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Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe

Chapitre 10

Les envies de Sophie

Avec plusieurs femmes
Résumé : Zoé et moi sommes en couple, et sa tante Sophie nous a surpris en pleine action. Je découvre à cet instant qu’elles sont proches, vraiment très proches... Nous nous amusons donc ensemble.Sophie s’affale, les yeux hagards, le regard chaviré, épuisée de plaisir après la sodomie que je lui ai offerte, très aidé par sa nièce Zoé, accessoirement ma petite amie.Zoé me sourit, heureuse de notre entente. Heureuse de voir que moi aussi j’ai pris un pied énorme avec elle ; pardon avec elles. Dire que Zoé se demandait comment cela allait se passer.Après, il était à prévoir que sa tante après m’avoir aidé à faire jouir Zoé, après l’avoir admirée se faire prendre par la voie étroite allait vouloir profiter du même traitement. C’est donc avec énormément de plaisir que j’ai acquiescé à sa demande, surtout qu’elle coïncidait avec mon envie. Hmm profiter des fesses un peu enrobées de Zoé puis passer aux petites fesses serrées de Sophie, c’est ce qui s’appelle varier les plaisirs.
Sophie qui reprend pied dans la réalité déclare qu’elle va cette fois prendre un vrai bain reposant
et nous invite à faire de même avant de rajouter :
— Enfin si vous êtes d’accord pour continuer à vous amuser.
Partant du principe qu’une bonne démonstration vaut mieux qu’un long discours, je vais la rejoindre sous l’œil égrillard et complice de Zoé et lui roule une longue pelle qui la laisse pantelante avant que nous n’éclations de rire et sortions.
Plus tard, allongés, détendus sur le lit après une douche revivifiante (et solitaire pour éviter toute nouvelle tentation) nous devisons tranquillement. Je sais que même si tout s’est bien passé, Zoé a besoin d’extérioriser ses sentiments, d’expliquer plus longuement ce qui s’est passé. Pour la mettre à l’aise et avant qu’elle ne commence, je lui dis que j’ai apprécié toute la journée, tous ses actes, qu’elle est très belle et que je suis heureux de leur entente qui fait honneur à l’amour.
Rassurée, Zoé me raconte plus en détail sa vie, ses envies, ses espoirs, ses désespoirs aussi.(C’est dans le partage qu’on cimente un couple, ne l’oubliez pas chers lectrices et lecteurs.)Nos mains se joignent quand elle me parle des plaisirs partagés avec sa tante, de leur vie à deux, de sa joie de se montrer à Sophie, de son plaisir surtout de jouir devant elle et de la faire jouir.
— Tu sais si elle a dit qu’elle rêvait de me voir me faire sodomiser par un homme, et ben moi je rêvais de la voir se faire enculer par mon homme. Je change de mot à dessein, car tu as remarqué qu’elle a adoré se faire prendre fort.— Elle m’y encourageait oui... Et toi aussi. Ah c’était beau à voir, à entendre...
(Licence artistique si je n’ai pas décrit la scène, c’est pour chauffer les suivantes !)
— Je t’ai confié que son défunt mari avait des idées particulières dans le domaine du sexe, Sophie a comment dire, des fantasmes de soumise, elle aime goûter aux plaisirs du SM. Enfin à l’apéritif plutôt ; mais moi je pense que je n’arrivais pas à lui donner totalement ce qu’elle aimerait. En fait, je n’ai pas un tempérament très dominateur, même si je ne suis pas autant soumise qu’elle.
— J’avais remarqué tout cela, petit hérisson.— J’ai envie que tu lui procures tout cela, ça te va ?
Ah sa mimique un peu gênée, sur le qui-vive. Bien sûr, nous sommes maintenant ensemble depuis quelques semaines, mais ce ne doit pas être évident de demander à son mec d’y aller plus fort avec sa tante. Oh, ces mots, la perversité de ces mots. Déjà, il y a deux heures quand elle criait « baise ma tante, baise la fort... »
— Donc tu veux que j’y aille plus fort avec elle, que je la domine.— Juste comme il faut, je le lui dois, c’est un juste retour des choses.— Et surtout tu mouilles en me demandant de bien baiser ta tante, c’est ça.— Je ne peux rien te cacher.— Tiens puisque tu en es là, tu me donnes un peu de mouille, j’ai soif.
Elle plonge son majeur dans son entrecuisse et me tend un doigt luisant que je m’empresse de sucer en la regardant dans les yeux, scellant notre amour, notre complicité, notre accord tacite.
— Bon allez, on se détend un peu, avec vous deux, la nuit risque d’être longue.— Tu as raison, une petite sieste nous fera du bien.
On plonge donc ensemble dans les bras de Morphée.Pour se réveiller frais et dispos. On rejoint sa tante dans la cuisine et on déjeune tranquillement tous les trois, enfin en essayant d’être tranquille, car voir les deux déambuler nues et discuter de cinéma alors que j’ai leur buste devant le nez, ce n’est pas vraiment bon comme tranquillisant !Une fois le repas terminé, la cuisine rangée : bon sang que c’est excitant de les voir bouger, ranger (surtout dans le bas du frigo), tapoter mon sexe à demi érigé en passant, comme ça, histoire de ne pas perdre la main quoi.
— Et si on allait chez moi, lance Sophie comme si c’était une invitation anodine, comme si nous n’avions pas une idée de comment cela risque de tourner. Sur les quelques mètres qui conduisent dans la pièce ; Zoé me glisse : - fais-la jouir comme je l’attends, j’ai envie de vous mater,
sacrée responsabilité qui est la mienne surtout que je n’ai quasiment aucune expérience à part celle de l’obsédé moyen.Une fois dans la pièce, Sophie se tourne vers moi dans l’intention de venir m’embrasser, mais stoppe son geste en voyant sa nièce s’asseoir au bout du lit. Elle s’apprête à lui demander ce qui se passe en venant vers elle quand je dis fermement :
— Stop !— Comment ça stop, j’ai envie de...— Tes envies m’indiffèrent, ce sont les miennes qui comptent, tu ne bouges pas, tu restes debout.— Mais ?— Suffit, c’est la dernière fois que je le dis, tu ne bouges pas, bras le long du corps.
Sophie a un dernier regard vers Zoé et je la reprends.
— Zoé ne t’aidera pas, elle est juste là pour mater et se branler ; enfin si je l’autorise, maintenant chut ou il va t’en cuire.
Enfin, Sophie, une lueur dans les yeux reste immobile bien droite, les bras bien le long du corps au milieu de la chambre.Je tourne autour d’elle, extérieurement impassible, intérieurement admiratif devant son joli corps mince qui contraste tant avec celui de Zoé.Je passe le doigt de sa nuque à ses fesses, le long de sa colonne vertébrale et cela la fait déjà frissonner. C’est de bon augure, tout comme la petite veine qui bat dans son cou.Je continue avec mon index à souligner les courbes de son corps sans toucher là où c’est tendu et brûlant. Je passe sur le haut de sa petite toison sans toucher à sa fourrure, je trace un cercle autour de ses seins, effleure le galbe de ses cuisses et de ses mollets, remonte sur ses fesses, la ligne de ses épaules puis caresse ses cheveux, ses joues, passe lentement, très lentement sur ses lèvres frémissantes avant de stopper et, profitant de sa bouche entrouverte, de lui enfoncer un doigt dans la bouche.
Ses yeux brillent de plaisir et elle suce mon doigt, creuse les joues comme si elle voulait me l’aspirer. Je lève l’index de l’autre main, elle stoppe et je rajoute un doigt ...
Une minute plus tard, elle a quatre doigts dans sa bouche grande ouverte et suce et bave sur mes doigts. A sa réaction, je vois qu’elle apprécie et Zoé qui est venue regarder de plus près a les pointes de seins presque aussi tendues que les grosses framboises de Sophie.Cette coquine en rajoute en disant :
— Je peux me masturber maître ?— Viens lécher mes doigts.
Elle se précipite, aspire les quatre doigts que j’ai sortis de la bouche de sa tante et au bout de quelques secondes, je lui dis : - C’est bien, maintenant tu peux te branler.
— Merci maître.
Je remets les doigts dans la bouche de Sophie, qui comme sa nièce est tout heureuse de goûter à la salive de sa complice.Je fais quelques allées et venues en enfonçant mes doigts, faisant saliver Sophie qui ne dit rien et émet des bruits obscènes et excitants.Je stoppe d’un coup, notant qu’elle retient à grand-peine un soupir de dépit puis d’un même geste, saisir ses mamelons gonflés avec mes doigts et tire fort vers moi. J’ai tiré plus fort que la dernière fois, mais pas à les arracher, voulant tester ma soumise.Je pince et fais rouler ses gros bouts et elle gémit rapidement de plaisir.
— Je t’avais dit de te taire.— Pardon maître, pardon.— Suffit ! Viens là.
Je vais m’asseoir et la fais se mettre couchée en travers de mes cuisses, les fesses juste à la bonne hauteur.
— Dix et sans un mot.
J’effleure ses fesses musclées et quand elle se détend, je lui donne une bonne claque dessus.
— Un !
La caresse à nouveau délicatement puis :
— Deux ! Trois !
Je laisse planer un peu, juste qu’elle ne sache plus, observant Zoé qui se caresse furieusement, d’une main, et se pelote les seins de l’autre.Un peu de délicatesse avec un rapide baiser-souffle puis d’une traite – Quatre, cinq, sixSes fesses commencent à prendre une jolie teinte et ma queue palpite et se tend sous elle. Je lui souffle à nouveau dessus puis plus régulièrement les claque sous sept, huit, neuf. Un léger effleurement et Dix.Les fesses sont rouges, ses yeux brillants et un peu larmoyants quand elle se remet debout devant moi, mais c’est une grimace de plaisir qui la défigure ; enfin l’embellit surtout.Je pince à nouveau ses seins et son corps s’avance vers moi, son bassin bouge sans qu’elle ne puisse se contrôler.
— Tu veux jouir, c’est ça.— Oui, oui.— Tu veux être baisée, c’est ça.— Oh, oui, baisez-moi, baisez-moi.— Et comment on demande ?— Baisez-moi, maître, je ferais tout ce que vous voulez, donnez-moi votre grosse queue, bourrez-moi, défoncez-moi.— Mais c’est qu’elle a vraiment envie, tu es quoi alors.— Votre jouet, votre salope, faites-moi tout ce que vous voulez.
C’est comme si une digue se rompait, comme si les années sans ses jeux la rattrapaient.
— Zoé, tu pensais qu’on peut lui donner satisfaction ?— mm, pour un début c’est pas mal.
Je me dis que c’est surtout parce que ma chérie est au bord de l’explosion elle-même qu’elle donne son feu vert.
— Allez pour un début, je vais être bon prince. Va te mettre à quatre pattes.
Sophie se place rapidement à quatre pattes sur le lit et je rajoute.
— Écarte bien ton cul, montre-nous tout, espèce de cochonne.
Elle s’écarte les fesses des deux mains et je vois parfaitement l’anneau brun-rose et surtout les lèvres gonflées de sa chatte qui dégouline. Ce rose forme un peu un contraste avec ses fesses rouges et ça me fout une trique pas possible.Je me place derrière elle, effleure du bout du gland son con prêt à m’aspirer dans sa fournaise et lui dis :
— Je ne te demande pas si tu es d’accord, je vais te défoncer la chatte, je vais penser qu’a moi, tant pis pour toi si tu ne jouis pas et interdiction de te branler.
Un gémissement s’élève et elle met ses mains devant elle, son petit postérieur tendu vers moi.Je la pénètre d’un coup tant elle est inondée, j’empoigne ses hanches et y vais de bon cœur, comme un soudard en rut. J’ai dit vrai, pour une fois je ne pense qu’à moi, je ne peux faire semblant et ralentir, elle le sentirait.Alors je donne de grands coups de bassin, la pilonnant avec joie, ma queue est prise dans un véritable étau humide, sa position resserre mon sexe et c’est vraiment bon.Je tourne légèrement la tête et vois Zoé qui, les yeux fous, regarde le spectacle et s’est mis deux doigts dans le con en se masturbant à toute vitesse, plus de finasserie, juste du sexe brut. Quand nos yeux se croisent, elle part dans un grand cri de jouissance.J’accélère encore le rythme et je sens le foutre bouillonner en moi qui monte, monte, Sophie crie, hurle, geint, gémit, délire, jouit tout simplement.
Et je crie enfin mon plaisir moi aussi.Le gland rendu sensible, l’impression d’être totalement vidé, je me retire et dis à une Zoé éperdue de plaisir.
— Allez va chercher mon foutre, vous pourrez vous le partager ensuite.
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