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Ma femme et les jeunes blacks

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Nous sommes un couple dont le mari aime me voir ou me savoir entre les bras d’autres hommes, mais particulièrement ceux à la peau ébène, ce qui j’avoue n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. Je suis une femme la quarantaine, rousse à la peau très blanche, ce qui accentue encore le contraste des corps lors des ébats. Il m’organise très souvent des soirées que ce soit avec un ou plusieurs hommes des couples ou bien des femmes. Il participe, photographie et filme les rencontres. Je n’ai qu’à me laisser guider le programme, le lieu, le nombre et même la tenue sont choisis par monsieur qui prend grand soin aux moindres détails.
Ainsi quand il me demande de prendre mon après-midi sans m’en dire plus, je devine qu’il a prévu quelque chose pour moi et comme toujours je m’en remets à lui. Midi trente, je suis de retour à la maison, mon mari est dans le canapé, un verre à la main, sur la table basse une coupe de champagne m’attend. Un repas rapide et léger, puis un passage par la salle de bain, une douche, ma crème hydratante, je rectifie mon épilation, mon maquillage et je sors nue pour me rendre dans notre chambre où je sais qu’une tenue de son choix est comme toujours prête : bas, cuissardes, minijupe de cuir sans rien dessous, un corset seins nus lui aussi en cuir et me voilà prête.
— Tu es magnifique dans ton uniforme de salope, me lance mon mari.
Je me place à l’arrière de la voiture et mon époux prend le volant, nous roulons environ une trentaine de kilomètres et nous voilà à l’entrée d’un stade d’une ville du nord de Paris. Nous nous engageons sur le parking et mon mari se stationne aux dernières places.
— Je t’explique ce que nous faisons là. J’ai passé comme d’habitude une annonce à la recherche d’hommes et j’ai reçu une proposition un peu particulière d’un manager d’une équipe de football qui m’a expliqué qu’à la fin de chaque saison, il offre en récompense à son équipe junior une pute, une professionnelle du sexe. Ce ne sont que des jeunes des quartiers défavorisés, ils ont entre dix-huit et dix-neuf ans. Et il me propose de te mettre à leur disposition pour deux heures pour les récompenser de leur bonne saison. Je me suis empressé d’accepter sa proposition et donc nous voici sur place.
Il redémarre et monte vers les tribunes, nous stationnons devant une porte où nous attend un homme d’une quarantaine d’années. Nous le suivons dans un long couloir. Arrivés devant une porte marquée vestiaire visiteurs, nous entrons, à l’intérieur une vingtaine de jeunes blacks, chaussures de foot, short, et maillot aux couleurs du club nous attendent assis sur des bancs. Je me place dans l’échancrure de la porte, les voilà qui me dévorent des yeux et je devine que ma tenue d’amazone fait son petit effet sur ses jeunes hommes.
L’entraîneur prend la parole :
— Chose promise chose due, donc voici votre récompense pour cette super saison. Elle est à vous, amusez-vous bien. Un seul truc vous voyez les boîtes sur le banc alors pour toutes pénétrations préservatifs obligatoires, compris ?— Oui coach ! répondent les gamins d’une seule voix.
Je fais trois pas en avant et me voici au milieu de la pièce, personne ne bouge. Je laisse tomber mon pardessus dévoilant mes seins maintenus par le corset, quelques murmures arrivent à toi. Mon mari les encourage à passer à l’action. Les plus gaillards se lèvent et m’entourent. Je sens des mains qui malaxent ma poitrine, des lèvres me tètent goulûment les tétons, quelques mains s’aventurent sous ma jupe et fouillent mon intimité. Le plus grand de l’équipe m’embrasse à pleine bouche et y enfonce sa langue. Je me mets à genoux pour sucer, toutes ces queues se frottent, me forcent la bouche, plus j’en branle et suce plus il en arrive autour de ma tête. Certains ont déjà emballé leurs jouets d’un préservatif, je me mets donc à quatre pattes pour m’offrir à eux. Je sens des mains se poser sur mes hanches, mais je ne peux pas me tourner pour voir ce qui arrive, car j’ai une queue en bouche et quand elle sort elle est remplacée par une autre.
Sans ménagement une saucisse, probablement une Morteau, vu la grosseur, me déchire les entrailles dilatant mon cul en une poussée, il m’encule sans aucune préparation, je me peux pas crier, car un des jeunes me tient la tête sa bite au fond de ma gorge.
Des doigts s’introduisent au plus profond de moi alors que mon fondement est toujours pilonné par le jeune sodomite, ses mains se crispent et il s’enfonce entièrement en moi pour éjaculer. Une fois sorti de mon cul, un autre homme prend la place derrière moi, mais lui plonge au plus profond de ma chatte et à son tour s’active en moi.
Je ne sais pas qui dit à ce moment :
— On va la baiser comme dans les films en double.
Le premier allongé sur le dos le sexe dressé et recouvert d’une capote attend, je l’enjambe pour m’empaler sur sa colonne dressée, je me penche en avant et un jeune à côté de moi m’écarte les fesses pour faciliter le passage de son pote. Je reçois une noisette de gel sur mon petit trou et une tige monstrueuse me perfore les intestins, c’est le grand black qui m’avait embrassé au début. Sa queue est aussi grosse qu’il est grand, il me perfore le cul et j’adore ça sentir en moi ses deux bites qui entrent et sortent en moi. Un autre en profite pour m’investir la bouche et y décharge son flot de foutre. Très vite un autre le remplace entre mes lèvres et lui aussi envoie ses jets de semence au fond de ma gorge, je reçois de nombreuses éjaculations en bouche et sur le visage.
Celui qui m’enculait ressort et retire sa capote se lève et déverse sur mon front une grosse dose de crème qui me dégouline dans les yeux, je suis légèrement aveuglée, mes yeux me piquent. Celui du dessous lui décharge dans le préservatif, il cède sa place, du coup je change de position, me voilà de nouveau à cheval sur un nouveau membre, mais cette fois je suis allongée dos sur lui et il s’introduit directement dans mon cul et commence à me ramoner comme une vraie brute. J’adore être prise ainsi, des doigts jouent avec mon clito très sensible. Ensuite un nouveau me chevauche et frotte son gland sur mes petites lèvres, il me branle avec sa queue et étale une grosse noisette de gel. Je m’attends à ressentir son pieu plonger en moi, mais au lieu de ça, la seconde bite me force le cul et rejoint ainsi son collègue dans mes intestins.
Je crie à mon mari :
— Chéri les deux m’enculent, les salops, j’ai les deux dans mon cul c’est trop bon.
Et j’entends comme toute réponse de mon homme:
— Deux dans ton cul, continuez les gars !
Je hurle mon plaisir, il me déchire le cul, je suis comme une folle, mais c’est tellement bon. Je reçois encore des décharges de foutre dans ma bouche, mon visage, mes seins. Puis chacun se retire me laissant allongée sur le dos, cuisses ouvertes, anus dilaté et recouvert de sécrétions masculines. Les jeunes finissent de sortir quand j’aperçois un des garçons visiblement à peine majeur qui n’a pas bougé et est resté assis sur un des bancs depuis le début. Je l’interpelle:
— Dis-moi toi, tu n’as pas joué avec tes potes, je ne te plais pas ?
Un peu timide il me répond:
— SI Madame, mais je n’est pas osé, vous savez je ne l’ai encore jamais fait je suis encore puceau.
Je regarde mon mari qui me fait un petit signe oui :
— Attends laisse un peu partir tes potes, je vais m’occuper de toi tout seul si tu veux bien ?
L’entraîneur passe la tête par la porte.
— Allez Adama avec les autres.
Il lui répond de sa toute petite voix:
— Heu je peux rester encore un peu Coach ?
Mon mari se lève et referme la porte. Moi je me fais rapidement une petite toilette au lavabo, quelques lingettes un peu de maquillage et me revoilà prête pour mon petit puceau. Il est toujours assis sur son banc, je m’approche et me mets à genoux devant lui, je fais tomber son short sur ses chevilles.
Une belle queue noire et épaisse est dressée face à moi. Je la prends doucement dans la main, elle est lourde et vraiment très grosse. J’avance ma bouche et passe ma langue sur toute la longueur de ce pénis, son gland je l’introduis doucement entre mes lèvres et le voilà qui durcit au fur et à mesure que je le suce tout en caressant ses bourses. En cinq minutes il me prend la tête entre ses mains et m’enfonce toute la longueur de son chibre et m’empêche de le sortir de ma bouche. Il est au fond de ma gorge et y déverse des jets de jus bien crémeux que j’ai bien du mal déglutir, j’en avale autant que j’en recrache. Il relâche la pression sur mon crâne et je reprends ma respiration. Il me regarde en s’excusant de m’avoir ainsi bloqué la tête, m’obligeant à avaler son sperme. Je le rassure expliquant que j’adore le foutre et que même sans son blocage j’aurais à coup sûr dégusté son jus.
Je suis assise à côté de lui tout en lui expliquant je lui caresse la queue qui reprend rapidement une belle raideur.
Je lui demande s’il souhaite me baiser maintenant ? Comme réponse il me caresse la cuisse et introduit deux doigts dans ma chatte. J’écarte délicatement mes jambes comme une invitation à me posséder. Dans un coin j’aperçois une table de massage. Je me lève, me dirige vers la table et viens m’allonger sur le dos, cuisses ouvertes je me tiens les chevilles offrant ma fente humide bien en évidence .
Mon mari l’encourage.
— Allez elle est à toi, baise-la et fais-la jouir.
Il s’approche et attrape un préservatif.
— Si elle est d’accord, tu peux la sauter sans capote, qu’en dis-tu chérie ?
Ce à quoi je réponds.
— Oui évidement, s’il souhaite me remplir pour son dépucelage c’est cadeau.
Il lâche sa capote et s’approche, ses doigts écartent mes petites lèvres, il plante son dard en moi en une poussée, il me laboure avec vigueur. Sa bite me remplit le vagin, elle est dure et cogne fort au fond de moi.
Il se lâche mon petit Adama.
— Tu l’aimes ma bite, t’es une bonne pute, t’aimes te faire baiser par des blacks grosse chienne.
Au bout de quelques minutes, je devine qu’il va déverser sa semence et je crie pour déclencher son éjac.
— Oh oui, oui tu me baises trop bien tu me fais jouir.
Il crispe ses mains sur mes hanches et se fige au plus profond de moi et lance :
— Prends mon foutre salope.
Je reçois ses jets de chaude liqueur séminale qui me remplit le ventre et s’écoule en moi. Il retire le colosse qui vient de cracher son liquide et qui commence à s’écouler de ma chatte jusqu’à sur mon petit trou pour finir en flaque au pied de la table de massage. Mon homme me fait remarquer la tache au sol.
— Et bien toi tu as mis la dose, regarde ce qui coule de sa chatte.
Le petit Adama remis de ses émotions se dirige vers moi pour s’excuser :
— Je suis désolé madame pour les mots grossiers que je viens de dire. Mais merci, car j’ai adoré mon dépucelage.
Je lui explique qu’au contraire les mots crus font partie du jeu et augmente mon excitation, que moi aussi j’ai aimé qu’il me fasse jouir, que je suis ravie que lui aussi ait bien pris son pied.
Il remonte son short et court rejoindre ses amis, moi j’ouvre une lingette pour me nettoyer quand je regarde mon mari qui a sorti son engin et s’approche de moi avec une méga érection. Il me retourne, me penche en avant sur la table et m’écarte le cul, me force l’anus et s’introduit à fond dans mon rectum. Il me défonce à grand coup de reins.
Au moment où il va venir en moi, je lui demande :
— Vide-toi dans ma chatte, j’ai envie que vos spermes se mélangent en moi, que tu profites aussi du foutre de ce jeune puceau.
Le voilà qui change de trou et décharge son plaisir dans ma grotte intime. Ses jets puissants et chauds m’inondent le ventre, le trop-plein de leurs spermes me dégouline le long des cuisses. Je suis spermée, souillée comme une vraie chienne et j’adore ça.
Mais quelle nouvelle aventure germera dans la tête de mon mari ? J’ai hâte de le découvrir.
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