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Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe

Chapitre 8

Apéritif avec sa tante

Avec plusieurs femmes
Résumé : Zoé m’a invité chez elle, et depuis, nous procédons à de nombreux exercices physiques...Sa tante vient de nous surprendre en pleine action.Plusieurs choses me viennent à l’esprit alors que Zoé vient de lancer " Bonjour Tata" et se lève pour la rejoindre d’une façon toute naturelle alors qu’elle vient de me faire jouir sur son visage et en présente évidemment toutes les traces.D’abord, le naturel de Zoé devant cette situation qui n’est pas très "conventionnelle" disons alors qu’elle qui ne semble pas stressée pour deux sous.Ensuite, l’apparence de sa tante Sophie que j’imaginais comme une personne, plus âgée, très choquée alors qu’elle semble avoir à peine quelques années de plus et apparaît vraiment détendue.
Puis le sourire sincère qu’elle lui fait en lui disant d’un ton joyeux " tu as enfin ramené quelqu’un à la maison !"Enfin, j’ai l’impression d’être dans une caméra cachée d’un genre particulier. Oh, pas tellement parce que nous sommes nus tous les deux et sa tante habillée, mais par le baiser langoureux qu’elles échangent durant une longue minute !
Voyeur involontaire, je ne peux détacher mes yeux du spectacle qu’elles offrent. Fasciné, je les regarde, serrées l’une contre l’autre, enregistrant les détails étonnants ; les mains de la tante Sophie pétrissant les fesses rebondies de Zoé, et ma copine le lui rendant bien, leurs langues jouant un ballet endiablé, les coups de langue sur les joues pour chercher mon tribut de jouissance. Un visage fin et agréable à contempler, un jeans d’un bleu très clair qui moule des jambes minces, le pull noir près du corps qui dévoile sa stature très fine, voire androgyne, contrastant avec de longs cheveux noirs aux reflets bleutés, tant ils sont sombres.
Je ne suis pas choqué, car plus grand-chose ne me fait cet effet, mais je suis pour le moins étonné, n’imaginant vraiment pas leurs retrouvailles ainsi !Enfin, elles s’écartant l’une de l’autre et se dirigent vers moi, toujours assis (et nu) au bord du lit, je me lève pour la saluer, estimant que, vu ce que je viens de voir, il serait hypocrite de jouer les offusqués ou de me vêtir en hâte. Sa tante a un sourire appréciateur et lâche à Zoé un " tu sembles avoir bien choisi ma chérie " qui la fait rosir de plaisir. Zoé me présente et pas décontenancé, je lui lance un "enchanté" détendu. Comme son intention est claire, je lui fais la bise très naturellement.
— Bon, nous avons quelques petites choses à nous dire, mais là, j’ai dix heures de vol dans les pattes et le décalage horaire fait vraiment son effet. Je vous laisse les tourtereaux.
Elle ressort rapidement, toujours en mouvement, attrapant une grosse valise au passage et nous laissant un peu décontenancés quand même.
— Et voilà donc ma virevoltante tante Sophie.— Je ne m’attendais pas à cela.— Oui, je comprends que tu sois un peu choqué.— Non, ce n’est pas trop cela, en fait, je ne sais pourquoi j’imaginais une tante bien plus âgée.— En fait, Sophie était la jeune sœur de ma mère, celle qu’on n’attendait plus, et comme maman m’a eue jeune, ça explique le décalage temporel, Elle a cinq ans de plus que moi, son époux qui lui, était plus âgé qu’elle, est mort dans le même accident que mes parents. Enfin, comme elle ne peut avoir d’enfant, et que c’était ma plus proche parente, je suis venue chez elle quand j’avais seize ans.
Et puis ensuite, une fois plus âgée, nous nous sommes comment dire rapprochées. Ça te choque ?

— Tant que tu étais volontaire et heureuse, je n’ai rien à dire.— Je crois vraiment que j’ai bien choisi mon cœur. — Elle aussi ?— Il y a toujours eu un jeu entre nous, j’ai toujours dit que celui que je ramènerais ici serait le bon.
Ah, ce regard quand elle me dit cela, ce doux aveu... Que faire, que dire ? Pas grand-chose, juste la serrer dans les bras et lui murmurer d’autres tendres mots doux.On s’allonge un peu et elle me raconte son éveil sensuel, la force des sentiments naissants, l’alchimie entre elles, leurs deux solitudes qui s’unissent et la lutte avant de céder à la passion, cette soif d’amour entre elles, les désirs de Sophie hérités de son court mariage et que Zoé ne peut assouvir. La découverte du naturisme et du plaisir parfois partagé avec d’autres lors de voyages...Je la serre dans mes bras, la couvre de petits baisers et lui assure mon amour,
— Tu sembles si cool avec cela.— Il faudrait que je sois idiot pour me mettre entre vous alors que tu es heureuse et que la seule chose que je veux, c’est que tu le restes.— Tu ne m’empêcherais pas de, de faire l’amour avec elle ? Et rassure-toi, il n’y a qu’elle. — Je viens de te le dire.— Et si, et si, enfin tu vois.
Je ne peux résister au plaisir de la taquiner en lui demandant:
— Euh non, je ne vois pas, qu’est-ce que tu veux dire ?— Si j’avais envie de... de plus, de... Et voyant les étincelles dans mes yeux. Oh espèce de petit malin, t’avais parfaitement compris.— Tu m’excites tant avec des demandes si coquines.
Un long baiser complice nous unit alorsPlus tard après un repas avec sa tante, au cours duquel je suis soumis à un feu roulant de questions traditionnelles sur ce que je fais, comment nous nous sommes connus. C’est vraiment la tante impliquée, soucieuse de sa nièce et de son bien-être, mais qui en même temps me jauge. En me testant sur mon naturel, mon attirance, mon éducation et ma capacité à réagir à une situation si particulière. On sent tout l’amour qu’elle porte à Zoé et ma façon d’être semble la satisfaire pour l’instant.Nous rangeons tranquillement la table en devisant de façon plus détendue, et Sophie nous propose ensuite de nous délasser tous les trois ans le jacuzzi. Je lui demande si elle ne veut pas juste profiter de Zoé seule après un long voyage et elle me répond que non...
— Ta proposition t’honore, on peut vraiment dire que tu es très cool, mais maintenant, je suis encore plus curieuse de vous deux.
On se retrouve quelques instants plus tard dans une autre partie du logis (Zoé m’a expliqué que Sophie avait sa chambre et qu’elles dormaient dans l’une ou l’autre, mais que cela sauvegardait les apparences lors de rares visites familiales) où se trouve le jacuzzi.
Quand nous arrivons, Sophie est déjà immergée dans l’eau, savourant les bulles et les jets massants. Évidemment nus, nous la rejoignons. La taille du petit bassin est adéquate pour nous trois, et je soupire d’aise en me glissant dans l’eau.
Sophie n’a pas perdu une miette de mon anatomie et ne cherche même pas à se cacher en le faisant. Je lui rends son regard et note ses traits fins, ses lèvres fines qui s’étirent dans un sourire coquin, ses yeux brun clair avec des étincelles pétillantes. Seule sa tête émerge de l’eau, mais je peux quand même voir sa poitrine ou plutôt sa quasi-absence, parce qu’elle a de jolis petits seins. Le reste de son corps se perd dans la profondeur et les bulles.
L’ambiance est détendue, lascive même, entre la chaleur de l’eau, nos sourires complices.
Si lascive que face à une question sur nos activités des derniers temps, Zoé joue les provocatrices et raconte nos derniers ébats, la séance de masturbation, nos jeux, notre attrait pour le goût de l’autre ou encore la découverte de la sodomie sans godes.Zoé sait se faire lyrique et inventive dans ses descriptions, et cela fait naître en moi les images très vivantes des derniers jours. Au vu de la façon dont Sophie se mordille les lèvres et respire plus vite, elle aussi revit par procuration nos jouissances. Soudain (enfin, je m’y attendais vaguement vu les mots de Zoé ) une main glisse sur ma cuisse et heurte un pied qui s’allongeait vers le même endroit, ce qui fait rire tout le monde, surtout quand je rajoute qu’on a tous les mêmes tentations.
— T’entendre raconter vos jeux me rend vraiment désireuse d’en voir plus, et j’aimerais bien te voir embrasser ton amoureux ma chérie, je suis si contente de te voir câlinée.
Zoé se tourne tout naturellement vers moi pour répondre à cette sensuelle sollicitation, et mon sourire vaut acquiescement. Zoé s’assied sur mes cuisses et ses bras m’enserrent comme elle m’embrasse langoureusement. Comme elle ondule des hanches, mon érection qui, vu la situation se développait, grandit encore. Nos langues se font un ballet sensuel et chaud fort agréable.
— Vous êtes si charmants, si complices.— Zoé après un tel compliment, tu devrais remercier ta tante non ?— Tu as bien raison.
Zoé se déplace et va embrasser sa jeune tante ; j’avoue que ce baiser lesbien et incestueux m’excite fortement. En plus, je ne sais pas si elles le font exprès ou pas, mais comme leurs bouches sont un peu séparées par moments, le ballet de leurs langues est parfaitement visible et mon érection est en passe d’atteindre sa plénitude.
Au bout d’un temps que je serais bien incapable de quantifier, Zoé se recule et me fait un petit signe de l’index pour m’attirer. Je me rapproche alors d’elle ou plutôt d’elles, et comme elle m’indique d’un sourire Sophie, j’embrasse celle-ci.
Sa langue est bien plus nerveuse que celle de Zoé, virevoltante dans son attitude et dans sa façon d’embrasser. Je sens aussi le souffle chaud de ma complice dans mon cou et ses mains qui me caressent le dos pendant qu’on s’embrasse. La petite poitrine de Sophie s’écrase sur mon torse et ses mains me tirent vers elle comme si elle voulait s’imbriquer en moi.
Nous reprenons haleine et ensemble attirons. Zoé vers nous pour échanger un baiser à trois, langues sorties qui se mêlent, lèvres qui se touchent, se heurtent dans une certaine frénésie sensuelle.C’est intense, pervers et surtout diablement excitant.
On se recule, un peu hors d’haleine, des gouttes de salive perlant aux commissures des lèvres témoignent de notre excitation. Tout comme les pointes de seins extraordinairement tendues de Sophie. Grosses comme la dernière phalange de mon pouce, brunes et gorgées de sang, hmm. Me voyant les regarder, elle sourit et dit : - Compensation de la nature pour mes petits seins, ils sont ultrasensibles, ça te plaît ?
— Et comment ! Le contraste est excitant.
Zoé rajoute son grain de sel : — Oh oui, ça le fait triquer mon mec hein ?Je repousse tendrement Sophie en arrière, sa poitrine sort de l’eau et Zoé et moi suçons, mordillons, dégustons, taquinons, léchons, excitons chacun un téton, générant des gémissements de plaisir de Sophie.
Tacitement, nous voulons lui donner du plaisir tout en nous faisant plaisir. Entre deux attaques câlines sur ses seins, chacun va plus ou moins régulièrement l’embrasser, se rencontrant parfois dans un baiser à trois pendant que nos doigts continuent à agacer ses tétons.
Elle n’a pas menti sur la sensibilité des grosses framboises qui ornent ses seins, car des gémissements, des petits cris surviennent de plus en plus souvent, devenant comme un ronronnement continu. Je ne sais pas pourquoi ma chérie, mais moi, cela m’excite au plus haut point !
Les doigts de Sophie et les miens s’entremêlent sur le ventre de Sophie et glissent ensemble vers le bas, effleurent une fine toison et atteignent la fourche de son plaisir. Elle est trempée et ce n’est pas de l’eau, même si nous y sommes pourtant immergés. Zoé et moi taquinons de nos doigts le clitoris gonflé, les lèvres humides et la chaude grotte de son plaisir.
Sophie n’est quasiment plus qu’un feulement continu, mâtiné de quelques " oh c’est bon, branlez-moi, branlez-moi, plus fort..." encouragements que nous prenons au pied de la lettre... Ses soubresauts de plus en plus forts montrent qu’elle est proche du point de non-retour et nous accentuons encore nos gestes. C’est si bon de lui, de nous faire plaisir, mon sexe est tendu contre sa cuisse fine et mes oreilles remplies des sons de son plaisir.Enfin, elle crie son plaisir avec une voix rauque qui contraste avec son physique mince. Elle se tord, bouge, bouche ouverte qui happe de l’air et nous relevons nos têtes pour observer sa jouissance. Elle est belle ainsi, et Zoé et moi échangeons enfin, un sourire complice avant d’échanger un tendre baiser. Au bout de quelques secondes, Sophie se redresse et dit : — Après cet apéritif, on va prendre une entrée ?
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