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Ma femme me domine

Chapitre 1

Divers
Après avoir commencé dans les jeux de domination et de soumission, un moment est venu où mon mari a commencé à prendre goût à la soumission. Bisexuel, Christian adorait que je le prenne avec un gode ceinture, mes doigts ou un objet, il adorait et adore toujours cela. Mais il commença à parler de soumission. Il me testait, se demandant si j’aimerais jouer la Maîtresse. Il ne se rendait pas compte que je n’avais que cette idée en tête depuis un moment mais sans oser le lui dire.
Je sentais le désir de Christian d’être totalement mon jouet. Oh, il l’était souvent mais pas formellement, il ne m’obéissait pas. Imaginez que ce n’est pas facile de traîner son homme en laisse, nu dans l’appartement. Nous avions parlé avec Chris de la façon dont il envisageait les choses, on avait même visionné quelques vidéos et regardé quelques images pour nous imprégner de l’ambiance et en nous appuyant également sur ce que nous avions appris récemment sur internet.
En prévision de ce week end, j’avais fait des emplettes de superbes bottes cuissardes en latex blanc qui m’ont coûté une fortune, des anneaux pour le sexe de mon homme, des pinces pour ses tétons, des poids également, un martinet et une cravache. Ce sont les premiers objets S-M que j’ai achetés, je dois dire que j’ai eu beaucoup de mal à aller les acheter. Je me rappelle que j’ai fait sensation en entrant dans cette boutique. Que des hommes, c’est bien ma chance ! J’ai eu l’impression d’être dévorée des yeux, c’était flatteur et vraiment je ne me suis pas vraiment sentie mal. Contrairement à ce que pensent les gens, les sex shops ne sont pas des lieux glauques, du moins ce genre de grandes boutiques. J’ai fait mes emplettes tranquillement mais, bien sur, les clients ont pu voir, plus ou moins, ce que j’achetais et je ne me suis pas cachée.
Dans certains regards, j’ai lu de l’envie. Je n’ai eu droit qu’à de charmants sourires de la part de messieurs très bien, plutôt entre 30 et 40 ans et surtout en costume cravate. Sauf le petit papy qui déambulait dans les allées.
Mon cher et tendre était lui aussi très impatient. J’avais envie de le voir transformé en vraie femelle.En premier, je profitais que son zizi était encore au repos pour lui placer un anneau de métal enserrant son sexe, queue et couilles. Puis celui qui allait enserrer la base de sa queue. Déjà là, il commençait à bander.
— Arrête de bander salaud ! Lui dis-je en le giflant.— Désolé, dit-il— Désolé qui? Ajoutai-je en le giflant à nouveau— Désolé Maîtresse, dit-il tout penaud
Naturellement, son érection, loin de retomber, s’accentua.
J’avais préparé des bas noirs qu’il enfila sans rechigner. C’était très excitant de voir mon homme enfiler çà. Ensuite, je lui mis des bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets. Son collier clouté, je le serrais fort pour qu’il sente bien la pression sur sa gorge. Maintenant avec un lacet, je liai ses couilles plusieurs tours hyper serrés, il grognait à chaque fois que je faisais un tour, je finis par avoir un joli paquet avec ses deux prunes.
Il avait la queue bien tendue, les veines commençaient à saillir et les couilles devenaient rouge sombre. Je les prenais dans mes doigts et les serrais fort. Il se tortilla et grogna. Plus je serrais, plus sa queue se tendait.
— Un vrai chien en rut !! Regarde-moi comme tu bandes!! Demande pardon !!— Pardon maîtresse. Dit-il, le regard planté dans le mien.
Son visage un peu crispé car j’écrasais son paquet dans ma main, je serrais par petits coups. Ses couilles roulaient sous mes doigts. Je l’installais à genoux au centre du salon. Puis j’allais me préparer car, tout le temps qu’avait duré cette préparation, j’étais habillée.
J’enfilais mes cuissardes à talons blanches en latex. J’adore cette matière et les sensations qui sont liées. Je mis autour de ma taille une ceinture également blanche en cuir avec une grosse boucle en forme de cœur, la serrant fort au point de me couper la respiration ou presque. Mais ma taille était ainsi super fine et mes hanches pleines ressortaient encore plus. Un collier métallique argenté autour de mon cou.
J’entrais dans la pièce, Chris toujours agenouillé, les mains sur la tête et une érection magnifique. Encore plus gonflé que quand je l’avais quitté. Sa queue décalottée, son membre parcouru de veines gonflées, saillantes, un gland rouge déjà légèrement humide, le méat entrouvert. Quand il me vit, son regard brilla plus intensément, et je vis nettement son sexe se tendre encore plus.
Je m’approchais de lui avec la démarche la plus lascive qui soit, je le trouvais beau, mon mari esclave, je le trouve toujours beau. Mais là, c’était la première fois qu’il se livrait à moi de cette façon. Je tournais autour de lui comme une panthère autour d’une proie.
Ma main effleurant son dos, il frissonna. Aucun un mot, aucun un bruit sinon celui de mes talons sur le parquet. Sa respiration était plus courte à chaque seconde qui passait. Je lui tirais la tête en arrière. Pour qu’il me regarde dans son dos, le surplombant. Il avait la bouche entrouverte, il me regardait avec une envie non dissimulée.
Je laissais glisser un filet de salive qui tomba dans sa bouche. Ce regard!! Oh, il était prêt à tout supporter de moi. Je frottais ma cuisse contre son épaule, il frissonne mais moi aussi. Je suis excitée comme une malade. Ma main glisse sur son épaule, lentement je descends vers son téton.
Je suis une accroc des tétons mâles, certains aiment, d’autres moins, j’adore les hommes aux tétons sensibles. Mon mari est de ceux là. Mes doigts frôlent ce petit bout de chair tendre, l’agace puis je le saisis entre pouce et index. Je le regarde dans les yeux, mes ongles s’incrustent dans la chair tendre, il tressaille. Mon autre main s’empare de l’autre mamelon, même traitement. Je laisse mes ongles faire le travail.
Il se tortille doucement, puis sous la douleur, il grimace et se penche en avant, puis se cambre en arrière, je ne laisse pas échapper ma prise. Je regarde son sexe qui est encore plus gonflé. Les anneaux entrent lentement dans la chair qui gonfle. Totalement décalotté, son sexe est plus gros que jamais je ne l’avais vu.
Appétissant en diable, je dois me retenir pour ne pas le prendre dans ma bouche et le pomper. Je lâche ses tétons, Chris est soulagé et souffle un grand coup, je vois la trace de mes ongles marqués dans ces petits bouts de seins que j’adore. Je vois aussi que le gland de monsieur montre une petite perle brillante à son extrémité.
— Regarde-moi çà chien, tu commences déjà à mouiller, je ne t’ai rien fait encore !
Il ne dit rien mais ne me quitte pas du regard. Il me dévore. Il a sûrement une envie folle de me bousculer, de me mettre à 4 pattes et de me prendre. Mais il veut jouer le jeu, il est excité de se livrer à moi. Je lui appuie sur la tête. Il se recroqueville docilement, son visage est au dessus de mes bottes.
— Lèche mes bottes, petite salope !— Oui Maîtresse, dit-il et il commence à lécher mes pieds.— Mieux que çà!!

Il s’applique, sa langue passe et repasse sur la pointe de mes bottes. Je profite qu’il est penché en avant pour lui donner une claque sur les fesses, puis je retire le fouet qui est dans ma ceinture. Je lui caresse de dos avec les lanières avant de lever l’engin et de lui asséner un coup sur les fesses. Puis d’autres coups, j’espère qu’il ne remarque pas que, dans mon geste, j’en profite pour me cingler aussi le dos.
— Debout esclave, vite !— Oui maîtresse
Il se met sur ses pieds, les mains toujours derrière la nuque. Il est beau, avec son sexe presque collé à son ventre, tellement il bande. Je tourne autour de lui à nouveau. Je l’attrape d’une main et le colle au paquet tandis que le martinet lui fouaille les fesses et le haut des cuisses. Je serre fortement, il crie et se replie sur lui même pour échapper à la pression de ma main.
— Non chien ! Laisse-moi t’écraser les couilles. Redresse-toi !— Oh maîtresse, j’ai mal. J’ai mal !— Oui regarde-moi, ouvre la bouche !
Il me regarde, ouvre la bouche et je lui crache sur la langue. Je sens qu’il frissonne fortement. Un regard à son sexe et je vois que, oh miracle, il bande plus fort et maintenant, un fil transparent coule de son méat très ouvert. Sa queue est gorgée de sang, les veines qui parcourent sa tige sont comme prêtes à éclater, le gland est cramoisi. Sous mes doigts, je sens les pulsations, les tressaillements du sexe de mon soumis.
Je lâche son paquet, il souffle.
— Et tu aimes çà !!! Regarde dans que état tu es !! Dis-je en le giflant.
Chris bande comme jamais, sa queue laisse échapper un long fil de mouille qui pend à son gland. J’adore cette vision. Pour ne rien cacher, je suis moi même trempée. Quand je suis dans le dos de Chris, je me branle. Pas devant lui car il exploserait et je veux que çà dure.
Il me regarde avec envie, il sait que je suis excitée, il me désire. Chris aime être soumis mais il attend avec impatience que je craque et que je le laisse me grimper. Oh, tout à l’heure, j’aurais sûrement trop envie de me laisser baiser. Enculer plutôt car j’aime énormément. En plus, avec l’érection qu’il a…
Du bout de ma cravache, je caresse le paquet gonflé et violet de mon soumis. Sa queue, toujours plus étranglée, est luisante, les veines énormes sont noires, la peau de son sexe vire au violet elle aussi et son gland ressemble à une énorme prune à la peau lisse et tendue. Le méat ouvert laisse échapper le plaisir de mon homme, goutte à goutte.
Je récupère le long fil translucide et épais sur le bout de mon doigt et je lui barbouille les lèvres avec sa liqueur. Il aime çà, le chien ! Je viens encore récupérer un peu de liqueur sur ce gland gonflé. Il tressaille si fort qu’un instant je crains qu’il éjacule. Pour lui faire oublier le plaisir, je cingle sa poitrine d’un coup de cravache. Chris se tord de douleur et moi je manque littéralement de jouir en voyant mon chéri ainsi. Non pas tout de suite…
— Penche-toi en avant ! Ordonnais-je
Il se penche docilement. Ses fesses sont jolies et fermes, rouges aussi à cet instant. Je suis attirée par le sillon et surtout son anus, pastille brune que j’aime lécher souvent. Mais là, pas question !
— Pousse ! Ouvre-toi pour ta maîtresse !
Il obéit, son anus s’ouvre assez largement car il est régulièrement sollicité, ouvert par des sexes, des godes mes doigts et il adore çà mon mec. J’aime tant le voir jouir, godé ou baisé par un mec. Là, son cul est à moi, je vais chercher un gode de belle taille.
— Lèche cette bite, suce-la, allez comme une femelle ! Imagine que c’est la grosse bite de mon amant qui te fait cocu !
Il pompe la queue de latex comme si c’était une vraie bite, il est une vraie salope quand il en a envie. J’aime tant les hommes qui n’ont pas peur de se montrer peu virils, dociles et féminins. J’ai horreur des machos, des « vrais mecs » j’aime les hommes qui savent accepter d’être aussi chiennes qu’ils peuvent être durs et virils à certains moments. Ça, c’est un vrai homme pour moi.
Il mouille bien le gode, il est ruisselant de salive. J’aimerais le lécher pour aussi avoir le goût de sa bouche sur ma langue. La saveur de son sexe, de sa langue, le goût de sa salive quand on s’embrasse ou quand il me crache sur la langue. Le goût de son anus quand je le pénètre de la pointe de ma langue et le goût de son sperme. Tout çà c’est animal peut-être mais ce sont les vecteurs qui permettent de se reconnaître, de s’apprécier aussi.
Je place le gode contre la rondelle de mon esclave et lui ordonne de s’empaler. Il le fait docilement. Et je vois son anus avaler la bite de plastique. Il y prend un grand plaisir et gémit en s’enfilant sur l’ersatz de queue. Je pousse le gode bien profond. Il se cambre en poussant un grognement de plaisir. Je regarde son sexe, il coule de plus belle, il goutte littéralement sur le plancher. A chaque aller-retour, des gouttes sortent de son gland et tombent sur le sol.
— Salaud !! Regarde !! Tu salis mon parquet !! Lèche çà de suite !
Docilement, il commence à lécher le sol, essuyant les gouttes de liqueur qu’il a laissé échapper et qu’il laisse toujours couler d’ailleurs. Je profite de ce moment pour le fouetter assez sévèrement. Son dos, ses fesses avec le martinet. Rapidement, il est strié de rose.
Moi je suis totalement excitée, ma chatte ruisselle entre mes cuisses. Passant mes doigts dans ma fente, je ramène une crème onctueuse que je lèche du bout de la langue sur mes doigts.
Penché en avant, mon esclave en-godé dévoile son paquet tout gonflé et lié. Du bout de ma botte, je taquine les boules étranglées. Puis doucement, je donne un petit coup dans les bourses, puis un autre plus fort. Il grogne, se tortille. Encore un autre coup plus fort. Un cri de douleur mais je vois aussi une coulée translucide qui tombe au sol. Le chien est excité à mort !

Je prend une chaise et m’assieds face à lui, je nettoie soigneusement le talon de ma botte. Puis installée devant mon soumis, je lui demande de lécher ce talon, de le sucer. Il s’exécute avec entrain. Une fois qu’il a bien pompé mon talon, je croise les jambes de façon à ce qu’il soit à bonne hauteur.
— Chien, regarde mon talon... tu sais à quoi il va servir ?— Non Maîtresse, dit Chris un peu inquiet car ce n’est pas prévu.— Tu vas empaler ta queue dessus, espèce de salope ! Tu aimes te faire sonder ? Alors, tu vas l’être !
Chris aime beaucoup le jeu consistant à utiliser des sondes pour les introduire dans son sexe, au besoin lui dilater le méat mais surtout la sensation de se faire baiser la queue, il adore çà. Cela le fait jouir même quand c’est bien mené. Et là, j’ai envie de le voir jouir comme çà. Mais plutôt que d’utiliser une sonde, mon talon de 11 cm hyper fin sera génial. Surtout que ce talon est terminé par une boule légèrement tronquée à la base.
Il me regarde, l’œil brillant. Cette perspective est alléchante. Il a toujours son gode en place. Agenouillé, il approche son gland du bout de mon talon. Il ne faut pas que je le blesse, c’est donc lui qui va s’empaler et non moi qui vais lui enfoncer le talon dans le gland. Humide comme il est, il n’est pas vraiment besoin de lubrifier. Mais je lui tends le tube de gel par précaution. Il enduit mon talon copieusement. Puis pose son gland contre la boule. Il attend mon ordre.
— Allez, enfile-toi... et ne fais pas semblant, je te veux à fond !!
Il pousse la boule qui s’insère dans son sexe. Cette vision me rend haletante, presque autant que mon soumis. Il ne grimace pas, ce n’est pas douloureux. Le talon pénètre lentement. La queue l’avale, c’est moi qui frissonne. Mon doigt entre mes cuisses serrées taquine mon clito. J’ai presque envie de tout arrêter et de m’empaler sur sa queue.
Mais j’aime encore plus la vision de mon soumis se baisant le sexe sur ma botte. Doucement, il est arrivé à avaler le talon. Queue gonflée, il semble lui aussi près de l’extase. Il est difficile de rendre la durée en écrivant. Mais cela fait bientôt un couple d’heure que je le travaille.
— Surtout, ne laisse pas tomber le gode et, maintenant, tu va baiser mon talon. Je veux te voir jouir sur mon talon.— Oui Maîtresse, dit-il dans un souffle.
Il commence lentement à reculer, ressortir presque entièrement mon talon puis il le réinsère. La bouche entrouverte, il souffle fort, il geint comme un bébé. Mon dieu que j’aime voir mon homme dans cet état ! Il va et vient, empalant son sexe sur toute sa longueur. Je suis en eau, mon sexe coule, mon clitoris dressé ne supporte presque plus les caresses. Je me mords les lèvres. Mes tétons sont tendus. Des frissons parcourent mon dos.
Mes joues sont bouillantes ma langue passe et repasse sur mes lèvres, je déguste l’instant. Chris donne maintenant de vrais coups de reins. Et il enfonce le talon au plus profond de son engin. Je pose ma main sur sa chair palpitante. Je serre doucement, lui faisant ressentir encore plus le talon qui la perce. Il stoppe les mouvements. Sa queue semble animée de vie propre et les palpitations accélèrent.
— Qui t’a demandé d’arrêter ? Dis-je lui met une violente gifle. Continue esclave !
Chris a le regard chaviré, il m’aime je le vois et il désire la délivrance. Il n’est plus loin de jouir, je le sens. Il reprend ses mouvements. Je laisse ma main sur ce sexe qui est totalement à moi. Il va et vient, palpitant, se violant lui même sa chair. Il est mon jouet, j’aime mon jouet, mon jouet m’adore, m’adule. Les palpitations se font régulières, son sexe durcit à l’extrême par instants.
J’imagine la terrible pression dans ses couilles totalement étranglées. De mon petit doigt, je caresse le dessous de son gland. Ma main est mouillée par toute la liqueur qu’il laisse échapper, elle lubrifie le talon mais s’écoule également. Quand mes doigts sont pleins de se miel, je les lui enfonce dans la bouche, le faisant lécher sa liqueur, il aime je le sais. Je le reprend en main maintenant il palpite rapidement. Sa poitrine se soulève, il halète encore quelques instants, il va jouir.
Soudain, je sens une contraction violente de son sexe. Instinctivement, je serre étranglant son sexe contre le talon. Le soumis me regarde, suppliant, je ne cède pas. Il est secoué de spasmes, il pousse de petits cris et jouit. Il jouit, emplissant sa tige déjà comblée par mon talon de son sperme qui ne peut jaillir. Je l’empêche de s’écouler.
J’entends tomber le gode que les contractions de son anus viennent d’expulser. Chris semble presque sur le point de défaillir. Je retire mon talon prestement et je lâche sa queue, de gros bouillons le sperme coulent de son sexe, il ne jaillit pas car je l’ai empêché mais là, il coule, épais comme d’un robinet tandis que Chris est secoué de frissons. Il jouit d’une façon étrange qu’il n’avait pas encore connue mais c’est violent. J’aime le voir ainsi.
Je suis à cran moi aussi. J’écarte les cuisses largement, me mettant au bord de la chaise. J’attrape sa tête et la plaque contre mon sexe baveux. Il ne se fait pas prier et, en deux coups de langue, je me tends, l’orgasme me ravage.
— Oh putain, que c’est bon !!
Je ne suis plus la maîtresse mais une femme qui jouit sur la bouche de son amour. Et tout en criant mon plaisir, je lui inonde la bouche, il me boit toute. Je jouis longuement sous les coups de sa langue.
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