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Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe

Chapitre 3

De découvertes en découvertes

Erotique
Résumé: Après notre rencontre, Zoé et moi n’avons pas tardé à succomber à la passion des sens. Celle-ci s’est exacerbée et nous nous livrons toujours plus l’un à l’autre. Nous venons de passer des heures à nous découvrir sensuellement et une douche s’impose. Chacun son tour, nous y passons, car ma douche est minimaliste, mais on prend plaisir à regarder l’autre au travers de la porte vitrée.
L’eau nous a revigorés et pendant que Zoé sort de son sac son nécessaire, je me rhabille. Une fois prête à son tour, ce qui est allé très vite, on se sustente avant de se mettre d’accord pour visiter la nouvelle exposition sur les trésors archéologiques helléniques. Zoé et moi désirions y aller, mais n’imaginions pas que finalement, nous serions en couple pour la voir.
Voir une expo en couple... Je me repasse les mots en boucle dans ma tête, ayant du mal à y croire. Ce n’est clairement pas ce que j’avais l’habitude de faire et je me rends compte que je n’avais jamais vraiment rencontré de femme aussi intéressante depuis bien longtemps. En fait, les filles dites intelligentes que je rencontrais ne voyaient que mon apparence sans chercher au-delà, Zoé, étant la première à voir au-delà. Une conversation dans la demi-pénombre d’une salle des fêtes, l’envie de changer, d’aller voir au-delà des apparences a fait la différence. Pour chacun, puisque moi aussi j’ai vu l’intelligence, l’intensité de son regard et découvert ensuite toutes les superbes promesses de son corps, et elle a trouvé que je n’étais pas qu’un beau gosse sans cerveau.
Inutile de dire qu’on a passé des heures à visiter, d’abord ce n’est pas tous les jours qu’on peut voir cela et ensuite pouvoir échanger sur l’art premier des Cyclades. Le dépouillement des statues, le grain de la pierre m’ont toujours attiré. C’est d’une clarté, d’une netteté incroyable. L’âge des pièces, principalement des visages stylisés, varie entre 2 et 3000 ans ou un peu plus et on se sent si petit...
Un petit en-cas avalé sur la terrasse qui surplombe le musée avant de finir la visite et on se retrouve dans le petit parc botanique jouxtant le musée. Main dans la main, on ne sent pas la température un peu fraîche et on s’arrête régulièrement pour échanger des baisers enfiévrés.
C’est aussi le moment d’échanger sur nos vies, nos occupations, nos passions... Ce sont ces moments qui forgent une relation, qui en sont le socle sur lequel le reste se construit. Au fur et à mesure, la journée se passe et on s’aperçoit qu’on a fait pas mal de kilomètres en marchant.
Comme nous sommes proches de chez moi, nous nous y rendons après avoir acquis quelques sushis pour le repas du soir. Une fois arrivés, je prépare rapidement la table pendant qu’elle s’attarde sur ma bibliothèque, s’amusant des nombreuses similitudes et toute prête à attaquer certains ouvrages qu’elle n’a pas ou recherchait. Le repas fini, une toilette faite, on discute à nouveau, allongés, enlacés, collés sur mon lit.
La différence c’est que nous sommes nus, mais on ne cherche pas à aller vite, l’excitation monte doucement par des frôlements, des caresses " accidentelles ", c’est tout en douceur, en délicatesse qu’on se retrouve après cette longue journée. On s’embrasse un peu, beaucoup, passionnément...
Nos mains parcourent les courbes de l’autre suivant le même schéma, et au bout d’un moment, on n’arrive plus à rester simplement détendus, et nos baisers, nos caresses deviennent plus intimes, plus centrés...
Les dialogues aussi se font plus imagés, plus orientés, plus crus tout simplement. Sur ma cuisse, je sens l’humidité de sa fourche, contre son ventre, elle sent mon sexe érigé, ses tétons sont bien durs dans ma bouche et nos mains palpent sans relâche le corps aimé de l’autre.
Je m’allonge sur le dos et elle vient lentement s’asseoir sur moi, s’offrant à mes yeux qui ne se lassent pas de la regarder, à mes mains qui jouent avec ses seins lourds.Trempée, elle aspire ma queue en elle et ses yeux fermés, son air extatique quand je suis totalement entré en elle montrant l’intensité de son plaisir.Elle rouvre les yeux, les fixe sur les miens, et je bouge doucement par de touts petits coups de reins, elle prend ses seins en coupe comme pour m’en faire une offrande, et sans quitter son regard, je joue fort avec les pointes de plus en rouges. Elle gémit de plaisir, empalée jusqu’à la garde par mon sexe tendu comme un arc, elle me serre en elle et c’est délicieux.
Les yeux toujours dans les yeux, elle me dit - Plus fort. Et je manipule sans douceur ses tétons qui sont comme de petits cailloux tant elle est excitée. Sa bouche est ouverte, elle halète, et sa mouille qui coule sur ma queue m’excite de plus en plus, j’ai envie de lui lécher les seins, mais je ne veux pas briser le contact. De support, ses mains sont passées à se caresser les seins et elle sourit en me voyant et surtout en me sentant donner des coups de reins plus puissants.
— Putain, tu m’excites à te toucher les seins.— C’est fait pour, je te sens triquer encore plus.— Je te sens couler quand je tire tes seins.— J’adore, c’est si bon de me lâcher avec toi, de me lâcher enfin.
Les mots se transforment ensuite en gémissements de plus en plus forts, la sueur coule sur mon front et ses cheveux sont collés par la sueur, j’ai l’impression que cela ne va jamais s’arrêter, je me sens prêt à durer, le sexe dur comme de la pierre, j’ai juste envie de la voir jouir, de la voir prendre son pied, ses quelques mots me donnent envie de lui faire lâcher prise ; et la voir échevelée, happant l’air disant de plus en fort: - c’est bon, c’est bon...
Elle bouge la tête dans tous les sens (enfin, ce n’est pas l’exorciste non plus hein !), je la vois monter, monter... Focalisé sur son plaisir, je ne pense plus à rien d’autre, je veux juste la voir jouir ; intensément.
C’est dans un vrai cri libérateur qu’elle jouit, tremblant de tous ses membres, si j’en juge par son attitude, son orgasme dure longtemps et je me régale de ce spectacle, m’en remplissant les mirettes, m’en gargarisant de souvenirs.
Elle s’écroule sur moi, pantelante de plaisir et après avoir retrouvé son souffle, me donne un baiser plein de douceur qui contraste avec notre état un peu sauvage.Elle se lève et vient se pelotonner à côté de moi, me souriant et murmurant des mots tendres.
Puis, elle avise mon sexe toujours aussi tendu, sourit de plus belle et me murmure que c’est maintenant à elle de s’amuser. Elle descend, s’allonge, se cale entre mes jambes écartées, m’offrant une vision fabuleusement sexy, visage vers moi, langue sortie dégustant ma queue tendue ; j’avais énormément apprécié sa précédente fellation, mais là, c’est encore au-delà, la façon dont elle m’embouche, me lèche, me pique de baisers et de coups de langue pointue est absolument hallucinante.Elle reprend son souffle et me dit :
— Tu m’inspires, j’adore vraiment te sucer.— Tu es véritablement formidable, c’est dingue comme tu m’excites.— J’adore ton sexe, son goût mélangé avec le mien, ça m’affole. J’ai tellement l’impression d’être en harmonie avec toi. Jamais j’ai eu envie, autant envie de faire cela.— Jamais je n’ai ressenti autant, hmmmm !
Car évidemment, elle ne s’est pas arrêtée d’agir pendant qu’elle me parlait. Caressant mes bourses, flattant mon sexe en érection du bout de ses doigts, embouchant le gland, aspirant à s’en creuser les joues puis relâchant la pression et descendant loin dans sa bouche.
Je donne à nouveau des coups de reins sans pouvoir m’en empêcher, tant je suis excité, tant elle sait y faire. Surtout, je ressens son envie, son plaisir de me dispenser cette action si intime.Désormais, c’est moi qui ne peux plus m’arrêter de gémir, qui laisse mes doigts se crisper sur les draps, tellement c’est bon.Je parviens à murmurer que je vais jouir, mais elle relève juste les yeux et continue à me prendre en bouche. Ce regard sensuel, voire pervers, c’en est trop et je jouis à mon tour. Je me sens aspiré, me vide par saccade dans sa bouche chaude et accueillante, et c’est elle maintenant qui me voit tétanisé tout le temps qu’elle m’avale. J’ai l’impression de ne plus m’arrêter, juste envahi par sa chaleur, sa façon de me prendre.
Enfin, elle se redresse et me sourit, puis vient se blottir à nouveau contre moi et me fait cet aveu si plein d’amour et de complicité.
— Je n’étais jamais allée jusqu’au bout, mais là, j’en avais tellement envie, tu as vraiment bon goût mon chéri.
N’importe quel homme a automatiquement plus 1000 points d’ego en entendant cela et je n’échappe pas à la règle ! Je la serre donc encore plus fort contre moi avant de lui avouer à mon tour que jamais je n’ai eu autant de plaisir. Elle rosit délicieusement et on se détend l’un contre l’autre en s’échangeant des confidences qui n’en déplaise aux lecteurs, n’appartiennent qu’à nous...A suivre...
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