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La femme est la maitresse du chien

Chapitre 2

Zoophilie
La femme est la maitresse du chien 2

Claire n’en avait pas pour autant renoncé à sa vie sociale. Elle s’était notamment lié d’amitié avec Julia sa voisine. Il arrivait fréquemment que l’une ou l’autre débarque à l’improviste pour partager une tasse de thé et se raconter leurs états d’âmes. Bien sûr, la belle rousse ne disait pas un mot de ses plaisirs coupables, mais son appétit sexuel allant grandissant, elle avait délaissé Julia depuis maintenant plusieurs semaines et sa bonne amie commençait à s’en inquiéter.
Ce jour ci, Claire se sentait l’esprit d’une vraie chienne en chaleur. Il était 14 heures et elle avait une envie furieuse de se faire monter par son animal chéri. Elle décida de revêtir sa petite tenue de bonniche sur un collant très largement ouvert sur ses fesses et son sexe. Elle enfila également ses talons noirs les plus hauts. Une fois apprêtée, elle s’assit sur le bord du lit pour se regarder dans le miroir. Son ventre était chaud et brûlant de désir. Elle ouvrit grand ses jambes pour se masturber et se soulager mais son orgasme solitaire ne suffit pas à calmer ses ardeurs. Pleinement dans son jeu de rôle, elle se rendit ensuite dans le séjour pour passer la serpillère, bien sûr à quatre pattes et bien offerte pour son chien qui, attiré pas les humeurs exquises de sa maitresse, ne tarda pas à la rejoindre pour s’en délecter puis la monter comme il le faisait plusieurs fois par jour. Claire était maintenant collée à Brutus et partie dans un monde de lubricité et de jouissance.
A ce moment, Julia toqua discrètement à la porte. Comme souvent quand elle rendait visite à son amie elle ne s’était pas embarrassée d’effets vestimentaires. Elle portait un jean, des basquets et une tunique rose ample. Pourtant Julia était ce qu’il convient d’appeler un canon, 1 mètre 79, une poitrine 95 C, brune au visage d’ange et des fesses rebondies à damner un saint. Cela dit, elle n’abusait pas de ces atours sauf dans ses moments spéciaux et privés avec son mari. En effet, Julia étant bisexuelle, il était fréquent que le couple reçoive de jolies femmes pour quelques soirées torrides. Julia avait toujours ressenti une attirance particulière pour Claire mais n’avait jamais osé franchir le pas de peur de détruire leur amitié.
Claire était si occupée qu’elle n’entendit pas la porte s’ouvrir. Julia entendit alors distinctement les râles de plaisir de son amie. Pensant comprendre les absences de Claire, elle hésita à rebrousser chemin mais sa curiosité l’emporta.
Elle se glissa discrètement dans la maison jusqu’à ce, qu’au détour du couloir, elle eut une vision qui la sidéra. Sa chère amie était à quatre pattes sur le carrelage du séjour, habillée comme une salope et elle profitait des coups de boutoir de son chien bien aimé. La vision la glaça, mais elle ne put faire demi-tour et continua d’espionner son amie. Au plus elle regardait et entendait claire gémir de plaisir, au plus elle se sentait envahie de désir, d’envie, voire de jalousie. Instinctivement, elle déboutonna son jean pour laisser sa main jouer sous son string noir. Son sexe était trempé par l’excitation du spectacle sous ses yeux. En à peine 3 minutes de vision et de masturbation, elle atteint l’orgasme. Elle hésita à rester encore, mais elle revint à la raison et décida de repartir comme elle était venue, mais non sans prendre quelques photos à l’aide de son smartphone.
Sur le chemin du retour, son sexe pulsait encore. Elle était à la fois super excitée et déçue que son amie ne se soit ouverte auprès d’elle de ses plaisirs pervers. Elles étaient censées tout se raconter et n’avoir aucun secret l’une pour l’autre.
Plusieurs jours passèrent pendant lesquels Julia rumina sa rancœur. Maintenant, elle était décidée. Elle allait lui faire payer.Elle finit par appeler Claire et lui demander si elle pouvait passer dans l’après-midi. Claire parut embarrassée mais elle accepta. Elle avait désormais du mal à se passer de ses saillies quotidiennes mais elle s’était dit qu’elle ne pouvait totalement délaisser son amie.
Julia, quant à elle, avait son plan bien en tête. Elle prit une bonne douche, se rasa consciencieusement le pubis, sécha et lissa ses longs cheveux noirs. Tout en se regardant dans le miroir de la salle de bains, elle enfila ses bas noirs soutenus par un porte-jarretelles rouge et enserra sa taille d’un gros gode ceinture d’une bonne vingtaine de centimètres qu’elle avait l’habitude d’utiliser avec son mari, avant de le recouvrir d’une jupe noire mi longue, de mettre son chemiser rouge, son blazer et ses talons hauts. Evidemment, elle ne portait pas de dessous. Elle se sentait prête. Un dernier coup d’œil au miroir, pas d’indices quant au majestueux phallus qu’elle portait sous ses vêtements.
Quelques minutes plus tard Julia toquait à nouveau à la porte de Claire. Celle-ci vint lui ouvrir vêtue d’un jogging avachi et l’accueillit avec une chaleureuse accolade. Julia ne put s’empêcher de penser à quelle point sa salope de copine essayait de donner le change.
Les deux femmes s’installèrent sur le canapé pour commencer une discussion à bâtons rompus. Claire était étonnée de voir son amie ainsi apprêtée mais elle passa outre. Elle se leva pour aller préparer un thé au jasmin dont les deux amies étaient friandes. Pendant que la bouilloire chauffait Julia dit.
— On est bien d’accord ? on se dit tout ?
Claire un peu gênée répondit
— Bien sur ma chérie.
Claire rapporta la théière. Julia dégaina alors son téléphone et montra à claire les photos et vidéos prises quelques jours auparavant.Claire resta sans voix et son visage rougit. Après deux longues minutes de silence, elle sortit de sa torpeur et dit :
— Et maintenant, tu vas faire quoi avec ça ?
Julia se défit de sa veste, se leva pour faire face à son amie et répondit :
— Ça, ça dépend de toi ma belle !
Tout en parlant, Julia fit glisser le zip à l’arrière de sa jupe noire pour la laisser tomber au sol, puis elle ajouta :
— Si tu t’offres à un chien, tu peux sans doute t’offrir à ta meilleure amie non ?
Claire regarda avec sidération le phallus factice qui pendait entre les jambes de son amie. Elle aussi avait toujours ressenti une attirance latente envers Julia. Le temps de peser le pour et le contre, elle se leva également pour coller son corps à celui de son amie, approcher sa bouche de la sienne et lui donner un long baiser fougueux.Julia était ravie mais elle ne voulait pas en arriver trop vite à une relation amoureuse et égalitaire. Elle saisit Claire par se chevelure rousse et la regarda droit dans les yeux. Elle dit :
— Pas si vite ! Tu vas te foutre à poil à quatre pattes sur ton canapé comme la bonne petite chienne que tu es !
Claire, qui se soumettait aux pulsions de son animal tous les jours était toute prête à se soumettre également à son amie. D’autant plus que le contact du phallus sur son pubis et le gout divin de la bouche de Julia l’avaient mise encore une fois dans tous ses états. Elle retira ses claquettes, défit le zip de la veste de son jogging pour le laisser choir au sol, exposant sa poitrine nue. Puis elle se retourna et se pencha pour baisser d’un même mouvement son pantalon et sa petite culotte offrant à Julia une sublime vue sur ses jolies fesses nues et son sexe ruisselant de cyprine. Puis, elle rampa sur le sofa, coucha sa tête sur un coussin, écarta légèrement ses longues jambes en prenant bien soin de rehausser son joli cul. Elle était prête pour une levrette frénétique.
Julia se défit de son chemisier rouge découvrant ses gros seins nus pointant comme des obus. Elle se saisit du gode ceinture pour le présenter à l’entrée du sexe de Claire qu’elle pénétra sans aucun ménagement. D’un coup de reins brutal, Julia engouffra le phallus dans l’intimité de Claire qui l’accueillit avec délice tant elle était déjà mouillée et glissante. Claire poussa un râle de plaisir. Julia la saisit par les cheveux, les tira et lui dit :
— Tu aimes ça ma petite salope. Hein ?
Claire était encore une fois partie dans un autre monde. Elle répondit instinctivement :
— Oui, j’aime ! Baise-moi bien fort ! fais de moi ta chienne !
Julia ne se le fit pas dire deux fois. Elle redoubla de vigueur dans ses coups de reins sortant à chaque fois les 20 centimètres de gode et les rentrant de plus en plus fort en prenant soin de bien tirer sur la chevelure pour donner à son amie un savant mélange de plaisir et de douleur. Claire était au paroxysme du plaisir et elle hurla sa jouissance. Aussi bizarre que cela puisse paraitre, Julia jouit aussi. Quelquefois, l’esprit prends le pas sur le corps.Julia dégrafa sa ceinture de plaisirs et releva Claire sur ses genoux pour gouter à nouveau à sa bouche brulante. Les deux femmes entamèrent très vite une masturbation réciproque tout en s’embrassant mais Julia n’en avait pas terminé. Elle gifla son amie et la traina au sol par les cheveux.
— Appelle ton chien chéri salope !
Le sexe de claire pulsait encore de plaisir et de désir. Elle s’exécuta pendant que Julia la mettait en position.Le molosse accourut, un peu désorienté d’abord pas la présence de Julia mais très vite, sa truffe froide se glissa entre les fesses de sa maitresse et sa langue chaude et râpeuse lécha le sexe humide avant qu’il ne monte sur Claire pour satisfaire ses instincts.
Julia s’alanguit sur le sofa, ouvrit grand ses jambes et se masturba copieusement en profitant du spectacle. Lorsqu’elle aperçut la semence canine déborder du sexe de Claire, elle fut prise d’un spasme de jouissance violent. Peut être l’un des plus fort de sa vie.
Claire se releva et vint l’embrasser à nouveau. Son sexe ruisselait du sperme canin. Julia la coucha sur le canapé. Puis, s’agenouilla sur le sol entre les jambes de son amie qu’elle ouvrit en grand. Les cuisses de Claire étaient ruisselantes du liquide blanchâtre et visqueux de Brutus. Toute à son excitation et possédée par l’envie de découvrir de nouvelles sensations, Julia commença à lécher le sperme de Brutus. Avec prudence d’abord, puis trouvant le nectar à son gout, de plus en plus goulument. Sa bouche était maintenant collée au sexe de son amie pour collecter toute la semence animale dont le vagin de Claire débordait. Quand sa bouche en fut remplie, elle se réhaussa sur le corps de son amie jusqu’à pouvoir échanger un long baiser rempli de sperme délicieux et visqueux. Une fois les fluides partagés, Julia retourna à quatre pattes pour achever sa dégustation. Son sexe était inondé, glissant et plein d’odeurs féminines.
Elle sentit alors le corps brulant de Brutus la recouvrir. L’insatiable animal était en train de la monter pendant que Claire prodiguait à son chien les encouragements auquel il était habitué. Très vite, Julia ressentit la pénétration du gros sexe rouge vif et les va et vient du chien sur son dos. Au plus l’animal s’excitait, au plus elle sentait son sexe gonfler en elle jusqu’à ce que Brutus déploie son nœud pour la rendre prisonnière de ses assauts lubriques. Julia sentit le renflement en elle. Inquiète, elle chercha le regard de Claire. Mais au lieu du réconfort attendu, Claire agrippa la chevelure noire de Julia pour enfouir son visage dans son entrejambe, l’empêchant de parler.
Claire dit :
— Oui mon chien. Vas-y ! Baise cette salope bien fort. Elle aime ça !
Les deux femmes étaient en plein dans le syndrome de l’arroseur arrosé. Julia, qui avait voulu punir Claire pour ses perversités était à présent devenue la chienne de son amie. Et elle aimait ça !Brutus allait et venait sans ménagement et elle sentit rapidement le chien déverser un premier flot de semence tout au fond d’elle, ce qui lui procura un intense orgasme.Les organes intimes de Julia étaient encore pulsants, frémissants et avides. Heureusement pour elle, la saillie du molosse était loin d’être terminée et à chacun de ses coups de boutoirs, sa bouche et sa langue s’écrasaient et pénétraient la vulve de claire qui ne cachait pas son plaisir zoo-lesbien. Une bonne demi-heure plus tard et après que Brutus eut assouvi ses pulsions, le chien se retira laissant Julia sans souffle et épuisée. Elle se releva avec peine pour embrasser sa complice.
Claire enserra son bras entre ses jambes pour l’inviter dans un dernier 69. Julia chevaucha sa bouche afin de laisser son amie profiter des flots de semence qui ruisselaient de son vagin. Claire était aux anges, d’autant plus que Julia lui procurait un délicieux cunnilingus.
15 minutes plus tard, Claire était repue de sperme. Les deux femmes se relevèrent et s’embrassèrent à nouveaux avant d’aller prendre leurs douches. Elles se rhabillèrent et se quittèrent après un long baiser lascif en se promettant de recommencer très vite.
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