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La femme est la maitresse du chien

Chapitre 1

Zoophilie
La femme est la maîtresse du chien 1
Marc et Claire habitaient une jolie maison coquette près de Saint-Germain-en-Laye. Ils étaient mariés depuis 30 ans, mais de proche en proche, la passion s’était éteinte. Marc se consacrait pleinement à sa carrière pendant que Claire gérait le quotidien de la maison. Les soirs venus, l’époux prenait son dîner, sa douche et sombrait dans les bras de morphée sans attention particulière pour Claire avant de quitter le logis à 6 heures du matin. Et cela durait maintenant depuis quatre ans.
Pourtant Claire était une jolie femme, rousse, la cinquantaine bientôt, un corps mince, des fesses et des seins encore fermes. Elle était très consciente de son pouvoir de séduction encore intact, à en juger par les hommes de tous âges qui n’hésitaient pas à l’aborder dans les rayons du supermarché où elle se rendait quotidiennement ou presque. Mais elle avait reçu une éducation stricte et l’adultère ne faisait pas partie de ses valeurs, aussi éludait-elle savamment les avances de ces messieurs.
Pour autant, elle s’interrogeait sur son époux. Ce jour-là, vers 15 heures et encore seule au logis, elle se résolut à espionner le PC de Marc espérant, malgré tout, ne rien y trouver de compromettant. Au bout d’une demi-heure, elle n’avait rien trouvé, ni sur le disque dur ni dans les boîtes mails. Soulagée, elle s’apprêtait à renoncer lorsqu’elle remarqua le petit disque externe caché sous le plateau du bureau. A nouveau emprunte d’angoisse, elle le connecta et le contenu lui apparut. Elle craignait par-dessus tout de trouver des correspondances avec de jeunes maîtresses et des échanges de photos coquines, mais ce qu’elle vit la sidéra davantage.
Marc collectionnait des dizaines de vidéos et de photographies zoophiles dans lesquelles des femmes se donnaient à leurs chiens ou à des chevaux. Stupéfaite, elle rangea le disque où elle l’avait trouvé et se rendit dans la cuisine pour se faire bouillir un thé chaud. 20 minutes s’étaient écoulées depuis sa découverte. Elle se sentait à la fois trahie, mais aussi de plus en plus curieuse. Comment cela était-il possible ? Elle décida de faire face aux fantasmes de son époux et de retourner visionner le contenu secret de son disque dur. Elle s’installa face à l’écran, connecta l’appareil à nouveau. Elle ouvrit le répertoire « chevaux » et visionna quelques vidéos. Elle n’en crut pas ses yeux de voir ces femmes sucer ces membres disproportionnés, se délecter de litres de spermes animaux et engloutir leurs énormes pénis dans leur intimité. Honnêtement, elle n’y avait jamais pensé, mais cela resta du domaine de la curiosité sans éveiller de désir particulier en elle.
Puis elle ouvrit le fichier « chiens » et trouva deux sous répertoires. L’un « Général » et l’autre « favoris ». Elle commença par le général où, sans surprise, les femmes suçaient et baisaient leur animal de compagnie de toutes races et toutes tailles. Très vite sa curiosité l’incita à ouvrir le répertoire favori. Le répertoire était exclusivement dédié aux rottweilers.
Il se trouve qu’il a trois ans de cela, Marc en avait acquis un, Brutus. Il avait à l’époque prétexté qu’étant souvent absent, Claire aurait besoin de protection. Maintenant, elle commençait à douter de ses réelles motivations.
Elle visionna au moins 10 vidéos. Au fur et à mesure qu’elle regardait toutes ces femmes s’offrir et jouir sous le joug des animaux, elle avait tendance à se transposer. Elle ressentait une chaleur dans son ventre, ses tétons durcir et son sexe se mouiller. Désormais, elle ne voyait plus un rottweiler, elle voyait Brutus. Sa main droite avait glissé lentement dans son slip de dentelle rose et entamait un va-et-vient sur son clitoris humide et gonflé. Elle pensait soudain à ses quatre ans de frustration sexuelle et à l’animal couché dans l’entrée de la maison.
Elle approchait l’extase quand elle entendit Brutus laper depuis sa couche. Se tirant de ses pensées, elle se rendit auprès de lui. Le chien était occupé à lécher son gros sexe rouge vif sorti de son fourreau. Bien sûr, Claire l’avait déjà vu faire ça, mais en d’autres circonstances et cela l’avait plutôt amusée. Mais aujourd’hui, c’était très différent. Le sexe de Claire était toujours ruisselant de cyprine et son esprit toujours rempli des vidéos préférées de Marc.
Elle ne pouvait, à présent, quitter des yeux le phallus canin. Elle s’agenouilla près de la couche pour voir de plus près. Sa main hésitante se tendit vers le sexe de Brutus pour l’effleurer des doigts. Il était chaud et encore humide de salive. Les doigts de Claire commencèrent à le caresser, très gentiment d’abord avant qu’elle ne se décide à l’empoigner pour le masturber. Elle sentait maintenant le membre durcir, grandir, grossir et bientôt pulser sous sa main experte. Elle voyait le pénis sécréter un liquide blanchâtre. N’y tenant plus, elle se pencha pour parcourir le sexe gonflé du bout de sa langue câline et gourmande. Elle se surprit elle-même à en aimer le goût. Maintenant elle s’attardait sur les substances visqueuses précursives de l’orgasme pendant que sa main libre masturbait son propre clitoris et sa vulve inondée.
Elle prit en main les testicules et engouffra le sexe de Brutus dans sa bouche maintenant avide, jusqu’à ce qu’elle soit envahie de sperme chaud qu’elle avalât avec délectation. A mesure que le chien déversait sa semence dans sa bouche et son estomac, elle sentait son bas-ventre se contracter de plus en plus fort. Claire était en extase totale. Autant qu’elle ne s’en souvienne, elle n’avait jamais connu d’orgasme aussi puissant. Toute à sa frénésie sexuelle, elle aspirait maintenant le pénis de Brutus afin de ne perdre aucune goutte de son précieux nectar.
L’excitation retomba et Claire réalisa qu’elle était là, sur la couche d’un chien, sa culotte de côté, son sexe inondé, et sa bouche encore pleine de sperme canin. De retour sur terre, elle se sentit horrifiée. Elle se releva et s’engouffra dans la salle de bains. Elle commença par un long brossage de dents pour éliminer le goût du sperme qu’elle avait pourtant tant apprécié. Puis, elle prit une très longue douche d’une demi-heure, comme pour se purifier. Elle ne pouvait y croire. Elle s’était comportée comme toutes ces salopes canines dans les vidéos de Marc.
Il était déjà 17 heures, elle retourna sur le PC pour remettre en place le disque dur de son mari, puis s’installa sur le sofa devant la télévision vêtue simplement de son peignoir de bain. Toutefois, elle ne parvenait pas à se concentrer sur le programme. Le souvenir de ses spasmes de plaisir intenses et coupables revenait la hanter sans cesse. Il fallait qu’elle trouve un moyen de tourner cette page.
Elle se leva et alla préparer un joli plateau-repas qu’elle déposa sur la table basse du salon, puis ouvrit une bouteille de vin. Elle fouilla dans son armoire pour retrouver la combinaison résille ouverte entre les jambes que Marc lui avait offerte il y a quatre ans et qu’elle n’avait jamais portée. Elle revint sur le sofa et prit son téléphone pour envoyer un message à son mari.
— Tu rentres bientôt mon chéri ? Je t’attends.
Mais aucune réponse ne vint.Au bout d’une demi-heure, à moitié nue sur le canapé, Claire avait un peu froid et dut se résoudre à repasser son peignoir sur sa tenue sexy.Seulement une heure plus tard, son époux lui répondit.
— Désolé mon cœur, je suis en rendez-vous avec des clients importants et je les emmène dîner ensuite. Ne m’attends pas.
Claire était totalement dépitée. Elle espérait réveiller la libido de son époux et maintenant, elle se sentait ridicule dans sa tenue sexy et seule sur le sofa. Elle se versa un verre de vin, puis un autre, puis un autre...Le son de la télévision la berçait et elle finit par s’endormir. Maintenant, son sommeil était bercé de rêves érotiques. Marc rentrait, la trouvant sur le canapé, les jambes ouvertes et son intimité totalement accessible. Il se déshabillait et s’agenouillait entre ses cuisses pour lui procurer un cunnilingus. Plus son rêve avançait et plus elle sentait sa langue parcourir son clitoris, sa vulve et son anus offerts. Elle ressentait un plaisir intense qui finit par la sortir du sommeil.
Lorsqu’elle ouvrit les yeux, Brutus était affairé à se délecter de ses parties intimes. Le plateau-repas avait également été dévoré. Elle pouvait désormais sentir pleinement la grosse langue chaude et râpeuse s’insinuer dans tous ses orifices. Elle jouit immédiatement.
Mais quatre ans de frustration ne s’absorbent pas aussi facilement... Claire saisit le chien par son collier pour l’attirer sur elle en embrassant son museau et sa langue. Le mastiff comprit immédiatement ce que sa maîtresse attendait de lui et il grimpa entre ses cuisses ouvertes allant et venant frénétiquement. Claire sentait le membre chaud et gonflé de Brutus se frotter maladroitement contre sa vulve sans parvenir à en trouver l’entrée.
Elle profita néanmoins du moment puis, repoussa l’animal, se leva pour se défaire de son peignoir et le laisser tomber au sol avant de se mettre à quatre pattes. Brutus était maintenant dans son élément. En un clin d’œil, il était monté sur Claire et son sexe canin était à présent enfoui dans le sexe glissant de la femme. Claire sentait maintenant le contraste entre le carrelage glacé sous ses genoux et la chaleur animale intense de son chien sur son dos. Très vite, elle sentit le nœud de brutus gonfler dans son vagin. Maintenant, elle devait aller jusqu’au bout, plus moyen de se libérer des assauts lubriques de son animal. Elle se laissa aller et sentit un geyser de sperme chaud envahir son utérus pour la mener une nouvelle fois à l’orgasme. Mais le jeune chien n’en resterait pas là. Il perpétua ses va-et-vient pendant une bonne demi-heure jouissant trois fois dans Claire avant de se retirer, la laissant gisante sur le sol, ruisselante de sperme et dans une totale extase.
Depuis ce jour, Claire avait trouvé le parfait amant. Toujours disponible et toujours demandeur. Dès que Marc partait pour le travail, elle appelait Brutus sur le lit conjugal ouvrant grand ses fines jambes pour se donner à la langue gourmande du chien ou se mettant en position pour se faire copieusement monter. Ainsi passèrent les jours et les semaines, Claire était à nouveau une femme heureuse et désirée. Plus tard dans la journée, après sa saillie matinale, elle vaquait à ses occupations habituelles et il lui arrivait souvent de ressortir ses tenues de soubrette ou d’infirmière pour encore booster sa libido et prenant toujours soin de laisser toute son intimité accessible pour le molosse de plus en plus avide de sexe.
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