Déjà mardi ! … vendredi soir allait arriver très vite. Claire n’avait pas fermé l’œil de la nuit. Elle avait dû donner le change à son mari, soi-disant rentré tard du « travail » et fatigué comme toujours. Mais maintenant, elle savait pourquoi, et sa rage l’avait empêchée de dormir. Cela dit, elle était bien décidée à rien n’en laisser montrer afin que sa vengeance s’accomplisse. Comme prévu, elle invitât Julia et sa fille pour diner. Quand elle en fit part à Marc, il parut un peu gêné, mais il fit bonne mine et finalement acquiesça en souriant.Brutus, qui avait pris l’habitude de saillir sa maitresse tous les jours était comme un lion en cage, posant sa truffe sur l’entrejambe de sa maitresse à la moindre occasion. Le mercredi, Claire n’y tint plus et malgré la promesse de repos faite à Julia, elle se mise nue sur le carrelage du séjour pour assouvir ses désirs et ceux de son chien adoré. Mais, maintenant, c’était le jour J !Claire explora le contenu de son armoire pour retrouver la combinaison résille, grande ouverte sur les fesses et le sexe, que Marc lui avait offerte il y a quelques années. Elle l’enfila et constata avec plaisir qu’elle lui allait toujours comme un gant. Elle la recouvrit d’un pull mohair vert et d’un jean avant de chausser ses hauts escarpins. Elle descendit au sous-sol pour trouver, dans l’atelier de son mari, un rouleau de scotch fort. Maintenant, tout était prêt.Julia, quant à elle, avait revêtu une combinaison en latex rouge, dotée d’un zip sur l’entrejambe et le postérieur qu’elle prit soin de cacher sous un ample pantalon, un chemiser opaque et des bottes. Elle appela Emilie — Tu viens ma chérie ? nous allons être en retard !— Oui maman, j’arrive ! Emilie se faisait une joie de ce diner chez son amant, espérant être placée près de lui à table pour pouvoir discrètement ouvrir sa braguette et le branler devant son épouse et devant sa propre mère à leur insu, pendant le repas.Juste avant de partir, Julia réalisa qu’elle avait oublié son gode ceinture. Elle l’engouffra dans son sac à main in extrémis. Quelques minutes plus tard, Claire entendit sonner le carillon. Elle ouvrit la porte, donna une chaleureuse accolade à son amie Julia ainsi qu’une petite bise très fugace, à sa fille.Elle dit : — Marc arrive dans 5 minutes. Installez-vous dans le salon.
Effectivement, quelques minutes plus tard, le mari de Claire rentra. Il arriva bientôt dans le salon, embrassa sa femme sur la bouche avant de donner la bise à Julia et sa petite amante de manière très convenue. Claire ne pût s’empêcher de bouillir intérieurement en voyant comment son mari jouait le jeu du bon voisin et ami. Il ne perdait rien pour attendre !S’en suivit un sympathique apéritif, chacun jouant son jeu. Puis d’un copieux et délicieux diner préparé par Claire qui, bien sûr, avait pris soin de placer Emilie et son mari côte à côte afin de les tenter.A la fin du repas, Claire se leva et dit : — Allez un petit dessert avec un verre de vin doux ! Julia se proposa aussitôt de l’aider.Les deux amies s’éclipsèrent. Julia disposa les profiteroles dans les plats pendant que Claire servit le vin.Les deux femmes se défirent alors de leur couche supérieure de vêtements pour rester dans leurs tenues sexy. Pendant ce temps, Emilie avait mis ses plans à exécution et profitait maintenant de l’absence des deux épouses pour masturber vigoureusement le sexe gonflé de Marc tout en lui prodiguant des baisers fougueux. Le petit string en dentelle rose qu’elle portait était, à présent, inondé de ses sécrétions intimes. Les deux amants se demandaient maintenant, quelles excuses ils allaient trouver, pour assouvir leurs désirs coupables après la fin du diner. Mais quand les deux femmes mûres revinrent portant le dessert sur un plateau d’argent et qu’ils virent les deux amies ainsi vêtues, les mâchoires leur en tombèrent. Sans se démonter, Claire et Julia reprirent place à table faisant face aux deux amants ébahis. La stupeur évidente de Marc et Emilie leur procura un indescriptible plaisir intérieur.Claire fixa son époux et dit : — Alors ? tu pensais être le seul à pouvoir me tromper ? Et en plus avec cette petite salope ? Mais ne t’en fais pas, je comprends, et cela ne va pas nous empêcher de passer une bonne soirée. Tu vas même apprendre plein de choses… Sur ce, les deux amies échangèrent de longs baisers mouillés. Claire ouvrit la fermeture éclair pectorale de la combinaison de Julia pour exposer ses seins et les caresser. Julia, quant à elle, pinçait les tétons gonflés de son amie qui débordaient entres les mailles du filet du body, les suçant et les mordillant.Après quelques minutes de démonstration, les femmes se levèrent et contournèrent la table. Claire enleva la jeune fille à Marc pour la guider vers le sofa. Sentant son appréhension, Elle la rassura : — Détends-toi ma belle, tu vas apprendre beaucoup ce soir ! Puis elle lui donna un langoureux baiser tout en glissant sa main dans le string humide de la jeune femme. La jeune étudiante qui avait déjà gouté aux plaisirs lesbiens se laissa faire. Mieux, Elle ouvrait maintenant ses cuisses en grand pour laisser libre accès à l’épouse de son amant.
Toujours assis à la table, Marc était à la fois hagard et excité. Julia entra alors en action, lui fit face et le chevaucha. Elle colla sa bouche contre la sienne avant de le tirer par les cheveux. — Maintenant, tu vas être un bon garçon et te laisser faire ! Marc, malgré son tempérament dominateur, avait souvent fantasmé sur le fait d’être, lui-même, soumis à une femme et Julia ne l’avait jamais laissé indifférent. Instinctivement il répondit : — Oui maitresse ! La femme ouvrit alors la chemise du mari infidèle et descendit sur son cou, son torse et son abdomen jusqu’à parvenir au sexe bandé qui débordait toujours du pantalon ouvert. Elle décida de parfaire encore l’excitation de Marc en y usant sa langue et sa bouche experte. L’homme était aux anges. Une femme sublime lui offrait une fellation pendant que ses yeux étaient rivés sur son épouse et sa jeune maitresse occupées à leurs plaisirs lesbiens sur le canapé. Claire avait, entre temps, libéré Emilie de sa dentelle rose et maintenant, les deux filles s’embrassaient goulument en jouant avec leurs vulves mouillées et leurs clitoris gonflés totalement exposés.Soudain, Julia se redressa et gifla Marc. — Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ? Elle le redressa de sa chaise pour le mettre à nu, puis à genoux. Elle prit le rouleau de scotch que Claire avait mis dans son sac et entoura les chevilles de l’homme avant de lier ses poignets dans le dos. L’homme, qui tout à son excitation, était bien décidé à jouer le jeu de la domination se laissa faire.Julia ouvrit en grand le zip qui maintenait son sexe et ses fesses prisonniers, avant de tirer Marc par la tignasse et le guider entre ses longues jambes afin qu’il lui prodigue un cunnilingus que la brune laissa aller jusqu’à la jouissance. Puis, la belle voisine s’éloigna un instant pour aller revêtir son majestueux gode ceinture et laisser Marc profiter du spectacle de sa chère épouse.Pour Claire, le moment était venu de montrer enfin à son mari et à la petite salope de quoi elle était capable. Elle s’arracha à Emilie et s’approcha de son mari. — Tu n’as pas encore tout vu salopard ! Je n’ai pas qu’une maitresse, j’ai aussi un amant et je vais te le présenter. Elle retourna vers le canapé avant de se mettre au sol, en position de levrette, ses fesses et sa vulve luisante de cyprine, tournées vers son époux.Marc et Emilie s’attendaient maintenant à voir surgir un jeune éphèbe nu et bandé comme un taureau, lorsque Claire appela Brutus. Le chien lubrique ne se fit pas attendre. Il commença à lécher l’anus et le sexe de sa maitresse avant de la saillir bien copieusement jusqu’à éjaculer tout au fond d’elle après dix minutes d’intenses va-et-vient.En voyant le plaisir immense que Claire prenait à se faire remplir par le molosse, de nouveaux horizons s’ouvrirent à Emilie. Ce, d’autant plus que Claire l’avait maintenue volontairement au bord de l’orgasme et qu’elle était maintenant totalement surexcitée. Elle se déshabilla totalement pour aller prendre place à côté de sa voisine, réclamant maintenant sa part de plaisir canin.Heureusement Brutus était insatiable et très endurant.
Claire repoussa le chien gentiment avant de lui sucer la langue puis elle le guida derrière Emilie qui n’en attendait pas moins. Le molosse monta la jeune fille immédiatement, la pénétrant de son énorme phallus rouge. A chacun de ses coups de boutoir frénétiques, Emilie émettait des cris de plaisir à en faire trembler les murs. La jeune femme sentait la chaleur incroyable du chien sur ses reins ainsi que le nœud de l’animal gonfler et emprisonner son sexe. Bientôt, Claire la saisit par sa chevelure d’ébène pour lui faire nettoyer le sperme du chien qui débordait de sa vulve, ce que la petite coquine fit avec un plaisir non dissimulé.Marc, quant à lui, restait sans voix. Sa femme d’abord, sa jeune maitresse maintenant, qui serait le prochain ? Julia entra alors en action. Elle gifla Marc à nouveau et lui dit : — Comme ça tu encules ma fille ? A mon tour de te sodomiser ! Malgré sa stupeur, Marc était totalement excité et dans un besoin incommensurable de jouissance. Il répondit : — Oui maitresse, je l’ai mérité ! Julia se plaça derrière l’homme avant de glisser son grand gode noir dans l’anus de Marc et de le baiser sans ménagement.C’était une première pour Marc, mais passées les premières douleurs, il prit un réel plaisir. Son sexe était bandé et dur comme jamais d’autant plus qu’il voyait maintenant la vulve de sa jeune maitresse déborder des éjaculations multiples de Brutus. Quand le chien fut rassasié, Claire incita Emilie à offrir son sexe ruisselant de semence canine à son amant pendant que sa mère le prenait de plus en plus fort et de plus en plus profond.Marc était dans un tel état qu’il nettoya le sexe de sa jeune amante avec délectation et se prit même à aimer le délicieux cocktail de cyprine et de sperme canin.Pendant l’intervalle, Claire n’avait pas perdu son temps. Elle avait revêtu l’une des ceintures coquines quelle gardait cachées de son mari et qu’elle réservait à Julia d’habitude. Elle en choisit une, très réaliste, dotée d’un appendice d’une bonne vingtaine de centimètres, bien rougeâtre avec un gros nœud gonflé à sa base. On aurait vraiment pu le croire moulé sur le sexe de Brutus. Elle s’allongeât sur le sofa, le sexe factice bien pointé vers le ciel et convoqua Emilie : — Viens t’empaler petite pute ! Bien qu’elle eût jouit de multiples fois, la jeune fille était toujours sujette à un insatiable désir. Elle donna à sa voisine un long baiser humide, avant de la chevaucher et de laisser pénétrer le beau phallus dans sa petite chatte glissante. A chaque va-et-vient, elle sentait le faux nœud écarter sa vulve puis la libérer. Elle était encore au bord de l’orgasme lorsqu’elle sentit sa chevelure tirée fortement en arrière et qu’elle entendit la voix de sa mère : — Tu es aussi salope que ta maman, et tu caches aussi bien ton jeu ! Nous allons voir de quoi tu es capable.
Julia écarta alors en grand les fesses de sa fille chérie pour introduire son magnifique gode, bien lubrifié, tout au fond du petit trou sombre. Les deux femmes mûres se déchainaient maintenant à grands coups de reins, entrant et sortant, chacune leur tour leurs majestueux phallus des orifices sensibles d’Emilie jusqu’à ce que la belle étudiante s’abandonne dans un cri de plaisir.Marc regarda le spectacle avec avidité et lubricité. Néanmoins, il fulminait intérieurement d’être ainsi attaché car son sexe était maintenant si dur qu’il en était douloureux.Quand la jouissance de la jeune fille retomba, les femmes coupèrent les liens de Marc.Claire poussa son époux sur le sofa, son sexe pointé vers le plafond.Les trois femmes se mirent alors à genoux pour lécher et sucer le sexe de l’infidèle avant de partager ses flots de sperme.Ainsi finit la soirée, avec quatre amants repus de sexe. Enfin, presque… Julia renvoya sa fille à la maison et Marc fut cantonné sur le divan pour la nuit. Les deux amies s’enfermèrent la chambre à coucher avec Brutus pour finir leur nuit de débauche et savourer leur vengeance.Maintenant, Marc a bien compris la leçon et s’est découvert, au passage, un nouveau gout pour la sodomie. Bien sûr, il continue à baiser Emilie mais en en informant les deux femmes mûres. Claire et Julia l’invitent régulièrement pour des parties à quatre avec Brutus où les deux femmes profitent du chien et où elles font jouir Marc en le godant chacune à leur tour. Quant à Emilie, elle vient, dès qu’elle le peut, chez Claire profiter de Brutus et des deux amies, se faisant prendre en double et remplir de sperme animal, entre autres perversions …En somme…tout est bien qui finit bien… Mais l’histoire ne s’arrête pas là !
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