Je m’appelle Pierre et j’ai 45 ans, mon épouse Marie a 40 ans, nous avons 3 enfants, Marc 22 ans, Audrey 20 ans et demi et Rémy 19 ans.J’avais 23 ans, quand j’ai rencontré Marie, elle en avait 18, elle était belle (elle l’est toujours). Je suis tombé amoureux d’elle de suite et le jour même, nous avons fait l’amour, pour elle c’était la première fois et pourtant, elle mouillait très fort et je me suis mis en elle sans problème après un petit cri à la rupture de l’hymen, elle a jouit comme jamais j’avais fait jouir une autre femme, puis elle m’a donné son petit trou dans lequel, après avoir mis un peu de gel, je suis entré sans problème.Nous faisions l’amour toute la journée dans tous les endroits possibles et à chaque fois que nous étions seuls, et quand nous l’étions pas, je bandais en la regardant et nous trouvions toujours un moyen pour assouvir nos envies.Ce qui devait arriver, arriva, elle tomba enceinte et trois mois après, nous étions mariés. Nous baisons nuits et jours, elle se masturbait seule et tenait à ce que je le fasse devant elle et aimait que je jouisse sur ses seins ou sur son visage. Après le 8ème mois de grossesse, elle me faisait des fellations et avalait tout mon sperme ou je la sodomisais, je lui caressais le clitoris afin qu’elle jouisse elle aussi et à chaque fois, elle envoyait un jet de cyprine sur mes mains ou quand je la léchais sur mon visage.Marie accoucha de notre premier garçon Marc, et dès qu’elle fut sortit de la clinique, elle voulu faire l’amour sans attendre. La plupart du temps, je me retirais pour qu’elle ne retombe pas enceinte de suite, j’enfilais ma queue en elle et elle commençait à jouir, souvent je l’introduisais dans son cul et jouissais dans ses fesses.Nos trois enfants sont arrivés coup sur coup et nous décidons qu’elle porterait un stérilet pour ne plus être enceinte.Faire l’amour sans risque, cela a décuplé ses ardeurs et tous les prétextes étaient bons pour se faire baiser.Quand notre dernier fils eut 3 ans, Marie décida de travailler et se trouva un emploi dans une petite imprimerie de notre quartier. Chez son patron, il y avait 3 employés du même âge qu’elle, et avec ses collègues cela se passait bien.Comme Marie mouillait sans arrêt, elle décida d’aller travailler sans mettre de culotte et installer sur sa chaise une serviette pour ne pas mouiller celle-ci. Quand l’envie était trop forte, elle partait aux toilettes pour se masturber et se calmer, puis elle reprenait son travail comme ci rien ne s’était passé. Le soir, à son retour, elle me racontait sa journée de travail sans oublier ses petites visites aux toilettes, cela me faisais bander et je ne pouvais m’empêcher de la baiser ou de l’enculer.Un jour, elle était aux toilettes et dans la précipitation, elle ne ferma pas la porte, et un de ses collègues l’aperçut entrain de se masturber, sans se faire voir, il sortit sa queue et se branla à son tour. Son collègue s’en vanta auprès des autres et chacun leur tour allait la mater et en profitait pour se faire un « petit plaisir ».Un après midi, Marie a vu son collègue se masturber en la regardant, elle lui demanda de s’approcher et tout en se masturbant d’une main, le branla de l’autre.Le soir elle me raconte sa journée et me dit que cela la beaucoup excité de branler son collègue et que demain elle pensait branler les autres.Je lui permis de les branler et de les sucer, mais si elle voulait baisser avec eux, il faudra qu’ils mettent des capotes, que j’irais lui en chercher demain, afin qu’elle puisse faire ce qu’elle veut.Je lui achète une boite de préservatifs et le soir, alors qu’elle me raconte comment elle les a sucé et bien montés, et que dès demain, elle baisera les trois dans la journée. Je bandais très fort et sortis ma queue pour me branler, elle prit mon sexe dans sa bouche et enfila ma bite toute entière, je me tournais afin de pouvoir lui mettre la langue dans sa chatte et elle m’envoyât un jet de cyprine en pleine figure et je lui déversais mon foutre au fond de sa gorge et elle.Puis je pris son petit trou en enfonçant très fort ma queue en elle et elle en profita pour s’introduire son énorme gode dans la chatte. Elle jouissait très fort en me disant qu’elle voudrait une autre queue dans sa bouche.Le lendemain soir, elle me raconte sa journée de travail et je compte les préservatifs restant, je m’aperçois qu’elle a baisé six fois dans la journée et elle me dit que dans sa tète, c’est avec moi qu’elle le faisait et que c’est seulement son corps qui en avait besoin. Comme tous les soirs nous nous fîmes l’amour.Un soir, elle me demande d’inviter à diner ses collègues, qu’elle aimerait baiser les 3 à la fois et que je pourrais participer si je veux. Après quelques réticences, et devant ses demandes répétées, j’y consens et le rendez-vous est pris pour le samedi soir.Le samedi arriva, nous faisions manger les enfants de bonne heure et vers 19h 30, ils vont se coucher.A 20 heures, nos trois amis arrivent et les présentations sont vite faites. Nous prenons l’apéritif et Marie commence à sortir la queue de son voisin de droite, qui bandait déjà et sans attendre, la prit dans sa bouche. Ses deux autres collègues sortirent leurs membres et commencèrent à se masturber et la bouche de Marie passa d’une bite à l’autre. De mon coté, je me branlais en la voyant excitée par ces grosses queues.Après qu’ils aient joui dans sa bouche, nous passions à table et le diner se déroulât normalement les bites de nos amis à l’air et Marie les branlait à tour de rôle.Marie invita ses collègues à venir la retrouver dans la chambre, nous nous déshabillâmes, et je la laissais faire ce qu’elle voulut avec ses amants elle gouta aux trois bites par tous ses trous et jouissait une bonne douzaine de fois, Les grosses bites, beaucoup plus grosses que la mienne, la baisaient comme jamais elle a été baisé devant moi et leurs foutres coulaient de tous ses trous, sauf de la bouche, puisqu’elle avalait tout. Je me masturbais sur ses seins et ayant jouit, elle ramassât ma semence avec ses doigts et lécha ceux-ci pour les nettoyer. Je servi à boire à ses amants afin qu’ils se reposent un peu, pour à nouveau baiser mon épouse comme elle désira.Vers 3 heures du matin, et après l’avoir comblée, ils prirent congé en nous promettant de revenir.Marie voulu une dernière fois faire l’amour avant de nous endormir jusqu’au matin.Quelques mois après, alors que ses collègues venaient nous voir de temps en temps, j’accompagnais Marie à son travail, et son patron m’invita à prendre un café, il me dit qu’il appréciait beaucoup son travail et que c’était son meilleur employé, mais qu’elle avait un petit problème, mais que celui-ci ne nuisait en rien à ses taches professionnelle, je lui coupais la parole pour lui dire que je le connaissais et que malgré les traitements pour la soigner, cela recommençait de plus bel après l’arrêt de ceux-ci, et si j’en crois les médecins cela lui passera quand elle aura trouvé le bon amant… et pour le moment, le seul moyen de la calmer, c’est celui de la faire jouir.Les années passèrent, un jour, Marie me dit que Marc se masturbe la nuit et qu’elle trouve des taches dans son pyjama, je lui réponds que cela est normal et que ça passera quand Marc aura une petite copine.En principe, je ne travaillais pas le Samedi, mais quelquefois exceptionnellement le matin, quand je rentre vers 12heures 30, Je trouve Marie entrain de faire une fellation à son fils, je les observe sans faire de bruit et ne dis rien à Marie.Le soir, Marie monte se coucher la première, souvent suivi de Marc, je les laisses et je sais qu’ils baisent ensemble. Un soir, Audrey les suit à 10 ou 15 minutes, elle doit avoir deviné les rapports de sa mère et de son frère, et sans faire de bruit, quelques minutes après je suis ma fille et du bout du couloir, je vois Audrey regarder sa mère et son frère faire l’amour et tout en se masturbant, elle ne quitte pas des yeux le spectacle. J’arrive derrière elle et lui saisi les seins de mes deux mains, sans rien dire, elle continue à se masturber et une de mes mains lui caresse les fesses. A mon grand étonnement, elle écarte les jambes pour laisser passer ma main et prendre la place de la sienne dans sa chatte.Elle était toute trempée, comme sa mère au même âge et je compris que nous avions deux nymphomanes à la maison. Je pousse Audrey dans la chambre de Marc et sans aucune résistance, s’allonge près de son frère et de sa mère. Mes doigts vont dans sa chatte, et elle ne dit de ne pas aller trop loin car elle est encore vierge.Je lui retire sa nuisette et demande à Marc de lui embrasser les seins et lui sucer la chatte, moi de mon coté, je m’occupe de Marie et je la sodomise sans retenue et lui enfonce ma bite au plus profond d’elle.Marc suce Audrey et celle-ci prend la queue de Marc dans sa bouche et le suce jusqu’à ce qu’il lui jouisse et elle avala ton son sperme. Marc pris une bonne giclée de cyprine sur son visage, puis écartant les jambes de sa sœur, s’enfonça en elle et la dépucela.Audrey savait, depuis quelques temps que sa mère et son frère faisaient l’amour ensemble et n’avait qu’une hâte c’est d’y participer.Maintenant, c’est deux nymphomanes qu’il va falloir satisfaire tous les soirs.Audrey et marie découvrirent très vite un nouveau jeu, de se faire l’amour entre femmes ce qui déchaina chez elles un immense plaisir inconnu que nous observions avec Marc d’un œil satisfait.Naturellement Rémy, le plus jeune, vint de lui même partager nos jeux et nous n’étions pas trop de trois pour satisfaire nos deux femmes.Un soir, après nos ébats, alors que Marie et moi étions seuls dans notre chambre, elle me dit : »Ce soir, pour la première fois je t’ai trompé, avec Audrey, j’ai vraiment fait l’amour sans penser à toi, alors que toutes les autres fois, et peu importe l’amant, c’est avec toi que je le faisais. »Pour moi, aussi j’ai ressenti cette impression en faisant l’amour à ma fille et Marie me dit : » je ne veux plus avoir d’autre amant que vous mes chéris ».Enfin, Marie avait trouvé son « amant » et la vie de « famille » repris son cours normal aux grands désespoirs de ses collègues, mais ceux-ci, oublièrent vite Marie en épousant trois jolies filles.
