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La femme est la maitresse du chien

Chapitre 3

prélude à l'apothéose

Zoophilie
La femme est la maitresse du chien 3

Depuis ce jour, Claire et Julia étaient devenues inséparables, tantôt assouvissant leurs désirs lesbiens, tantôt partageant les saillies furieuses de Brutus, mais le plus souvent, les deux…Elles se retrouvaient chez Claire, deux fois par semaine pour s’adonner à leurs plaisirs mi-lesbiens, mi-canins, selon une routine bien établie, tous les Lundis et jeudis après-midi. Mais ce jour-là, Claire se sentait d’humeur perverse. Elle accueillit Julia, lui donna un long et profond baiser, lui offrit une tasse de thé et lui dit :
— Julia ? Tu sais ce que j’aimerais ? — Dis-moi chérie… — Voilà, ça se passe toujours chez moi, mais ce que j’aimerais, c’est que Brutus te monte et te remplisse dans le lit que tu partages avec ton mari. Comme ça, quand tu regarderas ton époux dormir comme un bienheureux, tu te souviendras des flots de sperme brûlants que mon chien a déversé en toi. Qu’en penses-tu ?
Julia fut aussitôt séduite, elle répondit :
— Super idée, en plus Paul, est en voyage d’affaire toute la semaine et Emilie est à la fac. Prends Brutus en laisse, on y va !
Ni une, ni deux, elle se leva, enfila sa veste rouge entrainant Claire et Brutus dans son sillage. Le trio parcourût les 300 mètres qui séparaient les logis des deux femmes. La demeure de Paul et Julia faisait l’angle de la rue. Ils vivaient avec leur fille unique, Emilie.C’était une très jolie jeune femme de 19 ans. D’aucuns auraient dits que c’était « la fille de sa mère ». Elle était grande et brune, une poitrine opulente sur un corps jeune et mince, de longues jambes surmontées de petites fesses fermes. Le bleu de ses yeux tranchait avec le noir de geai de sa longue chevelure. Pour tout dire, elle croulait sous les avances des jeunes hommes du voisinage et de ses amis de fac sans ressentir d’attraction réciproque. En fait, Emilie avait un amant d’âge mûr d’une cinquantaine d’années et elle appréciait son savoir-faire et son expérience. Il la satisfaisait pleinement, aussi ne voyait-elle pas l’intérêt de s’aventurer avec de petits jeunes, du moins, pour l’instant. Evidemment, Julia n’était pas au courant des penchants de sa fille et pensait naïvement que lorsqu’ elle rentrait un peu tard, c’était par ce qu’elle avait passé la soirée avec un ou une camarade de l’université.
Lorsque les deux amies arrivèrent au niveau du portail pour entrer dans la propriété de Julia, Brutus se mis soudain à tirer sur son collier, refusant d’entrer mais entrainant sa maitresse vers l’angle de la rue. Claire et Julia pensèrent que le chien était sans doute en mal de promenade et décidèrent de le laisser aller un instant. Passé le coin de la rue et 20 mètres plus loin, Brutus stoppa devant une Mercédès classe C grise. Claire jeta un coup d’œil rapide à la voiture qui lui semblait familière.
C’était le véhicule de Marc, son mari !Les deux femmes restèrent interloquées et échangèrent des regards emprunts d’interrogations.Elles restèrent, un long moment, silencieuses puis Julia dit :
— Mais chérie, que fait la voiture de ton mari ici ? Il est au bureau normalement non ?
Claire reprit ses esprits et répondit
— En principe oui !
Julia enserra Claire dans ses bras et lui dit :
— Chérie, tu n’as même pas idée du nombre de salopes qui résident dans ce quartier et je pense que ce salaud te trompe !
Elle ajouta :
— Je crois que notre petite fête va devoir attendre. Ramenons Brutus à la maison et revenons chez moi. De ma fenêtre, j’ai vue plongeante sur sa voiture, nous allons tenter de voir de quelle maison il va sortir.
Claire acquiesça et, à contrecœur, les deux amies firent l’aller-retour pour revenir sans le chien.Julia se saisit de son trousseau de clés mais, en tentant d’ouvrir, elle se rendit compte que la porte d’entrée n’était pas verrouillée. Pourtant, elle aurait juré l’avoir fait en partant…Elle mit un doigt sur ses lèvres pour intimer le silence et ouvrit discrètement la porte. Les deux femmes retirèrent leurs hauts talons pour éviter les claquements sur le parquet massif et s’immiscèrent discrètement dans la maison.
La demeure ancienne était bâtie sur trois niveaux. Le rez-de-chaussée abritait un grand vestibule donnant sur l’escalier, quelques commodités dont la cuisine, une salle de bains et une buanderie. Le premier étage était totalement occupé par un vaste séjour et le salon. Quant au troisième étage, il était dédié aux trois chambres, à un bureau et à la seconde salle de bains.
L’inspection du premier niveau ne donna rien mais très vite les deux amies perçurent distinctement une voix masculine provenant de l’étage. La gorge nouée, elles entreprirent de s’y rendre et montèrent l’escalier à pas de loup. Le premier pallier donnait sur la partie salle à manger. Elles n’y trouvèrent personne mais elles comprirent que l’homme se trouvait plus à gauche dans la partie salon. En outre, elles pouvaient clairement comprendre les termes sans équivoques employés par l’intrus.
— Suce plus fort petite salope.— Tu aimes la bite petite trainée.— Encore un effort et je vais te baiser comme la petite chienne que tu es.— Etc., etc...
Le tout étant ponctué de claquements de mains sur de la chair.Julia était au bord des larmes. Et si Emilie était rentrée plus tôt ? Et si un homme l’avait suivie, s’était introduit dans la maison et abusait d’elle ? Paniquée, elle saisit son téléphone pour appeler les secours mais Claire retint sa main. La voix de l’homme qui lui semblait familière et la voiture de son mari garé à deux pas lui faisaient envisager un tout autre scénario.
Elle passa discrètement la tête au-delà du mur qui la cachait et ce qu’elle vit ne fit que confirmer ses soupçons. Son mari était assis sur le grand sofa, sa chemise bleue ouverte et ses jambes écartées. Son pantalon de costume gisait au pied du canapé et il n’avait même pas pris le temps de retirer ses chaussettes noires.
A genoux entre ses cuisses, Emilie lui prodiguait une fellation gourmande. A la demande de Marc, elle avait revêtu une tenue d’écolière. Un petit chemisier blanc court, une petite cravate tartan rouge assortie à sa mini-jupe relevée sur ses fesses nues, de petites socquettes blanches qui dépassaient légèrement de ses petits souliers noirs vernis. Touche finale, elle avait noué ses longs cheveux noirs en deux tresses que Marc saisissait à pleines mains pour imprimer le rythme souhaité, à la bouche de la jeune fille. De temps en temps, il se penchait en avant pour claquer les fesses offertes afin de motiver d’avantage sa jeune maitresse, s’il en était besoin.
Claire comprenait maintenant le désintérêt que lui portait son époux depuis des mois et elle sentait monter en elle une colère froide. Elle recula pour reprendre sa respiration et pour céder sa place à Julia qui resta également stupéfaite. Claire tira son amie vers elle et lui chuchota
— Crois-moi on va le leur faire payer !
Julia acquiesça silencieusement. Visiblement, les deux amies faisaient l’impasse sur leurs propres turpitudes et trahisons et étaient prêtes à fomenter une vengeance à la hauteur de leur déception. Mais, avant tout, elles devaient voir jusqu’où les deux amants iraient, ou plutôt comment.
Marc releva la jeune fille et l’attira à lui. Son pénis bandé et luisant de salive pointait vers le plafond. Visiblement rompue aux désirs de son amant, Emilie le chevaucha tout en l’embrassant profondément. Les mains de Marc agrippaient maintenant fermement les jolies fesses de la jeune fille, l’aidant à aller et venir le long de son sexe glissant. Bientôt, l’homme bascula Emilie sur le dos, ses longues jambes tendues largement ouvertes, puis il s’immisça entre les cuisses de sa jeune maitresse et la pénétra violement. Marc était un amant très endurant. Emilie écartait maintenant ses fesses en grand et à chaque coup de boutoir, les grosses couilles pendantes du quinquagénaire fouettaient le petit anus de l’étudiante. L’homme accéléra en rythme et en profondeur portant Emile vers l’extase. Au moment propice il dit :
— Tu vas jouir petite putain !
Emilie se rendit dans un râle d’extase et dit :
— Oh ouiiii mon chéri, tu m’as encore fait jouir trop fort. Baise-moi encore, baise-moi plus fort que tu ne baises ta femme !
Ce à quoi Marc répondit :
— Je ne baise presque plus cette vielle peau mais je n’en ai pas fini avec la belle petite chatte, ni avec ton petit cul.
Claire était au summum de l’outrance. Elle rougissait de colère et si elle avait eu un revolver à la place des yeux, les deux amants auraient fini criblés de balles. Julia, quant à elle, n’en croyait ni ses yeux, ni ses oreilles. Chaque fois qu’elle essayait d’avoir une conversation sur le sexe avec sa fille, Emilie éludait le sujet ou faisait sa mijaurée en en disant le minimum, et là, elle se retournait sur le divan, la tête sur le coussin, son joli petit cul bien rehaussé et offert pour son amant en disant :
— Marc, j’ai trop envie que tu m’encules bien fort.
Bien sûr, le mari de claire ne se fit pas prier davantage. Il saisit les fesses d’Emilie à pleines mains pour les écarter et gratifier sa maitresse d’un anulingus agrémenté de copieux crachats avant d’introduire sa verge turgescente dans son petit orifice désormais glissant à souhait.
S’en suivit un long coït anal, d’abord doux et profond, puis plus intense au fur et à mesure que la jeune fille manifestait son plaisir. Emilie quant à elle passait une main sous son ventre plat pour tantôt titiller son clitoris et tantôt saisir et caresser les couilles pendantes de son amant jusqu’à l’instant suprême où elle s’abandonna dans un cri de jouissance.
Quelques instants plus tard elle était à genoux devant le majestueux phallus de son amant, bouche grande ouverte, langue bien tirée recevant et goutant les flots de semence chaude que Marc lui prodiguait généreusement, recouvrant son joli visage et remplissant sa bouche gourmande. Lorsque le geyser de sperme se tarit, elle suça alors goulûment le sexe de l’homme aspirant jusqu’à la dernière goute le délicieux nectar et nettoyant la verge jusqu’à la rendre propre et luisante comme à la première minute.
Les deux amies comprirent qu’il était temps pour elles de s’éclipser, elles redescendirent au rez-de-chaussée, ramassèrent leurs chaussures à talon dans l’entrée et sortirent silencieusement pour reprendre le chemin de la maison de Claire.
En route, les deux femmes fulminaient, elles ruminèrent leur colère chacune de leur côté puis Claire dit :
— Quel immonde salopard, il va me le payer très cher !
Pour ne pas être en reste, Julia dit
— Quelle petite putain ! Elle veut savoir ce qu’est un amant insatiable, on va lui montrer ça !
Claire ayant compris à quoi Julia faisait allusion renchérit :
— Paul ne rentre que samedi je crois. Venez donc diner avec ta salope de fille vendredi soir à la maison ! D’ici là je vais laisser Brutus au repos car il va avoir beaucoup de travail…
(À suivre…)
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