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Ma femme est peut-être forte mais c'est une bombe

Chapitre 11

Et on continue

Avec plusieurs femmes
Résumé : Zoé est ma petite amie. Nous nous sommes découverts ensemble, et ses courbes très pulpeuses cachent, outre un caractère en or, un tempérament de feu. Ce goût pour le sexe se retrouve aussi chez sa tante Sophie chez qui elle vit. Après avoir découvert l’amour qui les unit, nous venons de satisfaire l’envie de soumission de Sophie.
Je suis allongé sur le grand lit, détendu, les deux jeunes femmes sont affalées, endormies, mais encore collées l’une à l’autre. J’admire encore une fois l’excitant contraste entre le corps rebondi de ma Zoé et celui très mince de Sophie. Mon sexe est au repos, car nous venons de longuement faire
l’amour tous les trois. Grâce à Zoé qui m’a opportunément rappelé le goût de sa tante pour la soumission légère qu’elle n’osait pas satisfaire, j’ai pu procurer à la jeune femme un somptueux orgasme. Je contemple avec une certaine fierté ses fesses rougies qui témoignent encore des moments que nous venons de vivre et du plaisir que nous avons tous ressenti.
Zoé ouvre doucement les yeux et me regarde, éperdue d’amour, comme elle est belle, comme elle me plaît. Elle me regarde, voit que je mate les petites fesses fermes de sa tante et me sourit, complice. Sa main libre parcourt le postérieur bombé de sa tante, lentement, tendrement et, peu à peu, Sophie s’éveille. Zoé se dégage d’elle, et d’une petite tape, lui fait remonter les fesses vers le haut. Le spectacle ramène doucement de la vitalité dans mon sexe tant elles sont belles.
Voir Zoé accroupie derrière sa tante, lui caresser son petit cul tendu, voir Sophie à quatre pattes, le visage tourné vers nous, le regard plein de vice, les voir s’échanger des coups de langue presque rageurs...
Entendre Zoé me dire – Je vais te la préparer un peu, comme ça, tu pourras bien l’enculer. Entendre les halètements de sa tante quand Zoé, après lui avoir bien écarté les fesses des deux mains, plonge sa langue dans la vallée interdite ainsi libérée, et lèche l’anneau culière avec voracité.
Voir Zoé lécher comme une affamée, et ses mains s’emparer par en dessous des petits seins de sa tante pour en malaxer les pointes.Entendre Zoé laper avec des bruits obscènes le petit trou de sa tante.Oui, tout cela me provoque une belle érection. Le sexe tendu, je profite encore de ce spectacle excellemment sonorisé. Soupirs, halètements, tension, tout y est, et mon sexe pointe désormais fièrement vers les deux jeunes femmes. Zoé m’invite à venir d’un geste, mais je lui enjoins d’abord de s’allonger sur le dos, ce qu’elle fait rapidement avant que Sophie, qui a tout de suite compris, s’allonge sur elle, matelas douillet et sensuel, puisque Zoé a juste la tête à la bonne hauteur, pouvant facilement lécher le petit bouton du clitoris.
Je m’approche de ce duo pervers, encouragé par ma chérie qui me lance « viens la prendre mon chéri ! Elle s’interrompt, lape la petite chatte de sa tante, et reprend la parole – Elle dégouline déjà, tu pourras bien la prendre. Je ne veux pas être en reste, alors je lui réponds sur le même ton :
— Mouille-lui son petit trou, chérie.
Zoé plonge à plusieurs reprises deux doigts dans la chatte de Sophie, avant de badigeonner le petit trou avec ses doigts, puis de les enfoncer à l’intérieur, faisant gémir sa tante. Je positionne mon gland gorgé de sang et bien dur, juste devant le petit œillet, et Zoé, qui a tout compris de mon envie, prend mon sexe en main et, d’un geste pervers et précis, l’enfonce un peu dans le rectum de Sophie. Celle-ci feule alors que j’en suis à peine au début de ma poussée sodomite.Zoé gémit aussi, les doigts de sa tante ne restant pas inactifs pour ce que j’en vois. Je pousse lentement mon gland, arrachant soupirs à Sophie, et encouragements à Zoé qui est aux premières loges du spectacle.
— Pousse mon chéri, son petit cul s’ouvre, vas-y.
J’avance un peu et pousse ma queue en avant, sentant l’anneau élastique s’ouvrir lentement devant l’intromission. Soudain, je sens que j’ai passé le plus dur, mon gland est en elle et, si je ne le savais pas, ma chérie me le redit en disant – Ça y est, ton gros bout est dans son petit cul, oh comme c’est beau, comme ça m’excite ! Vas-y, enfonce-toi encore.
Qui résisterait à cette injonction ? Je pousse mon bassin en avant sous les encouragements de ma petite chérie qui se lâche de plus en plus. Sophie n’est plus qu’un long soupir de bien-être, avec quelques mots que j’entends à peine, focalisé sur ma pénétration dans cet étroit conduit chaud et doux, j’entends vaguement des – oh, c’est bon, oh c’est bon, oh comme ça (me)manquait, oui, encore. Mais même si ce n’est qu’un fond sonore, cela m’encourage, et lentement, j’avance, puis recule puis encore et encore.
De temps en temps, je sens un coup de langue se perdre sur mes bourses ; c’est Zoé qui s’égare entre deux coups de langue sur la chatte ruisselante de sa tante. Du moins, c’est ce que j’en déduis des quelques mots que lâche Zoé entre deux gémissements et bruits obscènes qui agissent directement sur mes nerfs tendus, gorgés de divines sensations tant la sodomie de Sophie est délicieuse.
Pour elle aussi, c’est délicieux, car je l’entends désormais qui me réclame d’y aller plus fort, de la bourrer plus (hé je ne fais que retranscrire moi !), comme sa quasi-litanie est reprise presque mot pour mot par Zoé, j’accélère mon rythme. Mon bassin claque contre les fesses fermes de Sophie qui
vient même lancer son petit fessier en arrière, en criant encore et encore. La tension commence à monter de plus en plus, et je sens la sueur couler sur moi, les filles ne sont pas en reste, et c’est un vrai petit lac dans le creux du dos de Sophie. Tout son corps commence à trembler, elle n’est plus que gémissements incompréhensibles, et je la pilonne avec rage, sachant désormais qu’elle adore cela.
J’ai l’impression que je pourrais continuer encore et encore, ayant déjà joui il y a un moment, mais c’est sans compter sans ma Zoé qui sent sous sa langue laquelle batifole entre les lèvres et le clitoris de sa tante, l’orgasme monter.
Aussi, elle décide de m’amener moi aussi à jouir, et doucement commence à me titiller l’anus avec son majeur. Effet immédiat, je bouge plus vite, plus fort et commence aussi à délirer verbalement. Constatant mon plaisir, elle décide d’aller plus loin, je sens l’espace d’un battement de cœur, son doigt qui s’en va, avant de revenir humide, et de s’enfoncer dans mon intimité la plus secrète. Et tout comme je pistonne le petit trou de Sophie, Zoé me pénètre de son index...
Je serre les dents, sens monter toute la tension, toutes les sensations, comme si mon être se concentrait dans ma queue tendue, prête à exploser. Tout se précipite alors. Le corps de Sophie se met à frissonner, et elle jouit dans un grand cri de plaisir, Zoé m’enfonce totalement son doigt entre les fesses, et mon cri de jouissance fait écho à celui de Sophie. Je prends un pied monstrueux et je me vide par saccades incontrôlées dans le petit cul musclé. Je me sens vidé, aspiré et je ne sais pas combien de temps après, je m’écroule sur le côté.
C’est là que je vois un spectacle digne des meilleurs pornos ou à tout le moins des plus vicieux, puisque Zoé, la bouche ouverte, reçoit le fruit de ma jouissance qui coule du petit cul ouvert de sa tante. La scène est hallucinante, car j’ai lâché tout ce qui me restait dans l’antre du vice. Le sperme enrichi de la mouille récoltée quand il coule le long de la petite chatte de Sophie vient goutter dans la bouche ouverte de Zoé, qui est là sans bouger, avec un air extatique, folle de plaisir.
Je regarde la scène qui semble durer, durer, si excitante, si enivrante de plaisir. Puis, la source se tarit doucement, et d’une tape sur ses adorables fesses, je fais comprendre à Sophie de se retourner,
Sophie vient voir aussi, et nous sommes là tous les deux, à mater la bouche ouverte de Zoé, qui fait rouler sa langue dans le sperme qui a envahi sa bouche, savourant le cocktail pervers et incestueux.Au bout d’un instant, elle avale tout avec des gémissements de chienne en chaleur, puis se pourlèche les lèvres avec un plaisir qu’elle ne cherche pas du tout à dissimuler. Sophie et moi la regardons faire, fascinés.
Enfin, elle se tourne vers nous, nous regarde avec une expression de sensualité sur le visage et lance :— Baisez-moi tous les deux, je crois que moi aussi j’ai envie d’être votre soumise.
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