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Femme au foyer chamboulée

Chapitre 3

Erotique
Je coupe la conversation et pars me coucher. Il est dans le lit mais endormi alors que je suis en feu. J’ai l’impression d’avoir 18 ans et que je découvre à nouveau mon corps. Personne n’est là pour éteindre ce feu, je vais m’en charger moi-même. Depuis le temps, je me connais si bien qu’il me faut peu de temps avant de gémir de plaisir. J’attrape la brosse à cheveux à proximité et fais coulisser le manche sur mes lèvres. Je me retrouve à 4 pattes juste à côté de mon mari. L’excitation de cette soirée associée à celle de peur de se faire surprendre augmente mon plaisir. J’ai rarement été aussi excitée toute seule. Le manche glisse et frotte lèvres et clito, plus je frotte et plus le manche coulisse jusqu’à mes fesses. J’en ai envie et personne n’est là pour me retenir. C’est fait, le manche s’appuie de plus en plus sur mon petit trou. Je ne sais si c’est fait exprès, mais le manche ressemble à un petit pénis. Sa forme se termine par un demi-cercle.
Il est poisseux de ma mouille et à force de chercher, il trouve à entrer un tout petit peu dans mes fesses.
Je suis la tête écrasée sur l’oreille, une main sur mon clito l’autre à se tenter le diable avec ma brosse. Je deviens dingue, je me sens salope, mais je ne peux m’arrêter, le plaisir est fort. Encore quelques secondes de ce traitement et mes mains abandonnent toutes activités quand mes jambes ne tiennent plus et je m’étale de tout mon long dans le lit. C’était bon, très bon.
Le temps de passer à la salle de bain, un peu d’eau fraîche sur le visage et je pars me coucher. Le sommeil ne vient pas tout de suite, le sexe a pour habitude de me réveiller au contraire de beaucoup d’hommes. Du coup, j’en profite pour prendre mon téléphone, je suis sur Facebook, je parcours mon fil et je tombe sur une publicité pour une société spécialisée dans les alarmes, la publicité met en scène un cambrioleur qui pénètre dans une maison alors que les habitants sont sur place en plein sommeil. Immédiatement, je repense à mon expérience. Je parcours mes emails et je retrouve celui de mon cambrioleur. Je clique sur répondre :
"Cher Monsieur,pourquoi avoir choisi ma maison ? Pourquoi maintenant j’ai peur de retrouver quelqu’un dans ma maison ? J’ai l’impression que vous ne mesurez pas l’impact que vous pouvez avoir sur nos vies juste pour quelques bijoux. " J’envoie, je n’attends pas de réponse, mais je me dis que cette thérapie par l’affrontement marchera peut-être. Je poursuis ma navigation et commence à regarder les photos de mon téléphone quand je reçois une notification. Il a répondu à mon email.
"Chère Madame,Je vous prie de m’excuser pour le sentiment d’insécurité qu’il subsiste chez vous. Cependant, vous n’avez pas idée de la valeur du " bijou" que j’ai récupéré lors de ma dernière venue. Vous êtes hantée par le retour d’un cambrioleur, pour ma part je suis hantée par cette expérience qui m’a subjugué. Je n’ai jamais pris autant de plaisir avec une femme que ce soir-là, alors qu’il n’y a eu aucune interaction. Encore aujourd’hui, j’ai votre culotte à mes côtés, mais l’odeur s’est estompée. Votre email a réveillé ce souvenir si agréable et cette envie irrépressible de recommencer. J’ose espérer qu’au-delà de ce sentiment d’insécurité, vous retenez de mon passage un certain plaisir."
— Cela ne vous regarde pas, ma réponse est sèche, il a raison, mais je n’ai pas envie qu’il pense à une invitation. Je veux garder le contrôle.— J’étais sûr que quelque chose de spécial s’était passé cette nuit. Votre réponse me plaît, je comprends que j’ai été dans vos retranchements la dernière fois et je m’excuse de la brutalité de cette rencontre, mais j’ai la forte impression que c’est cette brutalité qui vous a amené à ce plaisir. Auriez-vous la transparence de me donner l’état de votre culotte à cet instant ? De mon côté, je bande à n’en plus pouvoir d’imaginer recommencer notre jeu.
Je suis partagée, je ne sais pas quoi faire. Je n’ai pas même pas besoin de regarder, je sais que ma culotte est trempée et mes jambes se frottent entre elles pour accentuer le phénomène. Je décide de ne pas répondre et je pose le téléphone. Mais la diode de notification s’allume, je retourne le téléphone, mais j’ai besoin de savoir. Il m’écrit à nouveau.
— Tu as envie de voir l’état dans lequel tu me mets ? Parce que j’ai très envie de te montrer et j’ai encore plus envie de voir ta culotte ! Si tu ne réponds pas, c’est que tu n’y vois pas d’objection et je te l’enverrai. J’espère que tu as des culottes de rechange.
Que faire ?! Je suis bloquée entre lui répondre à nouveau ou l’ignorer avec en prime la photo de son sexe. Il me tutoie, j’ai envie. Mon corps entier le demande, mais ma morale résiste encore, tant bien que mal. Je lui réponds "Pas intéressée".
— Je n’aime pas les menteuses, pour te punir, tu dois m’envoyer une photo de ta culotte à l’instant !
Son email est accompagné par une image en pièce jointe. J’hésite qu’un instant avant de cliquer. Un sexe ni trop gros ni trop petit, une jolie taille, mais il est visiblement très excité, du pré-sperme et largement visible sur la photo. Je suis en train de zoomer sur son gland. Mais pourquoi suis-je si excitée, c’est juste une bite. Ca n’a rien de beau en soi et pourtant je fonds. Ma main descend et pendant que je regarde ce sexe, je carresse mon clito. Mon agresseur doit trouver le temps long, car la diode clignote à nouveau.
— Je suis brusque parce que je suis sûr que tu y trouves du plaisir. Et je préfère te laisser le choix. Soit tu m’envoies une photo de ta culotte avec ta jolie chatte que j’ai très envie de manger, de lécher, d’aspirer ton clito soit tu te touches à travers ta culotte et tu me laisses ta culotte demain matin. Et je suis sûr que tu es déjà en train de te toucher. Tu es cochonne, au fond de toi, tu le sais.
Putain il a tellement raison, je ferme le mail et je regarde à nouveau son sexe et je me finis dans un râle dissimulé dans la couette pour éviter de réveiller mon gentil mari qui dort inlassablement pendant que sa cochonne de femme se branle sur la photo du sexe d’un inconnu. Quelle salope je fais et ce qui me fait le plus mal c’est que j’aime ça, j’aime cette situation inédite.
— Vous trouverez ma culotte sur la boîte aux lettres demain matin dans une enveloppe. Merci de me rendre l’autre.— Parfait, tu es une belle petite cochonne. Frotte-la bien, je veux tout récupérer !— Pas besoin, elle est déjà trempée.— Tu me fais tellement bander, j’ai hâte de recevoir ton cadeau !
J’ai chaud, je suis rouge, partagée entre la honte et la joie de ma situation. J’ai hâte de déposer mon cadeau, hâte de revenir du travail et espérer qu’il ait récupéré le paquet, hâte d’avoir à nouveau de ses nouvelles. Comme une gamine qui attend son jeune amoureux.
Lendemain matin, mon mari est déjà parti, je pars avec les enfants avant de rejoindre le travail. Je dépose sur la boîte la lettre, je regarde autour de moi par réflexe, mais rien à l’horizon qui pourrait ressembler à mon cambrioleur. La matinée se passe, à la pause déjeuner je reçois un email de spotify pour mes goûts musicaux. Pff j’ai du mal à le reconnaître, mais je n’attends qu’une chose qu’il m’écrive pour me dire qu’il a bien reçu mon cadeau et qu’il en fait bon usage. Ce n’est que quelques minutes plus tard que cette fois le mail vient de mon expéditeur. Je m’écarte un peu pour éviter que quelqu’un me voie, j’ai le sourire jusqu’aux oreilles, mon cœur s’emballe et je tremble un peu. J’ouvre l’email avec une pièce jointe.
— Aaaaaaaaaaah si tu savais depuis combien de temps j’attendais ça, ta chatte a une odeur divine. J’ai tellement envie de te la bouffer, tu n’as pas idée. Merci, ma salope, je t’ai également fait un petit cadeau, écris-moi quand tu l’auras essayé.
La pièce jointe est une photo, dessus on voit mon jardin avec un colis.Je ne relève pas les mots crus et j’avoue y trouver un peu de plaisir. L’après-midi semble longue, je n’ai qu’une idée en tête, découvrir son cadeau ! Il est l’heure de partir, je fonce à la maison, les enfants sont dans le jardin avec leur père, je discute rapidement et je ne pense qu’à ça. Je me libère et fonce récupérer le colis que j’emporte à l’intérieur dans mon sac à main. Les filles me rejoignent, je n’aurai pas l’occasion de l’ouvrir avant qu’elles soient au lit. Mince, je me fais une raison et je les accompagne à la douche - repas - lecture - calins et dodo. Mon mari part quelques minutes plus tard, je m’efforce de faire semblant d’être triste de me retrouver seule. Une fois toute la famille couchée et pendant que mon mari dort, je récupère mon précieux. Je me dirige vers la cuisine, prends un ciseau et découpe avec soin le scotch tout autour, je l’ouvre délicatement.
Dedans j’y trouve une petite boîte blanche que je sors, pas plus grande qu’une boîte d’allumettes, je n’ai aucune idée de ce qu’elle contient. Je l’ouvre tout aussi délicatement que le colis et j’en sors un bouchon de bouteille de vin en métal. Je suis interloquée, je ne comprends vraiment pas le message derrière ce cadeau, je compte bien avoir des explications dans la soirée, car vraiment je suis déçue. Je pose l’objet et regarde s’il y a autre chose dans le colis, en dessous je trouve une enveloppe. J’y retrouve ma culotte volée il y a quelques mois, je souris bêtement alors qu’il s’agit d’une culotte banale, enfin d’apparence, car quand je l’ouvre, une trace blanche immacule le fond. Pas de doute sur sa provenance, je me surprends à sentir et à même goûter du bout de la langue. Rien d’exceptionnel, mais l’émotion me prend et je retire ma culotte actuelle pour la remplacer par celle-ci.
Je rejoins le canapé avec mon téléphone et j’écris un message immédiat à mon cambrioleur.
— Merci, j’ai bien récupéré ma culotte même si elle n’est pas de première propreté, j’ai décidé de la porter ce soir.
Rien pas de réponse, au bout d’une heure, je me décide à lui écrire à nouveau.
— Eh bien, tu es occupé ?
22h encore rien, je me remets en question. Pourquoi est-ce que j’insiste ? Est-ce qu’il a trouvé une meilleure occupation ? Pourquoi j’ai l’impression d’être abandonnée ? Je me lance dans une série Netflix, mais le cœur n’y est pas, j’ai le téléphone en main et même s’il ne vibre pas, je continue à le regarder à une fréquence trop importante pour être considérée comme normale.23h30, déçue je pars me coucher. Je dors mal et à chaque semi-réveil, je regarde mon téléphone, mais toujours rien. Est-ce la fin d’un jeu trop court ? Je me réveille du pied gauche et démarre une journée que je trouve bien monotone. Pas d’axe d’amélioration le reste de la journée qui s’enchaîne sans réel but. Mes filles arrivent à obtenir des sourires et mon mari tente tant bien que mal de me remonter le moral sans comprendre la raison. Comme hier, le coucher s’organise selon le même rituel et à 21h je suis sur le canapé seule à regarder les réseaux sur mon téléphone. Un mail arrive peu avant 22h, c’est lui.
— Bonjour, ton cadeau te plaît ?
Quel toupet ! Il me laisse seule après m’avoir excité toute la journée avec son cadeau et il me parle son couvre bouteille. Je suis énervée et lui fais savoir.
— Bof, je ne vois pas ce que je vais en faire.— Il n’y a pas 50 solutions, c’est un plug, insère-le. J’espère que tu m’enverras des photos...
Un plug ? Je fais une rapide recherche sur internet. Quelle idiote, je ne connaissais pas... Je n’ose pas lui dire que j’avais confondu avec un bouchon de bouteille. Quelle niaise je fais ! Je vais chercher l’objet en question que j’avais nonchalamment rangé dans le tiroir à couvert. Je me voyais mal expliquer la situation si mon mari l’avait trouvé avant moi. Je me résigne à lui écrire que je n’avais pas compris l’utilité de cet objet et que je n’ai jamais utilisé de tel objet. Il me répond un long message sur son utilisation et ce qu’il attend de moi.En quelques minutes, je suis ses explications et me retrouve rapidement à jouer avec sur mon clito puis à l’insérer dans ma chatte pour ensuite utiliser la mouille pour faciliter la pénétration dans mes fesses. L’objet n’est pas très large et je n’éprouve pas de difficulté particulière à l’insérer. Ce que j’éprouve par contre c’est une sensation étrange, un léger plaisir continu très agréable.
— Merci pour ce beau cadeau Monsieur, sachez qu’il est bien au chaud !— Garde ton téléphone près de toi demain entre 12h et 14h et surtout emporte l’objet dans ton sac demain ! Bonne nuit, ma petite salope, ne mouille pas trop ta culotte.— A vos ordres.
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