autres couples ou avec un autre homme et moi. Celle-ci n’avait pas dit oui ni non. Aussi je recherchai toujours l’occasion de pouvoir réaliser ce fantasme.
Il est arrivé un beau jour sur notre lieu de vacances sur le bassin d’Arcachon. Nous étions dans notre camping favori et nous devions aller faire des courses pour remplir notre frigo. Nous avions trois enfants plus ma belle-mère à nourrir !
Nous partîmes donc mon épouse et moi à quelques kilomètres de notre lieu de villégiature pour faire nos emplettes. Ma chérie s’était habillée naturellement d’une façon légère avec une robe qui se boutonnait sur le devant, mais avait mis un soutien-gorge et une petite culotte. La robe arrivait un peu en dessus des genoux. Quand elle s’assit dans la voiture, celle-ci remonta légèrement. Tout en roulant, je passais mes mains sur ses cuisses bronzées et lui dit:
— Tu aurais pu ne rien mettre sous ta robe.
Elle me répondit:
— Tu es fou ! Cela pourrait se voir.
Et alors !! Lui répondis je. Tu es belle, tu as de beaux seins, de jolies jambes et un joli minou ! Elle me regarda les yeux écarquillés en se demandant si j’avais perdu la raison.
— Tu dis n’importe quoi, — Mais non, tu me plais et je veux que tu plaises voire excite les hommes que l’on croise.
Elle haussa les sourcils et j’en profitais pour passer ma main sur ses seins à travers le tissu. Je sentis durcir ses tétons et le lui fis remarquer.
— Tu vois, cela t’excite.— Ce n’est pas parce que tu me caresses les seins, c’est juste une réaction.— On va voir, lui dis-je.
Je lui touchais l’entrecuisse et sentais l’humidité à travers la culotte. « ah ! Ah ! C’est une réaction, ça ? »

— C’est rien, me dit elle.— Caresse-toi.— Là maintenant ? — Oui.
Elle écarta un peu les jambes et je vis son index glisser à l’intérieur de sa culotte, je continuais de rouler, mais cela m’excitait au plus haut point.Je sentais mon sexe grossir et roulait le plus lentement possible afin de profiter du spectacle au risque de me faire klaxonner par les autres automobilistes. Je ne voulais pas arriver trop vite au supermarché et ma femme continuait de se masturber en poussant des petits cris.
Je voyais bien qu’elle était excitée et qu’elle mouillait fort.Nous arrivâmes finalement au magasin sans qu’elle ait joui, le temps était trop court. « j’espère que l’on remettra ça tout à l’heure dis-je, on verra « dit-elle. Nous fîmes les courses, je lui répète que j’ai envie d’elle, je passe mes mains sur ses fesses, elle me dit d’arrêter même si elle apprécie le contact.
Je suis impatient de passer à la caisse et nous nous retrouvons rapidement dans la voiture où là je me rends compte que ma coquine a enlevé ses dessous culotte et soutien-gorge. Je le vois, car elle a une poitrine lourde (95c que j’adore peloter) et elle a dégrafé deux boutons de sa robe ce qui me permet de voir son décolleté plongeant et la naissance de ses seins. D’elle-même, assise sur le siège elle passe ses mains sur son corps en s’attardant sur la pointe de ses deux globes laiteux, ce qui a pour effet de laisser deviner le galbe (pour moi) parfait de ses courbes.
Tout en conduisant, je passe une de mes mains sur ses genoux pour mieux remonter le long de ses cuisses. Cela me permet d’apprécier la douceur de sa peau, de continuer à remonter en survolant sa zone sensible et pouvoir me consacrer à lui caresser les seins, que j’attrape, je triture...
Ma douce et tendre me regarde de ses grands yeux bleus, pleins d’envie, et qui quémandent d’autres caresses. Elle me dit : « dépêche-toi de trouver un endroit afin que je puisse te faire profiter de mes charmes, mais je vais continuer de t’exciter en me caressant »Elle continua avec une de ses mains à se toucher les seins et de l’autre de se titiller son entrejambe. Elle écarta un peu plus les jambes afin que je puisse profiter du spectacle, ayant dégrafé là aussi deux boutons ce qui me permettait de voir son sexe.
Connaissant la route, je savais qu’à un certain moment, j’aurais l’opportunité de prendre un chemin qui s’enfonçait dans les bois de pin. Après cinq minutes, je trouvais l’embranchement et m’engageais pour me mettre un peu à l’abri de la route principale. La voiture aussitôt garée, Marie ouvrit sa robe entièrement et se positionna sur la banquette arrière. Je ne pouvais pas laisser ma femme continuer à se caresser et moi sens dessus dessous. J’ôtais mon pantalon pour mettre à l’air ma verge toute dressée déjà depuis belle lurette, j’étais tellement excité que je ne prenais pas le temps même de caresser ou même de léchouiller le minou de ma chérie. Je plantais mon sexe dans cette chatte si accueillante qui surprit ma dulcinée et lui fit pousser un cri.
— Oh oui, caresse-moi les seins.
Je décidai aussi de me retirer pour mieux profiter du spectacle quand je vis en tournant la tête arriver un individu à vélo. Celui-ci nous avait certainement vu tourner et devait s’être dit qu’il y avait peut-être quelque chose à mater. Il appuya son vélo sur un arbre et se dirigea vers nous. Situation un peu particulière, moi debout sexe dressé à l’air et ma femme allongée sur la banquette, nue, offerte et en train de se caresser. Celle-ci n’ayant pas vu l’homme. Celui-ci s’approcha et me fit un signe de silence. Il se pencha légèrement pour regarder Marie et me leva le pouce comme pour me montrer que c’était bien et de continuer. Il en profita pour ouvrir sa braguette et sortit son sexe pas encore bandé et commença à se masturber.
Cela bien évidemment m’excitait. J’étais partagé à dire à mon épouse qu’il y avait quelqu’un ou bien faire comme si de rien n’était. J’optais pour la deuxième solution. Je dis donc à ma chérie de fermer les yeux et de continuer à se caresser. Elle me demanda quand même ce que je faisais, je lui répondis que j’attrapais un petit objet pour elle. En effet, dans la portière de mon véhicule, j’avais pris soin d’emmener un godemichet vibrant. Je le pris et commença à le faire fonctionner sur le clitoris offert. L’individu n’en perdait pas une miette et je voyais l’effet sur la grosseur de son sexe.
Je continuais à passer le gode qui vibrait et qui excitait ma femme. Je le fis pénétrer dans la chatte ce qui eut pour effet de la faire crier.
— Oh oui, c’est trop bon.
Je continuais un peu le va-et-vient quand je pris la décision de le retirer complètement.
— Oh, non, non pas ça, me cria mon épouse. Remets-le .
En fait, je souhaitais tout simplement changer d’orifice, mais j’en profitais pour faire un signe à l’homme de se baisser et de venir sans faire de bruit se mettre à côté de moi. Je lui pris la main et la posa sur la chatte de ma femme. Elle ne savait pas que ce n’était pas ma main et l’individu ne se fit pas prier pour fouiller le vagin de Marie.
De mon côté, j’activais mon jouet et l’introduisis dans l’anus qui s’était dilaté sous l’effet de l’excitation. L’objet pénétra sans mal vu la mouille qui dégoulinait du minou toujours rempli des doigts de mon inconnu.
Ma coquine bougeait dans tous les sens, n’arrêtait pas de dire que c’était bon, de continuer, de lui mettre plus profond.J’étais excité au plus haut point, l’homme aussi. Je le voyais se tripoter à n’en plus finir.Marie me cria « prends-moi, fais-moi jouir, je n’en peux plus »Je fis déplacer mon inconnu ce qui eut pour effet de faire ouvrir les yeux à ma chérie. Quelle ne fut pas sa surprise de voir un individu presque au-dessus d’elle qui la caressait et qui lui se masturbait. Elle eut bien évidemment un mouvement de recul, mais je lui dis chut, tu ne risques rien, il se caresse et il apprécie tes formes... j’ai bien vu qu’elle était gênée, mais ne lui laissa pas trop le temps de réfléchir. L’homme s’étant écarté, je pénétrai ma femme sans coup férir, sa chatte chaude et dégoulinante de cyprine m’accueillant sans problème. Je profitais aussi de lui mettre le gode dans son cul tout aussi offert ce qui la fit crier que c’était bon d’avoir deux bites dans les trous.
Je ralentis la cadence pour glisser à l’oreille de ma tendre que ce serait bien peut-être d’avoir deux vrais bites et que c’était l’occasion. Elle me fit non de la tête, j’insistais « allez, allez » « bon d’accord, mais avec un préservatif « « pas de soucis, j’ai ça « l’individu avait compris qu’il allait pouvoir prendre mon épouse et je voyais son regard heureux. Je lui sortis donc un préservatif, ma femme étant toujours allongée sur la banquette à se caresser. Je lui demandai de se lever pour que l’homme se mette à sa place sur le dos et que Marie s’empale sur le sexe dressé de notre partenaire d’un coup. Quand elle fut bien prise, son cul bien offert je me plaçai derrière elle et l’embrochai. Elle cria, mais qu’est-ce que j’appréciai. Que c’était bon d’enculer ma femme si prude pendant qu’une autre personne lui fouillait la chatte avec sa bite. Très rapidement et vu notre degré d’excitation, nous ne pûmes nous retenir trop longtemps.
Pendant que l’autre homme se vidait dans son préservatif, je déchargeais ma semence dans le conduit étroit de ma salope de femme. Après que nous nous soyons retirés et nettoyés, rhabillée pour mon épouse, notre inconnu nous dit merci et alla reprendre son vélo.J’embrassai Marie et la remerciai. Elle n’eut d’autres réflexions que de dire
— J’espère que le gars ne nous reconnaîtra pas si on le croise un jour.
Bises à toutes et tous
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