Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 358 J'aime
  • 2 Commentaires

Ma femme et les bergers

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Mon épouse et moi-même sommes un couple de 35 ans, heureux dans la vie, mais dont la vie sexuelle est loin de me convenir, et c’est un euphémisme. Nous faisons l’amour environ 2 à 3 fois pas mois, et toujours de manière très conventionnelle. Pas de fellation, encore moins de sodomie, le calme plat quoi. J’ai souvent demandé à mon épouse plus de relations, plus de variations et une fin de non recevoir est venue ponctuer chaque fois ces demandes. Et quand j’avais évoqué mon fantasme de la voir prise par d’autres hommes, j’ai été à ses yeux catégorisé parmi les malades mentaux.
Et pourtant mon épouse a tout pour l’amour. Pas très grande, ses formes sont pleines, une superbe poitrine, des hanches rondes et une magnifique chevelure rousse entourant un très joli visage, ce qui ne gâche rien. Mais bon apparemment le sexe n’est pas vraiment son affaire, ce qui me navre un peu plus chaque jour.
Nous étions il y a quelques semaines partis en vacances dans les Pyrénées, laissant nos deux enfants à leurs grands parents, dans l’optique de faire des ballades en montagne. Nous dormions à l’hôtel dans un petit village de la vallée.
Ce matin là nous sommes partis relativement tôt, emportant un petit sac à dos avec un pique nique et deux gourdes d’eau. Il faisait déjà très chaud, et nous avions opté pour une tenue très légère, short et tee-shirt, et bien sur chaussure de marche. Mon épouse portait un short de marche blanc, un peu transparent et un léger tee-shirt de la même couleur.
Nous avons marché une bonne partie de la matinée, puis vers 13h nous nous sommes arrêtés au bord d’un petit ruisseau pour pique-niquer. Après une courte sieste (malheureusement pas crapuleuse), nous sommes repartis vers les hauteurs. Peu de temps après nous passâmes devant un refuge, vide à cette heure de la journée. Je proposais sur le ton de la rigolade à mon épouse d’essayer les lits du refuge et d’un ton sec elle me répondit que je disais n’importe quoi. Nous repartîmes donc vers le col qui devait être le but de notre randonnée.
Peu avant l’arrivée au col, de gros nuages noirs commencèrent à monter de derrière la montagne et mon épouse souhaitait que nous rebroussions chemin avant que l’orage n’éclate. Comme nous n’étions qu’à une ½ h du col, j’insistais fort pour y aller quand même et à force de persuasion mon épouse accepta. Arrivés au col, la vue était magnifique, mais les premières gouttes de l’orage nous touchèrent. Le tonnerre gronda très fort et des éclairs zébrèrent le ciel. Nous nous hâtâmes donc de redescendre sous des trombes d’eau. On n’y voyait pas plus loin que 15 m, heureusement que le sentier était bien balisé. Arrivé au bord du ruisseau auprès duquel nous avions pique-niqué, nous nous rendîmes rapidement compte que celui-ci était transformé en torrent. La colère de mon épouse se déversa alors sur moi, elle me dit que tout cela n’était que de ma faute, qu’on aurait du descendre plus tôt.Nous nous sommes donc disputé de manière assez violente, comme on peut le faire quand on est fatigué et dans une situation délicate. Je lui ai dit qu’elle faisait ce qu’elle voulait, mais que moi je retournais au refuge entrevu plus tôt pour y passer la nuit. Et sur ces paroles je partais sur le chemin en direction du refuge. Au bruit que faisaient ses chaussures sur le chemin, je savais qu’elle me suivait mais je ne me retournais pas. J’étais très en colère après elle.
Quand j’arrivais au refuge, celui-ci était occupé par un groupe de bergers espagnols. Ils me saluèrent puis restèrent bouche bée. Surpris pas leur réaction, je me retournait et voyait mon épouse qui venait d’entrer dans le refuge, trempée de la tête au pied. L’eau avait rendu ses vêtements entièrement transparents, et non seulement on voyait se parfaitement se dessiner sa poitrine, avec ses grosses auréoles sombres et ses tétons érigés par le froid, mais son short et sa culotte blanche ne cachaient absolument rien de son anatomie. Son pubis apparaissait comme nue à la vue de tous. Elle s’aperçut rapidement de nos regards et protégea la vue sur sa poitrine par ses mains. Mais elle ne fit pas attention que son short avait lui aussi été rendu transparent et ne cacha donc pas son sexe à notre vision. Toujours en colère, je décidais de ne rien dire, et puis la situation commençait à m’exciter au plus haut point.
Ma femme grelottant, elle récupéra sur l’un des lit une petite couverture et demanda si il y avait un endroit pour se changer. Un des espagnols lui montra un petit réduit où l’hiver les randonneurs pouvaient laisser leurs skis. Elle s’y précipitât, nous tournant le dos et dévoilant par la même occasion ses fesses pleines. Je remarquais une déformation bien visible sur beaucoup d’entrejambes des bergers. Ils étaient au nombre de 7, le plus jeune devait avoir 16 ans et le plus âgé peut-être 60. Il avait un ventre énorme et je me demandais comment il avait pu grimper jusqu’ici. C’est lui qui, voyant que je n’avais pas cherché à dissimuler la nudité de ma femme, et lorgnant sur la protubérance que mon petit short avait bien de la peine à cacher, s’avança vers moi et me dit dans un français approximatif qu’il trouvait ma femme très belle et si il y avait moyen de toucher ce qu’ils avaient pu bien admirer grâce à la pluie. Je lui répondis que si cela ne dépendait que de moi ce serait avec plaisir, mais que mon épouse ne voudrait jamais étant très prude et pudibonde. A cela Juan, c’était son prénom, me dit que si j’étais d’accord, il ne coûtait rien d’essayer et que peut-être le charme espagnol agirait. En le regardant, ainsi que la plupart des autres bergers, tous bedonnant et très poilus, je me dis que le charme espagnol avait du soucis à se faire.
Ma femme sorti de la remise avec la couverture comme paréo, cachant sa nudité du haut de la poitrine jusqu’à mi cuisse. Elle étendit ses vêtements trempés sur une chaise et nous pûmes constater qu’elle n’avait gardé ni sa culotte, ni son soutien gorge, trempés eux aussi. L’Espagnol qui m’avait parlé nous proposa de nous préparer un grog pour nous réchauffer, ce que nous acceptâmes. Mon épouse ne m’avait toujours pas adressé la parole et me jetait des regards encolérés. Le grog fut le bienvenu, même si je le trouvais chargé en alcool. Nous le bûmes pratiquement d’un trait. Il fallut après s’organiser à la fois pour le repas (que nous n’avions pas prévu) pour lequel les espagnols nous invitèrent à partager le leur et pour les lits, où il n’y a avait que 8 lit individuels. Un des espagnols proposa à la rigolade de partager le sien avec ma femme. Elle le foudroya du regard et répondit qu’elle dormirait dans le lit et que je dormirai par terre. Je ne répondis pas à cette nouvelle provocation. Nous passâmes à table.
Ma femme est moi ne nous installèrent pas à côté, elle fût entourée par Juan et par un autre berger, la cinquantaine bien dépassée. Nous étions quelque peu serrés étant donné que la table aussi était prévue pour 8. Le repas était composé de charcuterie, de pain et de fromage, arrosé d’un vin épais. Le verre de mon épouse était toujours plein, mais elle n’y touchait que peu, ne résistant pas à l’alcool. A un moment donné, je fis tomber un morceau de pain par terre par inadvertance et quand je me penchais pour le ramasser, je m’aperçu que Juan et son acolyte essayaient chacun de mettre une main su le genou nue de mon épouse. Celle-ci repoussait leur main de manière assez violente tout en serrant les jambes au maximum. Le « charme » espagnol avait du mal à agir. En me relevant je scrutais son visage, mais celui-ci paraissait presque impassible et elle ne cherchait pas du support de mon côté. Toujours fâchée, elle était trop fière pour cela. Durant le repas, je la vis se démener à 2 ou 3 reprises et j’imaginais qu’elle repoussait toujours les assauts de ses voisins.
Au moment du dessert, mon épouse avait une drôle de tête, un peu comme dans un état second. Je mis cela sur l’effet de l’alcool. Elle ne bougeait plus et avait les yeux dans le vide. Je pensais que ses voisins s’étaient lassés car elle ne faisait plus de mouvement de bras. Je fis, volontairement cette fois, tomber un couvert par terre. Quelle ne fût pas ma surprise en voyant ma femme, les cuisses largement ouvertes, les genoux posés sur chacune des jambes de ses voisins, la couverture relevée jusqu’à ses hanches, en train de se faire fouiller l’intimité par les gros doigts de Juan, tandis que l’autre berger lui caressait le clitoris. Connaissant ma femme, le spectacle était surréaliste.Juan faisait coulisser deux doigts, les sortants en entier pour les renfoncer complètement. Je ne pouvais pas détacher mon regard de cette pénétration et cela provoquait chez moi une très forte érection. Je ne sais combien de temps dura cette observation, peut-être 30 secondes, avant que je ne me relève. Juan me regardait avec un grand sourire alors que ma femme paraissait toujours aussi indifférente. Le berger se leva, essuya ses doigts sur le visage de ma compagne et lui prit la main pour la faire monter sur sa chaise. Là, il tira violemment sur la couverture qui s’enleva, dévoilant l’ensemble des attraits de mon épouse. En la tenant toujours par la main, il la fit tourner sur elle-même pour que l’on puisse voir toute son anatomie. Certains des bergers avaient sorti un appareil photo et mitraillaient alors que d’autres avaient déjà sorti leur sexe et se masturbaient. Les commentaires salaces en espagnol fusaient. En la faisant tourner, Juan malaxait fortement les gros seins de mon épouse, qui paraissait ailleurs et se laissait faire de manière indifférente. Puis, d’une poussée sur le dos, il la fit se pencher en avant, dévoilant son sexe et son anus. Il mit un doigt entre ses lèvres et le fit pénétrer. Il le ressortit et l’appuya sur l’oillet de ma femme, et d’une pression un peu forte le fit pénétrer de 2 phalanges. Je ne comprenais pas ce qui se passait car même cela ma femme me l’avait toujours refusé.Il fit alors asseoir mon épouse sur la chaise, défit son pantalon et en sortit un sexe d’une taille impressionnante (au moins 22 cm). Il le présenta à la bouche de ma femme, mais elle ne réagissait pas, ni ne refusait d’ailleurs. Il lui attrapa les cheveux et tira sa tête en arrière, ce qui eu pour conséquence de lui faire ouvrir la bouche. Il s’y engouffra aussitôt et commença de longs va et vient, en lui maintenant la tête.
Pendant ce temps là, les autres bergers s’étaient rapprochés et tous avaient posés leur short ou leur pantalon, présentant des sexes plus ou moins large, plus ou moins gros ; mais aucun ne rivalisant avec celui de Juan. Deux ou trois continuaient à prendre des photos. Juan se retira de la bouche de ma femme. Son sexe paraissait encore plus gros qu’avant cette fellation, avec un gland énorme. Un autre berger pris sa place, puis encore un autre. Quand se fût le tour du plus jeune, celui-ci ne put se retenir et éjacula dans sa bouche après trois ou quatre allers retours, ce qui provoqua les quolibets de l’assistance. Ma femme déglutit et avala la majeure partie de la semence, juste un petit filet s’écoulait de sa bouche. Tous se succédèrent dans sa bouche, les autres en profitant pour malaxer ses seins et caresser sa croupe. Puis ils la firent se lever et l’emmenèrent sur un matelas qu’ils avaient posé par terre. Ils la positionnèrent à quatre pattes et un berger présenta son membre à l’entrée de ses petites lèvres et d’une poussée la pénétra. Un autre homme que moi était en train de baiser ma femme et je n’en éprouvai aucune jalousie, mais une excitation intense. J’avais moi aussi sorti mon sexe et me masturbais en la regardant subir les assauts de cet inconnu. Pendant qu’il l’assaillait, un autre s’était mis a genou devant elle et lui baisait la bouche. Celui qui la pénétrait se retira et éjacula dans un grand cri sur ses reins. Un autre pris sa place, puis un autre et encore un autre. Tous lui éjaculaient sur le dos. N’y tenant plus, je demandais à celui qui lui pénétrait la bouche de me laisser sa place, ce qu’il fit à regret. A peine introduit, je sentis monter le plaisir et déchargeais dans sa bouche une quantité de sperme importante, dans un orgasme comme je n’en avais encore jamais eu.
Quand ce fut au tour de Juan de la pénétrer, il pressa son sexe sur les lèvres et, aidé par les pénétrations successives réussit à l’introduire du premier coup, malgré sa taille. Ma femme ne disait toujours rien, on sentait juste sa respiration s’accélérer. Juan passa ses doigts sur le sperme répandu sur ses reins et s’en servit de lubrifiant pour faire entrer un des ses doigts, puis deux, dans l’anus de ma femme. Toujours en lui labourant le sexe. Quand il introduit le deuxième doigt, mon épouse poussa quand même un petit cri de douleur, mais il fût vite étouffé par un sexe lui déchargeant sa semence au fond de la gorge. Après quelques allers-retours, Juan sortit son sexe et en appuya le gland sur la rondelle. Ma femme s’effondra sur le matelas et Juan poussa de tout son poids pour faire pénétrer son gland. Mon épouse poussait des petits cris à chaque tentative. Et puis la rondelle se dilata et le gland disparut intégralement. Juan fit alors pénétrer son sexe petit à petit. Ma femme haletait. En deux minutes, Juan avait réussit à faire pénétrer l’intégralité de son sexe dans le cul de ma femme. Il commençait alors des allers retours lents, puis la fit se remettre à quatre pattes pour qu’il ait une meilleure position de pénétration. Il commença alors à accélérer la cadence en donnant de violents coups de reins qui chaque fois faisaient avancer ma femme de quelques centimètres. La scène était grandiose et je recommençais à avoir une érection imposante.
Un des bergers vint se positionner sous mon épouse et entama une double pénétration. Un autre, ne pouvant plus se retenir, s’approcha et lui gicla sa semence sur le visage et dans les cheveux, puis s’essuya le gland avec ces derniers.Tout à coup Juan se contracta et poussa un gros râle, il éjacula puissamment au fond du postérieur de ma femme puis se retira. A la place où était son sexe il y avait un trou béant, d’où coulait un ruisselet de sperme. Je pris sa place immédiatement, avant que l’anus ne puisse se recontracter. Je labourais ma femme le plus violemment possible, lui faisant payer son humeur du jour. Je jouis à mon tour au bout de quelques minutes, inondant à nouveau son fondement.
Tous, nous nous succédèrent alternativement dans chacun de ses orifices, pendant plus de 2 heures. Un des bergers lui mit même une bouteille vide dans l’anus pour prendre des photos. A la fin de cette séance, elle était recouverte de semence, nous avions tous jouis au moins trois fois chacun.Ma femme s’endormit aussitôt que le dernier berger, qui n’était autre que Juan, lui ait éjaculé une dernière fois sur le visage.
Je lui dis alors que je n’aurais jamais cru que ma femme aurait pu se prêter à de telle pratiques, même en ayant bu un peu d’alcool. A quoi il me répondit que le charme espagnol avait parfois besoin d’être un peu aidé par des substances. Je compris alors que ma femme avait été droguée, ce qui expliquait son apathie. Il me dit que le lendemain, elle ne se souviendrait plus de rien. Nous la portâmes dur un lit, la nettoyèrent avec un gan et la recouvrirent de sa couverture. Puis, éreintés, nous sommes allés nous coucher.
Le lendemain quand je me réveillais, les bergers étaient partis, nous laissant du pain et du fromage pour le petit déjeuner. J’appréhendais un peu le réveil de ma femme, mais celle-ci se leva et dit : « Ils sont partis, et bien bon débarras, ils étaient un peu lourds », puis elle me demanda comment s’était passé la soirée d’hier soir car elle ne se souvenait plus de grand-chose après le début du repas. Je lui racontais qu’elle avait un peu trop bu et s’était endormie, alors que je l’avais couché. Puis elle se rappela que nous étions fâchés et se remis à me faire la tête, ce qui enleva les derniers de mes remords. Je ne regrette qu’une seule chose, c’est de ne pas avoir pris de photos car chaque fois que j’y repense, je suis terriblement excité.
Diffuse en direct !
Regarder son live