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Ma femme et les routiers

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Lorsque nous arrivons au relais, il est 22H00 et il commence à faire nuit. Il faut dire que nous nous sommes arrêté dans un bar sympa pour prendre l’apéro en terrasse. Ma femme a eu droit à des regards appuyés par les hommes nous entourant durant tout le temps que nous avons passé dans ce café.
Je décide de garer ma voiture sur le parking réservé aux poids lourds, ce qui entraîne la désapprobation de ma douce:-"Tu n’as rien à faire là, c’est réservé aux camions!".
Je ne l’écoute pas et nous descendons de voiture. Des rideaux sont déjà tirés sur certains pare-brise de camions, ce qui signifie que leurs propriétaires dorment. Le restaurant est à 100 m, et encore une fois j’essuie des reproches de mon épouse. -"Tu aurais pu te garer devant, au lieu de te mettre sur le parking POIDS LOURDS, çà m’aurait évité de marcher".-"On est arrivé ma chérie" lui réponds-je.
Nous entrons, l’intérieur est propre, mais quasi désert.-"Bonsoir jeunes gens! Installez vous j’arrive!", nous lance le patron avant de disparaître dans la cuisine. Nous nous asseyons à une table de 3 contre le mur, l’un en face de l’autre. -"Sympa ton resto." me lance mon épouse en voyant celui ci presque vide. Je regarde autour de moi, nous ne sommes que 5. Deux hommes à une table, la cinquantaine, moches, surtout l’un d’entre eux, qui m’a l’air bedonnant. Ils regardent dans notre direction, enfin dans celle de ma femme, et le plus gros me fait un signe de la tête. Je lui réponds timidement. Un autre est seul, dos à nous et dîne tranquillement. Il s’en va d’ailleurs peu de temps après notre arrivée en saluant les deux autres, ce qui me laisse penser qu’ils sont tous les trois camionneurs.Vu la tronche des mecs, mon plan s’annonce très mal.-"On va bien manger!" dis-je à mon épouse. Pour seul réponse j’ai droit à un haussement d’épaules. Le patron revient avec les cartes, très souriant et sympa. Nous choisissons la formule avec vin rosé à volonté. Je me fais déjà à l’idée de dîner et rentrer. Nous vidons 2 pichets de rosé et demi, mangeons très bien, rigolons beaucoup. C’est juste un peu long car le patron est souvent dans sa cuisine. Ma femme est déjà un peu pompette avec tous ces verres que nous avons bu en l’attendant, et balbutie déjà sur des phrases. Nous nous apprêtons à régler la note et partir, lorsqu’on voit le patron ressortir de sa cuisine avec deux verres.-"Tenez jeunes gens! Prune maison!" avec la même voix enjouée. Nous nous regardons avec ma chérie.-"Merci!" lui dis-je.-"Oh mais c’est pas moi! C’est le monsieur là bas" en me montrant du doigt le gars qui m’avait saluer. Nous le remercions avec ma femme, ce à quoi il lève son verre en la regardant dans les yeux. Celle ci me glisse tout bas ou du moins essaie de me glisser: "Je ne peux pas le boire je suis bourrée". Je lui réponds: "Bois le sinon il va mal le prendre!". Et pan! D’une traite elle le boit en grimaçant. Je fais de même et regarde la tête de ma femme. Elle n’est vraiment pas en forme. Nous payons le patron qui file à nouveau dans sa cuisine, et sommes prêts à partir. -"Je vais aux toilettes" me dit elle. Elle se lève, et la voyant tituber un peu , je me lève à mon tour et l’accompagne dans le couloir. Elle rentre dans les toilettes dames. Je regarde en direction de la salle, le gros n’en a pas perdu une miette visiblement. Je vais pisser aussi, je ressors, pas de trace de mon épouse. Je pousse la porte des toilettes, entre, avance un peu, ma femme est assise sur la cuvette des toilettes, la porte grande ouverte, le leggings et le string en bas des chevilles, la tête contre le mur du fond, les yeux fermés.-"Ma chérie, çà va?". Elle ne réponds pas. Je lui repose la question, elle balbutie: "C’est pas la forme". Et là en une seconde une idée perverse me traverse l’esprit. Je m’approche d’elle, m’accroupis et lui enlève son leggings et son string. Elle me demande ce que je fais les yeux à moitié fermés, ce à quoi je lui réponds qu’elle aura moins chaud comme ça. Je la lève des toilettes, tire un peu sur son haut. C’est vrai qu’il est court, il cache juste le bas de son cul. Elle est magnifique comme çà, perchée sur des talons hauts, ses longues jambes bronzées, son petit haut qui ne cache presque rien de son anatomie si parfaite. Nous sortons des toilettes, j’espère juste que le patron sera encore et toujours dans sa cuisine. C’est le cas. Ma femme titube un peu, je lui propose de s’asseoir un peu avant de partir et nous nous posons à notre table. Je l’aide à s’asseoir, elle croise les jambes, on voit presque son cul. Je m’assieds et regarde en direction des deux. Le gros est bouche bée. Il dit un mot à son pote qui regarde dans la direction de ma femme et sourit. Ce dernier lui réponds un truc à son tour et reprend la dégustation de son dessert. Le gros ne peut plus détacher son regard des jambes de ma femme. Il croise mon regard, pas gêné, se lève, vient vers nous, et sans rien demander s’assied entre ma femme et moi et engage la conversation.-"Alors les tourtereaux, elle était bonne ma prune?" dans ma direction Et tout en matant ma chérie.-"Oui, mais elle nous a achevé, surtout ma femme. Elle est bourrée et a très chaud!". Je le vois sourire, et de me demander si on vient souvent dans le coin, d’où on vient, un tas de banalités, alors que je vois son bras droit qui bouge, me laissant à penser qu’il est entrain de caresser les cuisses de ma femme qui ne réagit que par à-coups maladroits en le repoussant timidement. Je fais le mec bourré et je lui dis que nous allons rentrer. Le mec, pas démonté nous lance:— "Je vous raccompagne!" et il se lève. J’aide ma femme à se relever, le gros gueule un "salut Gilbert, bonne nuit, je raccompagne les jeunes à leur voiture!" à son pote et nos sortons. Ma femme me glisse un "On rentre" étouffé, et je lui glisse un "Oui, oui ma chérie". Il me demande où nous sommes garer, je lui réponds que nous sommes sur le parking poids lourds. Et là la phrase que j’attendais et que je n’espérais plus fuse:— "Ah bon vous êtes sur mon parking?" comme si il lui appartenait, "venez je vais vos faire visiter mon camion". Je lui réponds que je ne suis pas sûr, que nous sommes bourrés et fatigués. Il insiste en me disant que ce sera juste un petit coup d’oeil, je lui donne mon accord. Nous arrivons à son camion qui n’est pas loin de ma voiture. Un gros camion. Le type me dit qu’il est transporteur indépendant, me parle de son bébé (son camion bien sûr), et nous montons à bord. Lui le premier, ma femme en second, qui monte avec peine, et moi. La cabine est immense. A mon regard le mec est tout fier. Et surtout de la partie couchette. Un grand lit surélevé, un frigo, une douche, la grande classe quoi.. Ou presque! Quelques posters de nanas à poils ou en petites tenues sont affichés sur un pan de cloison. Il voit que je les regarde et me lance un "çà c’est mes petites chéries. Elles sont toutes passées dans mon lit" en rigolant. Il nous propose une boisson fraîche en nous disant qu’elle nous fera du bien. Il ferme les rideaux qui séparent la couchette du pilotage en balançant un "voilà on est tranquille là". Nous nous asseyons sur le lit, ma femme à encore le réflexe de tirer un peu sur son haut, mais toujours maladroitement, ce qui couvre juste le haut de ses cuisses. Bourrée elle n’a même pas percutée qu’elle n’avait plus de string. Le gros s’installe vers nous, nous buvons, discutons, pas trop ma femme, qui cuve un peu, il reluque les cuisses et les seins de ma femme, qui de ma position et de la sienne sont presque visible entièrement par transparence due à la lumière. Je fais alors semblant de ne pas être bien, et je lui dis qu’on va partir. Il me rétorque alors que je ferais bien de dormir un peu, car ce n’est pas prudent de prendre le volant dans mon état, il ajoute qu’on peut dormir dans sa couchette une heure ou deux si on le veut, et que lui dormira dans le poste de pilotage. Je lui réponds que je préfère aller somnoler dans ma voiture, mais que je veux bien que ma femme dorme un peu sur un lit plus confortable. Ma chérie ne réagit pas trop sur le coup, puis me bafouille un -"on rentre mon amour?". Je lui réplique alors qu’elle va se reposer un peu là, et que je ne suis pas loin, que je viens la chercher dans peu de temps. Je dis au gros que je vais à ma voiture et qu’il vienne me réveiller dans une heure. D’un ton tout mielleux il m’assure que ce sera fait, et sort une couverture pour ma femme. Ma femme me demande un bisou, me redemande de venir la chercher vite. Je lui réponds de ne pas s’inquiéter. Je fais deux pas, tire le rideau, regarde le gros qui fait mine de déplier la couverture, mon épouse me regarde tristement, les yeux embués par l’alcool. J’hésite presque à tout arrêter et partir avec elle, je dis au gros que je claque la porte. Celui ci me réponds:-"Pas de soucis je la bloquerai en me couchant", et finalement je referme le rideau, me glisse vers la porte passager, et fait mine à mon tour de partir, l’ouvrant et la claquant quelques secondes après. Je ne bouge pas pendant quelques instants tout en craignant que le gros ne surgisse de la couchette. J’ai le sang qui bouillonne au niveau de mon visage, les jambes qui flagellent un peu. J’attends. Rien. Je me rapproche de l’ouverture des rideaux, et les écartent un peu...
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