Après le dîner, Danielle a décidé d’appeler Nicole pour fixer un rendez-vous en vue de la rencontrer et savoir si elle est d’accord pour que je me joigne à elles... et à Flash. Nous sommes installés devant la cheminée et nous avons troqué le Bourbon contre une infusion. Danielle est vêtue d’un gros chandail qui tombe jusqu’à mi-cuisse et d’une paire de chaussettes assortie (petite culotte ou pas ?), je suis nu sous ma robe de chambre.Je demande à Danielle de mettre le haut-parleur, ce à quoi elle me répond : — Tu es certain que c’est une bonne idée ?— Je crois que oui !— Comme tu voudras. Danielle compose le numéro et Nicole décroche et dit : — Allo, c’est toi ma chérie, comment tu vas ?— Bien merci et toi depuis qu’on ne s’est vu ?— Pas trop mal, toujours un peu seule, mais je fais avec et c’est moi qui l’ai voulu. Je pensais justement à toi cet après-midi. Tu nous as manqué avec Flash ; on s’est fait une bonne baise et je me suis dit qu’il manquait quelqu’un. T’avoir à mes côtés dans ces moments-là ajoute à mon excitation et tu le sais bien.— C’est vrai ? Crois bien que je le regrette aussi ; mais de mon côté, figure-toi que j’ai eu mon compte également. — Qu’est-ce que tu me racontes, vous avez adopté un chien ?— Non, mais il nous est arrivé une drôle d’aventure à Yves et à moi. Laisse-moi te raconter.— Je t’écoute, je meurs d’impatience. Danielle raconte par le menu et avec force détails notre rencontre avec le labrador de A jusqu’à Z, mes interventions comprises, entrecoupées par des exclamations et interjections de Nicole du style « putain, les salauds », « vous ne vous êtes pas gênés », « oh ! la putain » « t’en a pris plein la chatte » etc. — Voilà, tu sais à peu près tout, conclut Danielle.— Eh ben mes cochons, on ne s’est pas ennuyé. Finalement, j’aurais aimé être avec vous plutôt que de baiser seule avec Flash. J’aurais pu l’amener avec moi, ça aurait fait une partouze chiens/femmes avec Yves comme arbitre !— Justement, à ce sujet, Yves m’a demandé s’il te semblait possible que la prochaine fois que je viens te voir, il puisse m’accompagner ?— Evidemment, c’est une super idée et d’après ce que tu viens de me décrire, ça nous ouvre des perspectives de baises intéressantes, non seulement je suis d’accord, mais j’en mouille d’avance.— C’est l’espoir de tripoter le pénis d’Yves qui te fait mouiller, petite salope. — Il doit y avoir un peu de cela, oui.
— Attends, il est à côté de moi, j’avais mis le haut-parleur, il a tout entendu, je te le passe.— Allo, Nicole, comment ça va ma belle ?— Salut Yves, tu dois savoir comment je vais puisque tu nous écoutais. Vous faites un beau duo de pervers !— En tout cas, vous écouter m’a donné une trique d’enfer. Tu vas bientôt faire sa connaissance, si Danielle est d’accord. A propos, quand peut-on venir te voir ?— Le week-end prochain serait bien, venez le samedi, vous dormirez à la maison. Quand je dis « dormir », c’est une façon de parler.— Beau week-end en perspective, OK, c’est sympa, merci Nicole. Mais devine ce qu’est en train de me faire Danielle ? — Je ne sais pas, elle te caresse la queue ?— Mieux, elle me la suce. Et elle y met beaucoup de ferveur ; elle titille mon gland avec sa langue quand sa bouche est au sommet et elle redescend en l’enfonçant presque en entier puis remonte tranquillement, un bonheur !— Arrêtez, vous êtes vraiment des salauds ; je suis toute seule, moi !— Va chercher ton gode, tu as bien dit à Danielle que tu en avais un. — Attendez-moi, je vais chercher Hector, et m’installer sur mon lit, je suis à vous tout de suite... Pendant ce temps, Danielle continue à me pomper la bite passionnément en salivant un maximum, ce qui ajoute à mon plaisir. — Voilà, je suis là, je mouille Hector avec ma salive et je vais me l’introduire dans ma chatte déjà bien trempée, nous dit Nicole. Danielle lâche un instant ma queue pour dire à Nicole : — Allez, ma chérie, enfonce-le doucement dans ta chatte, je vais me mettre au-dessus d’Yves et m’enfoncer sa bite dans ma foufoune et on va se faire jouir en cadence. Et les deux nanas se mettent à ahaner en chœur à chaque immersion de ma queue et de son gode dans leur grotte respective ; les entendre redouble mon érection et je sens ma bite à l’étroit dans sa gaine. Quel pied ! — Nicole, dit Danielle, ça va ?— Oui ma chérie, ça va, je commence à monter en puissance, Hector me fait du bien même si j’aurais préféré une vraie bite.— T’inquiète, samedi, je te prêterais celle d’Yves.— C’est vrai, tu es un amour. Tu peux me la décrire ?— Je préfère te laisser la surprise, tu jugeras par toi-même.— Tu es d’accord, Yves, me demande Nicole ?— Et comment ! Je me demande pourquoi on n’y a pas pensé avant. Finalement, si nous en arrivons là aujourd’hui, c’est grâce aux chiens, c’est dingue, non ?— Et au téléphone, ajoute Danielle qui s’agite de plus en plus autour de mon sexe, je sens et j’entends ses fesses claquer contre mes cuisses et au loin Nicole qui commence à couiner :— Je viens Danielle, je viens, dépêche-toi qu’on jouisse ensemble. Ah, ah... — Han, han, han !, est la seule réponse de Danielle. Mes deux petites salopes jouissent quasiment en même temps, seuls leurs halètements ont un son différent. Je me fais un peu attendre puis j’explose par jets saccadés dans la chatte de Danielle.Un grand moment de silence, puis Nicole nous demande la voix éteinte : — Eh, oh, il y a quelqu’un...? — On est toujours là, ne t’inquiète pas, répond faiblement Danielle.— Nicole, je vais lécher la chatte de Danielle et je regrette que tu ne sois pas là pour qu’on puisse partager mon sperme.— Tu me donnes envie, petit salaud, on se rattrapera samedi.— Hum, c’est bon, je vais donc le partager avec Danielle !— Veinarde, dit Nicole. On se ressaisit doucement après cette baise improvisée et ma foi super excitante. — OK les filles, on va essayer d’être raisonnables et ne pas trop baiser cette semaine en vue du week-end prochain, d’accord ?— Je vais être très sage, c’est promis, nous dit Nicole.— Je vais essayer, répond Danielle (pas vraiment convaincante et comme je la connais, c’est justement la perspective du week-end prochain qui va l’exciter un maximum), bisous, à bientôt.— Bisous mes chéris, à très vite.
