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Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe

Chapitre 4

Et une fois chez elle...

Erotique
Résumé : Après notre rencontre, Zoé et moi n’avons pas tardé à succomber à la passion des sens. Au fur et à mesure de nos sorties, on se découvre, on se confie nos vies, nos envies... et on continue à se découvrir.
Les jours se passent et se ressemblent et nous en sommes fort aises. En effet, notre entente est toujours aussi forte, nos envies similaires et, même si nous savons bien que dans chaque couple, le début est souvent intense, voire idyllique, nous sentons que cette fois c’est différent (oui là aussi, beaucoup se le disent), mais zut, on le sent tout simplement !
On découvre qu’on aime les mêmes films, les musées, qu’on aimerait visiter les mêmes sites, ou encore qu’on a une affection pour les nanars, les sharknados, les zor l’invincible, ninjas force et autres snow sharks...
Si on n’abuse pas de cela, car à forte dose des lésions peuvent apparaître, nous nous découvrons toujours plus les joutes amoureuses et les moments câlins et sensuels.
Ainsi, outre son appartement, j’ai découvert d’autres facettes de sa sexualité...
Un soir après une longue journée de travail, elle m’a invité à passer chez elle. Les circonstances avaient fait que nous étions passés chez moi en premier et maintenant elle avait décidé de me faire découvrir son logis, son intérieur, ce qui était une nouvelle étape,
Elle habitait au dernier étage d’un immeuble récent, un peu en périphérie de la ville. Ce qui m’avait frappé, en plus de la clarté et de la taille de son logis avec notamment une décoration faite de superbes peintures abstraites et très colorées signées d’un simple Z stylisé qui m’ouvrait des pistes de discussion pour l’avenir, était une vue en hauteur sur la cité et surtout sans vis-à-vis...
Nous nous étions installés sur son balcon pour prendre une entrée tout en discutant de la journée. Je lui avais raconté les petites anecdotes d’un shooting et les petites demandes futiles d’apprenties starlettes qui se pensaient déjà au firmament. Les rires, les petits gestes tendres, la vue sur les lumières de la ville, le fait de prendre notre temps tout en sachant comment la soirée risque de se terminer... Tout concourt à créer une ambiance détendue et sensuelle.
Une fois, tout est rangé, elle met une musique douce, invitation délicieuse à entamer un slow long et sensuel. Collés l’un contre l’autre, tête sur l’épaule de l’autre, souffles mêlés, respirations qui s’accordent, baisers échangés de temps en temps en ondulant au rythme d’une compilation de titres plus doux les uns que les autres, mains qui caressent les épaules, le bas du dos, les fesses...
De temps en temps, un vêtement tombe (et oui, l’absence de vis-à-vis...), la température agréable, les portes du balcon ouvertes, un petit air qui souffle sur nos corps toujours plus nus, la danse devient plus sensuelle, plus caressante...
Elle me guide lentement vers sa chambre, au rythme de la danse, et nous nous débarrassons des derniers vêtements qui nous encombraient. Sa chambre est tout aussi claire que le reste de son intérieur avec cette fois une très très grande toile qui prend quasiment tout le mur en face de son lit.
Je n’ai plus le temps de regarder le reste, car Zoé me pousse en arrière me faisant s’étaler de tout mon long sur le dos. Elle est debout face à moi, nue et me regarde. Quand sa langue passe sur ses lèvres, mon sexe a atteint son complet développement. Et le sourire qui s’ensuit vaut pour moi tout l’or du monde.
Elle vient ensuite s’asseoir sur mes cuisses, positionne ma queue tendue, juste à l’orée de son petit buisson, tout contre son petit bouton, elle agite son bassin, histoire de se caler au mieux et pousse un doux soupir de satisfaction une fois la bonne place bien trouvée.

Je la regarde et sa façon de faire, son naturel, c’est terriblement excitant. Elle se caresse un peu les seins en me regardant puis se penche et me dit sensuellement : " bouffe-moi les pointes chéri".
Je m’exécute aussitôt, aiguillonné par sa demande et surtout par le mot "chéri"... Je la tète, la mordille pendant qu’elle ondule langoureusement sur ma verge dure. Je sens sa mouille doucement couler sur moi et je lui avoue que cela me rend fou.
Elle se redresse à nouveau et saisit mon sexe pour se caresser encore un peu différemment avec.
— Ma chérie, j’ai comme l’impression que tu aimes te masturber...— J’adore, surtout le soir quand il fait bon comme maintenant, soit dans mon mmmhmm lit ou devant un film, mais maintenant, tu es là.— Tu peux continuer à le faire même si je suis ici, j’adorerais te voir te toucher devant un petit porno.— Oh bon sang, oui, tu sens comme je mouille rien qu’à l’idée. Tu es sûr que tu serais mmmhmm euh, jaloux si je me godais devant toi.— Maintenant c’est toi qui sens ma queue se tendre.— Hmmm et c’est vraiment bon. Tu veux toujours voir, mon petit pervers ?— Plus que jamais !
Elle se dégage avec un soupir, ouvre sa table de nuit et en sort un joli gode rose translucide d’apparence assez lisse en silicone.
Un regard partagé, elle le met en bouche, fait quelques va-et-vient dessus avec sa bouche aux lèvres gonflées par l’envie, puis s’installe dos contre l’oreiller, face à moi, les cuisses bien écartées et s’introduit un peu le gode en elle.
— J’adore ton regard mon chéri, ça m’excite.
Je regarde avec un plaisir non dissimulé (pourquoi je le cacherais d’ailleurs !) la façon dont elle en joue, entre un peu, ressort puis l’enfonce plus profondément en elle avec un gémissement qui agit sur moi comme un électrochoc à chaque fois. Elle savoure son plaisir et celui qu’elle lit sur mon visage. Sa main gauche vient caresser la pointe d’un sein ce qui accentue encore ses sensations... et les miennes par ricochet.
Mais je reste pas passif et quand elle ressort son gode pour le mettre en bouche, je lui prends la main et la dirige vers ma bouche en lui disant que moi aussi je veux goûter son miel.
Je lèche le sex-toy comme une glace, histoire de bien déguster, le vice de la situation est ce qui m’excite le plus, et je sais que là, elle va aimer
— Oh putain, mon salaud, tu sais comment m’exciter !
Je ne lui tiens plus la main, et elle ne résiste pas au plaisir de faire entrer et sortir le gode de ma bouche, on se regarde, elle halète et on dirait qu’elle suce avec moi, ce qu’elle finit par faire quand je me penche vers elle.
Enfin, elle remet le gode en elle et se pistonne sa petite chatte. Je l’ai tirée vers le bas du lit et ainsi je peux lui lécher son bouton pendant qu’elle s’enfonce le gode dans son intimité dégoulinante. De temps en temps, le regard toujours aussi fixé sur moi, elle ressort le gode et me le donne à sucer avant de le replonger en elle.
Ses commentaires deviennent de plus en plus crus passant de : "Oh ! tu m’excites !" à : "Elle te plaît ma mouille ?" puis : "lèche le gode"... avant de terminer par : "Bouffe ma queue mon salaud".
Je ne suis pas en reste, car avec une main je pétris presque le sein dont elle ne pouvait s’occuper et l’autre caresse ses fesses non que je ne passe parfois pas un petit frôlement sur son anneau. Comme elle semble apprécier, car : " Oh oui, touche mon cul" me semble positif, j’introduis un index humide de ses sécrétions dans son petit trou ce qui déclenche, conjugué à tout le reste, un orgasme dévastateur, tant elle se tord de plaisir sur le lit.
Je reste à la regarder vibrer, se calmer puis redescendre doucement de son petit nuage. Elle reste affalée un bon moment avant de reprendre vie et de me sourire en voyant ma queue dressée d’où perlent des gouttes de plaisirs :
— Effectivement, je vois que t’es excité mon chéri.— De te voir prendre ton pied, ça m’a... waouh quoi.— Et moi de te voir te lâcher pour m’exciter, j’ai adoré.— Et je sens que ce n’est que le début, car j’ai comme l’impression que tu dois avoir une jolie collection de jouets.— Tu sais quand on est seule, on doit s’amuser...— Tu n’es plus seule maintenant et j’espère bien que tu continueras à t’amuser.— J’en ai bien l’intention. Et en parlant d’intention, j’ai bien celle de te vider les couilles soufflées hein ? — Tu veux que je me branle devant toi ?— Pas tout à fait, OK, je suis en plein trip de voyeuse, mais je veux aussi agir et te goûter...
Elle s’avance vers moi, les seins lourds et arrogants, et je comprends que je vais avoir droit à une fête des sens quand elle m’empoigne la queue, la lèche pour selon ses termes savourer nos goûts et enfin, me prend entre ses seins opulents.
Mon sexe tendu, humide de salive coulisse divinement entre ses seins. Je suis debout face à elle, me tenant aux montants hauts du lit et assise devant moi, elle m’offre une branlette espagnole de folie.
De temps en temps, elle me prend en bouche et puis me reprend entre ses deux globes jumeaux, puis le gland dépasse et elle donne quelques petits coups de langue dessus. C’est à mon tour de haleter de plus en plus et lâcher des gémissements. Jamais une cravate de notaire ne m’a été faite avec tant de passions, de sensations, d’envies.
Je monte toujours plus dans les tours et elle le sent à mes frémissements, à mes crispations musculaires.
Cette petite cochonne ne se prive pas, entre deux succions et coups de langue sur ma queue tendue, d’y aller de ses commentaires excitants :
— Hmm, je te sens bien tendu mon chéri, ça te plaît comme sensations, oh que ça te plaît de te faire branler avec mes gros nibards de cochonne.— Oui, oh putain oui !— Bon sang, avec toi je vais enfin pouvoir réaliser toutes mes envies, allez ! Grimpe mon salaud.— Putain, qu’est-ce que tu m’excites ma chérie !— Elle est assez cochonne ta chérie, elle te branle bien.
Elle en rajoute encore avec des succions intenses, les joues creusées, des fils de salive aux lèvres, le regard halluciné. Dieu qu’elle est belle ainsi.
Je donne des coups de reins, bien incapable de me maîtriser devant tant de passion.
— Mon chéri va craquer, il va bientôt lâcher son sperme hein ?— Je suis au bord ma cochonne.
Ma queue finit de plus en plus souvent sur sa langue, je me sens vibrer de partout, mes mains sont comme tétanisées sur les colonnes du lit :
— Je vais, je vais partir, fais-je, en voulant la prévenir, car je ne sais pas si.— Lâche-toi, salaud, donne ton foutre, gicle-moi dessus.— Sur, sur ? n’osant pas y croire.— Lâche ton foutre sur mon visage, vas-y, j’ai envie de ton foutre putain.
C’en est trop et devant son dernier cri du cœur, je jouis en criant
Mon premier jet dans ce sursaut lui macule le front et les cheveux d’une traînée blanche qui la surprend un peu, le second lui tombe sur la joue et elle me regarde, totalement extatique, quand le troisième décore sa bouche entrouverte et que le dernier s’écrase sur l’autre joue et le cou.
Elle frotte ma queue sur son visage, folle de désir et de sexe, léchant, happant mon plaisir avec sa langue tendue. Son autre main a de nouveau et sans doute depuis un moment disparu entre ses cuisses et elle jouit à son tour dans un cri, délicieusement obscène, avec son visage mêlant sueur, salive et surtout sperme.
Elle reste assise, les seins se soulevant rapidement, respiration saccadée, elle se pourlèche les lèvres pendant que le reste de ma semence coule doucement dans son cou, vers ses seins encore tendus de plaisir.
C’est quasiment en chœur qu’on lâche tous les deux un : "Quel pied !". Venu de toutes nos sensations, de toutes nos émotions, il résume bien la soirée.
Enfin, elle s’affale en arrière. Son visage adorable, encore constellé des traces de ma jouissance est illuminé par un grand sourire et je viens l’embrasser tendrement avant de m’écrouler à côté d’elle ? Nul besoin de mots pendant un petit moment, nos mains enlacées et nos regards qui ne se quittent pas, disent tout notre amour. Un amour qui se confirme de jour en jour.
Au bout d’un long, très long moment, on revient à une respiration plus calme et je lui confie alors n’avoir jamais vécu de moments aussi intenses. Elle m’avoue la même chose et, comme je redis mon envie de revivre cela, elle rit et me désigne le contenu du grand tiroir de sa table de chevet :
— Voilà qui nous ouvre de longues perspectives d’amusement, dis-je en contemplant le célèbre petit canard vibrant, deux godes vibrants de couleur dorée, des boules de geisha, un petit gode fin argenté et encore deux godes avec chacun un petit gode supplémentaire pour une double pénétration.
Elle m’observe et me murmure : "- Oh oui, de longues séances de plaisir en perspective".
On s’embrasse encore puis elle me conduit à sa salle de bains. Et là, en entrant, je découvre que la mienne est vraiment, mais alors vraiment ridicule à côté de la sienne.
On contemple tous les deux la grande douche à l’italienne qui pourra très facilement nous accueillir et je lâche : "Et les perspectives se rapprochent à grands pas... »
— A grands jets passants plutôt, répond-elle en riant et m’entraînant dans la salle d’eau.
A suivre...
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