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Ma femme est zoophile..., mais pas que!

Chapitre 7

Labrador, le reour.

Zoophilie
Un samedi matin nous vidons le caddie dans le coffre de notre voiture sur le parking du supermarché du coin, lorsque Danielle me montre à quelques mètres un monsieur d’un certain âge qui tient un chien en laisse. Elle me dit :— Regarde, on dirait le labrador que nous avons rencontré dans la forêt l’autre fois !— Tu crois vraiment que c’est lui ?— Je veux en avoir le cœur net, je vais voir.— Et si c’est le bon chien et qu’il te reconnait ?— On verra bien.Danielle se dirige vers le monsieur et son chien et je la vois lui parler sans pouvoir entendre ce qu’ils se disent ; je vois le chien un instant désintéressé se rapprocher de Danielle, la renifler sagement, mais il semble s’obstiner et finit par s’approcher du l’entre-jambe de Danielle et essaie de soulever sa jupe avec sa truffe alors que son maître parle longuement à l’oreille de Danielle. Je vois Danielle acquiescer en rougissant et le monsieur lui tendre une carte.Danielle monte dans la voiture, semble perturbée, je lui demande ce qu’ils se sont raconté :— Je lui ai d’abord dit que nous avions rencontré son chien par hasard dans la forêt, il m’a alors demandé s’il avait été entreprenant, puis si j’avais fini par céder ; je lui ai dit oui, ce à quoi il m’a répondu que cela ne l’étonnait pas puisque chez lui il baisait souvent avec sa femme et a ajouté en me donnant son numéro de portable que si nous voulions mous pourrions venir chez eux pour faire plus ample connaissance. Ah, j’oubliais, il m’a aussi complimenté sur mon physique !— Ouais ! En gros il veut bien que tu baises avec son chien, mais il voudrait bien te baiser aussi.— C’est un peu ce que j’ai compris, oui.— Et tu en penses quoi ?— Je ne sais pas encore, je vais réfléchir. Autre chose, le labrador s’appelle Foot. Il doit donc être né la même année que Flash !— Et... ?— Rien, c’était juste une réflexion.Je démarre la voiture et en passant devant lui, l’homme nous fait un petit signe amical auquel Danielle répond.Cette histoire m’a un peu tourneboulé ; rentrés à la maison, les courses rangées, je sens mes bas instincts prendre le dessus et sans réfléchir je plaque Danielle contre le frigo lui baisse sa jupe et dit :— Tu sens ma main, imagine que c’est la truffe de Foot qui fouille ton string.— Oui chéri, je sens bien sa truffe !— Imagine que mes doigts qui caressent ta chatte et ton cul soient la truffe du chien.— Oh oui, oui je sens bien sa truffe me frotter la chatte et mon trou du cul et j’aime ça, putain !Je me baisse à hauteur de ses fesses :— Et ma langue qui te lèche le cul, c’est bien sa langue ?— Oui, vas-y Foot lèche-moi le cul, encore ! C’est bon, je mouille comme la salope que je suis !— Maintenant tu vas sortir la bite de Foot de son fourreau.
— Viens Foot, montre-moi ta bite, je vais te la sucer, je vais te la faire grossir, tu vas voir comme c’est bon ; ah ! mais elle est déjà énorme ta bite, mon beau chien. Je la lèche jusqu’aux couilles qui ballotent sous ton cul. Maintenant je vais te la pomper pour faire venir ton jus.— Imagine qu’il ait envie de t’enfoncer son pieu dans la chatte qui commence à être toute mouillée.— Mais oui Foot tu vas bientôt me perforer mon minou que tu as léché tout à l’heure, attend une seconde je vais me mettre en position de chienne en chaleur pour que tu me défonces. Viens maintenant donne-moi ta queue, Foot, vas-y mon chien, viens féconder ta pute de chienne. Ah, Foot, je sens les saccades de ta grosse bite dans ma foufoune et elle grossit encore ! Eh, mon gros chien tu m’astique à toute vitesse, je suis déjà toute mouillée, je jouis mon chien, bon dieu je jouis ! mais qu’est-ce que je sens, tu éjacules, vas-y envoie-moi tout ton jus Foot, ah putain, c’est bon ! Tu es un bon chien mon Foot, un bon chien, maintenant viens me nettoyer mon trou comme tu me l’as fait l’autre jour !— C’est bien la langue du chien qui va te nettoyer ?— Oui, c’est bien elle, récupère ton sperme qui coule, Foot et viens me lécher la bouche !Et je m’approche de la bouche de Danielle pour l’embrasser comme une bête.Légèrement troublés par l’outrance et la bestialité de la scène que nous venons de vivre, elle nous montre cependant comment Danielle et moi sommes maintenant accros à ce type de relation.Nous avons pris le temps de réfléchir pendant la journée, mais le soir, l’insistance de Danielle pour baiser à nouveau avec Foot a fait pencher la balance et elle appelle le propriétaire du chien.Quinze jours plus tard, lorsque nous sonnons à leur porte c’est un couple d’une soixantaine d’années qui nous ouvre, lui plutôt avenant aux manières surannées du beau parleur, elle, plus effacée, voire timide. Tous deux ont encore physiquement belle allure bien qu’ils soient habillés très modestement. Ils habitent un petit pavillon à la sortie de notre ville avec un beau jardin bien entretenu.Installés dans le salon, les présentations faites, elle s’appelle Hélène, lui Henri (si c’est comme pour les chiens de race, ils doivent être de la même année..., je plaisante !), Hélène nous sert un Porto dans des petits verres ridicules avec dans une boîte en fer, des langues de chat ! On se croirait chez nos arrières grands-parents. Que sommes-nous venus faire dans cette galère ?Deux canapés identiques se font face, Danielle et Henri sur l’un, Hélène et moi sur l’autre. C’est Henri qui aborde le premier le sujet qui nous intérresse en demandant à Danielle dans quelles circonstances nous avions rencontré Foot. Elle raconte dans les moindres détails, comme elle sait si bien le faire, notre rencontre avec le chien ce qui a pour effet de faire monter la tension sexuelle d’un bon cran. Je me rapproche insensiblement d’Hélène, ses joues s’empourprent et j’ose lui poser une main sur sa cuisse ; elle sursaute légèrement mais s’enhardit à copier mon mouvement, ses joues cette fois étant écarlates. Danielle, beaucoup moins farouche, a déjà la main sur la braguette d’Henri qui n’en demandait pas tant, mais elle dit :— C’est d’abord pour baiser avec Foot que nous sommes venus !— Oh oui pardon, dit Henri, je vais le chercher, il est derrière la maison dans sa niche. Danielle en profite pour venir s’asseoir de l’autre côté d’Hélène et plonge directement son bras dans son entre cuisse et frappée de stupeur elle s’aperçoit qu’elle n’a pas de culotte !— - Eh bien Hélène, on a oublié de mettre sa petite culotte ce matin ? Ou alors vous êtes une petite salope malgré votre timidité ?— Je..., je suis une..., une salope Danielle, avance ta main jusqu’à mon clitoris et branle-moi ! et toi Yves montre-moi ta bite.Je suis sur le cul, cette femme effacée a bien caché son jeu, mais puisqu’elle me le demande je sors ma bite qu’elle engouffre à demi-molle dans sa bouche. Henri revient avec Foot et nous dit :— Je vois qu’Hélène n’a pas tardé à vous montrer sa véritable nature !— Je l’ai un peu aidé, lui répond Danielle.Foot s’invite à la fête en plongeant lui aussi sa truffe sous la robe d’Hélène que Danielle a commencé à déboutonner ; Mais Danielle qui n’a pas l’intention de se faire doubler se dénude également et présente sa chatte grande ouverte qu’elle écarte de ses doigts à la truffe de Foot qui délaisse sa patronne. Je la vois déçue et pour la distraire je me précipite pour remplacer Foot et la lécher à sa place ; de peur de me perdre aussi elle tient fermement ma tête contre elle pendant que je lui insère deux doigts dans sa chatte et un dans son cul ; du coin de l’œil je vois Danielle sucer alternativement la bite de Henri et celle du chien ; de mon côté Hélène se trémousse sous les assauts de ma langue et de mes doigts et me demande :— Viens, allonge toi, je vais venir me planter sur ta belle bite !Sitôt dit, sitôt fait, je vois les seins encore bien fermes d’Hélène se balader au-dessus de moi et sens sa chatte rasée s’enfoncer sur ma queue et commencer des va et vient toniques ; à mon grand étonnement je l’entends demander à Henri :— Henri, viens aussi me pilonner ma chatte, j’ai envie de vos deux bites en même temps.Henri s’exécute et je sens sa queue s’appuyer sur la mienne pour perforer la grotte de sa femme et la pénétrer assez facilement ; sentir la bite d’Henri frotter la mienne me fait un effet bizarre mais plutôt agréable et Hélène qui a maintenant la chatte écartelée par ces deux bites apprécie pleinement si j’en crois ses cris aigus et saccadés. Danielle aussi pousse des cris plus feutrés et plus sourds et en tournant la tête je vois que Foot est en train de la ramoner à vitesse grand V ; nos yeux se croisent et s’interrogent sur nos jouissances fiévreuses respectives.De par ma position, je suis plutôt passif alors qu’Henri pistonne Hélène comme un malade et ça me donne l’impression bizarre que sa bite me masturbe ; sa cadence l’amène à l’éjaculation assez rapidement et Hélène et moi sentons le sperme se déverser dans et sur nos sexes ; lorsqu’Henri se retire je le vois présenter sa queue devant la bouche de Danielle qui l’engloutit de nouveau ; Hélène quant à elle s’acharne à nouveau sur mon pieu, des tremblements et surtout des cris annoncent un orgasme que j’accompagne d’une éjaculation copieuse ; lorsqu’Hélène se relève nos spermes mêlés s’échappent de sa chatte encore grande ouverte. Quant au chien il est cette fois noué à Danielle, mais il a sans doute voulu se tourner et tous deux se retrouvent cul à cul ; c’est une position cocasse et un peu ridicule qui me fait sourire ; Danielle encaisse sans doute les secousses de la bite du chien qui lui asperge sa caverne ; Hélène décidément bien salope s’approche de leurs fessiers et lèche à la fois le cul de Danielle et la boule de Foot. Henri, assis sur le canapé se tripote la queue, un peu minable, ce qui me rappelle les acteurs de film porno qui se branlent en attendant leur tour, (enfin, quand je dis « acteurs », ce n’est sans doute pas le terme approprié). Comme je le vois se focaliser sur mes attributs et les regarder avec concupiscence, je préfère m’esquiver et lui demander où sont les toilettes ! Côte à côte dans la chatte d’Hélène, à la rigueur, mais face à face devant Henri seul, non merci !J’ai pris tout mon temps aux WC et lorsque je reviens la situation a changé ; Danielle et Foot se sont libérés et les deux femmes nettoient consciencieusement sa queue tandis qu’Henri baise Danielle en levrette, lui qui devait en rêver depuis un moment ; le chien qui bande toujours ne va certainement pas tarder à chevaucher Hélène et à ma grande surprise Hélène dirige la queue de Foot vers son anus qu’il pénètre sans difficulté et au bout d’une minute la rosace complètement dilatée d’Hélène bloque la boule du chien. Incroyable, cette femme est vraiment hors norme ; les femmes sont côte à côte, je me mets en position pour qu’elles me sucent l’une et l’autre ; la vision d’Henri face à moi baisant ma femme en levrette ne me remplit pas de joie, bien qu’elle ait l’air d’apprécier, et mon sexe a plutôt tendance à ramollir. Je préfère me retirer de la bouche de ces dames et aller me rhabiller ; le dos tourné je les entends les uns après les autres pousser des soupirs, des geignements, des cris de jouissance auxquels je reste insensible. Il me tarde de quitter cette maison : le mobilier, les papiers peints, les verres à Porto, les appétits d’Hélène, Henri avec Danielle, tout cela me déplaît profondément maintenant. Les bacchanales terminées, je prétexte un rendez-vous et invite Danielle à se rhabiller ; nous quittons poliment mais prestement cet endroit.Dans la voiture Danielle m’interpelle :— Tu ne crois pas avoir été impoli avec ces gens ?— J’ai sans doute été un peu brusque, mais je ne supportais plus cette ambiance ; dorénavant, tu pourras revenir chez eux si tu le souhaites, aller voir Gisela, ou qui tu voudras, moi je resterai à la maison.— - Pas la peine de te mettre en colère ! Ces gens nous ont reçus gentiment, même s’ils sont un peu rétro, et nous sommes partis comme des voleurs !— Ok Danielle, on ne va pas en faire un drame, je te le répète très sérieusement : je te laisse libre de faire comme bon te semble, je ne peux pas te dire mieux ! Ce genre de truc ne me dit plus rien, c’est tout.— D’accord chéri, mais je risque de te prendre au mot.— Eh bien, je prends le risque.Je suis conscient d’être un peu pervers et manipulateur: lorsque je laisse Danielle libre de ses mouvements, mon arrière-pensée va vers Nicole que je compte bien retrouver seule quand Danielle prendra sa liberté !
Les mois qui suivirent cette période quelque peu mouvementée ont vu les évènements se précipiter. La promesse que nous nous étions fait Danielle et moi dans notre voiture au retour d’une aventure canine a volé en éclat.
Au cas où, j’avais demandé à Nicole de décliner toute invitation ; Danielle a voulu poursuivre ses escapades canines et bisexuelles, on peut d’ailleurs dire aujourd’hui lesbiennes, notamment chez Gisela. Ces deux-là ont fini par s’installer ensemble chez Gisela et aux dernières nouvelles tout va bien pour elles..., et Magnum.
Dès lors, pour Nicole et pour moi, l’horizon s’éclaircissait, rien ne s’opposait à ce que nous puissions enfin nous réunir. Rémy, son ancien compagnon, est venu récupérer son chien. Malgré le trajet quotidien que cela m’impose, je me suis installé chez elle et nous y vivons le parfait amour.
Ainsi va la vie !
FIN













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