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ma femme fait de moi une vraie salope soumise...

Chapitre 1

Gay
Vous avez été nombreux à me demander la suite... alors je m’exécute...
Je me suis fait baiser par un homme devant ma femme... c’était tellement bon que j’avais prévu de renouveler cette aventure au plus tôt, mais je ne me doutais pas de la tournure qu’allait prendre ma vie...Une petite semaine après ma baise torride avec un beau mec mûr, ma femme rentra du boulot un soir, et disparut dans la salle de bains, pour en ressortir plus sexy que jamais ; string en dentelle noir, talons et bas nylon... super excité, je la saisis par la taille, et commençai à l’embrasser en lui caressant le cul... je bandais comme un fou... mais son ton changea d’un coup...
— Tu penses que tu vas me baiser ?— Bien-sûr lui dis-je, j’en meurs d’envie...— Eh bien non petite salope, c’est l’inverse qui va se passer...
Tiraillé entre étonnement et excitation, je ne savais pas trop comment réagir. C’était elle ma petite chienne, et pas l’inverse, mais je ressentis une montée d’excitation à l’idée de lui obéir... après tout, elle m’avais vu, et aavais même participé, lorsque je m’étais fait baiser comme une femelle en chaleur.
Elle reprit de plus belle...
— Désormais quand je le déciderai, tu seras ma chienne. J’ai acheté un gode ceinture sur internet...
Je n’en revenais pas ; elle avait prémédité cet instant, elle s’était déjà projetée sur ce jour où elle allait me prendre, sans m’en parler...Elle fit un aller-retour dans notre chambre, et revint avec ce gode. Il me paraissait énorme ; j’avais même l’impression qu’il ne rentrerait pas dans mon cul...
— A genoux, m’ordonna-t-elle.
Je m’exécutai. Elle s’approcha de moi, et me l’enfonça tout doucement dans la bouche. Je commençai à le sucer, timidement, puis ma perversion prit le dessus, et je le pris en bouche comme si c’était un sexe d’homme que je voulais faire exploser...Elle le sortit de ma bouche, l’enfila, et me l’y remit. Son bassin ondulait, créant un va-et-vient dans ma bouche devenue glissante, et cette queue par dessus son string semblait vraiment être la sienne. Quelle sensation bizarre de sucer sa femme... mais elle n’était pas plus déroutante que celle de se faire enculer devant elle...
— Regarde-moi dans les yeux quand tu me suces, me dit-elle.
Je la regardai, avec un air de petite chienne soumise, et dans son regard lubrique, je décelai de la satisfaction, et de l’excitation. Rien de tel pour me faire bander de plus belle.Puis elle se plaça derrière moi, me défit mon pantalon, et baissa mon caleçon. J’étais au milieu du salon, à quatre pattes, pantalon baissé, et le cul offert à sa vue. Je sentis couler du gel froid, puis son doigt. Elle le fit entrer et sortir... puis en mit un deuxième, et commença à me doigter... je commençais à bouger doucement sous ses caresses...
— Tu aimes ça te faire doigter petite cochonne hein ? — Oui, lui répondis-je, haletant...— J’ai envie de te faire crier, de te faire mal...
Cette phrase résonna en moi, et me fit un peu peur, mais très vite, je me remis en tête que ma femme, si douce, ne me ferait pas mal... vous allez voir que j’étais complètement à côté de la plaque...Elle m’ordonna de me lever, et de me mettre à quatre pattes sur le canapé. J’obéis sans réfléchir. Puis je sentis son gode à l’entrée de mon cul, déjà lubrifié par ses doigts ; elle entra d’un coup, m’arrachant un petit cri ; je pouvais désormais sentir le cuir de sa ceinture contre mon cul ; elle m’enculait profondément. Puis elle effectua quelques allers-retours en douceur, et d’un coup, je sentis les coups de sa queue de plus en plus forts. Son bassin venait frapper mon cul, de plus en plus fort, et de plus en plus souvent. Je sentis m’envahir une sensation de chaleur étrange, et je me mis à gémir sous ses assauts. Elle m’encula comme ça un très long moment.
— Alors, tu aimes ça quand je te baise ?— Mmh...— Alors, montre-le-moi, bouge ton cul de petite salope...
Je me mis à bouger mon cul, en gémissant, car elle commençait à me faire mal ; ses coups étaient de plus en plus prononcés, et mon cul, tout ouvert, recevait entièrement son gode.
— Je voudrais faire une petite pause mon amour, lui dis-je.— Tu rêves, je n’en ai pas fini avec toi. Mets-toi sur le dos !
Maintenant sur le dos, le cul brûlant, je me faisais prendre en missionnaire. C’était plus agréable ; j’avais ses seins dans le visage, et dans ce sens, son gode stimulait encore plus mes sens.Je tentais d’attirer son visage vers le mien pour l’embrasser, mais elle résista, et en lieu et place, me mit ses doigts dans la bouche. Je me mis à les sucer, sous ses coups de bite. Elle me regardait avec autorité, et me baisait sans ménagement. Je sentis même la jouissance monter, tant sa situation de domination était excitante. Je lui appartenais ! Elle avait là entre ses cuisses mon plus grand secret, et je ne pourrai plus jamais faire marche arrière ; quand elle voudra me prendre le cul, désormais, je devrai m’y soumettre. Cette sensation de perdre pied, de perdre mon rôle et ma virilité était délicieuse ; je me laissais aller devant elle à ce que j’aimais être.
— J’ai envie de jouir, lui dis-je.— Non, tu ne jouiras pas...— Pourquoi ? — Mon patron passe ce soir...— Je ne vois pas le rapport...— Moi si ; c’est un homo, et je lui ai dit que mon mec aimait la queue ; cela l’a beaucoup intéressé. Et depuis qu’il a vu ta photo, il ne cesse de me demander de te rencontrer...
Je connaissais bien son patron ; un mec d’une quarantaine d’années, patron de salon de coiffure, soucieux de son physique, viril, mais à l’homosexualité flagrante et débridée.
— Et toi tu lui as dit oui, sans même me demander ?— Oui, et ça sera désormais toujours comme cela ; quand je déciderai qu’un mec va te baiser, il te baisera. Et quand je déciderai de te baiser, tu obéiras. Et ce soir, il va te baiser devant moi, c’est ce que nous avons tous les deux prévu pour toi.
En me parlant, elle sortit de mon cul en douceur... j’étais frustré, je voulais jouir, je voulais encore sentir ses coups de queue en moi, mais je compris que c’était son but ; me laisser sur ma faim, pour que sa salope de mari soit plus chienne encore pour son patron ce soir. Ma femme refit un aller-retour dans la chambre, et revint cette fois avec un petit plug anal noir dans une main, et un string dans l’autre. Elle m’inséra en douceur le plug dans le cul, puis m’ordonna de mettre le string. La ficelle du string retenait le plug en moi.
— Rhabille-toi, me dit-elle, nous allons faire deux trois courses...— Comme ça ?— Ben oui comme ça, ça m’excite de savoir que mon mec, à l’air viril, se balade avec un string et un gode dans le cul, et puis comme ça, tu seras prêt pour ce soir...
La sensation d’inconfort dura quelques minutes, puis je finis par m’accommoder de l’accessoire et de la situation ; c’était même agréable ; je sentais comme une queue dans mon cul à chaque pas, et le regard de ma femme derrière moi me rappelait ma condition de mec soumis, désormais condamné à assumer mon goût autrefois secret pour les queues.
Nous sortîmes ainsi faire les courses. De temps en temps, ma femme passait sa main sur mon cul, titillait un peu la zone. J’oscillai entre plaisir, et sensation que mon string se voyait à travers mon pantalon. J’aimais cela.
De retour à la maison, ma femme me dit :
— Dans une heure, Julien est là, tu vas l’accueillir comme il se doit.— C’est-à-dire ?— C’est-à-dire comme une femelle accueille son mâle ; tu vas lui rouler une grosse pelle en lui touchant la queue pour le saluer...— D’accord... je peux retirer le plug ?— Non, je ne te l’enlèverai que pour y mettre sa queue... ou la mienne, car ce soir, on va te baiser à deux...
Je ne rêvais pas ; j’allais me retrouver sous les assauts jumelés d’elle et de son boss. A l’appréhension se mêla le désir...
Je vous raconterai cela lors d’une autre histoire, car ce fut une soirée mémorable, où j’ai hurlé de plaisir, et où je me suis retrouvé la queue dans la chatte de ma femme, et celle de son boss dans le cul...
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