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Ma femme est zoophile..., mais pas que!

Chapitre 1

Lz labrador

Zoophilie
Nous roulons sans but précis, Danielle et moi, par cette belle journée d’automne sur une petite route de campagne, admirant les belles couleurs de la nature. Encore qu’il serait plus exact de dire que j’admire alors que Danielle semble plus préoccupée par son fantasme préféré : se masturber devant moi. J’aperçois sa main se rapprocher de sa chatte, cuisses grandes ouvertes et lui dis :
— Ma chérie, c’est un peu dangereux de me distraire quand je conduis.— Arrête-toi, j’ai très envie de te faire bander et de baiser.— D’accord, cela me semble une excellente idée.
Je me gare à l’orée d’une petite forêt et nous partons à la recherche d’un endroit propice à nos ébats que nous trouvons rapidement. Sans s’asseoir, elle recommence son petit jeu en soulevant sa jupe, caresse son abricot au travers de sa culotte déjà humide. Je ne résiste pas longtemps et sors couilles et bite que je masturbe doucement. Elle enlève prestement jupe et culotte et je m’empresse de baisser pantalon et slip. Nous sommes à poil de la ceinture jusqu’aux pieds. Nous astiquons chacun notre joujou, ce qui nous excite fortement ; nous pratiquons souvent ce type de préliminaire avant de baiser qui nous met dans un état second. Cependant, il y a un risque, c’est qu’emporté par notre élan et perdant le contrôle, l’orgasme et l’éjaculation m’arrivent sans crier gare.
Quand tout à coup, surgi de nulle part, un labrador bien propre sur lui s’approche tout content de nous rencontrer ; Danielle et moi le caressons affectueusement et pour nous rendre la politesse, il renifle et lèche nos sexes avec une nette préférence pour la chatte de Danielle, ce qui paraît logique. Cependant, je trouve Danielle assez entreprenante, elle aide le chien en écartant les lèvres de sa vulve, il la lèche avec ardeur et lorsqu’il tourne autour, elle écarte les fesses pour qu’il se régale de son anus ; Danielle se baisse et cherche le fourreau qu’elle masturbe doucement ; la pointe rose de sa bite apparaît et son sexe grossit peu à peu, puis elle se couche sous le clébard et se met à le sucer en mode gorge profonde.
Je suis ébahi par l’aisance de Danielle qui semble avoir fait ça toute sa vie, alors que quelques gouttes de sperme chuintent de ses lèvres ; elle grogne de plaisir à chaque mouvement de sa bouche autour de la bite du chien qui est devenue énorme compte tenu de la taille de l’animal.
Sa fellation se termine et elle se tourne et se met à quatre pattes comme le ferait une chienne en chaleur. Le chien lui tourne autour, nerveux, s’arrête pour laper à grands coups de langue la mouille et les sucs de sa chatte et de son anus. Puis il grimpe sur ses reins et se met à vouloir l’enfiler maladroitement. Je vois la bite du chien se balancer dans tous les sens, giclant des gouttes de sperme transparent qui maculent les fesses et les cuisses de Danielle qui s’impatiente et me dit d’un ton fébrile :
— Mets-moi sa bite dans la chatte, vite, j’en ai envie, je veux la sentir au fond de mon trou.
Danielle est quasiment en transe, une fièvre sexuelle, une faim de sexe animal s’est emparée de son corps. Je ne la reconnais plus, bien qu’elle ait toujours eu un peu chaud aux fesses, je n’aurais jamais pensé qu’un sexe de chien la mette dans cet état.
— Merde, Yves, fourre-le-moi, putain ! alors que le chien continue à zigzaguer autour de sa foufoune.
Je m’empare de son énorme bite visqueuse et la présente devant sa chatte qui dégouline déjà. Le chien la perfore d’un coup sec qui la fait hurler, de plaisir ou de douleur, je ne sais pas. Il attaque pendant une petite minute une série de va-et-vient rapides qui arrache à sa partenaire des gloussements de bonheur, puis s’arrête. Je passe derrière le chien et j’aperçois une grosse boule rougeâtre qui bloque l’entrée de sa chatte ; le labrador et Danielle sont noués ; elle se masturbe le clitoris, éructe des mots et des sons sans aucun sens, tandis que des gouttes de sperme coulent sur ses doigts qu’elle porte à sa bouche et suce avec délectation.
Le chien a la langue pendante, essoufflé ; je me dis que ce chien a certainement déjà goûté aux joies de la chatte féminine auprès de sa maîtresse ; Danielle est dans un état second ; elle émet des sons qui ressemblent à ceux que j’entends quand elle jouit sous mes coups de boutoir ; aujourd’hui, c’est le chien qui la fait jouir devant moi ; malgré ou grâce à cela, j’ai une trique d’enfer et pendant qu’ils sont collés et inactifs, je présente ma bite devant la bouche de Danielle qui l’engouffre d’un coup, mais ce n’est pas elle qui me suce, mais moi qui la baise avec ma queue, voulant inconsciemment reprendre le contrôle. Je suis tellement excité que je ne tarde pas à éjaculer et elle avale mon sperme aussi goulûment que celui du chien tout à l’heure, jusqu’à la dernière goutte.
Le labrador commence à bouger, je me retire de la bouche de Danielle et me remets derrière lui et j’aperçois sa grosse boule qui semble vouloir sortir en même temps que j’entends Danielle pousser des petits cris et tout à coup lâcher un grand râle carnassier (c’est le cas de le dire) lorsque la bite du chien sort de sa chatte, accompagnée d’un flot de sperme dans un bruit de débouche évier. (Je sais, ça manque d’élégance et de romantisme, mais c’est vraiment ce que ce bruit m’inspire).

Pendant que le labrador se repose et se lèche la queue, Danielle est prostrée, essoufflée, anéantie, la tête dans l’herbe le cul en l’air, sans bouger ; le chien, voulant sans doute lui rendre un dernier hommage, revient nettoyer la chatte de Danielle et repart satisfait en remuant la queue (l’autre !).
Je reste à genoux, désarçonné, étourdi par ce que nous venons de vivre. J’ai devant moi le vagin largement entre-ouvert de ma femme qui dégouline encore de sperme animal ; en le voyant, mon pénis reprend de la vigueur et dans un élan vengeur, je prends la place du labrador et m’active comme un fou dans la chatte souillée et l’enfile avec ardeur ; elle m’est maintenant totalement soumise et ma bite vengeresse efface le passage de l’autre.
Comme une délivrance, j’entends Danielle me dire :Vas-y mon amour, baise-moi fort, ma chatte aime ta bite, inonde-moi de ton sperme, je t’aime ! Et nous jouissons tous les deux ensemble, d’une intensité rarement atteinte.Le retour en voiture est silencieux. Danielle pose sagement sa tête sur mon épaule, le regard dans le vague, sans mot dire ; j’aperçois ses cuisses marbrées de sperme, une odeur de sexe flotte dans l’habitacle.
Sitôt rentrés, nous prenons une douche ensemble ; je m’applique à savonner Danielle dans tous les recoins de son corps, puis à la rincer et à l’essuyer ; je palpe ce corps tant désiré avec tendresse ; je suis contrarié, mais pas en colère, je suis conscient d’avoir été excité cet après-midi, mais je veux que Danielle me confirme ce que j’ai deviné: qu’elle avait déjà baisé avec un chien, où, quand, comment.
Il fait trop frais pour aller sur la terrasse et nous nous installons au salon avec deux verres de Bourbon.Avant que j’aie le temps de mettre mes idées en place, Danielle vient se lover contre moi et me dit :
— Mon chéri, j’ai deviné que tu as compris que ce n’était pas la première fois que je baisais avec un chien. Et c’est vrai.— Je voulais te dire que je comprends que tu aies pris ton pied cet après-midi, mais...— Ne me coupe pas et laisse-moi tout te raconter. Il y a un peu plus d’un an, je suis allée chez Nicole après sa séparation d’avec Rémy. Elle était encore sous le choc de son départ et il y avait Flash, le Braque de Rémy qu’elle a gardé auprès d’elle qui était son seul ami ; elle m’a confié ce jour-là que ce chien et un gode de bonne dimension étaient les seules bites auxquelles elle avait eu affaire depuis cette date. J’étais un peu surprise, mais pas choquée et je la comprenais. Flash était à nos pieds, près du canapé...— Nicole, toi et Nicole... ?— Laisse-moi finir, s’il te plaît. Le chien a commencé à la renifler là où tu penses, puis il s’est intéressé à moi ; Nicole s’est laissée aller à écarter les cuisses, dans la foulée, j’ai fait de même et le chien nous a baisées l’une après l’autre. Je te passe les détails. Depuis lorsque je vais lui rendre visite, nous faisons l’amour avec Flash à chaque fois. Voilà, tu sais tout..., du moins l’essentiel.
Je bois une longue gorgée de Bourbon, histoire d’encaisser le choc. Je suis partagé entre frustration et désir. Mais après tout, comme j’ai tout de même bien joui tout à l’heure, je fais raisonnablement pencher la balance du côté de Nicole et de Flash. Et je lui réponds :
— Ma chérie, pourquoi ne pas m’en avoir parlé plus tôt ?— J’ai voulu le faire, mais j’avais honte, je l’avoue.— Ecoute Danielle, c’est vrai que tout à l’heure, j’étais à la fois contrarié, mais aussi très excité de te voir avec ce Labrador, mais de penser à toi, Nicole et Flash en train de baiser, cela me fait bander et m’excite encore plus.— C’est vrai, tu ne m’en veux pas ?— Mais non ! Par contre, tu sais ce que j’aimerai ?— Non !— Demande à Nicole si elle serait d’accord pour que la prochaine fois, je me joigne à vous.— Mon amour, voilà une idée formidable !
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