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Ma femme est une salope !

Chapitre 1

Zoophilie
Ma petite chérie est jalouse comme une tigresse et m’oblige à porter une cage de chasteté. Elle est devenue la maîtresse absolue de ma sexualité, allant jusqu’à exiger de faire elle-même ma toilette intime pour être sûre, a-t-elle affirmé, que je ne profite pas de ces instants de liberté pour me livrer à des pratiques solitaires ! Je ne suis libéré que pour satisfaire ses envies, mais nos ébats y ont gagné en intensité. Cela peut vous paraître étrange, mais, que voulez-vous, je l’adore. Ce matin, donc, je suis devant elle, les bras dans le dos, tandis qu’elle, agenouillée devant moi, s’occupe de mes attributs. Par l’échancrure de son décolleté, j’ai sous les yeux les rondeurs de ses seins, et sa nuisette, remontée sur ses cuisses, laisse apparaître sa petite toison brune. Elle savonne abondamment mon ventre, fouille les plis de mon sexe, empaume mes bourses, et quand sa main glisse entre mes jambes, je ne peux m’empêcher de les ouvrir davantage.
Son doigt glisse dans ma raie, viens buter sur mon petit anneau qui frémit de plaisir. Elle semble ignorer les effets de ses gestes : mon souffle court, mon ventre qui tressaille, mes cuisses ouvertes et mon sexe qui se dresse devant son visage. Mais un jet d’eau glacée met fin à tout cela, et, quelques instants lui suffisent pour reposer ma cage. Elle se redresse, pose un bisou sur le bout de mon nez.
— Voilà, tu peux prendre ta douche maintenant.
Et quand elle sort de la pièce, ses petites fesses qui dépassent sous sa nuisette ajoutent encore à ma frustration. Je me demande toujours jusqu’où elle m’entraînera. En quittant la salle de bains, j’ai entendu le ronronnement caractéristique que je connais bien. Elle était allongée sur le lit, faisant aller et venir son vibro entre ses cuisses. J’ai posé ma main sur la sienne.
— Je peux t’aider ?— Non, fais rentrer Bobby, plutôt, murmura-t-elle dans un souffle.
J’ai été étonné. A l’évidence elle voulait se débarrasser de moi et continuera à se donner du plaisir toute seule. Je suis passé dans la pièce d’à côté. Il était là, me regardant arriver. J’ai ouvert la baie, il s’est faufilé prestement, passant à côté de moi sans un regard et s’est dirigé d’un pas sûr vers la chambre. Je l’ai suivi. Je suis resté stupéfait. Elle était agenouillée au pied du lit, les yeux fermés, la tête sur ses avant- bras qui reposaient sur les draps, les cuisses ouvertes, bien cambrée, totalement offerte. Il s’est approché, tendant le cou pour humer les effluves qu’elle exhalait, puis s’est mis à lécher sa cuisse, remontant vers ses fesses, fouillant sa raie, atteignant son petit œillet brun. Elle a lâché un Ohhh, son corps s’est tendu brutalement. Il a reculé, comme apeuré, tandis qu’elle se cambrait davantage. Il a hésité un instant avant de revenir vers elle, plongeant le museau entre ses cuisses et recommencer à lui offrir sa délicieuse caresse.
Elle s’est mordu la lèvre en étouffant un gémissement, tandis qu’il s’est mis à la déguster comme une friandise. Sa langue passait et repassait sur sa petite fente, descendait parfois sur une cuisse, remontait sur ses fesses, fouillant le sillon jusqu’au petit trou qu’il faisait frémir, avant de revenir s’abreuver du délicieux nectar qu’il semblait apprécier. Elle continuait de gémir, ouvrant la bouche pour reprendre son souffle, murmurant parfois des Ohhhhhh, oui c’est bon, continue mon toutou, continuuuee ! en ondulant du bassin. Il devenait nerveux, piétinant sur place ; son museau heurtait parfois les cuisses de ma chérie qui s’ouvraient docilement. Sous son ventre, son fourreau avait grossi, laissant apparaître une petite pointe rouge d’où s’échappaient parfois des jets de liquide incolore qu’il léchait rapidement avant de retourner à sa dégustation.
Puis d’un bond, il l’a chevauchée, enserrant son ventre de ses pattes, l’attirant vers lui, donnant des coups de reins violents et maladroits. Elle a gémi plus fort. Son sexe heurtait les cuisses, les fesses, glissait parfois dans la raie.........
Il l’a abandonnée, tournant autour d’elle, reniflant ses odeurs, la goûtant d’une langue habile, avant de revenir la chevaucher, piétinant ses mollets, griffant le parquet...Sous son ventre, son fourreau tremblait nerveusement, orgueilleusement dressé. Elle a plié les genoux tandis qu’il l’attirait vers lui. Et quand la pointe rouge s’est fichée dans sa petite fente, elle a gémi sourdement, tout son corps s’est tendu. Elle a gémi plus fort alors qu’à coups de reins fébriles, il s’enfonçait dans son ventre. Les yeux fous, la langue pendante, il l’a pistonnée un long moment, violemment, faisant trembler ses petits seins, la poussant vers le lit. Enfin, il s’est calé contre ses fesses, poussant de toutes ses forces, avachi sur son dos. Elle a ouvert la bouche, cherchant de l’air, avant de crier faiblement :
— Continue, ouii, continuuee, continuuuuuue !!!
Puis ils sont restés un long moment immobiles, haletant tous les deux au même rythme. Enfin, il s’est redressé, cherchant à la quitter. Elle a saisi ses pattes, l’obligeant à rester en place.
— Non Bobby, attends un peu, tu vas me faire mal !

avant de reposer sa tête sur le lit, reprenant son souffle. Et quand elle l’a lâché, il s’est reculé. Son sexe blanchâtre est apparu, énorme ! Il a fait quelques pas avant de se coucher sur le sol et se mettre a le lécher à grands coups de langue. J’ai posé ma main sur son dos. Elle s’est tournée vers moi, me regardant d’un air innocent.
— Tu étais là ?
Elle s’est levée, a posé sa main sur ma nuque.
— Je t’aime tu sais, murmura-t-elle avant de poser ses lèvres sur les miennes.
Voilà, tu connais mon secret maintenant. Je n’osais pas t’en parler..... Tu vois, des fois je suis tellement excitée que ta queue ou mon petit vibro ne suffisent pas. Et tout à l’heure, quand je sentais tes petites couilles durcir dans ma main, te voyais grossir et que ton petit cul s’ouvrait sous ma caresse, j’avais envie d’être un mec, de te prendre par là et te sentir vibrer, haleter, et de remplir ton petit cul de sperme chaud en te faisant crier de bonheur. Ca m’a excitée, tu ne peux pas savoir, j’étais folle de désir, j’avais besoin de lui ! J’étais...... comme ces femelles en chaleur qui ont besoin qu’un mâle les prenne brutalement, les féconde en leur remplissant le ventre de sa semence pour être enfin apaisées. Mais toi, c’est différent. Tu connais toutes les parcelles de ma peau, tes caresses, tes baisers, me font frémir et tu me prends avec douceur, me donnes du plaisir, tu me fais l’amour, tu comprends ? Viens ! Elle s’est allongée sur le lit, m’entraînant avec elle.
— Prends-moi, fais-moi jouir !
J’ai baissé la tête, regardant ma petite cage. Elle s’est approchée, l’a déverrouillée, la posant sur le lit.
— Caresse-moi les seins !
J’ai empaumé ses petits seins, fermes, chauds, pinçant ses tétons.
— Hummm, j’aime çaaa !!
J’ai posé des baisers sur sa peau, au creux de son cou comme elle aimait, la faisant ronronner comme une chatte. Ma main s’est posée sur son dos, glissant au creux de ses reins...
— Prends-moi, a-t-elle murmuré.
Je l’ai pénétrée en douceur, allant et venant lentement dans son ventre, continuant mes caresses, mes baisers... Elle continuait de ronronner, les yeux fermés. Mes coups de reins s’accéléraient...
— Non ! ne jouis pas encore, attends, fit-elle en me repoussant.
Elle s’est dégagée, agenouillée au pied du lit, les cuisses bien ouvertes, cambrée, comme tout à l’heure. Je l’ai suivie, posant mon sexe sur sa fente.
— Non, pas par là, a-t-elle murmuré. Baise-moi comme une chienne, comme une salope, fais-moi crier !
Quand ma queue s’est posée sur son petit trou, elle a poussé son ventre contre moi.
— Oui, comme ça, j’ai envie !!!
Je l’ai prise lentement jusqu’à ce que mon ventre butte sur ses fesses et j’ai commencé a aller et venir lentement dans son petit boyau.
— Oui, continue, baise-moi comme une chienne, baise ta chienne, ta petite pute !!
Je continuais de pincer ses tétons, caresser ses flancs, son ventre, tout en la pistonnant.
— Oui, continue s’il te plaît, continuueeee !
Disparue la maîtresse femme qui maintenait son mari en cage de chasteté, décidant seule de son droit au plaisir, remplacée par cette femelle suppliante. Je m’arrêtais parfois pour l’entendre gémir, haleter... Elle agitait son bassin à grands coups de reins, venant à la rencontre de mon sexe. Je l’ai arrêtée, posant mes mains sur ses fesses.
— Nooonnn ! Tu dois faire doucement, comme ça !
Je me suis enfoncé doucement en elle.
— Tu aimes ça, hein ?
Allez, montre-moi comment tu aimes être baisée, bouge ton petit cul, fais ta pute !! Elle s’est étirée longuement, s’empalant sur ma queue, allant et venant doucement en gémissant de bonheur.
— Tu vois, quand tu veux, c’est bon, hein, tu aimes ça !— Oui, fit-elle dans un souffle.
Mes mains glissaient sur son ventre, remontaient,....... j’ai empaumé ses seins durcis par le plaisir et quand j’ai pincé ses tétons, elle s’est cambrée, a gémi, recommençant à s’agiter plus vite contre mon ventre.
— Non ! Arrête !!!!— J’ai envie, viens, supplia-t-elle.
Les mains sur ses hanches, je la faisais aller et venir doucement sur mon membre.
— Tu la sens ma grosse queue ? Elle est aussi grosse que celle de Bobby ??— Je ne sais pas...— Menteuse ! Laquelle tu préfères ??— Ohh, je ne sais pas...... les deux ! souffla-t-elle tout bas.— T’es vraiment une salope, hein, une vraie chienne !— Ouii, je suis ta chienne, ta salope, viens, viennnss !!
J’ai glissé ma main entre nos ventres, cherchant son bouton d’amour que j’ai pincé doucement. Elle s’est tendue...
— Tu sens comme il est gros ?
On dirait une petite bite,...... celle que tu aurais voulu m’enfoncer dans les fesses tout à l’heure. Elle est trop petite, juste bonne à être branlée........ comme ça, dis-je, entamant un lent va-et-vient de mes doigts. Elle haletait, cherchait sa respiration.
— Tu aimes quand je branle ta petite queue, hein ?— Ah oui, ouiii, fais moi jouir !!!— Tu veux que je remplisse ton petit cul, comme Bobby a fait dans ta chatte, hein, petite salope !— Oui, j’ai envie, j’ai enviiie !— Tu es une petite pute qui veux se faire remplir par tous les trous, hein !!— Ouiii, je suis ta petite pute, viens, viens !!!!
Je continuais de caresser son clito, me suis activé brutalement, puis, calé contre ses fesses, j’ai déchargé ma semence en gémissant. Tout son corps s’est tendu brutalement, poussant sur mon ventre.
— Ouii, c’est bon, ouii, ouiiii, ! cria-t-elle d’une voix aiguë.
Elle ahanait, tremblant de tout son corps.........
— Arrête, arrête, fit-elle en retirant ma main avant de s’écraser sur le lit.
Je l’ai suivie, toujours empalé entre ses fesses, pesant de tout mon poids sur son dos. Nous sommes restés un long moment immobiles, reprenant notre respiration, attendant que nos cœurs se calment. Déjà mon sexe perdait de sa vigueur, diminuait, finissait par s’échapper. Je me suis laissé tomber sur le lit à-côté d’elle et nous sommes restés un long moment face à face sans rien dire. Elle me fixait de son regard innocent, avant de s’avancer poser des baisers sur le bout de mon nez, au coin de mes lèvres... Puis elle a caressé mon bras, mon torse, ma cuisse avant de remonter empaumer mes petites couilles.
— Elles étaient bien pleines tu sais, fit-elle en souriant. Pas autant que celles de Bobby mais presque !
Ca fait combien de temps que tu portais ta cage, dix jours ? Je suis sûre que tu peux faire aussi bien que lui, peut être mieux, qui sait ? On verra ça dans quinze jours, fit-elle en enfermant prestement ma petite queue dans sa cage et en la verrouillant prestement.
— On devrait peut-être reprendre une douche avant ? demandais-je.— Oh non, pas tout de suite. C’est la première fois que vous me prenez tous les deux comme ça,... si tu savais comme.
C’est bon de se sentir pleine de la semence de mes deux amants, j’adore ça ! Laisse-moi en profiter..... surtout si je dois attendre quinze jours avant de recommencer ! Et puis, ajouta-t-elle avec un petit sourire coquin, tout a l’heure, j’en aurai plein les cuisses, alors !! Elle s’est allongée contre moi, posant la tête sur mon épaule.
— Je t’aime, tu sais, tu me fais si bien jouir !
Elle a passé sa cuisse sur mes hanches, son bras sur mes flancs, s’est lovée contre moi, fermant les yeux et ronronnant de bonheur. Hummm, sentir le corps chaud et souple de ma chérie contre le mien, repue, les sens apaisés, sa petite touffe griffant délicieusement mon ventre,...... un moment de bonheur. Même si je venais de découvrir qu’avec son visage d’ange et son regard innocent, ma petite chérie était quand même une belle salope !
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